Cette histoire remonte à peine au tout début
du mois de juin. J'ai 20 ans, je suis étudiante en Sciences
économiques et, avec Barbara, une copine de la fac, nous
avons révisé ensemble nos examens de fin d'années. Nous
travaillions très tard, chaque soir, tantôt chez elle, tantôt
chez moi.
Un soir, nous étions assez fatiguées toutes les deux, après
avoir bossé le cours consacré à l'histoire des faits économiques
et sociaux. On a laissé tomber nos bouquins et on s'est
installé devant la télé qui se trouvait face au lit du studio
de Barbara. Elle s'est mise à zapper jusqu'à ce qu'on tombe
sur les images d'un film porno. En riant, Barbara m'a proposé
: " On regarde un peu ? ". Le film était plutôt cochon.
Gros plans de sodomies profondes, double pénétration et
même triple... Et au beau milieu, une scène lesbienne des
plus torrides. C'est devant deux femmes blondes épilées
entre les jambes, et qui se trouvaient en 69 au bord d'une
piscine, épiées par le jardinier qui se masturbait, que
Barbara m'a demandé avec une voix légèrement nouée si j'avais
déjà fait ça avec une fille. Moi non mais visiblement, elle
oui et les images avaient l'air de l'exciter tout autant
que moi. Elle a fini par se montrer plus directe avec moi
et quand elle a approché ses lèvres des miennes, je n'ai
pas esquissé le moindre mouvement de recul. A vrai dire,
cela faisait longtemps que je rêvais d'une telle expérience
même si j'avais toujours pris beaucoup de plaisir avec les
garçons. Ensuite, tout est allé très vite et nous nous sommes
désintéressé du film.
Barbara a fait glisser ma jupe sur mes cuisses avant de
me débarrasser de mon tee-shirt. Mon soutif a volé dans
un coin de la pièce et elle s'est mise à caresser mes seins,
à les lécher avant de descendre ma culotte jusqu'aux chevilles.
J'avais l'impression de mouiller comme une vraie fontaine,
les cuisses écartées, le sexe largement offert à ses doigts,
je me laissais faire, haletante de plaisir. Quand elle a
pris ma main pour la poser sur ses seins fermes, je ne savais
pas encore si je serais capable de la faire jouir, je me
sentais bien moins experte que dans les bras d'un garçon.
C'est elle qui me guidait, en me demandant de la déshabiller
à son tour. Je l'ai fait, les doigts hésitants. Barbara
s'est légèrement redressée pour dégrafer l'attache dans
son dos, et elle a fait glisser son soutien-gorge sur ses
bras, dévoilant sa poitrine lourde et opulente. Les aréoles
faisaient deux taches sombres avec de gros tétons pointus
au bout... J'ai pris un sein dans chaque main et je les
ai délicatement pétris. C'était ferme et souple à la fois.
J'ai approché ma bouche et j'ai commencé à titiller l'un
de ses tétons avec la pointe de ma langue. Puis, je me suis
occupé de l'autre. J'ai sucé tour à tour les deux gros tétons
érigés sans cesser de malaxer ses seins volumineux. Je l'ai
débarrassée enfin de sa jupe. Barbara a ouvert ses cuisses,
dirigeant mes lèvres sur le renflement de sa culotte humide
qui épousait fidèlement son pubis et son sexe gonflé. La
culotte était imprégnée d'une forte odeur de cyprine. Je
l'ai embrassée dessus à plusieurs reprises comme elle me
demandait de le faire. J'ai passé ma langue sur la dentelle,
tout le long de la fente, puis sur le clitoris qui pointait
sous le tissu. J'ai essayé de glisser mes doigts délicatement
sous l'élastique du slip pour mieux la masturber. Barbara
avait pris ses seins dans les mains, les pétrissant sans
ménagement, les yeux fermés et ondulant de plaisir. Elle
m'a demandé de retirer sa culotte et, en faisant glisser
son slip en dentelle sur ses cuisses, j'ai eu le surprise
de découvrir que sa chatte était à demi épilée. La fente
et les lèvres bombées étaient lisses et imberbes, il ne
restait qu'un petit triangle de poils blonds au niveau de
son pubis. Elle écartait toujours bien ses cuisses et j'ai
dû la lécher ainsi un long moment. J'ai passé la langue
sur sa chatte sans oublier de sucer le clitoris comme elle
le réclamait. Soudain, elle s'est mise à me diriger d'une
voix plus autoritaire. C'était des : " Oui, continue, ma
petite salope. Excite-moi, branle-moi. " J'ai étiré sa fente
sur la chair rose de son vagin pour mieux la pénétrer avec
ma langue, j'ai frotté son clitoris après avoir écarté le
gros capuchon. Les exigences de Barbara se faisaient de
plus en plus fermes :
" Derrière, aussi. Touche-moi le cul. Lèche-le "
Je n'aurais jamais osé une caresse aussi intime si elle
ne m'y avait pas poussée. J'ai trouvé un anneau brun et
tout plissé en arrière des fesses. Je l'ai léché et je l'ai
délicatement massé en le pressant comme pour le forcer à
s'ouvrir.
" Vas-y, Encule-moi avec tes doigts. " Je lui ai obéi, salivant
sur mon index avant de le glisser entre ses fesses. J'ai
commencé à le faire aller et venir doucement dans son cul
alors que Barbara me semblait mouiller encore plus par-devant.
Elle a voulu changer de position et elle m'a demandé avec
autorité de venir sur elle. Je me suis placée comme elle
le souhaitait, tête-bêche, et Barbara s'est mise à me lécher,
à me griffer les fesses tellement elle était excitée et
déchaînée. Sa langue pénétrait tour à tour mes deux orifices,
elle me plantait également ses doigts dans le cul sans la
moindre douceur. Moi aussi, j'étais en train de perdre la
tête, emportée par la brutalité de ses caresses. J'écartais
ses fesses pour passer ma langue sur l'orifice sombre et
ourlé avant de la glisser à l'intérieur. Barbara avait perdu
toute retenue et dès que je l'ai senti jouir sous moi, j'ai
explosé avec elle dans un orgasme qui n’en finissait plus.
J'étais épuisée de plaisir et de sexe. Le film porno était
fini. Barbara a éteint la télé et nous avons continué à
faire l'amour.
Depuis, cette relation dure encore. Je comprends maintenant
pourquoi Barbara ne me parlait jamais de ses petits copains.
C'est une pure lesbienne qui se montre avec moi de plus
en plus exigeante et dominatrice. Elle me veut tout à elle
et toujours prête à réaliser ses moindres désirs. De mon
côté, j'ai découvert en moi des tendances que je ne soupçonnais
pas du tout. Je jouis très fort dans la soumission et j'avoue
que cela me culpabilise un peu. Beaucoup plus, sans doute,
que le fait d'avoir des relations avec une autre fille.
Je me demande si je ne devrais pas mettre un terme à notre
liaison avant que Barbara n'ait trop d'emprise sur moi.
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