TITRE : L'après-midi d'Annie
Catégorie : 
Histoire Lesbienne

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Noémie, sculpturale métisse de trente ans, rend visite à sa copine Annie, belle blonde, du même âge qu'elle. Elles se sont connues à la maternité. Ce jour là, Noémie mettait au monde une fille, Léa, et Annie, un petit garçon, prénommé Georges. Ils sont âgés de quinze ans aujourd'hui.

-Bonjour, dit Annie, entrez.

-Bonjour, répond Noémie.

Tout le monde se fait la bise.

-Georges est sous la douche, dit Annie, va dans sa chambre si tu veux, il va pas tarder.

Obéissante, Léa quitte le salon. Une fois seules, Noémie saisit Annie par le cou, et lui donne un baiser torride.

-Oh mon amour, j'avais envie de te voir tu sais, murmure Annie. Tu vas me faire du bien, hein?

-Tu vas voir comme une black peut s'amuser avec une blanche, répond Noémie. Tu vas en redemander.

Noémie glisse une main entre les cuisses de sa copine.

-Mais tu n'as rien sous ta jupette. Et puis tu es toute épilée, polissonne. Allez, à la chambre, et d'être sage et obéissante. Sinon, je te donne une fessée.

-Hum. Comme çà doit être excitant pour une blanche de se faire fessée par une black.

Arrivée dans la chambre, Annie ôte son bustier, dévoilant des sens superbes. Ensuite, elle fait glisser sa jupe à ses pieds.

-Tu te déshabilles pas, ma chérie?, demande Annie.

-Pas tout de suite, répond Noémie. Je veux te dominer avant. Allonge toi sur la moquette.

Annie obéit. Sa copine se met à genoux, commence à parcourir le corps tout offert avec ses mains, caressant les endroits bien précis. Annie est prise de frissons jusqu'au creux de ses reins. Elle est très belle, sa chevelure blonde étalée sur le sol. Ses jambes sont écartées, offrant son intimité aux caresses expertes de son amie. Ses lèvres sont de plus en plus humides.

-Tiens, dit Noémie, c'est quoi que je viens de sortir là?

-Tu es méchante de me faire râler comme çà, gémit Annie. Tu sais bien que c'est mon clitoris. Il est déjà tout excité.

Noémie insère deux doigts dans la fente d'Annie, et commence à la doigter.

-Mais cette chatte est pleine de mouille, dit-elle Elle a envie de se faire branler la salope. Allez remue ton cul, petite pute. Tu te régales, hein? C'est bon!

-Oh oui, c'est bon, vas-y, parle moi mal encore, Enfonce bien tes doigts. Gratte moi le clitoris aussi. Oh mon amour, comme tu sais me rendre heureuse. Que je t'aime.

Les deux femmes aperçoivent Léa et Georges dans l'entrebâillement de la porte. Sans doute attiré par les plaintes d'Annie.

-Mais rentrez mes enfants. Venez assister si vous voulez. Cà te dérange pas Annie?

-Comme tu veux, gémit Annie. Je suis à toi.

Hébétés, les enfants s'approchent de la scène.

-Maman, qu'est-ce-qu'elle te fait avec ses doigts? demande Georges.

-Oh mon chéri, elle me fait du bien tu sais. Regarde comme elle caresse la chatte de ta maman. Comme elle l'a faite mouiller. Et mon bouton, là, tu vois comme elle l'a décalotté. Tu vas entendre comme elle va me faire crier de plaisir.

Annie est totalement soumise.

-Venez toucher les enfants, dit Noémie, vous aussi vous pouvez lui faire du bien. Régalez la.

Après une légère hésitation, Léa s'avance et saisit le clitoris d'Annie qu'elle gratte avec ses ongles. Georges s'avance à son tour, et pénètre la chatte de sa mère avec ses doigts.

-Ha, c'est trop, soupire Annie. Noémie, caresse moi les seins s'il te plait. Embrasse mooii. Oui. ha..ha..je jouis, oui..oui.

Annie a un orgasme terrible. Ses cris résonnent dans la villa. Tout son corps se cambre de plaisir. La cyprine coule sur la moquette. Au bout d'un moment, sa respiration redevient normale.

-Allez les enfants, ordonne Noémie, allez jouer dans la chambre maintenant.

Avec regrets, les gosses quittent la chambre.

-Tu te rends compte que ce sont des enfants qui t'ont faite crier. Vilaine. Ton petit bouton est tout rouge.

-C'est ta faute, répond Annie. Tu sais que tu peux faire de moi ce que tu veux quand tu me met dans cet état.

Noémie se déshabille enfin. Elle est splendide.

-Viens au lit, dit-elle, on va faire l'amour.

Les deux femmes vont s'aimer pendant une heure. C'est en larmes qu'Annie pousse son dernier cri de plaisir.

-On a mérité une bonne douche, ma chérie. Viens, ta chatte doit être toute sale.

En passant devant la chambre des enfants, elles entendent des plaintes. Annie pousse la porte, et se fige devant le spectacle. Georges est tout nu. Léa le tient par les testicules. Il est paralysé.

-Tu dois te soumettre, gronde-t-elle. Comme ta maman, d'accord?

-Oui, répond Georges au bord des larmes.

-Tiens-les, mais ne les serre pas, dit Noémie, ne lui fait pas mal.

-Maman, poursuit Léa, pourquoi il a des petites couilles, et un petit sifflet comparés à cousin Louis?

-Parce que les blancs sont bien moins montés que les noirs, ma chérie.

-Regarde comme elle fait rouler ses noisettes. Comme elle lui a décalotté sa quéquette, fait remarquer Annie. Son bout est tout rouge, comme mon bouton.

-Allez, laissons les s'amuser, conclut Noémie. Je vais m'occuper de toi sous la douche. Je vais te calmer petite vicieuse.

-Hum....., salive Annie.


Frankie

 

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