TITRE
: L'étudiante
de Bali
Catégorie : Histoire
interraciale
Pendant les vacances d’été, je suis allé à Bali. Mon hôtel se trouvait à Kuta, une des plages les plus touristiques. J’étais seul et j’avais une grande envie de baiser de la femme locale, mais on m’avait averti que les Balinaises n’étaient pas des filles faciles.
Un soir, je me promenais dans la rue à la recherche d’un bon restaurant. Il y en avait plein, c’était très difficile de faire son choix. J’ai opté pour une espèce de piano-bar qui avait l’air plutôt chic, et surtout parce que je suis tombé sous le charme de ces demoiselles qui se tiennent devant l’entrée et essaient de vous attirer à l’intérieur. Une fois installé, j’ai tout de suite commandé des fruits de mer. C’étaient pas des moules mais ça y ressemblait. Un truc m’étonnait dans cet endroit : Toutes les serveuses étaient habillées en uniformes d’école. Je questionnai un serveur qui m’expliqua qu’en fait il s’agissait de filles qui étaient universitaires et qu’elles étaient là pour un stage. Pendant mon repas, le serveur revint vers moi et me glissa une feuille de papier avec un nom, Cristina, et un numéro de téléphone. Il me montra une des serveuses et dit :
- Tu vois la jeune fille là-bas ? Elle est amoureuse de toi. Ce serait bien que tu l’invites à faire quelque chose demain...
Je fus un peu surpris je dois dire alors je lui répondis que si elle voulait me parler, elle pouvait venir à ma table. Seulement, elle n’avait pas le droit de parler aux clients selon mon serveur. Peu importe, je dois dire que cette petite m’attirait beaucoup. Elle était toute petite mais avec une paire de seins d’une taille peu commune pour la région. Je pouvais aussi apercevoir ses cuisses fines sous sa jupe d’étudiante. Je crois surtout que c’était l’uniforme qui me faisait le plus d’effet.
Le lendemain, en me réveillant, vers midi, je composai le numéro. La fille au bout du fil me proposa de la retrouver à la plage. J’approuvai et me rendit immédiatement sur place. Elle était en train de m’attendre, assise sur le sable et portait toujours ce même uniforme d’école. Elle disait qu’elle n’avait pas eu le temps de se changer. Nous avons pu discuter un court instant. Elle était bien à l'université et venait d’avoir 18 ans. Vu qu’elle ne parlait pas très bien le français, nous n’avons pas pu avoir de discussion très profonde, mais au moins elle avait l’air très gentille. Je lui proposai d’aller se baigner un peu mais elle refusa. Elle disait qu’elle ne savait pas nager et qu’elle en avait un peu honte. Je lui dis alors de venir à la piscine de mon hôtel et que là-bas, je pourrais lui apprendre à nager sans que personne ne nous regarde. Elle me regarda avec son air de coquine et me répondit :
- Moi pas aller piscine hôtel d’accord...
J’étais sidéré par cette réponse. Mais je n’'allais tout de même pas rater l’occasion de ramener une petite sirène dans ma chambre ! On prit un taxi en vitesse.
Une fois dans ma chambre d’hôtel, son premier geste fut d'allumer la télé et de se servir dans le frigo. Énervé par son comportement, je la poussai sur le lit et je lui dit :
- Je t’ai pas amenée ici pour que tu regardes la télé !
Elle ne me répondit pas mais resta allongée sur le lit. Sa jupe avait été un peu soulevée et je pouvais voir sa petite culotte blanche. Je m’allongeai à côté d’elle et l’embrassai. Elle ne me repoussa pas. Je recommençai alors et fourrai ma langue dans sa bouche. Là, elle se mit à s’exciter un peu et à me mordiller les lèvres. Je passai ma main le long de son corps ferme et chaud. Elle portait une chemise blanche très légère. Je la pelotai par-dessus la chemise, puis glissai ma main à l’intérieur. Je n’y avais pas prêté attention plus tôt, mais cette petite coquine ne portait pas de soutien-gorge. Ses seins ne pendaient pourtant pas quand elle se tenait debout, une fermeté incroyable ! Je déboutonnai sa chemise et je pus enfin lui sucer les tétons. Pendant ce temps, elle passa ses mains dans mes cheveux et massa délicatement mon cuir chevelu. C’était très agréable et en plus ses seins avaient un goût sucré. Ensuite, ma main glissa machinalement sous sa jupe. Là, elle enleva ma main d’un coup sec et me dit :
- Ça interdit !
Je ne savais pas si elle me disait ça pour m’exciter encore plus ou bien si elle ne voulait vraiment pas. Ma main glissa à nouveau sous sa jupe sans que je ne puisse vraiment me contrôler.
- Please, nooo ! Me dit-elle en gémissant.
Je tirai alors doucement sa culotte vers le bas jusqu’à la retirer complètement tout en lui mordant très fort les tétons. Je suis pas sûr à ce moment qu’elle ait remarqué ce que j’ai fait. Mes doigts avaient été humidifiés par la moiteur de sa culotte. Je les léchai pour voir le goût de sa cyprine, ça ressemblait à du jus d’ananas... J’avais très chaud et ce goût m’avait fait tourner la tête. J’enlevai mon t-shirt et je me couchai sur le dos. Je fis signe à Cristina de venir sur moi. Elle me grimpa dessus et recommença ses petits jeux de suçage de lèvres. Moi, je pouvais aisément lui caresser les fesses et les seins. Je sentais son sexe nu s’appuyer contre le mien. Je portais encore mon maillot de bain et je me sentais très à l’étroit dedans à cause du fait que je bandais à fond. J’essayai de l’enlever alors qu’elle était toujours en train de jouer avec mes lèvres. Je n’ai pas pu l’enlever complètement, mais ça suffisait pour que je sente enfin sa cyprine dégouliner sur mon sexe. Elle le remarqua et se redressa :
- Qu’est-ce que tu as fait ? On a pas la droit.
Elle mit sa main entre ses jambes pour vérifier l’état des lieux et rajouta :
- Tu es fou, je suis encore vierge, j’ai pas le droit, je dois attendre mon mariage.
Elle semblait très gênée. Je la tirai contre moi et lui chuchotai à l’oreille :
- D’accord, il n’y a pas de problème.
Je pensais vraiment pas ce que je disais. On s’embrassa et je la serrai fort contre moi. Elle se remit en peu à gigoter. Sa chatte glissait le long de mon sexe, ça me faisait comme une branlette mais en mieux. Ca ne me satisfaisait pas assez, j’étais à deux doigts d’éjaculer, mais je n’arrivais pas. Alors, d’une dernière tentative inespérée, je redressai ma queue avec ma main et essayai de viser son trou à l’aveugle, car sa jupe cachait tout. Je la regardai, ses yeux étaient fermés et elle donnait l’impression d’être dans un autre monde. Elle respirait très fort et s’agrippait à mes épaules. Une fois l’entrée de ce trou à bonheur trouvé, je la guidai pour qu’elle redescende gentiment. Elle grimaça un peu et murmura :
- Je suis folle.
Elle força un peu et ma queue s’engouffra à l’intérieur d’elle. Mon excitation avait été telle que j’éjaculai à peine entré. Elle essaya de remuer un peu mais je lui dis d’arrêter. Tout à coup je la vis reprendre ses esprits. Elle regarda sa montre et parti de la chambre en vitesse, elle était en retard pour ses cours. En partant, elle a oublié sa culotte.
Je me suis senti un peu coupable de ne pas lui avoir donner tout ce que j’aurais pu pour sa première fois. Je l’ai rappelée pour lui rendre son vêtement et pour finir, je pus lui faire l’amour correctement. On est resté une semaine ensemble, le temps de mes vacances là-bas. Je lui ai promis de revenir la voir et, jusqu’à aujourd’hui, on correspond par e-mail. Cela dit, depuis ce jour, je vais souvent traîner dans les endroits pour étudiant, surtout dans les pays où l’uniforme est obligatoire.
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