TITRE : Jardin Anglais
Catégorie : 
Histoire dans des lieux insolites
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L’été dernier, j’ai été invité à l’anniversaire d’un de mes meilleurs amis, Boris. Je savais que j’allais y revoir des copines d’enfance... Vu la chaleur qu’il faisait, Boris avait décidé de faire la fête dans un parc au bord du lac, le Jardin anglais. C’est un endroit assez sympa. Le soir, il y a beaucoup de monde qui vient se promener par là.


Comme à mon habitude, j’ai fait exprès d’arriver un peu en retard car j’aime bien quand l’ambiance a déjà commencé à chauffer et que les gens sont détendus grâce à l’alcool. Et j’avais raison de le faire. Quand je suis arrivé, tout le monde était en train de se saouler et rigolait bien. Je fis immédiatement le tour de toutes les femelles qui étaient présentes et je remarquai spécialement cette blonde. C’était Fanny, la fille sur qui j’avais fantasmé toute mon enfance mais que je n’avais jamais osé draguer. Elle avait bien grandi en tout cas. Surtout au niveau des seins ! Elle portait une jupe qui lui moulait les fesses à merveille et qui était fendue à l’arrière. La soirée ne pouvait pas mieux commencer.


J’engageai directement la conversation avec elle. Je fus surpris par la quantité d’alcool qu’elle ingurgitait. Pour ne pas passer pour un nul, j’essayai de suivre son rythme. Très vite, notre conversation qui était d’abord très banale devint de plus en plus chaude. Cette fille était vraiment une petite coquine, tout ce qui l’intéressait tournait autour du sexe. Je dois dire que ça ne me déplaisait pas, mais j’étais tout de même assez étonné ! Elle me proposa d’aller nous asseoir dans l’herbe un peu plus loin. Je pus grâce à ça apercevoir sa petite culotte blanche. Je m’allongeai en face d’elle de manière à avoir une bonne vue sous sa jupe et sur ses seins ravissants. Elle continua à me raconter sa vie sexuelle sans omettre le moindre détail. C’était sans nul doute très intéressant, mais j’étais un peu trop concentré sur autre chose, je crois.


À un moment, sans que j’ais le temps de réagir, elle se coucha à son tour et posa sa tête sur mes cuisses ou devrais-je plutôt dire sur ma queue ! Je me suis mis à bander comme un âne, impossible de faire autrement, vous pensez bien. J’avais un peu honte de moi à ce moment et j’espérais qu’elle n’ait rien remarqué. Erreur, elle posa sa main dessus et tâta mon engin comme quand on essaie de savoir ce qu’il y a dans un paquet cadeau. Ravi, je la laissai faire tout en jetant vite fait un coup d’œil autour. C’était hélas bourré de monde mais personne ne se préoccupait de nous apparament. Je pris alors l’initiative de l’embrasser bien goulûment, je m’allongeai sur elle et me mis à frotter mon sexe contre le sien. Elle avait l’air d’aimer ça cette chipie.


Mais moi je trouvais notre position un peu inconfortable, alors, d’un mouvement rotatoire, je la fis passer dessus. Ce mouvement bien maîtrisé fut malheureusement accompagné d’un bruit sec, comme quand on déchire du tissu. Elle me dit :

- Connard, je crois que t’as déchiré ma robe !

Je la palpai pour voir si c’était vrai et en effet sa jupe était bien déchirée à l’arrière. Je suivis avec les doigts la fissure pour voir l’ampleur des dégâts. J’avoue que j’en profitais aussi pour lui peloter un peu les cuisses... Ma foi ce n’est pas tous les jours qu’on peut faire ça pour rendre service. À ma grande surprise, la robe était déchirée jusqu’aux fesses. En toute honnêteté, je lui dis, en appuyant à l’endroit précis :

- C’est déchiré jusque là.

Seulement, l’endroit précis se trouvait au niveau de sa chatte. Je sentis alors l’humidité qui régnait en cet endroit. Elle gémit. Je me suis dis que ça pourrait la consoler si je la caressais un peu. Je glissai donc mes doigts sous sa culotte et en enfilai délicatement un doigt dans son vagin trempé. Elle gémit encore plus fort et se tortilla sur moi. À son tour, elle descendit sa main et déboutonna mon jean. Elle sortit ma bite et d’un mouvement plutôt expérimenté, me branla un court instant. Je dus la stopper moi-même parce que j’allais exploser. Je refis la même manœuvre rotatoire qu’auparavant (sa robe ne pouvait pas se déchirer davantage de toute façon) et me retrouvai dessus. J’arrachai sa culotte et la balançai à côté. C’est à ce moment que je réalisai que j’avais oublié qu’il y avait du monde autour. Peu importe, j’étais trop excité, je me convains moi-même que personne ne regardait la scène bien agitée. J’enfilai ma queue en elle en surveillant que personne ne voyait ce que je faisais et entrepris un mouvement de va-et-vient. J’oubliai alors les autres à nouveau.


Tout allait pour le mieux jusqu’au moment où cette coquine agrippa mes fesses et me tira contre elle comme pour que j’aille encore plus profond en elle. Je sentis une décharge dans tout mon corps et ma réaction fut sans appel, je larguai tout ce que j’avais en elle. C’était tellement fort que j’ai eu l’impression de la transpercer avec mon sperme. Je m’écroulai alors sur elle, ma tête fut amortie sur ses seins. Je restai dans cette position un moment, j’étais bien avec ma bite toujours au chaud et ses seins me servaient de coussin. C’est là qu’elle me dit :

- Tu vas pas t’arrêter au moment ou je commençais à prendre mon pied...

Ce genre de parole n’a qu’un effet sur moi, c’est de me faire bander à nouveau. Je me mis à baiser Fanny de nouveau mais cette fois plus tendrement et plus longuement. Toute cette herbe autour de nous me donnait l’impression de ne faire qu’un avec la nature. Quand nous avons fini, nous sommes allés nous asseoir avec les autres, comme si de rien n’était. Personne ne fit de commentaire, je pense qu’ils étaient décidément tous trop saouls pour comprendre quelque chose.

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