Jules est un homme marié, père de trois enfants. De taille
moyenne 1m 75, 45 ans, il fait régulièrement du sport, ce
qui lui permet de paraître moins que son âge. Il mène une
vie tranquille avec sa femme et ses enfants qu'il aime profondément.
Jules a une passion : le sexe.
La beauté d'un corps de femme, sa sensualité, son parfum,
c'est pour lui le plus beau cadeau de la vie. Mais ce n'est
pourtant pas un coureur ; en effet, même si parfois les
plaisirs que lui donne sa femme ne sont pas à la hauteur
de ce qu'il souhaiterait, il ne court pas pour autant après
les autres femmes. Non, il ne fait que les regarder, les
admirer à leur insu.
Un jour pourtant, il se passa quelque chose qui devait
tout changer. Jules a une autre passion. Il aime l'informatique
et sa passion est de concevoir un ordinateur ou de le réparer.
Il est devenu assez calé et a maintenant une bonne réputation
dans ce domaine.
Un samedi matin, alors qu'il était sur son ordinateur
à naviguer sur Internet à la recherche de nouveaux pilotes
d'une carte graphique pour un micro qu'il était en train
d'upgrader, comme on dit dans ce langage, le téléphone sonna.
- Allô ! dit-il
- Jules ! C'est Nadine, je te dérange pas ?
- Non, non, ça va toi ?
- Oui, et toi ?
- Pas mal, qu'est ce qui t'arrive ?
- Eh bien, mon micro ne veut plus rien savoir, je voulais
préparer mes cours pour lundi et je l'ai mis en route mais,
rien ! il ne démarre pas.
- Tu veux dire... comme s'il n'y avait plus de courant
?
- Oui, c'est ça ! C'est grave, docteur ?
- Eh bien, je pense que cela doit être l'alimentation électrique.
Je dois avoir un bloc d'alim' ici, si tu veux je peux essayer
de le remplacer.
- Ce serait génial, car je suis dans l'embarras pour mes
cours de lundi !
- Ok, je peux venir quand ? Cet après-midi, ça te va ?
- Oui, pas de problème, je t'attends
Nadine est une femme de 40 ans, 1m65, cheveux châtains
coupés courts. Mariée, maman de deux enfants, elle connaît
Jules depuis qu'elle a eu un de ses enfants dans sa classe.
Car, comme vous l'avez deviné, elle est professeur. Ils
habitent dans la même petite ville. Un jour qu'elle avait
des problèmes informatiques, Jules l'avait dépannée et depuis
ils avaient sympathisé. Et c'est donc naturellement lui
qu'elle appelle quand elle se trouve empêtrée dans ses problèmes
informatiques.
Il était 14 h quand Jules sonna à sa porte. C'était un
après-midi de printemps et il faisait beau et chaud pour
cette période de l'année. Elle lui ouvrit, le sourire aux
lèvres. Ils se firent la bise. Même si ce n'était pas un
canon, comme on dit, il se dégageait d'elle une certaine
chaleur. Elle était habillée d'un débardeur jaune à bretelles
sans soutien-gorge, comme il avait pu s'en rendre compte
au premier coup d'œil, et d'une jupe droite en toile
orange. Il la détaillait de la tête aux pieds en la suivant,
comme à son habitude quand il regarde les autres femmes
à la dérobée.
- Tu sais où cela se trouve ?
- Oui, pas de prob'.
- Tu veux quelque chose à boire ?
- Un café, si tu en as.
- Je te prépare ça et je te l'apporte.
Jules gagna le bureau où était installé le micro. Après
avoir constaté la panne, il commença à démonter l'engin
et changea le bloc d'alimentation. Il était en train de
relancer la machine quand elle arriva avec un plateau et
les cafés.
- Alors ?
- Eh bien, je crois que ça marche !
- Super ! Tu me sauves la vie. Avec le boulot que j'ai,
je ne sais pas ce que j'aurais fait sans toi.
- Ce n'est rien. Du moment que ça peut te rendre service.
Elle lui tendit sa tasse et ils burent leur café ensemble.
Elle était souriante et plutôt jolie dans ses vêtements.
Sa petite poitrine flottait sous son débardeur un peu lâche.
Ses hanches étaient bien serrées dans sa jupe droite.
- Tu as le temps ?
- Euh... oui, pourquoi ?
- Tu peux me montrer deux ou trois trucs que je n'arrive
pas à faire ?
- Oui, bien sûr !
Elle s'assit devant l'écran et lui expliqua son problème.
Il se mit à côté d'elle et regarda ce qu'elle faisait. Comprenant
son erreur, il lui expliqua ce qu'elle devait faire pour
arriver à ses fins. Tout en lui expliquant, Jules posa la
main sur son épaule nue sans qu'il s'en aperçoive et sans
aucune arrière-pensée. Du reste, elle non plus ne se rendit
compte de rien, tant ce geste parut naturel. Il fallut un
mouvement de Nadine pour que Jules prenne conscience de
la chaleur de sa peau. Elle se pencha un peu pour s'approcher
de l'écran, ce qui eut pour effet de faire baîller son haut
et de faire apparaître ses seins aux yeux de Jules toujours
à ses côtés.
Cela le troubla. Il ne pouvait détacher son regard de ses
seins. D'un geste fou, il fit glisser sa main de son épaule,
le long de la bretelle de son débardeur, vers son sein gauche.
Elle sursauta. Sa tête se tourna vers lui et son regard
plongea dans le sien. Etait-elle fâchée ? Il ne savait pas,
mais elle ne fit rien pour empêcher cette progression. Elle
reprit ce qu'elle était en train de faire, tandis que lui
reprenait ses explications. Sa main atteignit pourtant enfin
le sein convoité. Il le saisit et le caressa doucement.
Il était doux. Tout en continuant ses explications, il se
plaça derrière elle cette fois, et fit glisser son autre
main vers le deuxième sein. Elle sursauta à nouveau. Il
caressa ses seins pendant quelques minutes, en étirant ses
tétons afin de les faire durcir. Cette fois, Nadine s'enfonça
sur sa chaise, la tête en arrière et ses mains vinrent caresser
les bras de Jules. Il se pencha et l'embrassa sur la bouche
qui s'entrouvrit de suite, comme si elle attendait cet instant
depuis longtemps. Il aurait voulu que cet instant dure éternellement.
N'y tenant plus, Nadine se leva, vint se pendre à son cou
et reprit son baiser passionné. Sa langue fouillait sa bouche
comme si sa vie en dépendait. Pendant ce temps, Jules avait
glissé ses mains sous le débardeur et caressait son dos,
ses seins, s'enivrant de son parfum. Il s'attaqua enfin
à sa jupe. Il trouva la fermeture qu'il fit glisser et tira
sur la jupe qui tomba aux pieds de Nadine. Elle se retrouva
en string blanc, offert à ses yeux, et entreprit de faire
la même chose aux vêtements de Jules, qui très vite se retrouva
dans le même état qu'elle.
Ils se laissèrent tomber sur le sol et il commença à l'embrasser
sur tout le corps, doucement, en faisant durer le plaisir.
Une fois que sa bouche atteignit le string, il l'embrassa
sur le mont de Vénus, prodiguant une onde de chaleur dans
tout le bas-ventre de Nadine. Enfin, il prit la toile de
tissu à deux mains et la tira sur ses jambes. Devant lui
apparut enfin son sexe. Un sexe épilé, lisse, comme il les
aimait. Il se croyait en plein rêve. Jamais il n'aurait
cru cela possible. Mais l'appel de leurs sens était le plus
fort. Il posa enfin la bouche sur ses lèvres humides. Elle
poussa un soupir, pendant que la langue de Jules parcourait
ses lèvres intimes à la recherche de son clitoris. Nadine
commença à onduler du bassin, tellement cette langue lui
faisait du bien. Elle lâcha un cri lorsqu'elle sentit les
doigts de Jules caresser ses lèvres et la raie de ses fesses.
Elle fit remonter ses jambes pour ouvrir son intimité à
cette bouche et ces doigts qui cherchaient à conquérir son
corps. Un doigt, puis deux, s'enfoncèrent dans son intimité
tandis que cette bouche la suçait, lui prodiguant une montée
de chaleur qui enflammait son ventre. Soudain, sans qu'elle
sache comment, un doigt vint se placer sur son anus. Certainement
un des doigts qui fouillait sa chatte trempée. Il appuya
doucement sur sa rondelle qui céda, tellement il était rempli
de mouille. Il poussa jusqu'à ce que le doigt arrive en
butée et ne puisse plus avancer. Il imprima un mouvement
de va-et-vient dans cet anneau serré, tout en s'appliquant
à lécher sa chatte et titiller son clitoris.
Nadine devenait folle. La flamme dans son ventre devenait
de plus en plus insoutenable. Le doigt qui la fouillait,
cette langue qui la léchait, commençaient à lui prodiguer
une jouissance qu'elle ne pouvait plus réprimer. Jamais
un doigt, ou autre chose d'ailleurs, n'avait envahi son
anus de la sorte. Elle ne pensait pas que cela puisse lui
provoquer autant de bien, même si la langue qui l'agaçait
en même temps pouvait y être pour quelque chose aussi. Soudain,
elle lâcha une plainte, synonyme de sa jouissance. Un cri,
puis un autre, son corps se tendit et se relâcha brusquement.
Elle était en sueur, ne sachant pas ce qui venait de lui
arriver. Pourtant elle reprit vite ses esprits. Elle se
redressa, repoussa Jules, l'obligeant à se coucher sur le
sol, lui arracha son slip et se saisit de son membre. Elle
commença à le branler tout en le regardant dans les yeux,
un sourire malicieux aux lèvres. Elle se pencha et passa
sa langue autour de son gland et le long de la hampe. Et
puis soudain, elle l'enfonça une première fois jusqu'au
fond de sa gorge. Elle reprit ce traitement une nouvelle
fois, mais plus profondément. Tellement profondément qu'elle
eut un haut-le-corps. Mais cela ne l'arrêta pas. Elle continua
encore et encore.
Jules n'en pouvait plus. Cette bouche qui l'avalait, cette
tête qui allait et venait sur son sexe le mettait dans un
état d'excitation inimaginable. Il se retenait, ne voulant
pas, ou n'osant pas se lâcher. Que lui arrivait-il ? Pourtant
rien ne pouvait laisser prévoir ce qui était en train de
se passer. Il ne l'avait pas voulu, et pourtant....
Soudain il sentit son sexe se tendre : une onde de plaisir
vint le frapper de plein fouet. Nadine le sentit. Elle enfonça
le sexe au fond de sa gorge et Jules se répandit à l'intérieur
en se tendant de tout son corps. Elle avala, sans le lâcher,
tout ce qu'il déversait en elle. Dès qu'il eut fini, elle
reprit son va-et-vient avec sa bouche afin d'en aspirer
les dernières gouttes. Quand elle fut satisfaite de son
traitement, elle lâcha enfin le sexe de son amant et vint
se placer près de lui. Elle le regarda dans les yeux, embrassa
ses lèvres qui s'ouvrirent et sa langue en profita pour
s'enrouler autour de la sienne. Jules goûta son sperme qui
enrobait la langue de Nadine. C'était la première fois,
mais il n'était pas écoeuré, au contraire. Ils s'embrassèrent
longuement, profitant de cet instant.
Le sexe de Jules reprit forme, il sentait son désir revenir,
intact et aussi puissant que précédemment. Il la bascula
sur le dos, se positionna sur elle et la pénétra d'un seul
coup. Sa chatte trempée facilita la pénétration. Elle sentit
son membre l'envahir pour la première fois. Elle lui facilita
la tâche en remontant ses jambes le long de son corps pour
sentir le sexe le plus loin possible dans son vagin. Il
imprima un mouvement de va-et-vient, doucement d'abord,
puis de plus en plus vite, jusqu'à ce la respiration de
Nadine se fasse plus bruyante.
Elle jouit. Le plaisir la surprit, inattendu, puissant.
Elle cria son plaisir sans qu'elle s'en rende compte. Il
se retira et la regarda. Elle gisait sur le dos, en sueur,
les yeux fermés, reprenant peu à peu son souffle.
Jules n'avait pas joui, il était toujours aussi excité
et la voir ainsi ne faisait que lui donner encore envie.
Il lui prit les hanches pour lui faire comprendre ses intentions.
Comprenant qu'il n'en avait pas encore fini avec elle, Nadine
se mit à quatre pattes. Ce n'était pas une position qu'elle
appréciait, par préjugé sans doute. Mais là, c'était différent.
Ce n'était pas elle qui réagissait, mais son corps. Il en
voulait plus. Elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait.
Jules se plaça derrière elle. Elle posa son buste sur le
sol, la tête retournée sur le côté afin de faire cambrer
sa croupe. La main sur son sexe, Jules le guida jusqu'à
la chatte de Nadine. Il s'enfonça en elle en poussant doucement,
afin d'en apprécier les contours. Nadine feulait comme un
petit animal, tellement cette pénétration était bonne. Il
imprima un mouvement de va-et-vient en fermant les yeux,
se concentrant sur cette croupe tellement appétissante.
Il prit la cadence et regarda son sexe entrer et sortir
de ce fourreau, ses mains cramponnées aux hanches de Nadine.
Ses doigts vinrent caresser la raie culière, allant du fourreau
pénétré par son sexe à la rondelle qui le regardait. Son
index, enduit de la mouille de Nadine, commença à caresser
l'anus plus franchement, jusqu'à le pénétrer. Il faisait
aller et venir son doigt plus fermement, dilatant la rondelle.
Bientôt un deuxième doigt vint rejoindre le premier.
Nadine, pénétrée à la fois par la queue dans sa chatte
et les doigts dans son anus, ne savait où donner de la tête.
Elle ne voulait pas de cette pénétration anale, car jamais
elle n'avait été pénétrée par là. Avoir un doigt dedans
et succomber à un orgasme n'est pas la même chose qu'être
pénétrée par la chatte et avoir deux doigts qui vous fouillent
le cul. Elle avait beau essayer de trouver la force pour
se dégager, rien n'y faisait. Au contraire, elle donnait
des coups de reins pour aller chercher le plaisir qu'elle
sentait monter en elle. Elle remuait du bassin, son anus
se dilatait, cherchant les doigts qui lui donnaient cette
chaleur dans le bas du dos. Soudain elle se sentit vidée.
Jules venait de retirer son sexe et ses doigts. Elle ne
comprit pas tout de suite. Son plaisir lui avait été coupé
au moment où elle s'y attendait le moins. Puis soudain,
elle sentit le sexe de Jules se frotter contre son anus.
Un moment de panique la prit. Mais il était déjà trop tard.
Son anus dilaté aspirait le sexe de Jules, tellement il
était préparé et humide. Elle sentit ce sexe progresser
dans son antre jusqu'à ce que les testicules de Jules viennent
buter sur sa chatte. Elle n'eut pas le temps de se remettre
de sa surprise. Le plaisir qui lui avait échappé revenait
à la charge, encore plus puissant. Les va-et-vient que Jules
imposait commençaient à la rendre complètement folle. Jamais
elle n'aurait pensé ressentir une si puissante jouissance.
C'était elle maintenant qui imposait le rythme à Jules,
claquant ses fesses contre le bassin de son amant. Elle
lui saisit les poignets de ses mains qui étaient accrochés
à ses hanches, de peur qu'il ne se retire, et elle le faisait
entrer et sortir de son cul de plus en plus fort. Le plaisir
la cueillit, fulgurant, d'une puissance inconnue pour elle
jusqu'alors. Elle cria si fort que Jules prit peur, mais
il ne relâcha pas sa cadence avant d'avoir lâché sa semence
au fond de son cul.
Ils s'écroulèrent, anéantis par ce qu'ils venaient de faire.
De longues minutes de silence achevèrent de leur faire reprendre
leurs esprits. Ils se rhabillèrent, toujours en silence.
Une fois réajustés, ils se regardèrent un peu honteux.
- Pardonne-moi ! dit-il
- Pourquoi ?
- Pour... euh... ça... enfin ce que nous venons de faire
!
- Alors, excuse-moi aussi, car je suis aussi fautive que
toi !
- Tu ne m'en veux pas ?
- Non, au contraire. J'ai aimé et je n'oublierai jamais
ce moment. Même s'il n'y aura jamais de suite.
- Tu veux dire qu'il pourrait y avoir une suite ?
- Ce que tu m'a fait, jamais on ne me l'a fait ainsi. Et
j'avoue que ce que j'ai fait, je ne l'avais jamais fait
non plus (elle dit cela en rougissant, en baissant la tête)
- Ce fut merveilleux pour moi aussi.
Il la prit dans ses bras, lui embrassa le front. Elle s'abandonna
ainsi, apaisée, heureuse, avec un nouveau sentiment au fond
de son être. Même si elle n'était pas amoureuse de Jules,
elle avait compris que ce qu'ils avaient échangé était peut
être plus fort encore que l'amour. Ils reprirent ainsi leurs
activités là ou ils en étaient restés, comme si rien ne
s'était passé. Lorsqu'Alain, le mari de Nadine, arriva avec
ses enfants, il les trouva en pleine discussion informatique,
comme deux passionnés.
Jules partit quelques minutes plus tard, il dit au revoir
à Alain, aux enfants et embrassa Nadine.
Ce fut plus qu'une embrassade d'amis : une onde de chaleur
leur parcourut le corps, comme si leurs corps n'étaient
plus commandés par leurs cerveaux.
FIN
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