Sandrine, c'est mon prénom. J'ai toujours aimé sentir le regard des hommes se poser sur moi. Je porte souvent des minijupes, sans culotte et recherche les escaliers les plus abrupts possible pour dévoiler ma croupe à ces messieurs. Quand je fais mes courses, je ne porte pas de soutien-gorge et mets un chemisier bien décolleté, ainsi, si je me penche, mes seins se dévoilent aux regards des mâles. Je viens d'avoir 22 ans, mariée à un homme trop souvent absent, mais je n'ai jamais ressenti le désir de le tromper. C'est juste que je m'ennuie un peu, alors je m'amuse.
Aujourd'hui, je ne sais pas pourquoi, j'ai envie d'un peu
plus, j'ai envie d'exciter bien sûr, mais si je pouvais
y mettre un peu de piment... une amie m'a dit récemment
que la peur était un super aphrodisiaque. Et si je testais
!?...
Comme souvent au printemps, c'est jour de grève. Service minimum dans les transports, je n'irai pas au boulot. Et si ?... une idée vient de traverser mon esprit de blonde, et mon mètre soixante-dix entre en ébullition. Oserais je ?... Allez, plus d'hésitation, je me lance.
Une paire de bas, une jupette plissée noire, juste une
veste de tailleur sans rien dessous, des escarpins et un
petit sac en bandoulière seront ma panoplie pour aujourd'hui.
Je me dirige vers la bouche de métro, en descendant les escaliers le vent tente de soulever ma jupe. Je la maintiens d'une main, mais je suis sûre que des yeux ont déjà vu que je portais des bas. Arrivée sur le quai, je me noie dans la foule, et attends mon destin, avec un petit quelque chose au ventre. Mon but d'aujourd'hui : me sentir presque nue et me coller à des hommes qui ignorent tout de mon jeu.
Le quai est noir de monde, impossible d'éviter le contact
avec les gens qui m'entourent. C'est pourquoi je n'ai pas
réalisé que la personne qui se tenait derrière moi, se pressait
contre mon dos en appliquant, contre mes fesses, de très
léger coup de reins discret, afin que personne ne le remarque.
J'ai senti le rouge me monter aux joues et mon cœur
battre plus fort. Et s'il avait vu, s'il avait remarqué,
s'il avait compris que je suis nue sous mes vêtements et
de ce fait très vulnérable. Je l'imaginais ouvrant d'un
coup ma veste en arrachant les boutons, puis soulevant ma
jupe et se mettant à hurler « regardez, c'est une salope
». Je pris une grande respiration afin de calmer la panique
qui m'envahissait. Peut-être ne faisait-il rien et c'est
moi qui faisais un peu de paranoïa.
Le métro arrive enfin au bout d'une demie heure. Je ne
suis qu'à une station du début de la ligne, de ce fait il
est presque vide. Pas pour longtemps. Les portes s'ouvrent,
et une marée humaine me propulse dans le wagon. J'ai juste
le temps d'attraper une barre centrale pour éviter de me
faire écraser contre la porte opposée. Au bout d'une minute
les portes tentent et retentent de se fermer et y parviennent
enfin. La rame démarre. C'est le moment de faire le bilan
de ce qui se passe autour de moi. Je suis face à face avec
un homme d'une cinquantaine d'années, visiblement il souffre
de ce manque d'espace et grimace un peu. À ma gauche, un
type a réussi à plier son journal, et le tenant appuyé sur
le dos de la personne devant lui lit les dernières nouvelles.
À ma droite, un autre homme, plus jeune, plutôt pas mal,
essaye de trouver un endroit où se tenir, le pauvre, il
se retrouve avec un bras en l'air et se tient avec deux
doigts contre la paroi.
Peu de femmes dans cette rame, les jours de grève elles
sont nombreuses à préférer marcher. Voilà, je peux enfin
commencer à jouer avec mes sens. Je tiens la barre de la
main gauche et mon épaule est collée à celle du liseur de
journaux. Mon bras droit est à quarante cinq degrés, ma
main tient la lanière de mon sac, et le dos de celle-ci
est directement posé sur les abdos du jeune homme. Ah !
si j'osais, j'appuierais plus fort pour voir si il est très
musclé, mais bon ! le plus important, pour le moment est
de sentir ma poitrine, écrasée contre celle du quinquagénaire,
se frotter contre lui au rythme des secousses. J'ai envie
de plaquer mon ventre contre le sien mais faire une chose
comme ça serait insensé, pourtant, je le fais, mais instinctivement,
par réflexe, car je viens de sentir une légère caresse sur
mes fesses et je suis surprise. Le quinqua aussi est surpris
et me regarde avec des yeux tout ronds. Le rouge remonte
à mes joues. Je lui fais une petite grimace en signe d'excuse.
Il a dû comprendre le message et me sourit légèrement. Je
pense que mon agresseur est le jeune homme, mais le pauvre
a tellement de mal à arriver à s'agripper quelque part,
que ce ne peut être lui. Derrière moi, la caresse se fait
plus présente, plus insistante. Impossible de me retourner,
mais pendant un court instant, dans le reflet de la porte,
je peux voir le visage de la personne qui se tient derrière
moi, et je la reconnais de suite. L'homme du quai. C'est
bien lui et visiblement je ne suis pas parano, maintenant
j'en suis sûre.
Il passe le dos de sa main doucement d'une fesse à l'autre,
en appuyant de plus en plus fort. Mon sang se glace quand
il prend ma fesse droite à pleine main et commence à la
malaxer. J'avoue que j'ai peur, mais pourtant je laisse
faire. Mon cœur fait des bonds dans ma poitrine. Devant
mon manque de réaction il prend confiance en lui, et applique
son autre main sur ma fesse gauche. Il caresse mon cul sans
ménagement, et il va forcément sentir que mes fesses sont
nues. OUI ! Bien sûr qu'il l'a senti, et son sang à l'inverse
du mien doit bouillir. Tout en me caressant, je le sens
remonter ma jupe lentement, puis son petit doigt touche
la couture de mes bas. Il remonte un peu et ... c'est le
contact avec ma peau. Il va doucement, continue de remonter
le tissu, et d'un coup applique ses mains directement sur
mes fesses. Il monte ses mains très haut sur ma croupe et
les redescend jusqu'à mes cuisses sur mes bas. Puis il les
met de chaque côté de mes hanches, serre et me plaque contre
lui. Je sens le renflement dans son pantalon, il se frotte
contre la fente de mon cul, je suis paralysée par la trouille,
mais si ce n'était pas la crainte d'être surprise, j'y trouverais
du plaisir. Un coup de frein, plus fort que les autres,
nous fait tous vaciller. En une fraction de seconde je vois
les yeux du jeune homme se baisser, s'écarquiller, et sa
bouche s'ouvrir. Je me sens vraiment très mal. Je sais qu'il
a vu ce que faisait l'homme du quai derrière moi, je sais
qu'il a compris que je ne disais rien et que je laissais
faire. Quelle allait être sa réaction ?
Il rougit légèrement, lève les yeux au ciel comme si il
n'avait rien vu, et appose, lui aussi, une main sur le coté
de ma jambe. Ses doigts glissent sur mon bas, puis remontent
au dessus de la couture et s'aventurent sur le devant de
ma cuisse. La pivoine, que je suis devenue, ferme les yeux
quelques instants, juste quelques secondes pour tenter de
comprendre si dans l'ouragan qui dévaste mes pensées se
trouve un soupçon de plaisir, ou n'est ce que de la peur,
de celle qui vous paralyse sur place. Je n'ai pas le temps
de trouver la réponse. J'ouvre à nouveau les yeux très vite.
Je viens de sentir quelque chose sur mon ventre. Je regarde
le quinqua, il a les yeux baissés, sa vue plonge dans mon
décolleté. Je comprends qu'il a glissé deux doigts entre
le bouton du bas de ma veste et le suivant et me caresse
doucement le ventre. Il relève les yeux, me regarde tendrement
avec un léger sourire et ma respiration se bloque. Il vient
de défaire le bouton du bas. Instinctivement je recule,
à la plus grande joie de l'homme du quai, qui écarte d'un
coup mes fesses et écrase sa boursouflure presque sur mon
anus. Le jeune profite lui aussi de mon recul, et plaque
sa main sur mon sexe que je devine humide, car il parvient
à glisser un doigt sans aucune difficulté. Le quinqua, lui,
profite de l'espace providentiellement fourni pour glisser
sa main sous ma veste et me prendre un sein à pleine main.
OK ! c'est bon, là j'ai vraiment peur, ma jupe est entièrement
relevée, mon ventre est à l'air, et je ne dois mon salut
qu'à la foule qui fait paravent.
Je suis tétanisée. Le jeune me masturbe le clito...mon
amie avait raison, la peur peut multiplier le plaisir...
je vais jouir... je panique, tente de me dégager, mais rien
y fait, bien au contraire. Profitant d'un mouvement de montée
et de descente de passagers, ils parviennent à me coller
contre la porte du fond, dans l'angle du wagon. J'ai été
trop loin, je suis prisonnière de mon propre jeu et je ne
peux plus rien dire, d'ailleurs, même si je le voulais,
aucun son ne pourrait sortir de ma bouche tant j'ai peur.
Le jeune, appuyé contre la paroi, fait pénétrer son pouce
droit au plus profond de mon puis d'amour son autre main
malaxe ma fesse droite. Près de lui, l'homme du quai, dans
un mouvement rapide et précis, soulève ma jambe gauche en
plaçant sa main sous mon genou. Je crois défaillir, quand
debout sur une jambe, un pouce dans le sexe, le quinqua
à ma gauche, déboutonne toute ma veste, l'ouvre en grand
pour faire sortir mes seins, les prendre à pleine main et
triturer mes tétons durci par l'excitation. Je perds toute
notion de danger. Je ne sais plus très bien où je suis.
Le pouce quitte mon humidité pour venir prendre ma main
et la plaquer sur la braguette du jeune. Devant mon manque
de réaction, il entreprend de l'ouvrir lui-même, et sort
une queue gorgée à ras bord de plaisir, qu'il me met dans
la main. Elle est très dure, très douce, et presque sans
m'en apercevoir, dans ce tourbillon de folie, je le masturbe
tout doucement.
Sa main libérée vient rejoindre celle du quinqua, sur mes
seins. Mon sexe, trempé, bouillant, ne se rend pas tout
de suite compte que ce qui vient de le toucher n'est en
rien une main ou un pouce. L'homme du quai a lui aussi sorti
son sexe, et l'applique sur ma fente. Après plusieurs tentatives,
il parvient à me prendre, là, au milieu de tous ces inconnus,
et sans être vu. Il fait un très léger mouvement de va et
vient, profitant de tout les à-coups de la rame. Un éclair
de lucidité me fait dire que si il jouissait je serais très
ennuyée pour rentrer. J'ai à peine fini ma réflexion qu'une
giclée chaude s'écoule en jets saccadés sur ma cuisse. Le
jeune vient de jouir sur moi, j'en ai plein les mains, mais
tout va trop vite et je ne parviens plus à gérer mon cerveau.
Une seule chose me vient à l'esprit ; il ne faut pas que
le sperme coule sur mes bas, alors je lâche l'objet de mes
ennuis, et m'applique à étaler la liqueur sur la peau de
mes cuisses, allant même jusqu'à mes fesses. Je suis secouée
une fois de plus, une décharge brûlante se déverse dans
mon ventre, son sexe sort, il laisse retomber ma jambe.
L'angoisse de la coulée me reprend et me met en panique,
je reprends sa queue et la frotte sur ma vulve, comme pour
faire pénétrer sa liqueur, mais sentant que cela ne suffira
pas, j'entreprends de me masser la chatte avec la main.
C'est chaud, gluant, et contre toute attente je jouis. Je
ferme les yeux, et retiens un léger cri. Je continue d'étaler
le sperme, qui commence à sécher. Mes doigts sont collants,
je suis contrainte de finir de les essuyer sur mon ventre.
Le quinqua, lui, continu de me triturer les seins et semble
s'en satisfaire. Je commence à reprendre mes esprits, du
coup je recommence à rougir. Mon dieu, qu'ai je fait. Je
dois être folle.
« Les voyageurs sont informés que le trafic est totalement
interrompu sur l'ensemble du réseau. »
La voix du haut parleur finit par me sortir complètement de ma torpeur. Les gens sortent rapidement du wagon, ainsi que mes trois compères, me laissant en plan, jupe relevée et seins à l'air. Je me retourne promptement face à la porte, je rabaisse ma jupe et reboutonne ma veste en prenant garde de ne pas la tacher, car mes doigts sont encore couverts de semence gluante. Je lève la tête et je vois sur le quai d'en face, deux clochards qui n'ont pas perdu une miette du spectacle que je viens de leur offrir. J'ai chaud et je crois que je resterai rouge toute ma vie. Je sors de la rame et me dirige vers la sortie. Je suis la dernière et bien contente de l'être. Je n'ai pas vu défiler les stations, et je ne sais même pas où je me trouve, mais un panneau de sortie me fait comprendre que j'ai presque fait toute la ligne, je dois être à « Étoile ». Ma veste colle à mon ventre, ma jupe à mes cuisses. Un coup d'œil rapide me permet de voir qu'il n'y a pas de dégât apparent, sinon une petite tache blanche sur un de mes escarpins. Je monte les escaliers, tout en me frottant les mains pour faire totalement disparaître les traces de cette folie. Personne dans les couloirs, j'en profite pour repasser ma main sur ma vulve afin d'enlever une coulée que je sens proche, et bien sûr, je recommence à frotter mes mains.
J'arrive dehors, il fait beau et chaud. Je vais marcher
un peu pour « sécher ». J'ai l'impression que tout le monde
me regarde, que tout le monde sait. Je m'assoie sur un banc
face à l'avenue, et me refais tout le film de mon aventure
incroyable.
Je respire, me détends, le rouge quitte peu à peu mes joues,
mon cœur bat encore la chamade mais je suis soulagée.
La réalité revient progressivement, et je commence à me
demander comment rentrer. Un taxi stoppe juste devant moi,
la glace arrière descend et le visage du quinqua apparaît.
- Je peux vous déposer quelque part ?
Le rouge qui m'avait gênée toute la matinée revient au galop. Je me lève et monte dans le taxi en me penchant et en prenant bien garde à ce que les passants voient bien mes fesses, et lui mes seins.
Les sièges de la voiture sont moelleux et profonds. Ma
jupe remonte jusqu'à la couture de mes bas. Il sort un mouchoir
de papier et se penche. Il pose sa main gauche sur ma cuisse,
de sa main droite il essuie mon escarpin taché, et après
avoir déposé un baiser sur mon genou, il me dit d'une voie
douce et chaude
- Où voulez vous aller ?
Mon amie avait raison de dire que la peur était aphrodisiaque,
je suis chaude bouillante.
- Chez vous, si vous m'autorisez une douche !?
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