Bonjour, je m'appelle Sylvie, j'ai 44 ans et suis mère de
famille. Mariée depuis plus de 20 ans je suis donc au fait de la chose et
avec mon mari d'abord, puis seule, j'avais déjà pris
l'habitude de visiter régulièrement votre site pourtant, c'est
la toute première fois que j'ose vous écrire.
C'est un événement passé et récent qui m'incite à le faire, à me
soulager auprès de vous et peut-être, trouver une explication à
l'attitude qui a été la mienne et qui m'a amenée à coucher
avec un autre homme que mon mari.
Est ce parce que c'est une situation que nous évoquions
régulièrement lors de nos ébats amoureux et que je n 'ai réalisé
qu'après coup, ce qui venait de se produire ? Je l'ignore.
Depuis de nombreuses années déjà, nous fantasmions à ce sujet. Mon mari
se plaisait à m'offrir virtuellement, à un autre homme et il était
inutile pour ma part, tant mon état était éloquent, de dissimuler le
plaisir ce que cela me procurait.
Nous avions abordé plus sérieusement cette éventualité mais lui tout
comme moi, je pense, n'avions imaginé franchir le pas. J'étais
vierge lorsque j'ai rencontré mon mari. Nous avions tout appris
ensemble et sexuellement nous étions assez complémentaires. Toutefois, il
semblait évident qu'il n'était assurément pas exempt du
sentiment de jalousie et moi-même, trop pudique peut-être, je ne m
'imaginais pas capable de coucher avec un homme sans éprouver de
sentiment. C'était encore vrai il y a 2 mois
En Mars dernier, après plusieurs années de relâche j'ai eu la
chance (malgré tout ) de retrouver un emploi dans un cabinet
d'assurances. La jeune femme que j'étais appelée à remplacer,
cessait son activité pour cause de maternité et la chance sonnait à ma
porte. J'étais embauchée en CDD le temps du congé parental. Après
plusieurs années d'inactivité, il me fallait remettre le pied à l'étrier.
C'est ainsi que j'ai fait la connaissance de celui qui devait
m'y aider mais qui allait être, aussi, l'objet de mes
turpitudes. Dés que je l'ai vu, j'ai tout de suite senti
qu'il pouvait être dangereux. Célibataire, beau garçon, beau parleur
(évidemment) mais à 27 ans à peine, je me croyais à l'abri de ce
prédateur.
David était là pour me mettre en relation avec une clientèle déjà fidèle
que je devais démarcher régulièrement. Cependant bien vite, je me suis
sentie dépasser par l'ampleur de la tâche.
Manifestement malgré son jeune âge, il était déjà bien intégré dans le
circuit et faisait preuve d'un professionnalisme qui, au fils des
jours, étalait de plus belle mon inexpérience. Le monde du travail a
considérablement changé et je m'en rendais compte. Il en fût ainsi
pendant plus de trois semaines, où chaque soir lorsque je rentrais, je me
sentais au bord de la crise de nerf, pleurant parfois sur mon statut qui me
paraissait de plus en plus précaire.
C'est vrai que financièrement c'était assez motivant et le
fait d'apporter moi aussi, ma contribution à l'amélioration de
notre vie familiale affirmer un peu plus mon autonomie.
Puis un jour, à l'occasion du déjeuner que nous partagions,
j'ai fait part à David de mon sentiment. J'étais au bord de la
rupture. J'étais à des années lumières de ce que j'avais
professionnellement connu etc...
Gentiment sa main se posa quelques instants sur la mienne et un frisson
traversa mon corps. Simple geste amical ou première approche ? Je ne savais
que penser. Sans que je m'en rende compte, cela il me l'avoua
plus tard, il le remarqua. Nous nous tutoyions déjà, aussi je pris parti de
le considérer comme un simple geste d'encouragement et nous avons
continué à converser mais autant que je m'en souvienne, j'étais
déjà troublée.
Nous étions en retard lorsque nous avons regagné notre voiture de société
et c'est sans méfiance aucune que je lui ai tendu les clefs
qu'il me demandait. J'étais plongée dans mes pensées, lorsque
arrêté à un « Stop » il s'est soudainement penchée sur moi et ses
lèvres se sont posées sur les miennes.
J'étais vraisemblablement ailleurs mais c'est vrai, j'ai
mal réagi. Peut-être est ce inconsciemment ce que je souhaitais mais ma
langue s'est enroulée à la sienne et je ne l'ai pas repoussé
lorsque sa main s'est posé sur mon sein. Notre étreinte a duré
quelques secondes et sans un mot, il a redémarré.
Je ne savais plus où me mettre, j'étais comme dans un brouillard.
Il conduisait en silence, les deux mains sur le volant. Je me souviens avoir
pensé à mon mari, mes enfants mais quand il s'est engagé dans un
chemin creux, je n'ai rien dit.
Je me souviens de son sourire entendu, de sa main sur ma cuisse puis de
nouveau, de sa bouche qui nous a uni dans un baiser passionné. De
langoureuse, elle s'est faite plus vorace. Mon coeur battait « la
chamade », ses lèvres posées sur mon cou m'affolait tout autant que
l'effluve de son parfum que je respirais. . Progressivement mon corps
y répondait et il le découvrait.
Sa main glissée dans l'échancrure de mon chemisier, il a découvert
ma poitrine, caressant le galbe de mes seins, jouant avec mes mamelons
qu'il ignorait sensibles. Lorsqu'il a glissé sa main entre mes
genoux, j'ai eu une pensée pour ma tenue Pour m'en
désoler. Sous ma jupe, élément de base d'une bonne représentante
paraît-il, pas même de Dim-Up sexy. Non, un collant et une simple culotte
gainante !
Mais sa main remontait, caressait et je sentais son contact maintenant
entre mes cuisses. Mon ventre était un volcan, il se liquéfiait sous la
pression de ses doigts . La jupe remontait sur le haut de mes cuisses,
j'avais perdu toute pudeur.
La partie était gagnée ou perdue, tout dépend, et nous le savions.
J'ai coopéré pour sortir du véhicule dont l'exiguïté était
avérée et me suis agenouillée tout comme lui, sur un imper qu'il a
jeté au sol. Il faisait bon, les premières chaleurs de printemps.J'étais dans le même état.
Nous étions face à face, à côté de la voiture qui nous dissimulait de la
route éloignée d'une vingtaine de mètres. Sans que je le réalise
vraiment David avait largement découvert ma poitrine qui me révélait
outrageusement et je saisissais l'indécence de ma tenue !
Lorsqu'il a crocheté mon collant pour m'en débarrasser,
j'ai posé ma main sur son entre jambe. Sous le tissu, je sentais son
sexe tendu. Comme une automate, je l'ai dégrafé lui aussi. Il portait
un de ces shortys , en matière soyeuse qui moulait terriblement son membre.
Je réalisai fort bien ce qui était en train de se produire et par ce
geste, j'affichais pleinement mon désir. Je ne l'avais encore
jamais fait avec un autre homme, pas même lorsque j'étais adolescente,
et nous étions allés trop loin. Il caressait mes fesses, mes cuisses,
frôlait mon ventre. Sa bouche embrassait mes seins, m'embrassait.
La hantise d'être surprise et donc d'aller vite ou la peur de
paraître « gourde » je ne sais pas mais je me suis levée afin qu'il
retire complètement mon collant qui me gênait et immédiatement, sa bouche
s'est posée entre mes cuisses. Sa langue a couru entre mes lèvres.
J'ai un sexe assez fourni que je ne dégarnis
qu'occasionnellement à l'occasion des vacances et
j'imaginais dans quel état je devais être. J'avais les fesses à
l'air. Le corsage à moitié dégrafé. Et ses doigts qui me
visitaient.
Lorsqu'il m'a retournée contre la voiture, j'ai bien eu
cette pensée que j'allais commettre l'irréparable, que ce ne
serait plus comme avant, que je trahissais mon mari mais aussi, j'éprouvai
cette satisfaction de plaire encore et même, à de très jeunes hommes. Les
rondeurs de ma taille et les quelques traces de cellulite contre lesquelles
je luttais désespérément n'entamaient en rien le désir de David qui se
frottait contre mes fesses. Ses doigts caressaient mon clitoris et Oui,
j'aimais cela. Ses doigts en moi ne pouvaient l'ignorer. J'avais envie de
lui et je l'ai encouragé, souhaitant qu'il utilise un préservatif..
Nous nous sommes séparés et c'est à ce moment précis, lorsqu'il s'est
tourné vers l'habitacle que j'ai pu mesurer la beauté de son sexe.Il
était tendu à l'extréme, droit, le gland pourpre ,la peau ambrée. Lorsque
je me suis baissée sur son ventre, il a semblé surpris de mon initiative.
Je ne le cache pas, si je n'avais jamais goûté d'autre homme que mon
mari, l'avoir fait est un des moments les plus forts qui reste ancré dans
mon esprit. J'avais envie de lui plaire mais aussi d'essayer. Au début, je
l'ai sucé timidement, tout en le caressant. Il n'était pas plus fort que
mon mari mais me semblait trés différent.
Il avait une saveur différente. De sa main dans mes cheveux, il m'a guidé
et j'ai fini par l'avaler entièrement. Il me parlait, soufflait. Je
l'auscultais de la main, m'attardais sur ses bourses, l'épiais aussi, de
crainte qu'il ne se laisse aller et j'apréciais le plaisir qu'il prenait.
Puis il m'a relevée, enfilé son préservatif et s'est accroché à mes
hanches. il a pointé son sexe contre mon ventre et lentement m'a
pénétrée. Il est resté quelques instants au fond de moi, sans bouger. Plus
petite que lui, je me retrouvai dans une position que je n'appréciai
habituellement guère avec mon mari, lui aussi de grande taille, mais elle
offrait l'avantage de prévenir d'une arrivée impromptue .
Si je n'étais pas nue je n'en étais guère moins exposée. David
avait ouvert totalement mon chemisier et découvert entièrement ma poitrine
qu'il malaxait à pleine main. Ma jupe était retroussée sur mes reins
et dévoilait mes fesses que je cambrais vers lui pour faciliter la
pénétration. J'avais l'impression d'être plus nue, que nue.
Pourtant, dés qu'il a commencé à bouger en moi, je m'en
accommodai.
Je suis avant tout clitoridienne et plus longue à réagir à la pénétration
mais c'était plus qu'agréable. Il était doux et violent à la fois. Il
sortait peu mais me donnait de violents coups de rein auxquels j'ai fini
par m'offrir.
Jamais avec mon mari je n'avais été aussi déshinibée. je ne prêtais plus
aucune attention à ce qui se passait autour et j'étais réellement au bord
de la jouissance quand david s'est lâché.Nous sommes restés quelques
instants ainsi, l'un contre l'autre . Lui essayant de maintenir une
érection que je sentais diminuer, moi à l'écoute de mon corps qui
s'appaisait peu à peu.
Sur le chemin du retour, nous avons discuté. J'ai tenté de me
disculper.Tout en reconnaissant que cela avait été agréable, j'étais mariée
, que c'était la première que cela m'arrivait et que j'étais trop
vieille pour lui etc...
pourtant, comment être crédible lorsque profitant de l' arrêt de la
circulation je répondais à ses baisers et que je me prêtais à ses caresses
?
Le soir, je n'ai rien dit à mon mari. Je n'ai pas osé lui dire et si
je culpabilise parfois, c'est aussi parce que ce qui aurait pu être un
moment d'égarement n'a été toute compte fait qu'une tromperie de ma part.
Je n'ai pas su refusé les dejeuners particuliers qu'à plusieurs reprises,
j'ai passé avec David dans une chambre d'hôtel et pour lesquels, je
m'apprêtais pour lui plaire plus encore quand il découvrait mes bas. Pour
plaire, à un homme que près de 20 ans d'âge séparait. Notre histoire a
été courte. A peine trois semaines au cours desquelles, il m'a tant donné
que je ne lui ai rien refusé.
Notre histoire a pris fin naturellement parce que nous en avions fait le
tour et qu'il me semblait normal que nous retrouvions chacun nos repères.
Lui, les jeunes filles de son âge et pour moi,la sérenité auprès de mon mari
à qui je préfère pour l'instant, garder secret cet écart de conduite que je
considére finalement bénéfique à notre couple.
Voilà donc mon histoire, banale somme toute mais le fait de vous la
raconter me fait un bien immense et j'aimerais partager avec d'autres
lectrices des situations semblables, savoir comment elles ont vécus l'après
de leur liaison.
sylvie
Sylvie
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