Julie et Ousmane se sont rencontrés un peu par hasard. À 21 ans cette
belle jeune fille venait de terminer ses études et travaillait depuis peu
dans un centre de loisirs pour enfants. Maintenant salariée, elle conquit
donc son indépendance et voulut troquer sa chambre d'étudiante contre un
appartement plus grand.
Malgré un physique avenant, Julie n'avait pas de relation suivie. Son
mètre soixante-quinze, ses longs cheveux bruns, ses yeux gris-verts très
clairs et sa silhouette fine étaient pourtant des atouts plus que
convaincants. Seulement, Julie était une jeune fille sage qui a toujours
privilégié ses études à la gaudriole.
Ainsi, c'est son père qui fut chargé de l'aider à déménager dans son
nouveau nid douillet. Pour l'aider, il loua une camionnette. Julie et son
père avaient des rapports plutôt tendus. C'était un homme autoritaire et
aux idées très conservatrices. Il exerçait sur elle une pression terrible
et ne lui laissait pas beaucoup de libertés.
Ils se rendirent dans une société artisanale installée en ville qui
produisait ce genre de services pour pas trop cher. La société était tenue
par Ousmane et Daouda son cousin. Ces deux-là étaient arrivés de
Mauritanie il y a quelques années et avaient crée cette société. Le petit
succès de leur boîte les rendait très fiers.
Lorsque Julie et son père se présentèrent à eux, ils n'eurent d'yeux,
que pour Julie. Ils avaient l'habitude de côtoyer uniquement des types à
gros bras, cela changeait du quotidien. Ils la dévisageaient de haut en
bas de manière assez peu discrète, à tel point que même le père de Julie
en fût gêné. Il n'osa rien dire. Il faut dire qu'il n'était pas
enchanté de se trouver là. Le père de Julie était expert dans le racisme
de comptoir, la perspective de faire affaire avec des blacks ne lui
plaisait guère. Il était à la fois choqué de les voir tourner autour de
sa fille en l'ignorant complètement et à la fois intimidé par leur
présence et la force brutale qu'ils dégageaient.
La transaction se fit. Julie et son père quittèrent les lieux et
effectuèrent le déménagement dans la journée. Cette rencontre avait
émoustillé Julie. Elle avait éveillée en elle le fantasme qu'éprouvent
les femmes blanches à l'égard des hommes noirs. Julie était au courant
des légendes qui courraient à ce sujet, notamment sur la taille de leur
sexe. Elle connaissait même des filles qui étaient sorties avec des
blacks. Aucune d'entre elles n'avait été déçue. Ousmane l'avait séduite.
Ce beau mec aux épaules larges, musclé de partout, sa voix forte et grave,
sa peau d'ébène et son regard noir perçant qui en disait long sur ce
qu'il aurait fait d'elle s'il l'avait croisée dans une ruelle sombre.
C'est comme s'il l'avait vue toute nue. Cela l'excita comme jamais et
elle commença à avoir des pensées inavouables. Elle fut, de surcroit,
heureuse de constater que cette rencontre avait rendu son père d'un coup
tout doux et moins prétentieux qu'à l'habitude. Il n'était pas si fier que
cela face à ces deux colosses.
Elle y pensa encore tout au long de la journée. Elle savait que la
réciproque était vraie à la façon dont Ousmane l'avait regardée. Bien
qu'occupée à ranger ses cartons, elle ressassa les avantages musculaires
du beau black toute la journée. Quand le travail fut terminé, le père de Julie voulut ramener la
camionnette.
- Je ramène le bahut chez les négros, dit-il élégamment.
- Non ! sursauta alors Julie. Je t'accompagne.
Elle ne voulait pour rien au monde rater l'occasion de revoir Ousmane.
Papa accepta à contre coeur. Lui préférait éviter justement qu'ils se
revoient. Le regard lubrique des deux hommes sur sa fille l'avait
passablement incommodé.
Ousmane et Daouda furent ravis de revoir Julie. Eux aussi avaient été
émerveillés par sa beauté et eux aussi avaient passé leur journée à
commenter cette rencontre dans des termes plutôt crus. N'étant pas hommes
à laisser passer des occasions, ils décidèrent de la draguer ouvertement
avec ou sans papa. Julie était aux anges. Cela l'excitait encore plus.
Ces deux athlètes après elle, deux hommes, deux vrais qui ne craignent rien
ni personne. Le malheureux papa avait été éjecté de toute conversation et
se trouvait à l'écart, estomaqué par l'assurance et le sans-gêne des deux
mecs.
- Ne t'inquiète pas papa, dit alors Julie, je vais m'occuper de régler
notre affaire avec ces messieurs et toi, va faire la course en ville dont
tu m'as parlé tout à l'heure. On se retrouve ici dans une heure.
Puis sans attendre sa réponse, elle se dirigea vers le bureau escorté par
ses deux soupirants. Ousmane lui prit alors la main tandis que Daouda lui
mettait déjà la sienne aux fesses. Le père n'eut pas le choix de dire quoi
que ce soit ni le temps de réagir. Il considéra que Julie était une grande
fille, qu'il fallait lui faire confiance et que finalement ces petits
flirts étaient de son âge. Il s'en alla donc sans crainte. Et puis il est
impensable que Julie aille plus loin avec des hommes noirs. S'il avait su...
Dans le bureau, autant dire que les formalités commerciales furent vite
expédiées. Ousmane s'empressa d'offrir un rafraîchissement à sa belle
tout en la complimentant sur sa tenue. Flattée, Julie le remercia en
rougissant. La conversation évolua vers un ardent rapport de séduction,
notamment sous l'influence de Daouda. Beaucoup plus lourd que son
comparse, celui-ci abusait d'allusions coquines et n'hésitait pas à la
questionner sur ses fréquentations masculines.
- Prenez un verre mademoiselle, j'ai aussi des bonbons et des sucettes.
On les garde d'habitude pour les enfants mais avec la bouche que vous
avez...
Ousmane tenta bien de modérer les propos de son cousin mais sans être
réellement convainquant. Il n'en pensait pas moins. Il voulait surtout
éviter de choquer sa conquête et ainsi la faire fuir précipitamment. Julie,
elle, exaltait devant tant d'attentions. Loin de la choquer, les propos de
Daouda l'avaient sérieusement agitée. Elle saisi une sucette et la
dégusta devant ces deux messieurs pétrifiés.
- À me regarder comme ça, je parie que vous aimeriez bien être à la place
de la sucette, n'est-ce pas ? provoqua-t-elle.
Les deux gars éclatèrent de rire. C'était un rire nerveux qui traduisait leur étonnement et leur joie
de la voir les inciter comme cela. Les deux hommes restaient calmes. Daouda sur une chaise du fond de la
pièce en observateur et Ousmane qui trônait derrière le bureau s'amusant à
faire pivoter son fauteuil en cuir. C'est alors que Julie se leva. Elle
fit le tour du bureau pour aller s'assoir pile devant Ousmane. Jambes
croisées et légèrement penchée en avant, son décolleté à quelques
centimètres du visage de son interlocuteur. Elle posa sa main sur l'entre-jambes d'Ousmane comme pour lui signifier
que ses avances n'étaient pas du bluff.
- T'es une vraie salope toi, lâcha alors Ousmane. Très bien, je vais te
montrer ce dont je suis capable, tu vas adorer.
Ousmane défit son pantalon. Julie s'agenouilla à coté, elle fut totalement
émerveillée lorsqu'il baissa son caleçon.
- Ouahh !! dit-elle, elle est vraiment très grosse ! Ça donne envie de la
manger tout se suite.
- Ne te gène pas, prends ce que tu veux. Elle adore qu'on prenne soin
d'elle.
Julie enfourna le pieu déjà bien dur qui se présentait à elle. Ses copines
ne lui avaient pas menti sur la taille du pénis des noirs. Cela n'avait
rien à voir avec l'expérience qu'elle en avait eu avec un copain de lycée
il y a quelques années. Le garçon était fébrile et inexpérimenté. Alors
que là, Ousmane lui attrapa la tête et la serra fortement entre ses mains.
Julie n'était pas au bout de ses surprises : à genoux aux pieds d'Ousmane
elle tétait avec délectation cette énorme queue qui lui remplissait
complètement la bouche. Ousmane se mit à bander encore plus sous les
coups de langue de Julie, à tel point qu'elle faillit s'étouffer. Elle dut se
retirer pour reprendre sa respiration et se remit à l'ouvrage, ne suçant
plus que l'extrémité du gland. Cette technique bien qu'improvisée sur le
moment, eu un effet immédiat sur Ousmane. Il perdit tout contrôle, le
plaisir le submergea.
- Ahhhh !!! hurla-t-il au moment ou son épaisse purée gicla.
Julie recracha tout sur le sol. Elle avait été surprise par la quantité de
sperme expulsé, là encore plus importante que ce qu'elle connaissait.
- C'est malin ! T'en as foutu partout ! pesta Ousmane. Julie, désolée, s'en
excusa.
- C'est pas grave mais nettoie au moins mon outil.
Julie obéit et lécha consciencieusement le pénis maculé d'Ousmane, prenant
bien soin d'avaler jusqu'à la moindre goutte. Même revenu au repos,
l'engin d'Ousmane avait une taille impressionnante. Il aida Julie à se
relever puis se tourna vers Daouda :
- Maintenant tu peux prendre ta part, lui dit-il.
Daouda s'était tenu tranquille mais n'avait rien raté de la scène. Il
s'était entièrement déshabillé et tenait son manche, lui aussi d'une
taille plus que respectable, dans la main. Julie fit le tour du bureau pour s'approcher de lui.
- Vous êtes vraiment montés comme des chevaux, dit-elle à Daouda en le
découvrant mieux.
Cette dernière phrase le fit littéralement exploser. Il se jeta sur elle
comme un fauve sur sa proie et arracha ses vêtements avec une violence
inouïe. Rien n'y résista, sweet, soutien-gorge. Elle se retrouva nue en
un instant. Elle profita d'un moment où Daouda reprit sa respiration pour
retirer son jean. Vu la force physique de Daouda, elle était convaincue
que son pantalon aurait aussi fini en lambeaux.
- Je ne pourrai pas tout avaler, dit-elle alors.
Daouda lui fit comprendre qu'il attendait autre chose. D'un geste de la
main, il lui fit signe d'écarter les jambes. Assise sur le coin du bureau, elle
s'exécuta. Daouda fit alors glisser son engin autour de la chatte bien
humide de Julie, histoire de se lubrifier un peu. Ces instants d'attente
excitèrent encore plus Julie. Puis, alors qu'elle ne l'attendait plus, il
enfonça son poteau. D'abord doucement puis de plus en plus loin jusqu'à
ce que Julie se manifeste par un hurlement de douleur. Ses mouvements de
va-et-vient s'amplifièrent. Sa queue n'était enfouie qu'à la moitié de
la hampe qu'elle se cambrait déjà et se mordillait les lèvres. Daouda
stabilisa sa position en attrapant l'autre côté du bureau des deux mains.
Totalement prisonnière et soumise, Julie s'abandonna complètement :
- OHHHH !!! OUI ! Encore ! C'est si bon !! Enfonce encore !
Elle explosa littéralement de plaisir. Douada accéléra progressivement son mouvement de bassin.
- T'aimes ça, salope ! hurla-t-il.
Il poursuivit le pilonnage de plus en plus agressif et sauvage. Julie
poussait des cris sans équivoque sur le bonheur qu'elle éprouvait. Jamais
elle n'avait ressentie pareille sensation. Cette vigoureuse pénétration
et le fait d'être prise comme une chienne par cet homme si puissant la
conduisirent à l'orgasme. Daouda fit durer le plaisir plusieurs minutes.
Un véritable maître dans son art. C'était comme un raz-de-marée. Son vagin
s'était dilaté à l'extrême. Daouda respirait fort et lui assénait des
insultes à l'oreille de plus en plus fort au fur et à mesure qu'il
jouissait. C'était sa façon de faire. C'est après de longues minutes
d'extase qu'il déchargea son épaisse semence tout au fond du ventre de la
belle. Elle se crut remplie comme après un repas de Noël. Ousmane n'avait rien raté de la scène.
- Je ne t'avais pas dit que les blanches étaient bonnes ? dit
triomphalement Daouda.
- En plus elles adorent se faire sauter par des gars comme nous, elles
sont faites pour ça !
- Ce n'est pas un blanc qui t'aurais fait grimper aux rideaux comme ça,
hein ? lança-t-il à Julie qui, écroulée sur le sol, se remettait doucement.
Ousmane aurait voulu aller plus loin avec Julie. Mais le père de celle-ci
revint à ce moment là et les interrompit. Daouda prit la poudre d'escampette sans demander son reste. Il avait
obtenu ce qu'il voulait. Croisant le père de Julie dans le couloir, il lui
jeta juste :
- Papa peut être fier de sa petite fille !
Bien sur le papa ne comprit pas tout de suite. C'est lorsqu'il vit Julie
recouverte d'un plaid qu'il saisit un peu mieux. Elle s'expliqua en disant que du café avait été renversé et qu'elle avait dû retirer ses vêtements, enfin elle fit ce qu'elle put. Mais le père de
Julie n'était pas dupe et elle ne pouvait nier l'évidence. Pourtant il
suffit qu'Ousmane fasse les gros yeux pour que son père encaisse sans rien
dire. Il raccompagna sa fille, bouillonnant de l'intérieur, humilié et
furieux que Julie soit souillée ainsi.
Julie marchait avec difficulté et essayait de cacher qu'elle dégoulinait
de l'entre-jambes. Loin d'être honteuse, elle était au contraire très
heureuse. Contente d'avoir rebattu le caquet de son père et surtout
contente d'avoir été traitée en femme. Avant de partir, elle jeta un
dernier regard à Ousmane qui signifiait clairement qu'elle regrettait
d'avoir été interrompue et qu'elle n'en resterait pas là. Ils étaient
amenés à se revoir.
Alexthegreat
|