Mon mari a été envoyé en déplacement pour une semaine. J'en ai profité pour réaliser un de nos fantasmes (oui je dis bien nos) : à savoir me faire baiser par d'autres hommes...

Voici donc le récit de cette histoire vraie...

Lundi matin, mon mari m'embrasse en partant et me dit :

- Tu as carte blanche, mais il faudra tout me raconter, ok ?

- Ok chéri, compte sur moi ! Bon voyage !

Je me rends donc à mon travail et à la pause je vais voir Marc, un collègue célibataire qui me tourne autour depuis un certain temps.

- Salut Marc. Tu fais quoi ce soir ? T'es libre ?

- Rien de spécial au programme, pourquoi ?

- Et bien je suis seule, mon mari en déplacement et les enfants chez papi et mamie, alors j'aimerais bien t'inviter à dîner... ok ?

- Ah ça, c'est une bonne idée, merci !

- Ok pour 20 heures alors.

Toute la journée, je ne cesse de penser à la soirée qui m'attend, je suis toute excitée.

Arrivée à la maison, je prépare un gratin. Comme ça je ne perdrais pas de temps à cuisiner, il y aura certainement mieux à faire...

Ensuite je me fais couler un bain, j'ai le cerveau en ébullition (pas que le cerveau). Après le maquillage, j'opte pour une lingerie noire (en général les hommes apprécient), redresse-seins, string, porte-jarretelles et bas, un chemiser noir largement ouvert sur mon décolleté, une jupe rouge courte, sans être mini, et pour finir, j'enfile une paire de chaussures à talons hauts.

Lui qui ne me voit qu'en jeans et baskets, je pense qu'il va être surpris...

Marc sonne à la porte à 20h précises. Je vais lui ouvrir et, comme je m'y attendais, il est très surpris...

Je le fais entrer. Nous nous faisons la bise et il me tend un bouquet de roses et une bouteille de champagne en me complimentant sur ma tenue...

- Wouaw ! Tu devrais venir bosser comme çà, tu es belle à tomber par terre !

- Merci c'est gentil, viens, installe-toi au salon, je ramène des coupes !

En les posant sur la table basse, je sens son regard sur mes seins. Je reste penchée en avant un instant et, sans le regarder :

- La vue te convient ?

- Euh... oh oui, dit-il en rougissant (il a 25 ans, j'en ai 40).

Je m'assois dans le fauteuil en face de lui. Ma position laisse apparaître le haut de mes bas, ses yeux se fixent dessus...

Pour le mettre à l'aise (car je le sens un peu stressé), je lui explique que mon mari est au courant et qu'il n'y a pas de quoi se prendre la tête, mais que je compte sur son entière discrétion...

- T'inquiète ! Je suis trop heureux, me rassure-t-il (c'était ma seule crainte).

Nous discutons un peu des potins du boulot, mais très vite nous commençons à parler sexe. il m'avoue que depuis son embauche il y a 2 ans, il fantasme sur moi, en particulier sur mes seins (j'ai un 95C) mais que jamais il n'aurait pensé avoir une chance avec moi...

- Et bien, tu vois que si !

Je lui tends ma coupe pour qu'il me la remplisse encore une fois de champagne... J'en profite pour voir si je lui fais de l'effet. Je constate une belle bosse dans son pantalon :

- Dis, tu dois être serré, débarrasse-toi de ton pantalon !

- T'es sûre ?

- Oui... et approche-toi, j'ai envie de te sucer un peu...

Marc se lève, enlève son jean, son slip, et s'approche de moi, il se tient debout devant moi avec une belle bite en érection, je la caresse un peu, puis lui donne quelques coups de langue avant de la prendre en bouche. Je le suce tout doucement et profondément... je me régale... et lui aussi...

- Hummm... toi, tu sais sucer ! Qu'est ce c'est bon ! Oh oui !

- Ah non ! Tu ne vas pas déjà jouir ! Attends encore un peu !

Et j'arrête de le sucer...

- Bon, passons à table, ça te calmera un peu... par contre moi...

Et je lui montre que sur ma chaise j'ai placé un gode ventouse.

- Oh! Tu as aussi des jouets, je ne pensais pas ça de toi.

- Et j'en ai d'autres ! Sept en tout. Je te les montrerai.

Après avoir amené le repas, je retire mon string devant lui.

- Tu aimes les chattes rasées ?

- Superbe !

Et je m'empale délicatement sur mon gros gode. Je fais quelques va et viens.

- Hum...c'est bon ! Dis, tu me baiseras bien tout à l'heure n'est ce pas ?

- Je suis tellement excité que je sens que vais jouir de suite.

- Ah, si c'est comme ça, je te ferais jouir avec ma bouche, mais je te préviens, j'avale pas, tu peux m'asperger le visage ou les seins, ok ?

- Ok !

Durant le repas, je bouge de nombreuses fois sur cette queue en latex. Après avoir eu mon premier orgasme, je me lève, enlève mon chemisier et ma jupe, contourne la table et m'approche de Marc, qui recule sa chaise. Je me baisse et prends son sexe en bouche. A peine ai-je commencé à le sucer qu'il me tire la tête en arrière en tenant sa bite :

- Oh ! ça vient !

Les premiers jets de sperme viennent sur ma figure, puis il dirige sur mes seins qu'il arrose aussi abondamment...

Impressionnée par la quantité de sperme :

- Eh bien mon grand, tu m'en as mis partout ! Pause dessert et après nous passerons aux choses sérieuses !

- C'est mille fois mieux que dans mes rêves !

Marc m'aide à débarrasser la table, lui la queue ramollie et moi dégoulinante de sperme ; j'adore sentir le sperme sécher sur ma peau.

Nous ramenons le dessert et je m'installe à nouveau sur mon gode. Il pénètre tout seul tellement je suis mouillée.

Mais très vite n'y tenant plus, je passe sous la table, rends toute sa vigueur à Marc en le suçant avec force, et, lorsqu'il est bien raide, je m'allonge sur la table :

- Viens ! Baise-moi !

Il s'approche, se place entre mes jambes gainées de bas, entre en moi en douceur...

- Non ! Vas-y fort ! Baise-moi !

- Ok salope !

- Oui, je suis une salope ! Ta salope ! Fais-moi jouir !

Il relève mes jambes par dessus ses épaules et, se tenant fermement à mes cuisses, se met à me pilonner à grands coups de reins. Je jouis en criant :

- Oh ! Ouiiii ! Encore !

J'attrape mon gode et me le mets en bouche. Marc continue à me baiser en poussant des gémissements... après mon second orgasme, je lui demande :

- Je veux que tu m'encules !

Je me redresse, me tiens debout, le buste sur la table, et lui présente mes fesses. Sa bite a un peu de mal à me pénétrer l'anus, mais une fois en place, il peut commencer à me pistonner. Moi je suce mon gode en même temps.

Au bout de cinq minutes, je sens ses mains se crisper sur mes fesses, et il jouit en moi en hurlant :

- Oh oui !!!!

Tous les deux KO, nous restons ainsi, immobiles 2 à 3 minutes, je ne sais plus...

Revenant à nous, nous avons soif, un grand verre d'eau pour nous rafraîchir...

Nous prenons le café au salon, face à face, sans avoir pris soin de nous rhabiller. Nous restons un moment sans parler...

- Ça t'a plu, demandais-je pour rompre le silence.

- Quelle question, évidemment ! Ça se voit, non ?

- Oui, mais j'aime bien l'entendre.

- Oui ça ma plu. Je n'ai jamais rien vécu de mieux, crois-moi !

- Oui c'était pas mal.

- Surtout quand tu t'es mis à sucer ton gode pendant que je te baisais, c'était super !

- Humm, j'aurais préféré avoir une vraie bite... même plusieurs bites... çà, ça doit être génial ! Plusieurs mecs en même temps !

- Euh...ça peut s'arranger....

- Ah oui, comment ça ?

- E bien tu sais que je joue au foot ?

- Oui, m'en parle pas, j'ai horreur de ça.

- Ok, mais j'ai au moins trois potes à qui je peux faire confiance... tu vois où je veux en venir ?

- Laisse-moi deviner... tu veux m'organiser un gang-bang ?

- Tu serais d'accord ?

- C'est mon rêve ! Demain soir ?

- Ça va être juste, je vais essayer d'organiser ça.

- Oui, mais pas ici, ok ?

- Ok pas de problème, chez moi !

- hummm, je vois que notre discussion t'a remis en forme.

- Ça m'en a tout l'air, oui...

Je ne peux pas le laisser dans cet état, je tends les jambes pour le branler avec mes pieds.

- Eh ! C'est super avec les bas, on me l'avait jamais fait ça, ah ! L'expérience !

- Tu aimes, hein ? Vas-y ! Laisse-toi aller et jouis !

- En fait, j'espérais jouir entre tes seins...

- Ah oui ? Attends !

Je m'allonge sur le canapé et il vient à califourchon sur moi, met sa bite entre mes seins que je tiens avec mes mains, puis il commence ses mouvements (il paraît qu'on appelle ça la branlette espagnole), je donne quelques coups de langue pour mieux faire glisser, et son sperme ne tarde pas à couler de mes seins vers mon cou...

- Franchement, ça j'en rêvais depuis que je t'ai vu la première fois, merci tu es formidable ! me dit-il en m'embrassant.

- Humm, pour une troisième saucée, il y avait encore une bonne quantité ! Bravo !

Bon, c'est pas que je ne veux plus te voir, mais il se fait tard.

- Oui, c'est vrai, on travaille tôt demain matin, et si je veux encore contacter mes potes... en tous cas, merci encore pour cette soirée.

Le temps de se rhabiller, il se sauve, moi je ne prends même pas de douche. Je me couche tel quel, avec mes bas, et souillée de sperme... je m'endors instantanément.

Mardi

5 heures. Le réveil me tire de mon sommeil, j'ai dormi d'une seule traite, je prends 5 minutes pour me repasser la soirée avec Marc... géniale.

Je retire mes bas, le porte-jarretelles et mon redresse-seins taché de sperme séché, la peau de mon visage et de mes seins en sont également couverts.

Hop ! Direction la douche !

Je prends un rapide petit déjeuner et me rends à mon travail. À la pause, Marc vient me voir :

- Salut Marie, bien dormi ?

- Salut Marc, très bien et toi ?

- Oui, je me suis couché très tard, j'ai appelé mes potes, et c'est bon pour ce soir, chez moi 21 heures, ok ?

- Humm...ok !

Je n'en revenais pas ! Moi qui ne voulais jamais franchir le pas, me voici entraînée dans une sacrée aventure... quand je vais raconter ça à mon Michel, mon époux.

Le soir venu, je me prépare donc à cette soirée. Toute la journée, je pensais à ce que je devais mettre. J'ai choisi, pour l'occasion, la guêpière rouge, les bas noirs à couture, les chaussures à talons aiguilles (vous noterez : pas de culotte) et j'enfile uniquement mon manteau par dessus.

21h30 : j'arrive devant l'immeuble de Marc, un groupe de jeunes me regarde sortir de la voiture et me diriger vers la porte d'entrée, j'arrive à entendre quelques commentaires du style :

- Wouaw la meuf ! Elle est bonne !

Je sonne, et la voix de Marc dans l'interphone :

- C'est au troisième !

Il n'y a pas d'ascenseur et mes talons résonnent dans l'escalier. Marc m'attend sur le pas de la porte d'entrée.

- On ne t'attendait plus, je pensais que tu t'étais dégonflée...

- C'est mal me connaître, mon cher, dis-je avec assurance.

Mais en fait j'avais hésité à venir...

J'ai apporté un masque que j'enfile avant d'entrer (qui ne cache que le haut du visage, style masque de bal masqué) ; j'entre dans le couloir, et entends des gémissements : une femme est en train de jouir !

- Mais... il y a déjà quelqu'un ?

- Mais non. Comme tu ne venais pas, nous avons mis un film de cul, viens !

Nous entrons dans le salon, et effectivement les trois copains sont en train de regarder à la télé une nana se faisant prendre en sandwich.

- Bonsoir messieurs !

Je ne veux rien faire paraître, mais je n'en mène pas large...

- Bon, je fais les présentations, Marie, voici Bruno, Philippe et Alain.

- Enchantée messieurs. Je crois que vous êtes déjà bien excités à en croire les bosses de vos pantalons ; mais, je vous en prie, mettez-vous à l'aise, déshabillez-vous !

Tout en parlant j'ôte mon manteau et le pose sur un des fauteuils.

- Oh, mais c'est une pute ! lâche Bruno, un black bien bâti.

Je réponds aussitôt :

- Quoi ? Une pute ? Non, pas du tout... moi c'est gratuit !

Ils se mettent tous à rire et commencent à se déshabiller.

- Tu veux boire quelque chose Marie ? Demande Marc.

- Non merci. Je vais commencer par vous sucer si tu veux bien. Venez un peu par ici autour de moi !

Tous les 4 s'approchent. Je me mets à genoux et prends de suite une bite en bouche : celle de Philippe. En même temps que je le suce, je branle la grosse bite noire de Bruno et celle de Alain. Durant 15 bonnes minutes c'est le manège ; je passe d'une queue à l'autre.

- N'oubliez pas les gars ce que je vous ai dit ! Il faut lui gicler dessus... sur le visage et les seins, elle adore ça, la salope ! Hein Marie ? Dit Marc.

- Hum... Oh oui, allez-y ! Arrosez-moi, et après baisez-moi !

Philippe est le premier à jouir ; ses longs jets de sperme viennent m'asperger le visage. Marc, second, gicle sur mes seins. Le troisième c'est Bruno, il a la plus grosse bite de tous et aussi la plus grande quantité de sperme. Je n'en avais jamais vu autant. Mon visage et mes seins sont presque entièrement recouverts, la dose d'Alain n'y change plus grand chose...

- Humm... pour une douche ! Bravo les gars !, mais maintenant c'est à vous d'assurer !

Ils n'ont même pas débander, tellement ils sont encore excités.

Je me lève et m'allonge sur la table :

- Prenez-moi !

Marc se place entre mes jambes et me pénètre violemment tandis que Bruno est grimpé sur la table et m'enfonce sa grosse bite en bouche en disant :

- Vas-y salope ! Suce encore ma grosse bite !

Vous imaginez ?

Philippe et Alain observent la scène en se masturbant.

Je jouis rapidement une première fois et je demande à Bruno de s'allonger par terre. Je viens à cheval sur sa bite et, après quelques va et vient :

- Philippe, encule-moi ! Alain, viens que je te suce et toi Marc tu regardes !

Et là vous imaginez ?

Pendant que je me fais pistonner, j'ai du mal à sucer correctement. Je vois Marc qui agite sa queue, alors je lui fais signe de s'approcher et je le branle tant bien que mal....

Je suis secouée dans tous les sens, je crois que j'ai 2 ou 3 orgasmes à la chaîne... puis les changements de positions se multiplient jusqu'à ce qu'ils jouissent en m'aspergeant encore une fois.

Je suis au bord de l'évanouissement tellement j'ai joui. Je reste allongée au sol, dégoulinante de leurs jus. Eux sont affalés sur le canapé et les fauteuils, KO également mais contents d'eux.

Doucement nous reprenons nos esprits... nous prenons des rafraîchissements et je fais un tour à la salle de bain. Dans le miroir, je constate « les dégâts », ils m'en ont donné ! Je nettoie vite fait le plus gros.

- Messieurs, j'espère que cela vous plu autant qu'a moi ! Peut-être à bientôt ?

- Quand tu veux Marie, sans masque la prochaine fois ?

- Non je ne pense pas car je ne veux pas que vous me reconnaissiez lorsqu'on se croisera dans la rue.

- Ok, pas de problème. En tous cas t'es vraiment une bonne suceuse, ajoute Bruno.

- Merci. Et vous, vous êtes de bons étalons. Allez, faut que je rentre !

Marc m'accompagne à la voiture, il est 2h du matin...

- Merci Marc. J'ai réalisé un de mes fantasmes... depuis le temps que j'y pense sans jamais oser, et bien je ne regrette pas cette expérience, promets-moi de garder ça pour toi !

- Oui Marie, t'inquiètes pas ! Tu m'as fait un beau cadeau, crois-moi !

- Je ne sais pas si je viens au boulot demain, alors ne te fais pas de bile si tu ne me vois pas, je vais prendre récup et dormir...

À suivre...

(si vous le souhaitez!)

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