Déjà, lors de l'entretien, j'avais toutes les
peines du monde à rester concentré et à ne pas faire paraître
mon émotion. J'étais à l'étroit dans mon slip et j'imaginais
Amanda sans ses vêtements. Son corps de sirène prenait forme
dans mon imagination et je la voyais à présent me chevaucher,
sa poitrine gonflée pointée dans ma direction et son visage
si fin secoué par un plaisir dévorant. Je me mis sûrement
à rougir car je sentais le bout de mes pommettes légèrement
picoter. J'étais très mal à l'aise et je voyais Amanda sourire
par moment, en me voyant ainsi. Elle fit même tomber mon
dossier à ses pieds. Je m'empressai de me baisser pour le
lui ramasser. Je la vis alors écarter doucement ses cuisses
et frotter ma main du bout de son escarpin. En levant la
tête pour le lui rendre, mes yeux croisèrent ses cuisses
et je crus que mon coeur allait exploser dans ma poitrine.
Elle prit mon dossier, me sourit et m'invita à me rasseoir.
À la fin de l'entretien, je me hasardai à lui demander si
ma candidature avait des chances d'être retenue. Avec un
sourire plein de sous-entendus, elle me dit qu'elle m'embauchait
et conclut par un :
- Je pense que vous ferez du bon travail pour moi.
Je sortis troublé, électrisé et je comptai les jours qui
me séparaient de mon entrée dans l'entreprise. Lorsque ce
moment tant attendu arriva, quelle ne fût pas ma surprise
d'apprendre que j'étais nommé non pas au poste proposé mais
directement comme assistant personnel de la patronne. Mon
prédécesseur avait démissionné pour un emploi dans une autre
société et Amanda avait décidé de me prendre comme remplaçant.
J'étais à la fois flatté, honoré et aussi terriblement excité
!
Les premiers jours se déroulèrent dans une ambiance studieuse
et très professionnelle. Je faisais de mon mieux pour me
montrer digne de mes nouvelles responsabilités et je n'avais
plus trop le temps de fantasmer sur ma nouvelle patronne.
Mais un soir, cette dernière, après m'avoir félicité pour
la manière dont j'avais traité un dossier important, me
demanda de passer à son domicile pour commencer une affaire
capitale, qu'elle souhaitait superviser elle-même, malgré
toute la confiance qu'elle plaçait en mes compétences. Elle
ajouta :
- Passez donc demain, en milieu d'après-midi, mon mari doit
s'absenter, nous serons tranquilles.
Puis elle se leva et quitta son bureau. Inutile de préciser
combien cette annonce m'ébranlait. J'allais me retrouver
seul avec la patronne, chez elle. D'ailleurs, je ne savais
pas trop si j'allais pouvoir garder mes idées claires. Je
dormis très mal cette nuit là, mon sommeil étant sans cesse
tourmenté par le corps d'Amanda qui se dressait devant moi.
Mon esprit se trouvait captivé par Amanda, cette femme si
envoûtante et si sûre d'elle !
La matinée qui suivit me parût interminable puis vint l'après-midi.
Je me rendis chez ma patronne comme convenu, vers 15heures.
Il faisait assez chaud et je me vêtis légèrement : chemisette
et bermuda. J'étais un peu gêné car une tenue aussi estivale
ne pourrait, à coup sûr, cacher les troubles de mon membre
si ce dernier se trouvait pris d'un émoi irrépressible.
Je sonnai fébrilement à la porte de la maison, la gorge
serrée et le coeur en alerte. Au bout de quelques secondes,
j'entendis les talons d'Amanda claquer sur le sol et cette
dernière m'ouvrit la porte. En une fraction de seconde,
je la dévorai du regard, de la tête aux pieds. Elle portait
une veste au tissu léger sous laquelle pointait ses superbes
seins recouverts d'un soutien-gorge noir, que laissait transparaître
un chemisier blanc, presque transparent. Mon regard descendit
et vit une minijupe, vert émeraude d'où s'échappaient deux
magnifiques jambes et deux pieds si fins, mis en valeur
par des sandalettes à talons hauts. J'eus un bref frisson.
Elle me sourit et m'invita à entrer. Je la suivis jusqu'au
salon, mes yeux, embrasés, dévorant littéralement ses fesses
et ses jambes. Elle me montra une chaise et me demanda de
m'asseoir. Je m'exécutai, maladroitement, comme un pantin
prisonnier des charmes de sa féminité. Elle s'assit en face
de moi. Nous débutâmes le nouveau dossier mais je ne contrôlais
plus mon esprit. Mes yeux vagabondaient sur son corps que
mes lèvres couvraient de baisers imaginaires.
Dehors, des enfants criaient et leur tumulte venait perturber
notre concentration. Elle me demanda d'aller fermer la fenêtre,
le temps qu'elle prendrait pour aller chercher des documents
complémentaires.Je revins et la vis, le dossier à la main,
s'approchant de la table. Je n'avais pas pris garde au tapis
qui ornait le sol et me pris maladroitement les pieds dedans.
Le hasard fit que je tombai presqu'à genou, juste devant
elle. Surprise par ma chute, elle se retourna et me demanda
inquiète :
- Oh, Daniel, vous n'avez rien ?
Je lui fis signe que non mais je me gardai bien de me relever.
De là où j'étais, je pouvais dévorer ses jambes si gracieuses,
ses pieds et le haut de ses cuisses. Subitement, je me sentis
bander. Elle devina sûrement mon trouble car elle s'appuya
sur la table, en écartant lentement les jambes. Elle devait
tester mon émotion. Puis elle s'assit sur le rebord de la
table. Son pied se balançait devant mes yeux. Elle dit d'un
ton coquin :
- Hum, Daniel, le spectacle vous plait-il ?
Je ne pus m'empêcher de répondre :
- Oh oui Madame ! D'une voix altérée par l'excitation.
Elle enchaîna en s'asseyant bien sur la table :
- Je projetais de vous offrir une promotion. Vous faites
du bon travail et je pensais vous récompenser en vous offrant
de l'avancement dans quelques mois...
Je voyais ses mains courir sur sa poitrine et son regard
fixé sur moi. Elle ajouta :
- Peut-être pourriez vous me convaincre de vous récompenser
plus rapidement ?
Je sentis qu'elle prenait un certain plaisir à me voir à
ses pieds et à me montrer combien mon avenir professionnel
dépendait de son bon vouloir. Peut-être même que cette situation
de puissance la faisait mouiller ? Cette pensée renforça
encore mon érection. Mon sexe commençait à être à l'étroit
dans son slip. Je me pris au jeu et répondis :
- Comment puis je vous en convaincre Madame ?
Elle sourit et approchant son pied de mon visage :
- Je suis sûre que vous l'avez deviné.
Puis, d'un ton plus sec :
- Daniel, faites moi jouir !
Je crus que mon coeur allait exploser. Je m'agenouillai
bien en face d'elle puis, d'une main fébrile, je saisis
son pied et commençais à effleurer ses orteils du bout des
lèvres. Je fermai les yeux et l'entendis soupirer, en même
temps qu'un discret frisson parcourait son corps, jusqu'à
l'extrémité de ses pieds. Puis ma langue caressa doucement
chacun de ses orteils avant de glisser entre ces derniers
et la sandalette. Je fis de petits va-et-vient, d'abord
très lents puis plus rapides. Je sentis ses doigts de pied
frotter contre ma langue du temps que des soupirs de plus
en plus marqués s'échappaient de sa poitrine. Quant à moi,
j'étais tellement excité par ma position : lécher la patronne
pour obtenir de l'avancement !
Ma langue glissa doucement vers son talon avant de remonter
lentement. Ses soupirs marquaient le rythme de mes caresses
et allaient crescendo. Patiemment, ma langue explorait de
nouveaux univers de son corps attisé par la douceur de mes
caresses. Au bout de plusieurs minutes, j'arrivai au niveau
de ses cuisses, qu'elle entrouvrit largement. J'approchai
de son slip. Ouvrant les yeux, je le vis. Il était échancré,
jaune clair et déjà bien humide. J'approchai très lentement
et fis le tour plusieurs fois avec ma langue. Je sentis
Amanda se trémousser puis elle leva bien les cuisses vers
moi et me dit d'une voix décidée :
- Retirez le maintenant !
Je le fis sans me faire prier puis le portai à ma bouche
avant de le lécher longuement. Puis je le posai à terre
et retournai entre ses cuisses. Je commençai à titiller
le bout de ses lèvres humides. À chaque coup de langue,
un gémissement se faisait entendre. Je la sentis poser ses
jambes sur mes épaules, ses mains sur ma tête et ses cuisses
serraient mes joues. J'étais son objet de plaisir ! Puis,
profitant d'un effet de surprise, j'entrepris de coller
ma bouche sur sa chatte et de l'aspirer comme une ventouse.
Elle poussa un cri violent. Sa mouille glissa dans ma bouche,
en même temps qu'Amanda donnait de violents coups de bassin
dans ma direction.
Je sentis son clitoris et le fis glisser entre mes lèvres
d'abord, sous ma langue ensuite. Amanda rugissait et son
clito gonflait au fur et à mesure que je le titillais. Ses
talons labouraient le bas de mon dos. J'étais fou d'excitation.
Je tétais son bouton avec ardeur. La cadence s'accélérait
lentement jusqu'au moment où Amanda jouit dans ma bouche.
Elle expulsa sa cyprine avec véhémence en poussant un cri
de plaisir si intense qu'il fit vibrer les murs de la pièce.
Son corps se tétanisa avant de se relâcher. Elle ferma les
yeux et s'affala sur la table. Je me relevai et lui demandai
:
- Alors Madame, êtes-vous satisfaite de mon travail ?
Elle entrouvrit les yeux, me regarda et me sourit :
- Oui, Daniel, je vais vous accorder votre promotion. Vous
l'avez bien méritée !
Elle se releva et me demanda de me remettre au travail,
comme si rien ne s'était passé. Ce que je fis sans discuter.
Puis, à la fin de la journée, elle me raccompagna sur le
pas de la porte. Je repartis encore troublé par ce surprenant
après-midi.
Le soir, je me suis longtemps masturbé en repensant à ce
moment torride puis je dormis d'un sommeil de plomb. Le
lendemain, j'appris que j'étais nommé au poste que ma patronne
m'avait promis et que mon salaire était augmenté de 20%.
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