TITRE :  Karima
Catégorie : 
Histoire au bureau

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Je m’appelle Karima, j’ai 22 ans aujourd’hui, je suis d’origine marocaine et je vis à Bruxelles. On dit que j’ai le charme de l’orient avec ma peau mate et mes yeux verts. A l’époque de mon histoire, j’avais 20 ans et je travaillais chez un couple de fleuriste vraiment très gentil, j’avais un très bon salaire par rapport à mon travail, cela s’explique par le fait que se sont des gens très aisés qui tiennent juste cette boutique pour le plaisir des fleurs, d’ailleurs ils ont un fils, Baptiste, qui fait ses études dans une école privée en Angleterre. Mon petit ami à l’époque s’appelait Ibrahim, il s’occupe d’un club de boxe, j’étais très heureuse avec lui, ça faisait deux ans qu’on était ensemble, je lui ai donné ma virginité et mes parents prévoyaient déjà notre mariage.

     Nous étions fin juin, la chaleur de l’été se faisait ressentir et je remarquais une certaine excitation chez mes patrons mais ils m’expliquèrent que Baptiste avait terminé ses études et qu’ils revenaient demain, je l’avais déjà vu en photo, il avait l’air d’un garçon assez commun, un brin intello mais il porte la gentillesse sur son visage. Le jour J pour mes patrons était arrivé, j’ai tenu le magasin pendant qu’ils allaient le chercher à la gare du midi. A leur arrivée, j’étais un peu curieuse et je me dépêchais de servir la cliente. Je vis Baptiste pour la première fois, il est très grand pas loin des 2m, un peu rond(je crois que le sport n’est pas son truc), des lunettes rondes enfin pas vraiment un play-boy, on se dit bonjour poliment et je retournais au boulot.

     Les jours suivant, Baptiste viens travailler avec moi au magasin car il adorait les fleurs comme moi, je suis contente de partager ça avec quelqu'un. Je rigolais bien avec lui car il est très timide et après avoir vécu autant de temps dans son collège, il est assez perdu de retrouver une vie plus sociale. L’après-midi ses parents s’en vont toujours ce qui me permet de mettre mes CD dans le magasin, j’adore Usher et le RnB en général. Par contre Baptiste n’aimait pas fort, il n'osait rien dire, mais bon c’est le fils des patrons alors je lui demandais ce qu’il aimait comme musique, et mieux de mettre un CD. Il me mit un cd, il m’explique que c’était de la lounge music, c’est très calme et feutré, assez électronique. Je n’avais jamais entendu ce genre de truc, après la surprise, je me mit à aimer et maintenant les après-midi on écoutait de la lounge music, je voulais en faire écouter à mon copain mais pour lui il y avait le rap pour les mecs et le RnB pour les filles, ça ma assez déçu mais bon j’avais ma petite séance l’après-midi avec Baptiste.

     Un vendredi soir, Ibrahim était encore avec ses copains, ça m’ennuie de passer mes soirées toute seule. Je décidai d’appeler Baptiste pour lui demander d’aller au cinéma, il me demanda si ça ne gênait pas mon copain, mais je lui dis que ce n’était pas important et il dit oui. Je me surprenais à me maquiller et m’habiller un peu sexy, et puis zut, je suis grande c’est mon droit. Je pensais qu’on irais voir un film normal au kinépolis mais il me dit qu’il allais me montrer le vrai cinéma d’auteur. Je lui que moi les films fait par un croate exilé en Autriche ce n’est pas mon truc mais bon je lui fait confiance et je ne fut pas déçue car le film fut captivant et émouvant. Pendant le film, j’étais bien et je posais ma main sur la sienne et je la caressais doucement. Après le film, il m’invita à manger des fruits de mer au sablon, je connais peu ce genre de choses alors j’accepte, ce fut très bon et le vin blanc m’enivra assez vite car je n’ai pas l’habitude de l’alcool. Il me ramena devant mon appartement et quand il voulut me dire au revoir, je l’ai embrassé, il mit du temps avant d’ouvrir les lèvres mais notre baiser fut vite très passionné, il était tout rouge. Il est remonté dans sa voiture et il est partit. Je ne me reconnaissais pas mais bon, je ressentais quelque chose de différent et j’avais oublié Ibrahim, je préférais le côté pur et innocent de Baptiste, sa culture et sa façon d’être m’attirait.

     Le lendemain, au magasin, quand il descendit me dire bonjour je voulus l’embrasser comme hier soir mais il me donna sa joue. Je lui ai demandé pourquoi. Il m’a dit que ce baiser étais du à l’alcool et qu’il fallait oublier car j’avais un copain. Je lui ai répondu

     - Baptiste l’alcool ma poussé à faire ce que j’hésitais à faire depuis longtemps, tu me plais, tu es un garçon très bien et j’aimerais vraiment être ta petite amie !

     « Mais tu as un petit ami qui est musclé et fort, regarde-moi, je ne suis pas musclé et puis tu l’aime »

     « Non, c’est fini, c’est toi que j’aime, ton côté nounours me fait craquer, j’ai peur de quitter Ibrahim car il peut être assez violent, mais comme on se voit au magasin, on peut vivre notre relation pleinement »

     On s’est embrassé très fort jusqu'à ce qu’un client toussote un peu pour nous ramener à la réalité. On s’aimait beaucoup et dés qu’on était seul, on s’embrassait, j’étais heureuse mais assez perturbée par rapport à Ibrahim, j’avais chaque fois un prétexte pour qu’on ne couche plus ensemble et nos baisers étaient très rapide et vide de sentiments.
     Ce samedi soir, j’ai invité Baptiste à venir dîner chez moi, j’avais l’intention à ce que l’on couche ensemble ce soir. Ibrahim était à Liège pour une rencontre de boxe, il en avait pour la nuit. On a beaucoup rigolé, et je lui ai fait découvrir les spécialités du Maroc, on se souriait tout le temps, j’étais la plus heureuse des filles. J’avais mit ce soir là, un chemisier blanc sans soutien-gorge, une minijupe et un string blanc. Après le repas, on s’est assis sur le canapé et on a commencé à flirté. Il est vraiment très très doux mais je ne le sentais pas entreprenant et quand je posais ma main sur sa braguette il était tétanisé. Je lui ai demandé ce qu’il avait et il m’a répondu qu’il était puceau. Ma réponse fut un tendre baiser et d’un « je t’aime » à son oreille.

     « On va commencer par le commencement », je lui prit ses mains et je les ai misent sur ma poitrine. Il me palpait doucement, il avait une façon fragile et tendre de me caresser que je n’avais jamais connu avec mon copain. Il a commencé à ouvrir mon chemisier bouton par bouton tout en m’embrassant le cou. Une fois mon chemisier tomber c’est du bout de la langue qu’il commença à titiller mes tétons, j’avais des frissons sur tout le corps.

     Mais tout d’un coup la porte de l’appart s’ouvrit et je vit Ibrahim. Il était vert de rage. En pleurant je lui dis qu’entre nous ça marchait plus et que j’aimais Baptiste. Il me dit que c’était impossible, que je lui appartenais et que je ne pouvais pas sortir avec un belge. Je lui ai répondu que je faisais ce que je voulais. Il leva la main mais Baptiste se mit devant moi et prit le coup à ma place. Il l’avait blessé à l’arcade et il saignait. Je prit Baptiste part le bras et nous sommes partis en courant, on récupéra sa voiture devant et je me rendis compte que j’étais toujours seins nus. Heureusement il avait une veste dans sa voiture et il me la donna.

     Nous sommes rentrés chez lui et nous avons tout expliquer à ses parents. Son papa me promit que nous passerions demain pour récupérer mes affaires et que je pourrais vivre chez eux. Je les remerciais beaucoup et Baptiste et moi sommes montés dans sa chambre. Quand il fut couché, je le soignais et lui fit un beau pansement, je le remerciais mille fois au moins. Et il me répondit qu’il m’aimait et que c’était normal. Il dit aussi que j’étais jolie dans sa veste qui était bien trop grande pour moi. Nous avons passé notre première nuit ensemble mais sans aucun rapport sexuel, juste enlacé tous les deux, ma main caressant son ventre tout rond et lui une sur mes fesses.

     Le lendemain, nous sommes allés récupérer mes affaires, Ibrahim a juste dit des insultes sur moi et Baptiste. Je ne ressentais que du dégoût pour lui et je regrettais d’avoir donner ma virginité à ce garçon, Baptiste la méritait lui.

     Notre passion a reprit et je l'ai dépucelé mon bébé. Je lui ai montré que les arabes étaient les plus douée pour les pipes et souvent quand on avait du temps dans l’arrière boutique il avait droit à sa petite gâterie, j’aime bien aussi de mettre un glaçon dans ma bouche et de le sucer avec, ça lui fait beaucoup d’effet. En plus, je le regarde avec mes grands yeux de coquines quand je le suce.

     Lui de son côté savait très bien utiliser sa langue, un vrai feu d’artifice quand sa langue rencontre mon clitoris, je mouille abondamment, ce qui énervait souvent Ibrahim, mais lui il adore ça. Et puis l’acte en lui-même était un vrai plaisir, notre imagination étais sans limite à ce niveau mais toujours dans un respect mutuel, par exemple je déteste la sodomie mais mon ex me forçais et souvent je perdais mon excitation avec ça, Baptiste ne ma jamais demandé ce genre de chose.

     C’est aussi un grand romantique car pour notre première année ensemble, il a couvert le lit de pétales de roses, ce fut très excitant de faire l’amour comme ça.

     Cet été, Baptiste et moi allons nous marier (une cérémonie laïque) mais je ferai ça sans mes parents hélas qui ne supporte pas que je me marie avec un belge mais je m’en fous car je l'aime, je suis la plus heureuse des femmes et je n’attends qu’un chose c’est de lui donner le bébé qu’il a envie d’avoir.

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