TITRE : J'ai sucé une femme à bite
Catégorie : 
Histoire Travesti et Trans

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Et dire que je ne pensais jamais me faire avoir ! J'avais déjà eu l'occasion de voir l'un ou l'autre film dans lequel un gars se faisait magnifiquement flouer par une femme qui n'en était pas vraiment une. Comme beaucoup, je riais aux dépens du pauvre couillon et je me jurais que jamais une telle chose ne pourrait m'arriver. Et bien, aujourd'hui, c'est moi le couillon. Bien involontairement, j'ai été amené à sucer la queue d'une belle femme.

Je ne vais pas vous raconter tous les détails de cette aventure. D'ailleurs, j'ai moi-même un peu de mal à me souvenir de tout. La soirée en boîte a été un peu arrosée, comme d'habitude. Ceci explique sans doute en partie cela. Quoi qu'il en soit, j'ai été abusé par une " minette " que je n'aurais jamais soupçonnée d'avoir une bite entre les jambes. Sur le dancefloor, elle était si féminine dans son petit top et sa minijupe. La pénombre et l'alcool ont du jouer contre mon discernement. Quoi qu'il en soit, nous nous sommes retrouvés assez rapidement dans sa voiture, garée sur le bas-côté d'une route très peu fréquentée, à quelques centaines de mètres seulement de la discothèque.

Là, elle s'est carrément jetée sur moi. Il faut dire que je ne me suis pas fait prier. Habituellement, le dimanche à l'aube, je repars plus souvent bredouille qu'en bonne compagnie. Alors, pour une fois que j'avais levé une bonne cochonne, je n'allais pas me priver d'en profiter. Les hostilités ont démarré très classiquement. Je lui ai roulé une pelle. Elle a tout de suite ouvert ses lèvres pour accueillir ma langue. Rien qu'à la manière dont elle réagissait, je sentais la chaudasse en mal de sexe. Elle a pris ma tête entre ses deux mains pour me serrer fort contre elle. Puis, ses doigts volontaires se sont emparés des miens pour les poser sur sa poitrine. Elle avait une paire de seins vraiment magnifiques, lourds mais pas trop ronds. Qu'en j'y repense, je me dis qu'elle devait être hormonée depuis un bon moment et que ses nichons étaient " naturels " plutôt que siliconés.

Je profitai amplement de ses charmes féminins mais, rapidement, elle prit les commandes. C'est elle qui ouvrit mes vêtements. Ma chemise d'abord, puis la fermeture de mon pantalon. Elle plongea vivement ses doigts dans mon slip pour en sortir ma queue qui bandait déjà raide. Nous étions sur la banquette arrière de sa caisse. Pour commencer, elle me branla. Ce fut la meilleure masturbation qu'une fille me prodigua jamais. C'était presque aussi bien fait que quand je me masturbais moi-même. Je comprends maintenant pourquoi elle savait si bien y faire, pourquoi elle connaissait si bien les gestes qui donnent du plaisir aux hommes. Quand elle posa ses lèvres gonflées et humides sur mon chibre, je me sentis défaillir.

Cette salope suçait vraiment comme une reine. Elle ouvrit la bouche très délicatement, après avoir laissé reposer un instant ses lèvres sur le sommet de ma queue. Durant ce moment, elle ne laissa sortir que l'extrémité de sa langue. Elle en profita pour la passer sur mon gland, juste à l'endroit de mon trou à pisse. Il se passa plus d'une minute avant qu'elle n'écarte un peu les lèvres pour me gober tout entier. Et encore, elle le fit très lentement ! Presque en se retenant. Tout en ouvrant la bouche, elle me serrait le nœud. J'étais en nage et tremblant. J'avais bien du mal à m'occuper sérieusement de ses gros nibards. Pourtant, je voulais lui donner du plaisir moi aussi. Je me penchai vers elle et esquissai un geste vers ses cuisses. Alors elle leva les yeux vers moi, tout en continuant de me sucer. Elle était vraiment craquante. Ses yeux brillaient dans la lumière naissante de l'aurore. Elle me poussa par les épaules et m'allongea sur la banquette, semblant vouloir me dire : " Laisse-toi faire ! Profite de ma bouche de pipeuse et jouis de mes caresses ! " J'insistai tout de même pour lui enlever son top. Elle me quitta quelques secondes pour passer le vêtement au-dessus de sa tête mais vint très vite se coller à nouveau à ma bite, comme une ventouse.

Le traitement terrible qu'elle faisait subir à ma tige devenait de plus en plus excitant. Ses doigts avaient rejoint sa bouche sur ma hampe. Elle me massait la base du membre et les couilles tout en me pompant. Son index venait me toucher le petit renflement qui sépare le scrotum de l'anus. Elle poussait dessus et, imperceptiblement, se rapprochait de mon trou du cul. Au bout d'un moment, elle entra ce doigt dans sa bouche et me tripota le bout du gland. Puis elle le ressortit, humide et lubrifié. Son index se dirigea entre mes fesses et vint me masser la raie, effleurant mon oeillet d'une manière de plus en plus insistante. Je ne lui laissai guère le temps d'accentuer ses manipulations digitales. Mes boules trop pleines se tendirent sous l'effet de l'excitation et giclèrent tout leur contenu brûlant vers sa gorge. Relevant à nouveau les yeux vers moi, elle me sourit d'un air vicieux en avalant tout mon foutre. Elle ma garda dans sa bouche de longues secondes, jusqu'à ce que ma jouissance s'épuise. J'étais un peu penaud d'avoir juté si vite et je m'en voulais de ne pas lui avoir encore rendu la politesse.

Désireux de me racheter et, surtout, ne souhaitant pas en rester là, je me relevai à moitié, faisant mine de prendre les choses en main. Elle s'agenouilla sur le sol de la voiture et quitta adroitement sa courte jupe. Je la voyais à contre-jour, son corps parfait se découpant sur la faible lumière du soleil qui se levait en ce petit matin. Elle portait un collant qui soulignait à merveille ses formes avantageuses de femelle épanouie. Son cul magnifique n'avait rien à envier à ses seins. Elle était vraiment formidable et bandante. Je venais de jouir et, pourtant, je sentais déjà la vigueur revenir dans mon sexe. Nous étions face à face, à genoux. Elle avança sa main pour me reprendre entre ses doigts. Je poussai mon ventre en avant pour mieux lui donner ma queue. Quelques attouchements bien menés suffirent à me mettre à nouveau au garde-à-vous. Elle se pencha pour m'embrasser.

Cette fois-ci, je ne voulais pas être le seul à jouir. Je glissai ma main vers ses cuisses. Mes ongles crissaient sur le nylon de ses collants. Elle accentua ses caresses sur ma bite, insistant à nouveau sur le bout de mon membre, comme elle l'avait si bien fait auparavant. J'étais fou de désir. Elle prit ma main avec la sienne demeurée libre. Elle me guida vers son ventre, passa mes doigts sous l'élastique du collant puis sous celui de sa petite culotte. Je sentais les poils frisés de sa chatte. Elle amenait ma main toujours plus bas. Jusqu'au moment où, dans un geste rapide, elle fit sortir sa queue du petit sous-vêtement de satin. Instantanément, je me retrouvai avec un manche bien dur entre les doigts. Les siens étaient là eux aussi. Ils commencèrent à guider le mouvement de ma main en m'empêchant de la retirer. Ses lèvres et sa langue se firent plus pressantes sur et dans ma bouche. Ses caresses plus appuyées sur ma bite. Je ne pouvais plus reculer, j'avais trop envie qu'elle m'amène une fois de plus à l'extase.

Enhardi par le désir, je me laissai aller à tripoter sa bite de femme. D'abord malhabile, j'essayai ensuite de lui prodiguer d'aussi agréables caresses que les siennes. Elle m'aidait toujours à bien la branler, accompagnant les mouvements de ma main sur son manche long et fin. Elle n'avait pas une bite vulgaire. D'ailleurs, rien n'était vulgaire dans son physique. Sa queue était à l'image du reste de son corps, belle et sensible, presque féminine. Elle grossissait bien entre mes doigts. Sentant que je prenais confiance et que la partie était gagnée, elle me lâcha. Ses doigts vinent une fois de plus me palper entre les fesses.

Puis, rapidement, elle s'allongea sur la banquette pour me pomper à nouveau. Sur le dos, elle m'attira vers elle et me fis comprendre qu'elle souhaitai que je lui rende la pareil. Sans vraiment savoir ce que je faisais, mais désireux de lui plaire, je m'installai sur elle. Nous étions tête-bêche. Je pris sans aucun dégoût son sexe en bouche. J'étais trop heureux de la satisfaire et aussi trop excité pour briser le rêve. Tant bien que mal, j'ai sucé ma première queue, celle d'une femme exceptionnelle, faite pour l'amour. Notre fellation réciproque n'a pas duré très longtemps. C'était trop fort, trop chaud. Pour moi, mais pour elle aussi. Elle a juté la première dans ma bouche. Je me suis forcé à avaler sa semence, tout comme elle. Je voulais qu'elle soit fière de moi pour mon premier pompier. Puis, nous nous sommes endormis dans les bras l'un de l'autre. Quelques heures plus tard, au réveil, nous nous sommes promis de nous revoir bientôt.

 

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