Je passais mes trois semaines de vacances d'été avec mon
ami Anthony, dans un grand camping de la Côte d'Azur. Ce
lieu de villégiature était formé d'un ensemble de deux cents
bungalows environ. Chaque bâtiment était entouré d'une haie
d'arbustes, ce qui laissait une certaine intimité aux quelque
mille vacanciers qui résidaient là pendant cet été caniculaire.
Il y avait trois grandes piscines, deux courts de tennis,
deux mini-golfs, un grand supermarché. C'était des vacances
de farniente et de balades en décapotable avec ma 206 cabriolet.
Je profitais bien du soleil et d'Anthony. J'avais le premier
sur le dos le jour, et le second la nuit. C'était formidable.
Vers le milieu du séjour, un matin, en ramassant mon petit
linge étendu, je découvris une tache de sperme séchée sur
une de mes culottes. J'en parlai avec mon ami, ce qui le
fit rire : j'avais un admirateur-éjaculateur, comme il disait.
Je ne partageais pas son amusement. La chose se répéta les
deux matins suivants. Je commençais à devenir nerveuse,
j'allais gâcher mes congés avec cette bêtise. J'en reparlai
avec Anthony.
- Je n'en peux plus, mon chéri, il faut qu'on trouve une
solution pour découvrir ce type.
- Eh bien, si je dois enquêter auprès des quelques cinq
cents hommes du camping...
- Je veux le coincer et le punir.
- De suite les grands mots !
- Qu'est-ce que tu dirais si on se branlait sur tes affaires
? Et puis, tu n'es pas une fille, tu ne sais pas l'agression
que ça représente pour moi !
- Toi aussi ! Tu promènes dans tout le camping ta poitrine
à l'air. Tu as dû énerver au moins cent adolescents et deux
cents adorateurs de tes nichons, comme moi !
- Tu prends tout à la plaisanterie et tu me réponds comme
un macho que tu es ! Eh bien voilà, ma décision est prise
: mes nichons, comme tu dis, tu ne les touches plus, mon
cul tu ne le baises plus, jusqu'à ce que tu me chopes ce
sacripant. Là, je le punirai et toi, tu auras ta récompense.
- Ah, voilà qui m'intéresse, ce sera quoi ?
- Tu verras, une chose. Ou deux... que tu attends depuis
un moment.
- Banco ! J'accepte.
- À la bonne heure ! Tu as bien compris : ceinture jusqu'à
ce jour-là. Et pas de soulagement en solitaire : je veux
que tu aies les couilles bien pleines ; ça fait partie de
mon plan, et de ma récompense.
Cette nuit-là, Anthony resta embusqué de deux heures à
six heures, mais il fit chou-blanc : la souillure était
là quand je ramassai mon linge. Donc, l'homme opérait au
petit matin ! Le lendemain, mon chéri prit l'affût avant
le lever du soleil. Et là, au bout d'un quart d'heure, il
me ramenait un jeune homme de dix-huit ans, plutôt beau
gosse, transi de trouille.
- Voilà, j'ai rempli ma mission, à toi.
- Très bien. Voici donc le branleur. Tu vas recevoir une
punition pour t'apprendre à te masturber dans le slip d'une
femme. Choisis une punition.
- Une fessée ?
- C'est bon ! À poil ! Et vite ! Je veux te fesser cul
nu ! Mets-toi à genoux devant la table basse, allonge ton
buste sur la table et passe tes bras sous ton ventre.
Il s'exécuta. Je m'assis à cheval sur ses épaules, ce qui
eut pour effet de le bloquer physiquement. Il était maintenant
complètement à ma merci. Anthony était en face de moi et
me regardait, stupéfait. Il ne m'avait jamais vue dans le
rôle de la mégère. La scène devait être excitante pour lui
: sa copine en nuisette, assise à califourchon sur un gars
entièrement nu, et qui se préparait à donner une fessée.
VLAN !VLAN !VLAN ! Les premiers coups tombèrent. À gauche,
à droite, les fesses rougissaient rapidement. Le garçon
encaissait les coups. À cinquante, je m'arrêtai.
- Ça te suffit ?
- Oui, madame. Ne dites rien à mes parents, s'il vous plaît.
- Si tu ne recommences pas...
- Oh non, madame.
- Alors, tu peux partir.
- Merci, madame.
Il se leva et fila à moitié vêtu. Une fois seuls, je m'adressai
à mon homme :
- Anthony, prépare-toi pour ta récompense, déshabille-toi
entièrement.
- Oui, mais ne me fais pas le même traitement !
- Non, mon chéri, je veux que tu t'approches de moi et
que tu te branles doucement et, surtout, n'éjacule pas.
Anthony se branlait lentement en face de moi. J'avais envie
de sa verge. Je commençais à mouiller.
- Anthony, je vais avoir besoin de toi, enfin, surtout
de ta bite... Je veux te prendre dans ma bouche ; ce sera
la première partie de ta récompense.
Il obéit à l'instant. J'avalai goulûment sa verge et aspirai
à fond. C'était la première fois que j'allais le recevoir
dans ma bouche. Il était déjà très énervé et les prémices
de l'éjaculation ne tardèrent pas à se manifester. Son phallus
durcit et se raidit. Je calai le gland au fond de ma gorge
et laissai partir le sperme dans mon gosier. J'aspirai tout.
Anthony râlait de toutes ses forces. Quelle abondance...
trois jours de sperme retenu ! Quand il se retira, les dernières
gouttes coulèrent sur ma langue. Le goût âcre était nouveau
et un peu désagréable. Heureusement, j'avais tout reçu au
fond de la gorge et non pas sur la langue : j'aurais tout
vomi. Je ne sais pas comment font ces actrices qui ont l'air
de trouver ça excellent...
- Très bien, voilà une bonne chose de faite, dis-je en
me relevant.
J'allai à la salle de bain me rincer le visage. Anthony
entra lui aussi. J'ouvris le jet de la douche.
- Bon, je t'avais promis que tu me prendrais par-derrière,
mais allons nous doucher, nous serons mieux après.
Sous la douche, mon ami reprenait ses esprits. La fessée
dont il avait été témoin et ma pipe baveuse l'avaient abasourdi.
Aussi je profitai de cette nouvelle autorité pour prendre
en charge les préliminaires. Je me mis à genoux et pris
pour la deuxième fois ce jour-là son sexe en bouche. Rapidement,
j'obtins l'effet voulu. Mon homme était à nouveau prêt pour
me percer. À mon tour de profiter... Je me relevai et, de
mes deux mains, je pris appui sur ses épaules, afin qu'il
s'agenouille à son tour devant moi. J'avançai mon sexe vers
sa bouche. Anthony comprit mes intentions et me lécha doucement,
d'abord sur les lèvres, puis en profondeur. Ses mains parcouraient
les globes de mes fesses, parfois un doigt coquin glissait
vers mon anus. Je compris qu'il voulait sa deuxième récompense.
- Allez, mon chou, prends le savon et lave-moi entièrement.
J'étais aux anges. Ma chatte suintait de bonheur. Je n'y
tins plus, je me mis à quatre pattes devant lui et, d'une
voie rauque, je lui dis :
- Vas-y, mon chéri, prends ta récompense... mais d'abord
passe bien la vaseline.
L'effet de l'eau et de la crème vaselinée rendirent ma
raie culière complètement glissante. Anthony trépignait
d'impatience. Je me cambrai plusieurs fois pour qu'il comprenne
que j'étais prête. Il présenta sa pine devant ma petite
rondelle vierge et pesa contre elle. La graisse faisait
bien son effet et le gland entra. Une deuxième poussée,
et la moitié de la hampe pénétrait. Là, je commençai à souffrir,
mais en silence. Une troisième poussée, et mon petit trou
engloutit totalement la verge. Puis le recul, suivi d'une
poussée. La douleur disparut. Anthony versait de la crème
directement sur mes fesses. En quelques allers et retours,
j'étais huilée de l'intérieur et la manœuvre s'accéléra.
Je jouis totalement. J'étais littéralement ouverte par cette
bite qui me travaillait les entrailles. Je me cambrai, je
poussai jusqu'à ce que j'arrive à mes fins. Je reçus à grand
flot ma seconde éjaculation de la journée. J'avais l'impression
que le sperme jaillissait partout dans mon ventre. Nous
nous écroulâmes l'un sur l'autre.
Cette première expérience était formidable. J'avais eu
trois initiations dans la même séance : une domination masculine,
une pipe avec éjaculation buccale et une sodomie. Jamais
plus je ne pourrais renouveler autant de découvertes dans
la même journée et, qui plus est, avec l'homme que j'aimais.
Auteur
|