Je vais vous raconter comment ma femme, Laurence, très jolie blonde la
quarantaine épanouie, mais surtout très vicieuse à ses heures, s'est
faite baiser comme une chienne par deux blacks distingués.
Mais d'abord, je me dois de vous présenter un peu mon épouse :
Jolie blonde donc, Laurence est d'une nature plutôt sauvage. Son regard
bleu vient traduire la féline qu'elle est, inaccessible, sensuelle, et
difficile à dompter, ce qui ne l'empêche pas d'avoir un appétit de
tigresse à ses heures.
Je résumerai ma description en vous disant que sur certains aspects, je
corresponds à ses attentes.
Nous habitons la région PACA, et il est vrai que malgré nos appétits
sexuels respectifs, faute de temps, nous n'avons malheureusement pas
beaucoup d'occasions de nous amuser. Plutôt frustrant lorsque, comme
Laurence et moi, on est friand de jeux sexuels et de piment dans la vie.
Un soir d'été, nous avons profité d'un week-end férié pour sortir dans
une discothèque réputée de la région Cannoise, histoire de nous «
divertir » un peu.
Grosse ambiance de fête, dans la moiteur d'un mois d'août particulièrement
chaud.
Nous étions assis à discuter, attablés dans un des rares endroits plutôt
calme de la boite quand deux hommes, faute de place, se sont installés à
notre table.
Nous étions un peu surpris et déçus de leur arrivée car nous étions en
pleine conversation « personnelle », et les sujets que nous abordions,
chauds et croustillants, ne toléraient aucun dérangement !
Mais très vite le contact s'est fait.
Nos deux compères étaient en fait très ouverts et sympathiques et, ce qui
ne gâte rien, nous faisaient beaucoup rire.
Surtout Laurence.
Je connais suffisamment ma femme pour sentir d'instinct, comme un animal, lorsqu'elle est chaude et disponible.
Cela m'excite terriblement d'ailleurs mais j'avoue que la rapidité avec
laquelle elle se montra avenante à l'égard des deux intrus d'ébène me
déstabilisa.
Voir mon épouse dans cet état m'excitait au plus haut point, surtout que
manifestement les deux mecs avaient « flairé » eux aussi la « chaleur »
qui émanait d'elle.
L'ambiance et l'alcool aidant, ils ne se gênaient plus pour mater le haut
des cuisses de ma belle, juste habillées d'une mini jupe mauve qui
laissait entrevoir par légère transparence la finesse de son string.
Laurence s'est très vite retrouvée entre les deux hommes, se laissant
aller à une attitude très subjective accompagnée de regards sans
équivoque.
Langoureuse et lascive, au rythme de la musique, elle jouait à un des ses
jeux préférés : allumer les mecs. Faire bander les mâles.
Les complices, eux, comme pour mieux maitriser la situation, restaient
discrets pour lui caresser furtivement les cuisses et laisser passer
leurs mains sur le bout de ses seins.
Juste assez pour que je sois le seul dans la boite à profiter du
spectacle qui brulait au fer rouge ma jalousie autant que mon
excitation.
Après plusieurs verres, ponctuant ce petit jeu, l'un des deux hommes nous
proposa d'aller en boire un dernier chez eux.
Bien sur, nous acceptâmes volontiers, et nous voilà partis en voiture jusqu'au domicile de nos compagnons de soirée.
Je profitais du trajet pour discuter avec Laurence des moments que nous
venions de vivre et je lui avouais que j'avais été très excité de
l'avoir vu assise toute chaude comme ça, entre ces deux beaux hommes de
couleur.
Elle me répondit qu'elle aussi avait été très, très, très excitée par la
situation, et qu'ils avaient les mains très baladeuses !
Ça, je le savais.
Elle m'avoua même que, pendant que je patientais au comptoir pour commander
une nouvelle tournée, les deux salauds en avaient profité pour la doigter
en toute discrétion, « pour pas que tu t'en aperçoives !», et que très
excitée par la situation elle s'était laissée faire bien volontiers. Devant
et derrière.
Ça, je ne le savais pas.
Je me mis à bander à en avoir mal aux couilles.
J'avais envie qu'ils baisent ma femme devant moi et je le lui dis.
A peine arrivés chez nos convives, les deux mecs changèrent d'attitude et se montrèrent beaucoup plus directs.
Tout de suite, Laurence se retrouva assise entre eux sur le canapé du
salon, à se faire caresser et entreprendre sans ménagement.
L'un d'eux, après lui avoir retiré son petit string humide, lui écarta les
cuisses et s'apprêtait pour mon plus grand plaisir à lécher le jus qui
perlait déjà de son abricot mur à éclater, pendant que des mains savantes
parcouraient toutes les zones érogènes de son corps.
C'est ce moment-là que ma femme choisit pour leur dire:
- « Baisez-moi tout de suite comme une chienne que je suis ! Mon mari veut voir vos grosses bites me besogner, et là, je suis bien
prête, bien ouverte à vous ! »
Je n'en revenais pas.
Ni une ni deux elle se retrouva avec les deux énormes membres noirs, à
hauteur de son visage.
Je la voyais pomper à fond pratiquement jusqu'aux couilles.
Elle les prenait un par un puis les deux en même temps.
Je sais que Laurence aime sucer, qu'elle adore faire grossir une bonne
queue dans sa bouche. Mais là elle était si chaude, si vicieuse.
Plus ils la traitaient de pute, de trou à bites, de chienne, de pisseuse,
plus elle gémissait, la voix tremblante de chaleur.
Puis, sans ménagement, ils la disposèrent à quatre pattes sur le tapis
pour la prendre en levrette. Pendant qu'un la pistonnait, elle continuait
de sucer l'autre.
Je pouvais la voir jouir, mais ne pouvais l'entendre crier son plaisir
que lorsque sa bouche se libérait.
Les deux compères ont inversé les rôles comme ça plusieurs fois, avant de
la prendre en double pénétration.
Ils la défonçaient l'un devant, l'autre derrière à grand coups. C'était
incroyable, ils la baisaient comme une pute et elle, elle leur disait de
continuer encore plus fort, elle leur disait qu'elle aimait ça, qu'elle
adorait se faire prendre comme une chienne devant son mari.
Pour finir, ils déversèrent leur semence sur ses seins et se rhabillèrent
aussi sec en nous remerciant pour cette soirée.
Mon épouse leur laissa son string mouillé en souvenir, puis nous sommes
rentrés chez nous où je l'ai baisée comme on baise une salope, dilatée
qu'elle avait été par les deux hommes membrés comme des chevaux.
Dieu que ma femme est belle.
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