Isabelle franchit la porte de son immeuble et se dirige
comme d'habitude vers l'ascenseur. Là elle entend les voix
des jeunes du 3ème qui descendent par l'escalier. Hésitante,
elle change d'avis et décide de les croiser. Comme si elle
n'avait pas eu assez de confirmations dans la journée. Elle
veut ressentir cela une fois de plus. Arrivée à leur hauteur
un frisson parcourt son dos comme une petite décharge électrique
et qui vient comme une petite boule se loger au creux de
son bas ventre, chauffer doucement. Deux jeunes hommes et
une belle fille descendent en chahutant :
« - Olala Corinne c'est comme cela que tu devrais t'habiller
dis donc, on les verrait enfin tes jambes. eh regarde un
peu ça Thierry, c'est du beau ça Madame, bravo. C'est votre
mari qui doit pas s'ennuyer »
S'ils savaient.
IsaBelle croise avec un sourire ravi, mais en demi teinte,
comme un aveu inaudible, les 3 compères qui s'écartent à
peine. Elle sent leurs regards la suivre pendant qu'elle
gravit en sautillant sportivement les marches. Cela a pour
effet de faire voleter sa robe rouge et frémir sa poitrine
comme de petits ballottements.
En claquant la porte de son logement, IsaBelle pose les
2 paquets sur la commode d'entrée et se précipite, gaiement,
dans la cuisine. Elle trouve Julien affairé à préparer le
repas et se jette, heureuse, dans ses bras.
« -Non, s'exclame Julien, tu es sortie en ville avec cette
robe enfin!
-Oui mon chéri ! Tu vois je me suis décidée dès en sortant
du travail. Vite fait je suis revenue me changer, ai pris
une douche et suis ressortie. Il faisait une telle chaleur,
continua t elle en pressant son corps contre celui de son
mari, que j'ai eu envie de repousser ma timidité et ma pudeur,
tu ne m'en veux pas j'espère ? lui demande t elle avec un
petit regard en dessous,
-mais non bien sûr t'es sotte ! Depuis le temps que je te
suggère de profiter pendant que t'es jeune et jolie. Tu
sais 30 ans ce n'est déjà plus 20 même si ce n'est pas 40,
-merci canard, hum, tu sais je ne savais plus trop ou me
mettre au début mais finalement on s'y fait, je suis allée
à la bibliothèque et chez le boucher ; ola la le boucher,
celui là c'est un gros porc vicieux qui n'a pas les yeux
dans sa poche. je devais être rouge comme une pivoine,
-normal pour un boucher, gros porc,
-très drôle,
-hum.. il t'a matée alors avance prudemment Julien
-plutôt oui, mais tu me répètes toujours que je n'ai pas
à avoir honte de mon corps alors,
-bien sûr mon amour ! regarde comme t'es faite mais regarde
enfin, je t'assure qu'il y en a de plus jeunes que toi qui
peuvent s'aligner. Disant cela Julien s'écarte de sa douce
en la tenant par la main et la regarde, admiratif, une paire
de seins pleins, souples et moelleux, en poire sur un torse
gracile, une taille fine, des fesses pleines mais surtout
de très belles jambes avec des attaches fines aux genoux,
aux chevilles et des cuisses musclées, mais dis moi t'as
mis une petite culotte quand même ?
-Oh mais bien sûr enfin ! pour qui me prends tu à la fin
? Je ne suis pas une cochonne comme toi gros lourdaud. réplique
t elle en lui frappant le thorax de ses petits poings fermés
mais c'est une culotte que je viens de m'acheter et tu ne
la verras pas puisque c'est comme cela,
-non c'est vrai ? Montre,
-non je te dis, t'attendras na, s'exclame t elle en riant
et s'esquivant des bras qui la retiennent et pourtant sache
que très certainement, y a des jeunes qui ont déjà dû la
voir avant toi ma culotte hum hum, le provoque t elle en
riant franchement de son audace et rejetant d'un geste tout
féminin ses cheveux auburn avant d'ouvrir le frigo pour
y prendre une boisson pétillante.
-hein ? Raconte,
-dans l'escalier tout à l'heure. »
IsaBelle ne reconnaît plus tout à fait son mari. Depuis
le début de l'été leurs relations alors tendues et depuis
plusieurs années, se sont trouvées améliorées. Julien était
un écorché vif, macho abusif, mal dans sa peau, introverti..
Et depuis cette soirée au cinéma, ce film, la petite conversation,
enfin et pleins de sous entendus mais très instructifs pour
IsaBelle, qui suivirent. Julien est devenu doux comme un
agneau. Ainsi Julien ne souhaite pas diriger leurs ébats
mais plutôt laisser l'initiative à sa femme. IsaBelle, fine,
déductive, s'est rendue compte que l'attitude de Julien
va même plus loin. Ses désirs sont plus prononcés en réalité
pour ce qui est de déléguer et depuis elle a retrouvé un
homme qui semble soulagé du devoir d'exercer le rôle du
pignon meneur dans le couple. Ébranlée car pas préparée
à ce rôle qui lui échoit par conséquence, IsaBelle doit
faire vite un choix. Ou bien elle refuse de prendre ce nouveau
paramètre et elle retrouve alors un Julien un tantinet taciturne,
égoïste, trop fier de lui, faussement bravache, ou bien
elle endosse le manteau, le pantalon, les bretelles qui
vont avec et elle garde un Julien adorable comme tout. Amoureux
même. Mais IsaBelle n'est pas préparée, habituée à son rôle
de femme effacée, silencieuse, soumise aussi de par l'éducation
stricte et hautement catholique, elle est née pécheresse
donc, prisonnière de sa prison de femme ordinaire qu'elle
a reçu enfant et donc elle compose doucement, au fur et
à mesure que les évènements se présentent.
Elle trouve donc très cocasse le fait d'avoir montré, elle
en est certaine, sa nouvelle petite culotte bleu ciel, adorable
comme tout, à ces jeunes tout à l'heure et refuser de la
montrer à son Julien. Cocasse mais plus encore. Un sentiment
de liberté totale l'envahit à chaque fois que s'est déjà
produit ce genre de petit événement et ma foi, elle y prend
goût avec un infini plaisir, de ce plaisir si infini qu'il
lui est maintenant impossible de l'écarter de sa mémoire
et plus encore, il lui vient l'envie de le renouveler de
plus en plus souvent. D'autant que Julien semble trouver
dans ces nouveaux rapports, ces nouveaux petits jeux, une
forte excitation. Par contre, certains regards sont tellement
pesants, lourds de sous entendus, comme celui de leur boucher
par exemple, qu' IsaBelle perd pied très vite. Un sentiment
de honte et d'humiliation la rend toute guimauve, lui donne
l'impression de flotter sur un nuage comme quand son père
la punissait au martinet alors qu'elle avait atteint 17
ans déjà.
Enfin soupire t elle, ce soir il sera en pleine forme, il
bandera hum quel plaisir et je dois songer à le garder en
l'état puisqu'il aime ça et en fin de compte j'y gagne «
-si tu es sage, peut être ce soir lui rétorque t elle mutine
en lissant le dessus du nez de son mari avec son index et
levant de l'autre main, au dessus de sa bouche la bouteille
d'eau plate,
-ce soir chérie, tu promets réclame t il d'une voix soudain
devenue sourde et faible, une voix qu' IsaBelle a appris
à reconnaître,
-ce soir peut être mon amour tu sais que ton score est de
6 jours et qu'il y a longtemps que tu ne l'as pas battu
et là tu en es à 5,
- hum fait il doucement et en la regardant par en dessous
»
IsaBelle lui sourit, elle sait parfaitement qu'elle vient
de faire mouche, qu'il bande. hum mm. Ce soir elle se promet
de l'asticoter un peu plus, le faire languir, mais aussi
de profiter de l'état d'excitation de son Julien.
Le repas du soir est vite absorbé. Julien ne réagit pas
au programme TV, alors même qu'il y a un match de foot en
perspective.
« -chéri, fait elle en se plaquant dans son dos et lui mordillant
l'oreille, tu prends la salle de bains en premier comme
cela tu reviens nu dans la chambre,
-heu oui ?
-et alors je me déshabillerais devant toi d'accord ?
-d'accord chérie
IsaBelle frotte sa poitrine dans le dos de son mari, heureuse
de se presser contre lui sans subir tout de suite une investigation
en règle sur sa personne, elle sent au contraire le désir
de Julien monter d'un cran. Et elle aime ça,
-j'aime beaucoup voir ta queue toute rouge et raide mon
amour tu le sais,
-oui chérie
-même si elle n'est pas très grosse, ni trop longue quand
elle tendue comme un ressort et plaquée sur ton gros ventre
qu'elle coule un peu c'est un peu bestial à voir mais c'est
excitant quand même,
Un silence passe. On entendrait une mouche voler,
IsaBelle voit très clairement les mots qui le touchent dorénavant
et elle même ne fait qu'exprimer son ressenti le plus véritable
au fond des expériences qu'elle a eu plus jeune à 20 ans,
elle sait que son cher mari n'a pas été trop doté par la
nature mais elle l'aime comme il est et de plus en plus
même,
-bon bah je monte alors. Julien sent ses jambes flageoler
comme un automate il se dégage lentement de la douce prison
des bras de sa femme et se dirige vers l'escalier. Déjà
5 jours en effet qu'ils jouent à ce jeu et là il n'en peut
plus ce soir, cette robe qu'il lui a offerte depuis maintenant
1 mois, il n'aurait jamais imaginé qu'elle se décide à la
porter en ville et surtout sans sa présence. Jamais sans
toi de toute façon mon amour l'assurait elle, j'aurais trop
peur de me faire violer je n'oserais pas, tu te rends compte
elle très jolie, mais si sexy et puis franchement elle est
courte, vois le décolleté, avec ma poitrine enfin. Scotché
Julien ressasse ces pensées et se déshabille mécaniquement.
Il se regarde dans la glace de la salle de bains et constate
en effet qu'il a pris du ventre. Un joli petit ventre bien
rond mais un petit ventre quand même sa queue, comme un
ergot un peu grand, est comme IsaBelle la décrit : gonflée,
tendue, veinée, en forme arrondie sur toute la longueur,
recourbée vers lui, il regarde ses bourses sait qu'elles
sont pleines. Il se sent complètement dépendant de sa chère
IsaBelle et c'est cela qui le rend plein de désir. Oh oui
ma chérie, use et abuse de moi, rends moi servile et domestiqué,
je n'attends que cela, ton bon vouloir, décide pour moi,
tu es tellement belle et si innocente en même temps. Arriverais
je à te faire comprendre, admettre mes voux. Je ne veux
qu'être à toi, dépendre de ta volonté pour tout ce qu'il
te plaira, en particulier de mes jouissances. Ô oui chérie,
décide toi même de faire cracher ma queue c'est si bon quand
c'est toi qui commande.
« -chéri tu viens. Julien revient à la réalité et s'engouffre
dans la cabine douche, même sous l'eau chaude bien au contraire,
sa queue reste tendue à l'extrême et ballotte de droite
de gauche à chacun de mouvements, toute sa sensibilité tactile,
physique, sa chaleur aussi s'est concentrée dans son bas
ventre, un puissant aphrodisiaque ne lui ferait pas autant
d'effet lui semble t il. Excité à un point tel qu'il sait
très bien qu'il n'a plus sa tête pour décider mais uniquement
sa queue, c'est à dire rien, il rentre nu dans la chambre
s'expose d'un coup à sa bien aimée, et signe par des balancements
comiques de sa verge, à chaque pas qu'il fait pour la rejoindre,
un aveu de sa faiblesse, de son puissant désir de dépendance,
lui Julien ! le macho, le fort en tout ( à l'entendre ),
le fort en gueule aussi, mais le temps a passé.
Elle le regarde venir à elle et un sentiment de joie la
remplie toute, noue son ventre, chauffe sa jolie chatte
brune. Elle sait que les lèvres de son sexe vont grossir,
s'ouvrir, se mouiller, elle sait qu'elle n'aura pas mal
a se mettre d'un coup dans son buisson, cette pine qui ballotte
devant ses yeux, ce qui n'était pas toujours le cas avant
quand son Julien faisait la loi.
Elle est restée avec sa robe sur elle et allongée sur le
lit, a juste repliée un genou assez haut, sa cuisse musclée
et brunie par le soleil s'expose.
« -viens mon amour lui dit elle en le regardant, viens tripoter
ta petite femme comme tu aimes le faire, chéri, viens me
trousser même si tu en as envie, tu peux tout me faire rajoute
t elle plus bas, du moment que tu gardes ton jus, pour l'instant.»
Julien se jette sur le lit et prend possession comme un
affamé du corps de sa IsaBelle. Elles sont partout sur la
robe ses mains, il la trousse jusqu'à la taille en même
temps qu'il veut lui peloter les seins. Elle ne l'aide pas
du tout, ne lui facilite pas les choses. mais se régale
de l'agitation de son mari. Une sorte de viol en toute sécurité
absolument délicieux pendant cette douce lutte elle jette
des regards persistants à la queue de son mari. Comme une
tête chercheuse déprogrammée le gland suit comme il peut
le pauvre, les mouvements désordonnés, cherche désespérément
le sanctuaire des délices. IsaBelle se réjouit de cette
vision qui ne lui était pas permise aux débuts de leur union.
Enfin troussée, dépoitraillée, les mamelons grossis tendus
à force d'être tripotés, IsaBelle s'abandonne au plaisir
que lui procure Julien, avec sa bouche, sans même avoir
ôté sa nouvelle culotte, simplement il l'a écartée, son
ventre tangue, il a du mal à la suivre, elle le sait mais
n'en a cure, au contraire même. Ses bras relevés au dessus
de sa tête elle se contemple se faire lécher au travers
du miroir de la porte centrale de l'armoire, hum c'est bon.
Une jouissance libératrice s'annonce mais elle la veut autrement.
Autrement c'est comme elle l'a décidé surtout, ne pas lui
laisser l'impression qu'il l'a menée au plaisir surtout
pas.
« -attends chéri je vais partir, attends tourne toi à plat
dos mon amour je vais . je vais.. A l'idée de ce qu'elle
s'apprête à vivre, jouir, seule, à l'insu des bonnes pensées
familiales, parentales en toute liberté son corps monte
d'un cran encore en intensité elle se redresse à califourchon
au dessus de sa verge, se soulève, ose la prendre dans ses
doigts et la présenter à sa chatte, seule, sans aide, comme
une grande, hum si on la voyait.
Il grogne comme s'il était contredit dans ses intentions
alors qu'il n'attendait que cela.
-hum mon amour c'est vraiment bon ta queue toute chaude,
raide comme une trique, dure, attends, attends. Savamment,
tout à son plaisir elle accélère sa cadence sans plus se
préoccuper de Julien. Tout au plus le prévient elle. Chéri,
retiens toi hein tu es d'accord.. Après je te promets ce
sera ton tour, demain, hum à ces pensées elle sourit, se
démène plus vite et jouit du corps et de la tête, en s'affalant
sur son torse velu. Elle reste ainsi en sentant les contractions
de son vagin autour de sa queue, sait qu'il lui est très
difficile de se retenir. Doucement au creux de l'oreille
elle l'encourage.
-Humm mon amour c'est dur hein, je le sens bien que tu es
tout près de jouir là mais songe à demain; je m'occuperais
de ton plaisir entièrement. Songe que si tu ne jouis pas
là tu seras encore plein de désir pour moi dans une heure
et toute la nuit aussi. Tu vas tenir, lui demande t elle
un peu anxieuse.
-oui ça devrait aller mon amour,
-si tu veux j'ai le sceau à glace là, tu l'as vu, tu veux
que je te mouille d'eau froide, avec le gant,
-non,
Elle réfléchit et choisit d'un coup, comme une idée qui
la traverse, d'être d'un avis différent.
Lentement d'une main, elle va chercher le gant de toilette
dans le sceau d'eau glacée.
-non chérie ça ra je tiendrais je t'assure,
-je n'en suis pas si sûr mon amour et puis. J'aime bien
te faire dégonfler.
La pine de Julien se rétracte d'un coup quand IsaBelle plaque
sans hésiter le gant glacé au bon endroit.
A suivre.
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