En ce moment, je me sens bien seule. Mon mari passe ses
journées au travail, les tâches ménagères et la cuisine
me laissent pas mal de temps libre depuis qu les enfants
ont quitté la maison pour l'université. Nous habitons au
bord de la mer et les tentations sont nombreuses pour une
jolie femme, la gent masculine locale préférant se prélasser
sur les terrasses ou les plages plutôt que trimer au boulot.
Alors quand je sens une chaleur incontrôlable mais bien
connue m'envahir le ventre, je me prépare à aller prendre
un petit café sur le vieux port. Je prépare soigneusement
mon haut très échancré laissant voir mon nombril, mes sous-vêtements
et ma petite jupe. Douche, parfum, maquillage, coiffure
et me voici partie.
Cette histoire est arrivée un lundi d'avril, la température
était déjà très agréable et les touristes n'avaient pas
encore envahi nos plages. J'ai donc pu garer ma voiture
tout près du Beach avant de m'installer face à la mer. Un
rapide coup d'œil aux consommateurs m'inquiéta quelque peu
car je ne vis aucun homme qui m'attirait, le serveur quant
à lui était plutôt efféminé. Je m'installais et commandais
un petit crème, rejetant mon visage en arrière pour l'offrir
aux caresses du soleil.
Un homme très séduisant arriva en même temps que mon café.
Il s'assit en face de moi sans paraître me remarquer, passa
sa commande et se mit à lire son journal. Il était grand,
très mignon, brun, carré d'épaules. En recevant son verre
il m'aperçut enfin et me gratifia un petit sourire de salut.
J'y répondis par un sourire charmeur en ajustant mon petit
haut découvrant mes épaules et se posant sur le bord de
ma poitrine.
- Ca vous ennuierait que me m'installe à côté de vous, je
préférerais être face à la mer?
- Non, je vous en prie, répondis-je avec empressement.
- J'ai un petit magasin dans le centre, une librairie, c'est
mon collègue qui s'en occupe ce matin. Je ne sais pas pourquoi,
j'étouffais, besoin de prendre l'air. J'ai bien fait, sans
quoi nous ne nous serions pas rencontrés. Je ne voudrais
pas que vous ayez une mauvaise opinion de moi mais je vous
trouve vraiment très jolie.
- Vous êtes direct en tous cas, malheureusement je suis
mariée et j'aime beaucoup mon mari
- C'est dommage pour moi ! Votre mari a beaucoup de chance
et ne doit pas se priver. Vous êtes vraiment très attirante.
Et, tout en parlant, il me caressa la main que je ne retirais
pas bien entendu, ce qui lui permit de s'enhardir et de
descendre vers mes cuisses. Le contact de sa main sur ma
jambe, montant lentement vers ma fente fit monter très vite
le désir en moi et je sentis très rapidement mon minou mouiller.
- Ne vous ai-je pas dit que je suis mariée ? Et si mon mari
passait par hasard ?
- Tu ne m'as pas l'air très farouche et j'aimerai beaucoup
voir ce que tu me caches sous tes habits.
Ses doigts passaient à présent sur mon string, caressant
ma fente protégée par un mince morceau de tissu. Ma respiration
se saccadait et je me penchais vers lui, lui offrant mes
lèvres. Je gémissais doucement lorsque nos langues jouèrent
ensemble. Je passais ma main sur la bosse dure qui couvrait
son pantalon. Ses mains remontèrent vers mon ventre et,
se hasardant sous le tissu, caressèrent mes seins encore
recouverts par un soutien-gorge en dentelle.
- Viens, emmène-moi quelque part, je suis chaude, tu le
vois bien. J'ai envie de ta queue. Je veux que tu me caresses
le cul
- Viens, mon magasin est tout près !
Il laissa un billet sur la table et m'entraîna vers sa voiture
- Montre-moi tes seins !
Sans me faire prier, je retirais mon soutien-gorge et il
se jeta sur mes mamelons durcis par le désir J'ai de beaux
90-95c auxquels peu d'hommes résistent. Sa langue les parcourait
pendant que ses doigts fouillaient ma chatte. J'étais totalement
trempée et rêvais de sa queue dans mon vagin. J'avais ouvert
la braguette de son pantalon et branlais un sexe dur et
très gros
- Viens, allons-y, dit-il en démarrant sa voiture !
Quelques minutes plus tard, que j'avais agréablement passé
à lui pomper la queue pendant qu'il conduisait, nous arrivâmes
à son magasin.
- Yves, je vais au bureau lança-t-il à son collègue en m'entraînant.
La porte à peine poussée, il se jeta sur moi, retirant tous
mes habits. Il m'avait plaquée contre le mur et je mouillais
comme une folle, les yeux fermés et la tête rejetée en arrière.
Sa langue jouait à présent avec mon clito durci. Il me retourna
et me saisit les fesses pendant que je m'inclinais, mains
contre le mur, ma croupe offerte. Sa bite glissa sans peine
dans ma chatte trempée et je criais de plaisir sans songer
à son collègue. Il me caressait la chatte tout en me pilonnant,
doublant mon plaisir.
Nos langues jouaient dans nos bouches et je ne me rendis
pas de suite compte que deux nouvelles mains s'étaient posées
sur mon corps. Son collègue venait d'arriver et je sentis
sa bite sur ma cuisse. J'étais bien trop excitée pour m'y
opposer et je branlais cette nouvelle queue qui allait bientôt
me fourrer. Je sentis ma première conquête accélérer sa
cadence avant de déverser son sperme épais dans ma chatte.
Nos cris de plaisir se mêlèrent et, lorsqu'il se retira,
je pus m'occuper de la queue d'Yves, plus courte mais très
appétissante. Je m'accroupis pour la lui sucer et je sentis
le sperme couler de mon vagin et tomber au sol.
Yves me releva rapidement et, me couchant sur la table,
me baisa tout en léchant mes seins. Un nouvel orgasme me
submergea pendant que je suçais la queue de Cyril qui reprenait
vie dans ma bouche. La chaleur chaude du sperme d'Yves envahit
ma chatte mais j'en voulais encore, je présentais donc vicieusement
mon cul à Cyril dont la queue avait repris toute sa vigueur.
J'avais tellement envie qu'il me bourre que j'accompagnais
du bassin ses mouvements de va-et-vient pendant qu'Yves
me léchait les seins et caressait mon oignon. La mouille,
les cris et le sperme se mêlèrent et Cyril se lâcha dans
mon cul. Rassasiée, je me rhabillais pendant que les mecs
allaient se laver dans les toilettes. Je tenais pour ma
part à conserver leur sperme dans mes trous, pensant déjà
à la petite douche coquine qui m'attendait une fois arrivée
chez moi.
C'est Yves qui me déposa à ma voiture, me laissant son numéro
de téléphone pour le contacter lors d'un prochain moment
de solitude.
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