Je trompe mon mari depuis un an avec un homme beaucoup plus âgé que moi.
Je suis Michèle, 42 ans, petite blonde aux cheveux longs, 1,56 m pour 52
kg, petite poitrine 85B, mariée depuis 22 ans à un mari que j'aime, 2
grands enfants.
Ça s'est passé il y a quelques mois avec mon dentiste qui a 22 ans de
plus que moi, qui est veuf et qui m'a connu toute jeune. Il devait me
faire un bridge, j'étais sur le fauteuil de soins, j'avais la bouche
fermée sur une pâte pour prendre l'empreinte de ma mâchoire et je devais
rester comme ça quelques minutes sans desserrer les dents.
J'étais en jupe, il était à coté de moi, j'avais les yeux fermés, la
bouche serrée sur une pâte quand, soudain, j'ai senti sa main sur le haut
de mon genou puis sa main est remontée sous ma jupe. Je l'ai repoussé
mais il m'a dit : "ne bouge pas, laisse-toi faire, tu vas aimer, ça va
te détendre". J'ai senti sa main se poser sur le haut de ma cuisse et
elle a vite atteint ma petite culotte. J'étais émue, je ne voulais pas,
j'ai serré mes cuisses pour emprisonner sa main et qu'elle n'aille pas
plus loin... Pourtant je dois avouer que cette caresse si douce me
procurait du plaisir...
Il me dit : "détends-toi, libère ma main, je n'irai pas plus loin.
J'ai senti que tu étais très réceptive et je devine que je pourrais te
donner du plaisir une autre fois".
Il ôta sa main de dessous ma jupe, me fit ouvrir la bouche et retira
l'empreinte, il me dit de me rincer puis je me suis relevée du fauteuil
un peu honteuse et j'ai remis un peu d'ordre dans ma tenue. Il me donna
rendez-vous pour le mercredi suivant à 19 h 45. Je quittai son cabinet
très troublée mais tout de même un peu excitée par ce qui venait de se
produire.
Le mercredi suivant j'étais à l'heure à son rendez-vous, je fus surprise
que ce soit lui qui vienne m'ouvrir, son assistante était partie. Il me
fit entrer dans son cabinet et aussitôt il me prit dans ses bras et posa
ses lèvres sur les miennes, la tête me tournait, mes jambes tremblaient et
sans m'en rendre bien compte je répondis à son baiser. Ses lèvres étaient
fraîches, j'entrouvris les miennes et sa langue pénétra ma bouche pour se
mêler à la mienne ...
Nous étions debout, face à face, collés l'un contre l'autre, bouches
soudées. Il me serrait fort et petit à petit j'ai senti sa main droite
remonter sous ma jupe pour caresser mes fesses, il a écarté ma petite
culotte pour passer un doigt dessous et me caresser plus intimement, j'ai
écarté les jambes pour lui faciliter l'accès à mon intimité déjà humide
de plaisir.
Son étreinte s'est desserrée, il s'est mis à genoux devant moi, a mis sa
tête sous ma jupe, fait descendre ma petite culotte sur mes genoux et il a
posé sa bouche sur ma vulve. Je sentais sa langue fouiller ma petite
chatte trempée qui s'ouvrait, je tenais sa tête tout contre mon ventre qui
s'offrait à sa caresse si douce et si intime.
Il se releva, mis son fauteuil en position allongée et m'invita à me
coucher sur le dos. Il a relevé ma jupe sur mon ventre et a ôté ma culotte
qu'il a mise dans la poche de sa blouse. Sa tête est venue entre mes
cuisses ouvertes pour lécher ma petite chatte, sa langue écartait mes
petites lèvres, pénétrait mon vagin, suçait mon petit clito. Il avait
placé ses mains sous mes fesses, je sentais son index qui tentait de
pénétrer mon anus et pour la première fois, un homme, autre que mon mari,
m'a fait jouir violemment.
J'avais envie de le sentir en moi et je lui ai demandé de me prendre. Il
a hésité en me disant qu'il n'avait pas de préservatif pour se protéger,
je l'ai alors rassuré en lui disant que j'avais été fidèle toute ma vie,
que j'étais arrivée vierge au mariage, que je n'avais jamais connu
d'autres hommes que mon mari en moi mais que j'avais souvent fantasmé sur
lui depuis qu'il avait voulu soigner mes boutons, alors que j'avais à
peine 14 ans. En passant sa main sous ma jupe pour caresser ma jeune fente
au travers de ma petite culotte en coton blanc, je n'avais pas été
insensible à ces attouchements mais je n'étais plus jamais retournée à son
cabinet pendant plus de 20 ans.
Il s'est rappelé de cet épisode et m'a avoué qu'il avait eu honte de ce
qu'il avait tenté mais qu'il avait souvent pensé à moi et à cette caresse
très furtive qu'il m'avait prodiguée et lorsqu'il m'avait revu pour me
soigner les dents, il y a quelques années, il avait été très troublé.
Il s'est alors déshabillé et lorsque j'ai vu son sexe j'ai pris peur,
il était deux fois plus large que celui de mon mari... Il s'est allongé
sur moi, je sentais ce sexe énorme contre mon ventre, il m'a de nouveau
embrassée à pleine bouche tout en faisant glisser doucement son sexe entre
les lèvres de ma petite chatte sans me pénétrer.
Il m'a dit « j'ai peur de te faire mal, tu es si étroite », mais j'avais
tant envie de ce sexe en moi que je lui ai répondu « VIENS, VIENS EN MOI,
PRENDS-MOI, PRENDS-MOI TOUT DE SUITE». Il m'a dit «détends-toi, j'irais
très doucement ». C'est moi qui ai guidé son sexe à l'entrée de ma
vulve... Son gland écartait les lèvres de ma petite chatte, j'étais
tellement mouillée qu'il réussit à le faire entrer puis il n'a plus
bougé pour que je m'habitue. Il a repris ma bouche, sa langue jouait avec
la mienne, au bout d'un moment j'ai attrapé ses fesses pour le retenir
en moi et j'ai soulevé mon bassin pour le faire entrer plus loin dans ma
petite chatte... J'ai senti sa verge énorme me pénétrer peu à peu,
m'envahir, prendre possession de mon ventre, les parois de mon vagin
s'écartaient pour lui céder le passage, c'était comme s'il pénétrait tout
mon corps, comme s'il me possédait toute entière.
J'en ai eu le souffle coupé ! Il est resté quelques instants sans bouger
puis a commencé ses va-et-vient d'abord doucement puis de plus en plus
vite.
J'étais tant excitée de le sentir, si gros, si fort, si dur en moi, dans
ma petite chatte, que j'ai joui très vite en hurlant mon plaisir ! Il a
aussi joui presque en même temps que moi dans mon ventre, je sentais les
soubresauts de son sexe à chaque éjaculation, je n'étais plus moi même,
je n'avais jamais ressenti un tel plaisir et un tel bonheur en faisant
l'amour avec mon mari !
Lorsque son sexe est devenu plus petit et plus mou, il s'est retiré de ma
petite chatte et a repris ma bouche pour m'embrasser profondément, puis il
m'a tendu une serviette pour m'essuyer un peu et je me suis relevée, il
m'a prise dans ses bras pour me câliner, m'embrasser et me caresser
encore. J'avais les jambes toutes tremblantes.
Il m'a demandé s'il pouvait gardait ma petite culotte parfumée de mon
odeur intime, j'ai dit « OUI ».
Il était 21 h 30, je me suis rhabillée pour rentrer chez moi, fesses nues,
il m'a donné rendez-vous pour le mercredi suivant à la même heure, nous
nous sommes encore embrassés longuement et il m'a caressée une dernière
fois très intimement, et je suis partie. En marchant, pour regagner ma
voiture, je sentais le sperme de René s'écouler le long de mes cuisses,
dans la voiture j'ai dû m'essuyer avec un mouchoir.
Lorsque je suis arrivée chez moi, mon mari était là, il avait préparé le
repas et mis la table, les enfants étaient dans leur chambre.
J'avais honte de ce que j'avais fait, pourtant j'ai embrassé mon mari
comme d'habitude pour lui dire bonjour, j'avais peur qu'il passe sa
main sous ma jupe comme il le fait parfois, mais j'y ai échappé cette
fois-ci...
Je suis allée dans la chambre pour m'essuyer un peu et mettre une culotte
propre, mais je n'ai pas pu me laver pour ne pas attirer l'attention de
mon mari. Tout au long du repas j'avais l'impression de sentir le sexe de
mon amant en moi et je sentais son sperme finir de s'écouler dans le fond
de ma petite culotte propre.
J'ai été très troublée pendant plusieurs jours de ce que j'avais fait
avec cet homme qui avait l'âge de mon père, mais je suis tout de même
allée à son rendez-vous le mercredi suivant et me suis de nouveau offerte
à lui.
Depuis ce jour, je refais l'amour avec René chaque semaine et j'y prends
toujours autant de plaisir, je jouis plusieurs fois de suite et lui, il
jouit en moi. Il aimerait essayer de me prendre par derrière mais je ne
veux pas, son sexe est tellement large que j'ai peur de souffrir
atrocement.
Michèle
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