TITRE : Je me suis découverte sur son balcon
Catégorie : 
Histoire Exhibition et voyeur
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J'ai rencontré Jérôme chez Sandra, ma meilleure amie. Sandra a toujours su s'entourer de beaux mecs qu'elle n'hésite pas à croquer en fonction de ses envies. Jérôme faisait partie de la liste. Il était tout à fait mon type d'homme, un beau brun ténébreux avec un regard brillant qui vous transperce et vous envoûte. Il m'a rapidement plu et après une soirée avec quelques allusions j'ai accepté son invitation chez lui le lendemain pour « finir notre conversation ».

J'ai fantasmé sur Jérôme toute la nuit, je me suis imaginée ses mains et sa bouche visitant la moindre parcelle de mon corps. J'ai laissé libre cours à mon imagination et me suis caressée à plusieurs reprises. Nue sur mon lit mes mains et mes doigts ont progressivement libéré des fantasmes sur la soirée à venir. J'avais envie de me montrer aussi délurée que Sandra, de partager avec elle mes intentions pour la soirée. Mon appel l'a amusée. Quelques minutes plus tard elle était chez moi et me présentait une petite robe noire avec un large sourire. Sandra a toujours envié mes seins fermes et mon 90C, je n'ai donc pas été surprise lorsqu'elle m'a conseillé d'afficher ma poitrine nue sous le décolleté très ouvert de sa robe. J'ai suivi son conseil et Sandra m'a accompagnée pendant toute ma préparation. Nous nous sommes quittées devant ma voiture. Son dernier geste a été de m'arrêter alors que je tirais sur sa robe qui dévoilait, à mon goût, trop largement mes cuisses. Elle m'a fait promettre de ne plus y retoucher de la soirée. Nos regards échangés sont devenus plus coquins, et j'ai promis.

Lorsque Jérôme m'a ouvert, je n'avais qu'une idée en tête, réaliser un des fantasmes de la nuit précédente. La robe choisie par Sandra a fait son effet. Sous mon sourire amusé Jérôme passait régulièrement de mes seins à mes jambes. Je me sentais prendre de l'assurance et l'encourageais à plonger dans mon décolleté par quelques gestes calculés. Au milieu de l'apéritif j'étais capable de garder mes yeux dans les siens et de me pencher exagérément devant lui pour récupérer quelques pistaches. Plus la soirée avançait et plus mon jeu de séduction s'affirmait. Je voulais le sentir plus proche de moi et notre face à face autour de la table de salon devait s'achever.

Aucun des fantasmes que j'avais imaginé ne se déroulait sur un balcon et c'est pourtant vers lui que je me suis dirigée mon verre à la main. Est-ce que Sandra aurait eu le culot de se diriger vers la chambre avec un grand sourire ? Moi pas. Je crois que je voulais simplement lui donner l'occasion de se rapprocher plus librement. En tout cas j'étais loin d'avoir prémédité ce qui s'est passé par la suite.

Je m'étais accoudée à la balustrade pour admirer la vue magnifique qu'offrait son balcon. En dehors du voisinage en léger contre bas on pouvait voir la mer. Je sentais le vent marin caresser mes cuisses et remonter s'engouffrer sous ma robe. J'étais impatiente que Jérôme me rejoigne et lorsqu'il a allumé le balcon je ne me suis pas retournée. Je voulais qu'il puisse regarder à sa guise mes jambes dénudées et mes fesses tendues. J'espérais qu'il vienne s'accouder près de moi et qu'il renforce l'intimité que nous avions commencé à créer. J'avoue avoir été surprise lorsque Jérôme est doucement venu se coller derrière moi. Lorsque ses mains ont commencé à glisser sur mes cuisses je me suis même esquivée à deux reprises. Avec le recul je crois que cette réaction est la principale cause de tout ce qui a suivi. J'étais venu pour m'envoyer en l'air et je rejetais son avance ! Sandra aurait probablement collé ses fesses contre son sexe. Elle l'aurait probablement invité à s'aventurer sous sa robe. J'ai pris mon courage à deux mains et j'ai osé. Après quelques secondes d'hésitation je suis revenue docilement prendre ma place dos contre lui et mes mains ont guidé les siennes sous ma robe.

Jérôme a immédiatement totalement changé de comportement. Sans la moindre hésitation et sans se soucier du fait qu'il relevait amplement ma robe au passage, il a commencé à remonter sa main droite pour venir caresser les lèvres de mon vagin. Il était très habile. Je n'ai offert aucune résistance ou n'ai fait aucun geste pour réajuster ma robe alors que je me tenais sur un balcon bien éclairé, offerte aux regards. J'étais partagée entre l'envie de me retourner pour l'embrasser et celui de ne surtout pas bouger pour l'inciter à continuer. Jérôme a compris l'invitation. Sa main droite s'est glissée dans mon tanga tandis que son autre main est venue se poser sur mes fesses pour les redessiner doucement de ses doigts. Je me sentais délicieusement céder et ne voulais surtout pas qu'il s'arrête en si bon chemin. Je me suis cambrée et j'ai émis un petit son de satisfaction. Sa main droite faisait des miracles avec mon clitoris et j'ai laissé sa deuxième main remonter ma robe haut sur mes hanches.

Je me rappelle avoir regardé rapidement autour de moi, consciente de me montrer indécente. Je savais que nous pouvions être surpris à tout moment mais je n'avais pas envie de l'arrêter. J'ai objecté un timide « non » lorsque ses mains ont fait glisser mon tanga, se contentant de le laisser bien apparent à mi-cuisses, probablement autant pour le plaisir de me voir exhibée ainsi que pour ne pas prendre le risque d'un refus au moment de l'ôter complètement. Un refus ! Excitée comme je l'étais par la situation, il en était plus question. Ses mains sont remontées lentement et j'ai tendu de plus belle ma croupe, ne gardant qu'une main pour me soutenir contre la balustrade pendant que de l'autre je commençais à caresser mes seins. Loin d'avoir peur d'être vue je cherchais maintenant du regard un éventuel voyeur pendant que je sentais les mains de Jérôme remonter le long de mes cuisses, l'une par devant et l'autre par derrière. Deux doigts de sa main droite sont venus se glisser entre les lèvres plus qu'humides de mon sexe, tandis qu'un doigt de sa main gauche s 'est arrêté contre l'entrée de mon anus, l'ouvrant un peu sans oser le pénétrer. Ses doigts se sont ensuite activés en moi, entrant progressivement plus profondément à chaque mouvement, chaque progression de la main droite étant accompagnée par une progression de la gauche. C'était délicieux. Tous mes sens étaient à l'écoute de ses doigts, de la lente progression de son majeur dans mon anus. Je sentais ma rosette se dilater, s'ouvrir et l'empresser d'aller toujours plus loin.

Le regard vague sur les lumières des pavillons avoisinants, je me faisais délicieusement doigter des deux côtés sur son balcon éclairé en plein vis-à-vis. J'étais offerte à m'importe quel voyeur. Jamais jusqu'à maintenant je ne m'étais imaginée un jour en pareille situation mais je ne pouvais qu'admettre y ressentir un plaisir d'une extraordinaire intensité. Sans me retourner (surtout pas), je me suis redressée pour me coller à Jérôme, prenant soin de conserver d'une main ma robe bien relevée pendant que de l'autre je me frayais un chemin derrière mon dos à la rencontre de sa braguette, de son sexe. Je voulais sentir son sexe nu et chaud dans mes mains, contre mon corps de plus en plus impatient. Jérôme profita de cet instant pour arrêter ma masturbation et remonter ses mains sur mes épaules. J'ai perçu au contact de son sexe un surcroît d'excitation lorsqu'il a descendu les bretelles trouvées sur mes épaules, libérant ainsi mes seins tout en bloquant mes bras serrés le long de mon corps. M'exhiber lui procurait du plaisir et je n'allais pas le décevoir.

Le vent caressait ma peau et complétait mon sentiment de nudité pendant que j'entourais déjà de mes doigts son sexe droit comme un I. Ma main prisonnière derrière mon dos commençait à le masturber, à le découvrir. Elle frottait délicatement son sexe contre ma vulve. C'est à ce moment là, alors que je commençais à me pencher à nouveau en avant tout en écartant au mieux mes cuisses malgré l'entrave de mon tanga, que mon regard a croisé celui d'un admirateur. Le voisin me regardait sans se cacher, debout sur la terrasse de sa maison, à guère plus de cinquante mètres en contrebas. Il avait les mains dans les poches de son peignoir et me fixait. J'ai senti mon désir se nourrir de son regard et je ne l'ai pas lâché des yeux lorsque je me suis penchée pour que le sexe de Jérôme s'engouffre en moi sans le moindre effort. J'ai offert mon plus beau regard de vicieuse à cet inconnu et j'ai accentué mon mouvement de recul contre le sexe Jérôme. Je voulais qu'aucune ambiguïté ne lui soit permise sur ce que je venais de faire. Je me rappelle avoir même progressivement entrouvert ma bouche et posé ma langue sur ma lèvre supérieure pendant que le sexe de Jérôme s'enfonçait en moi. La réaction de Jérôme fut immédiate. Ses mains sont venues s'accrocher à mes hanches pour imprimer un long mouvement de va et vient puissant. D'un geste ferme il me rabattait vivement contre son sexe et faisait claquer son ventre contre mes fesses. Je pouvais le sentir entrer au plus profond de moi et ressortir presque entièrement de mon vagin avant de le remplir à nouveau pleinement. J'étais comblée. Le souffle court j'exhibais mon plaisir. Je prenais soin de garder mes seins bien apparents et de régulièrement lancer des regards de braise à mon voyeur.

Mon meilleur souvenir de cette expérience est sans conteste le moment où bien empalée sur son sexe au bord de l'éjaculation, Jérôme a relevé mes cheveux pour mieux dévoiler mon visage. D'une main il les a tenus bien en arrière et a légèrement tiré dessus, me forçant ainsi à docilement relever un peu la tête alors que de l'autre main il glissait deux doigts dans ma bouche pour que je les suce. Jamais je n'avais sucé avec autant de vice deux simples doigts. Mes yeux ne quittaient pas mon voyeur, j'imaginais son sexe dans ma bouche en suçant les doigts de Jérôme. Les doigts de Jérôme accompagnaient maintenant les mouvements lents et profonds de son bassin. À ce moment précis je pense que j'aurais tout accepté. J'ai senti Jérôme se tendre pour aller encore plus loin en moi et le soubresaut annonciateur de son éjaculation. Les spasmes de son sexe ont déclenché en moi un orgasme fulgurant. Je l'ai accueilli les yeux ouverts et rivés sur le voisin, espérant de tout coeur qu'il puisse y lire que mon orgasme lui était aussi dédié, que dans ma bouche c'était son sexe que j'imaginais.

C'était notre première fois. Je ne me serais jamais crue capable d'un tel acte et jamais j'aurais imaginé y prendre autant de plaisir. Cette nuit là, j'ai perdu une partie de mes tabous et j'ai surtout découvert mon goût pour l'exhibition. Pour mon plus grand plaisir j'ai appris par la suite que ce n'était qu'un début, mais ceci est une autre histoire. Une autre histoire qui commença dés le lendemain soir et que je suis maintenant prête à raconter si vous le désirez, si vous le réclamez.

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