Voilà, mon histoire a commencé à l'époque de mes 16 ans. Avec un copain à moi âgé de 17 ans et demi, on adorait regarder des livres pornos dans les caves en cachette. On se caressait nos sexes et on se masturbait.

Un jour, on a décidé d'aller plus loin et de le faire avec nos bouches. Quand ce fut mon tour, j'ai tout de suite aimé ça. Pour la première fois de ma vie, je suçais une queue et j'avais pris beaucoup de plaisir, à tel point qu'on a recommencé les jours suivants. Et plus les jours et mois passèrent, plus j'adorais ça.

Mon copain Jean-Claude avait bien senti que j'aimais ça, et comme je préférais faire la femme, un jour je lui ai avoué que j'adorais porter des dessous de femme et que j'aimerais en porter devant lui. Ravi de ma proposition, il me demanda d'aller en mettre pour qu'il me voit ainsi. Et ce jour-là, c'est dans une cave de notre immeuble, un soir, que je me suis présenté à lui en guépière, bas, string, minijupe courte, bustier et escarpins. Quand il m'a vu vêtu en femme, il n'en cru pas ses yeux.

Il me complimenta en me disant que j'étais très sexy comme ça, très bandante, une vraie petite salope. Tout en me caressant, je sentis sous ma minijupe un de ses doigts me caresser l'anus à travers mon string. Et c'est en me disant que mon cul l'excitait et qu'il avait envie de m'enculer que je n'ai pas pu résister à l'envie moi aussi. Et c'est les jambes écartées, la minijupe relevée et mon string retiré que j'ai senti son gland entrer doucement dans mon anus.

Au debut j'ai eu un peu mal, normal, j'étais vierge du cul. Mais très vite, le mal a fait place au plaisir. Avec ses mains sur mes hanches, je sentais sa queue bien au fond avec de longs va-et-vient. De plus en plus vite, je bougeais mes fesses pour bien la sentir tellement je gémissais, et je me suis mis à pousser des petits cris de jouissance :

- Hum hum, c'est bon Jean-Claude, continue encore Jean-Claude.

Il me repondit lui aussi par des petits cris de jouissance :

- Humm oooh quel cul tu as, c'est trop bon, t'aimes ça, hein Yannick ? Vas-y continue, bouge bien ton cul Yannick, ça te plaît, t'aimes ça Yannick.

- Oooh oui Jean-Claude, encore, continue !

Je sentais ses couilles claquer contre mes fesses à chaque coup de bite. Puis, quand j'ai senti qu'il allait éjaculer, j'ai serré les fesses et c'est au fond de mon cul qu'il a éjaculé son sperme chaud. C'était trop bon. Quand je suis parti, j'avais encore du sperme qui sortait de mon anus et qui coulait entre mes cuisses. En plus de ne plus être vierge du cul, j'avais ressenti beaucoup de plaisir, à tel point que je ne pouvais plus me passer de sa queue, et lui de mon cul et de ma bouche.

J'étais devenu sa salope, son vide-couilles. On avait même aménagé un local dans une cave pour nos ébats. À chaque fois qu'il en avait envie, je me rendais dans le local vêtu comme une salope, toujours avec guépière, bas, string, minijupe, bustier et escarpins, mais aussi avec une perruque blonde et maquillé.

C'est accroupi que je commence par le sucer en léchant bien ses couilles. Il aime ça, moi aussi quand sa bite est bien raide, je m'empale dessus. Je mouille tellement du cul que ça entre comme dans du beurre et, à force d'avoir été sodomisé par son gland, mon anus s'est un peu élargi. Après de longs va-et-vient, j'adore reprendre sa queue dans ma bouche et le sucer fort jusqu'à ce qu'il éjacule dans ma bouche. À chaque fois il gémit en me disant :

- Oooh oui, continue Yannick, tu suces bien, vas-y encore ma salope, oooh t'aimes ça Yannick, vas-y continue vas-y je vais jouir dans ta bouche de salope Yannick !

Et c'est dans un dernier gémissement que je sens son sperme inonder ma gorge, son jus chaud et salé que j'avale jusqu'à la dernière goutte tellement j'adore avoir son sperme dans ma bouche !

Voilà ce qu'il s'est passé entre lui et moi et cela a duré 8 ans où j'en ai pris plein mes fesses et ma bouche. Bien sur, personne ne l'a jamais su, on a toujours été très discrets.

Voilà mon histoire réelle. Bien sur il y a une suite à cette histoire, je vous en dirai plus si elle vous a plu et que vous voulez la suite.

Bisous.


Tatiana