Au matin, Maryline est réveillée par une sensation
bizarre. Le jeune Anglais la tient serré contre lui et elle
sent sa queue dure, insinuée dans la raie de ses fesses.
Elle se souvient brusquement de tout. Comment elle l'a sucé
la veille, avalant du sperme pour la première, comment ce
jeune homme de 18 ans l'a baisé, puis l'a enculé pour finir.
Sodomisée pour la première fois également, à 41 ans. Ces
souvenirs lui font chaud au ventre et, mine de rien, elle
pousse ses fesses vers lui pour que sa bite s'incruste.
Il gémit, elle tourne la tête, sourit et lui dit : "Bonjour
!" Pour toute réponse, il l'enlace et lui dévore la bouche
en un long baiser, auquel elle répond aussitôt. Maryline
se retourne alors et monte sur son jeune amant. Tout en
s'embrassant, il glisse une main sur sa chatte et glisse
vite deux doigts dans un véritable marécage. Puis il lui
tâte les fesses à pleines mains, pendant qu'elle frotte
sa chatte baveuse sur la queue dure. Il lui enfonce un doigt
dans l'anus jusqu'à la dernière phalange. Elle se soulève
à peine, pointe le gland sur sa fente et elle s'empale d'un
coup en poussant une longue plainte de plaisir. Lui ordonnant
de ne pas bouger, Maryline se met à s'agiter sur la queue.
Kevin se laisse faire. Elle se soulève en faisant sortir
la bite couverte de mouille et elle retombe de tout son
poids en se la renfonçant toute entière. Les pubis se choquent
et elle pousse des gémissements de plaisir. Elle se baisse
alors, écrase ses seins sur la poitrine de l'Anglais et,
joue contre joue, elle fait bouger son cul à petits coups
très rapides. Sa chatte aspire la queue avec avidité. Dans
cette position, elle offre son cul et elle murmure :
- Mets moi un doigt derrière !
Il lui fait lécher un doigt et il le lui introduit dans
l'anus. Elle accélère la cadence en gémissant. Elle se met
alors à lui sucer la langue, ses trois orifices emplis et
elle jouit en émettant des sons rauques. Kevin a eu le plus
grand mal à se retenir d'éjaculer. Ils restent ainsi quelques
instant. Toujours allongé, Kevin dit à la mère de son amie
:
- J'ai envie de t'enculer !
Maryline s'attendait à cette envie. Elle s'agenouille, se
baisse et commence à sucer la bite de son jeune amant. Elle
l'imbibe de salive et la lèche sous toutes les coutures.
En même temps, elle glisse un doigt dans sa chatte et s'assouplit
l'anus avec ensuite. Maryline se met à quatre pattes, la
tête sur les draps et elle s'écarte les fesses. Son anus
s'ouvre et se ferme au rythme de sa respiration, car elle
appréhende un peu le moment de l'introduction. Kevin ajuste
le gland sur la petite rondelle et pousse. En petits coups,
mais inexorablement, il s'enfonce dans ses reins. Pendant
toute la pénétration, il la voit grimacer et gémir doucement.
Elle s'efforce de mieux s'ouvrir pour l'accueillir, ses
deux mains décrochant ses fesses le plus possible. Le jeune
anglais a l'impression de pénétrer dans une fournaise sans
fond, sa queue est comprimée, le sphincter serre spasmodiquement
sa hampe avec force. Cela le stimule comme jamais il ne
l'a été avec une autre femme. Il se loge vite tout au fond
de son cul et ses couilles butent sur la chatte.
Maryline se détend peu à peu, elle sent son conduit presser
voluptueusement la queue, elle la sent plantée loin dans
son corps, lui retourner l'estomac presque. Son amant lui
tient les hanches et il commence à la sodomiser doucement,
en se sentant divinement à l'étroit. Il aurait aimé demeurer
toujours dans son cul, mais il ne peut plus retenir son
excitation. Après avoir baisé, avoir été sucé et avoir enculé
cette si belle femme qui a l'âge de sa mère, il se déchaîne.
Ses va-et-vient s'accélèrent, sa bite coulisse avec facilité
au fur et à mesure que le petit trou s'assouplit. Maryline
remue de la croupe, la douleur n'a pas été trop forte, elle
s'attendait à souffrir davantage et elle se dit qu'elle
s'habitue finalement plutôt bien à cette pratique qu'elle
avait toujours refusé auparavant. Le garçon accélère la
cadence et dit à une Maryline qui gémit de plus belle :
- J'aime t'enculer ! C'est bon, j'aime ça !
Elle est comme fouettée par ces paroles teintées d'un délicieux
accent anglais. Elle se met à s'empaler vers la bite qui
lui fait à présent plus de bien que de mal. Il la sodomise
de toute la longueur de son pieu, il se déchaîne, il lui
pilonne les reins à toute vitesse et de toutes ses forces.
Maryline sent soudain des jets puissants de sperme fuser
dans ses reins. Elle accélère le rythme et donne de violents
coups de croupe en arrière. Elle jouit soudain, son orgasme
est beaucoup plus fort que lorsqu'il l'a baisée auparavant.
En mollissant, la bite est rejetée par son anus. La belle
femme mariée a l'impression que son petit trou reste béant
et elle ressent une petite brûlure chaque fois qu'elle bouge.
En se relevant, elle se tâte le fin anneau d'un doigt et
dit à son amant :
- Tu m'as défoncé le cul ! Il ne veut plus se refermer.
Maryline prépare le petit déjeuner. Elle porte juste un
peignoir. Après avoir déjeuner, ils parlent inévitablement
de ce qu'ils viennent de vivre ensemble. La belle quadragénaire
est très intéressée par ce qu'a ressenti son jeune amant
et ce qu'il pense d'elle. Il lui avoue qu'il trouve bien
meilleur de sodomiser une femme que de la baiser, et qu'il
a adoré aussi qu'elle le suce à fond et qu'elle avale son
sperme. Maryline se sent de nouveau toute excitée. Jamais
il ne lui était arrivé d'avoir autant envie de faire l'amour
en un temps aussi rapproché. Maryline l'interromp soudain
et lui dit :
- Demain soir, quant tu prendras l'avion ! Suis-moi aux
toilettes de l'aéroport ! Je te sucerai la queue à fond
! Comme cadeau d'adieu, je boirai ton foutre !
Elle s'approche langoureusement, pose un baiser sur ses
lèvres, lui prend la queue dans une main, la trouvant bien
raide et elle ajoute :
- J'ai envie de toi encore ! J'ai envie de ta bite ! Viens
me la mettre dans le cul ! Viens m'enculer !
Elle sait que son jeune amant préfère ce trou là et elle
a envie de venir au devant de ses désirs pour lui laisser
un impérissable souvenir. Toujours dans la cuisine, elle
enlève le peignoir, apparaît nue devant le jeune homme.
Elle se sent salope et cela l'excite énormément. Elle se
tourne, pose une jambe sur une chaise et s'écarte les fesses.
Il a sous les yeux sa belle croupe et son anus qu'il voit
palpiter. Elle glisse un doigt dans son anus en lui disant
:
- Tu m'as bien ouvert le cul tout à l'heure ! Il est rempli
de ton jus ! Viens me le défoncer encore, j'en ai envie.
Elle, si timorée d'habitude, se surprend à exprimer haut
et fort ses envies, de façon plutôt crue. Kevin vient se
coller derrière elle en l'agrippant aux hanches. Sa bite,
de nouveau bien raide, bute contre les fesses offertes.
Quand il colle son gland contre l'anus de Maryline, elle
lui dit :
- Dis donc, tu es drôlement vicieux toi pour ton âge ! Tu
aimes mon cul ?
Le jeune Anglais taquine quelques secondes le petit trou
de la pointe de son pieu, en répondant :
- J'adore ton cul Maryline ! Il est tout petit et pourtant
il peut avaler de grosses choses ! J'adore aller dedans.
Aussitôt, il force. Tout de suite, il sent l'orifice s'écarter
sous la poussée. Le gland est entré sans aucune résistance
et, d'une seule poussée, il s'enfonce jusqu'aux couilles,
facilement, tant le conduit est bien graissé. Maryline pousse
un long cri guttural de douleur et de plaisir mêlés, elle
ne sait pas. Il l'a enculé d'un coup et c'est atrocement
bon. Il voit son visage grimacer, il craint de lui avoir
fait trop mal et il s'immobilise, ne bouge plus, toujours
bien ancré au fond de ses reins. Mais, sans attendre, Maryline
pousse son majestueux fondement vers la queue qui la défonce,
ses fesses forçant sur le pubis de son amant. Kevin prend
cela pour une invite, il ressort doucement du petit trou
et Maryline pousse sa croupe sur sa bite. Il se sent comme
avaler par l'anus bouillant et terriblement étroit. Cela
est à peine croyable comment cela a été facile de la sodomiser,
il n'en revient pas. Il ne bouge toujours pas et, fasciné,
il regarde la rondelle ouverte à se rompre, aller et venir
sur son manche. Elle pousse de drôle de râles chaque fois
que la bite s'enlise dans son rectum. Kevin n'en revient
pas, un pur délice...
Maryline se met à rouler lascivement des hanches en lui
lançant des regards excitants par-dessus son épaule où il
peut lire son plaisir et sa douleur quand elle grimace.
Il commence alors à accompagner la danse obscène de la croupe
sur sa bite, avec de lents va-et-vient. Il pourrait ne pas
bouger, tant Maryline se défonce avec force, en faisant
presque ressortir la queue de son cul. Elle halète en poussant
de petits cris, son dos se creuse de plus en plus au fur
et à mesure de la montée de son plaisir. Elle a la tête
rejetée en arrière et se cambre de plus en plus. Tout d'un
coup, elle le regarde, la bouche crispée, les yeux écarquillés.
Cela dure une fraction de seconde puis c'est du délire.
Elle est prise de spasmes qui la font se tordre dans tous
les sens en poussant un feulement continu. Son anus se contracte
autour de la queue. Qu'elle était belle, la bouche entrouverte,
toute gémissante tandis qu'il va et vient dans le doux fourreau
de son cul. Il est incapable d'en supporter davantage et
il jouit à longs traits, se répandant en elle en gémissant
de bonheur. Maryline s'affale par terre, les jambes coupées
par le plaisir, soutenue par son amant pour qu'elle ne se
fasse pas mal. Il sent le sphincter serrer convulsivement
sa queue mollissante jusqu'à ce qu'il l'expulse doucement.
Ils mettent quelques minutes à reprendre leurs esprits sur
le carrelage pourtant froid de la cuisine. Ils s'embrassent
tendrement, puis se lèvent. Elle le prend par la main et
l'emmène dans la salle de bain. Cela les revigore. Ils se
savonnent lentement une bonne demi-heure avec beaucoup de
tendresse. Leurs langues se cherchent. Ils s'essuient mutuellement
et elle constate avec surprise que Kevin bande de nouveau.
- Mon mari et mes enfants doivent arriver en début d'après-midi
!
Kevin l'entraîne vers le lit conjugal sur lequel il s'allonge.
Maryline attrape sa queue et la branle doucement. Elle commence
à la sucer, sa bouche est pleine et le pieu est déjà bien
dur. Elle lèche consciencieusement, en salivant d'abondance
sur le gland et toute la hampe. Son jeune amant lui caresse
les cuisses et, d'une main, elle se branle la chatte. Maryline
se sent bien dans les bras de son jeune amant. Elle n'a
aucun remord d'avoir trompé son mari, ni aucune honte de
ce qu'elle a fait. Elle est très surprise par l'intensité
du plaisir qu'elle a éprouvé en se faisant sodomiser. C'est
pour elle une véritable révélation. Elle n'imaginait pas
qu'une grosse bite, en un endroit aussi étroit, puisse causer
autre chose que de la douleur. Elle qui n'était pas attirée
par le sexe, a l'impression de voir la vie d'une façon différente.
Elle embrasse le jeune homme tendrement, leur baiser dure
de longues secondes. Maryline se redresse doucement, embrasse
le jeune homme une dernière fois et lui dit qu'il faut qu'ils
s'habillent, car son mari et ses filles ne vont sans doute
pas tarder à arriver. Et, en effet, une heure plus tard,
les voilà !
Après déjeuner, le lendemain, Maryline emmène Kevin à l'aéroport
accompagnée de sa fille. Depuis le retour de son mari, elle
n'a pas eu l'occasion d'être seule avec le jeune Anglais
et elle le regrette, même son anus, se dit-elle, bien qu'il
soit encore sensible et la brûle un peu. Pendant le trajet,
Maryline pense à tout ce qui s'est passé depuis l'avant
veille, pendant que sa fille discute à l'arrière avec son
correspondant anglais qui est assis côté passager. De là,
il aperçoit une cuisse de Maryline, en grande partie dénudée,
sa jupe étant remontée haut. Ils arrivent enfin à l'aéroport,
avec une bonne heure d'avance. Les bagages sont enregistrés
et embarqués. Sa fille décide d'aller dans un kiosque à
journaux, elle adore feuilleter les magazines et elle y
passerait son temps. Maryline lui dit qu'elle viendra la
chercher le moment venu, ajoutant que pour sa part, elle
doit se rendre aux toilettes car elle a mal au ventre. Comme
sa fille s'éloigne, Maryline se tourne vers son amant et
lui dit :
- Rejoins-moi vite ! J'ai envie de te bouffer la bite !
Je veux boire ton foutre.
Le jeune homme bande instantanément devant tant de promesses
et de perversité. Kevin attend une petite minute et pénètre
dans les toilettes. Il voit un WC fermé et il chuchote :"Maryline
?" Il entend le verrou, la porte s'ouvre et il voit la mère
de sa correspondante assise sur le trône, les jambes largement
écartées, la jupe relevée sur son ventre. Elle n'a pas de
culotte et elle se caresse doucement. Il a l'impression
que sa queue va exploser dans son slip tant il bande dur.
Il entre et tire le verrou. Il ne peut résister plus longtemps
à la tentation et il pose une main entre les cuisses de
la mère de son amie. Ses doigts glissent dans la fente qui
les imbibe de mouille, en faisant un bruit très excitant
de clapotis. De l'autre main, il défait les boutons du chemisier,
l'écarte et dégage les seins du soutien-gorge. Il les malaxe
à tour de rôle. Il enfonce soudain deux doigts dans sa fente,
ensemble, profondément. La jolie femme mariée se mord les
lèvres de plaisir. Les doigts vont et viennent rapidement.
Maryline se sent ouverte, onctueuse, sur le point de jouir.
Et, lorsqu'il se met à lui branler la chatte à toute allure,
elle est secouée par un violent orgasme.
Maryline reprend ses esprits au bout de quelques secondes.
Elle baisse le pantalon de Kevin, son slip et la queue dure
jaillit devant ses lèvres. Elle la prend d'une main et commence
un mouvement de va-et-vient. Elle ouvre la bouche et enfonce
la queue au plus profond de sa gorge. Elle se retire doucement
jusqu'au gland, puis l'avale jusqu'à la racine, son nez
butant sur le pubis de son jeune amant. Elle le suce ainsi
un long moment, tout en lui malaxant les couilles d'une
main. Puis, elle cesse de glisser ses lèvres autour du pieu
ruisselant de salive et se met à lécher le gland brillant,
l'entourant de sa langue, léchant toute la hampe et même
les deux couilles. Le jeune Anglais décharge avec violence
dans la bouche offerte une première giclée de sperme. La
femme adultère l'avale avec délice. Il retire sa queue aussitôt
et finit de décharger sur le visage de Maryline, en se branlant
vigoureusement. Par réflexe, elle tend la langue pour attraper
le plus possible de liquide. La giclée suivante fuse dans
sa bouche ouverte et les autres sur ses cheveux et sur ses
joues. Le foutre coule sur sa gorge et sur ses seins. Elle
recueille de ses doigts un maximum de sperme et les lèche.
Il guide sa queue qui commence à débander vers sa bouche
et attire la tête de la belle femelle. Il l'enfonce entièrement
dans sa gorge. Maryline se met à téter la queue de plus
en plus mollissante. Elle aspire le reste de foutre qui
en sort, mâchouille la bite qui devient une petite chose
élastique, qu'elle arrive à étirer comme un morceau de caoutchouc
en la suçant fortement. Enfin, Kevin se recule et la jolie
femme mariée porte une main à son visage, puis sur ses cheveux
où elle trouve quelques mèches engluées de foutre. Elle
les porte à ses lèvres et les lèche. Elle rajuste son soutien-gorge,
puis son chemisier et dit :
- Tu m'en as mis partout ! C'était délicieux ! Je me suis
régalée !
Elle se lève, baisse sa jupe, sort des WC et va se refaire
une beauté devant le lavabo. Elle est légèrement penchée
de manière à bien se voir dans la glace et Kevin admire
ainsi sa croupe cambrée. lle ne sait plus. On annonce alors
que l'embarcation pour le vol de Londres se fait dès maintenant
et la fille de Maryline arrive en courant pour l'en avertir.
Avant de la quitter, il lui murmure à l'oreille pour que
sa fille n'entende pas, qu'elle est une incroyable salope,
qu'il aimerait encore l'enculer quand il voit ses fesses
rebondies à travers la jupe, qu'il aime son cul et qu'il
ne l'oubliera jamais. Rien qu'avec ces paroles, l'envie
de Maryline revient brutalement...
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