Je sais, j'ai des textes et des photos dans
mon ordinateur auxquels je tiens beaucoup.
L'informaticien est là, car mon matériel est
en quenouille, et il le tripote dans tous les sens. Je lui
demande d'essayer de ne pas détruire mes fichiers
tout en sachant que l'intérêt que j'y porte
risque d'éveiller sa curiosité.
Il fait son travail et parvient à sauvegarder ce
qui m'est cher. Il sait maintenant. Il n'a pas eu le temps
de lire les textes mais par contre il a dû voir les
photos de queues. Peut-être a t-il vu la photo où
je me fais enculer, celle où je suce ou encore celle
où mon visage est maculé de foutre frais.
Je le vois à son air gêné de celui qui
fait semblant de n'avoir rien vu. Il sait que je sais qu'il
sait. Mais il sait aussi que je vois bien qu'il est excité
par la situation. Son excitation est sans doute contagieuse
car je sens une chaleur qui monte en moi. Je me paie un
coup d'audace et je l'invite à ouvrir mon fichier
photos, histoire de vérifier qu'il n'y pas de dégâts.
Il l'ouvre et passe en revue mes photos hard les unes après
les autres sans commentaires. Je suis debout derrière
lui et lui assis devant mon ordinateur. J'ai le ventre juste
à la hauteur de son épaule droite. Le cour
un peu battant quand même, ma main se dirige vers
ma braguette. Je me demande s'il a vu mon mouvement ou pas.
J'espère bien car pour le cas où je me serais
trompé j'imagine qu'il s'en serait allé à
cet instant, mais il ne bouge pas et regarde toujours l'écran
ou fait semblant de le regarder. Mes doigts s'activent doucement,
sans brusquerie pour ne pas l'effrayer et j'atteins le petit
bout de métal de la fermeture.
Tout doucement je le descends vers le bas tout en regardant
les mains de l'informaticien qui ne sont plus sur le clavier.
Elles sont sur ses cuisses. La mienne est entrée
dans mon pantalon et caresse le tissu de mon slip juste
au-dessus de ma queue que je sens enfler. Il n'a pas pu
ne pas voir maintenant. Il sait très bien ce que
je suis en train de faire, mais il ne s'en va pas. Je ne
sais pas si j'ai la berlue ou pas mais il me semble que
son souffle s'est accéléré, que j'entends
battre son cour. Je me jette à l'eau et plonge ma
main dans mon slip en passant par le haut, par la ceinture,
et j'extraie ma queue et la mets à l'air. Elle est
là, dans ma main, moitié bandée, au-dessus
de son épaule. L'informaticien ne bouge pas, il attend.
Ses doigts sont remontés tout le long de ses cuisses
et sont maintenant à hauteur des aines. Je tiens
ma queue à quelques millimètres de sa joue
et je fais coulisser. Comme il n'y a pratiquement aucun
bruit dans la pièce, en dehors du ronflement du ventilateur,
on n'entend que le chuintement humide de la peau qui va
et vient sur la hampe et le gland. Un bruit mouillé,
séduisant, attirant, fascinant. J'accélère
pour le tenter et le bruit augmente. Il ne résiste
pas et tourne la tête d'un quart de tour vers moi.
Il n'a plus qu'à ouvrir la bouche pour me prendre.
Il l'ouvre. Je glisse mon membre dedans sans lui demander
son avis et il commence à sucer comme quelqu'un qui
a déjà souvent sucé et qui aime ça.
C'est parfait pour moi qui aime autant sucer que me faire
sucer. Il a fait pivoter la chaise et se tient maintenant
juste en face de moi et me pompe. Plus il pompe plus il
a envie, plus il s'excite, plus il va vite. Il a mis ses
mains à la base de ma queue avec le pouce sous ma
hampe et quand il plonge pour m'engouffrer il vient toucher
mes poils. Je n'ai pas besoin de lui demander quoique ce
soit, il ouvre tout seul son pantalon pour nous mettre à
égalité et il sort aussi sa queue raide. Comme
il n'utilise que sa bouche pour ma queue il peut se caresser
en même temps et il ne s'en prive pas !
Le spectacle me stimule autant que sa langue agile et je
sens que mon jus est en effervescence dans mes couilles,
qu'il cherche la sortie. Je sens venir une vague de foutre
chez moi. Je le préviens, par politesse, pour le
cas où il voudrait que je sorte ma queue, mais il
ne bronche pas et ses yeux me disent qu'il est prêt.
Il fait mieux, il abandonne sa queue pour mettre ses mains
autour de mes hanches, sur mes fesses, et me maintenir en
position. Il veut donc que je jouisse sur sa langue. Je
le fais et laisse couler la semence dans sa bouche jusqu'à
la dernière goutte. Le plaisir me secoue et me penche
en avant, m'obligeant à m'accrocher à ses
épaules. Il ne recrache rien et avale tout en silence
sans un mot.
Quand j'ai fini je lui fais signe de me laisser la place
et il se met debout tandis que je m'assois sur la chaise
! Il a juste ouvert son pantalon tout à l'heure pour
sortir sa queue et je fais donc descendre pantalon et slip.
Je prends ses hanches à mon tour pour l'approcher
de moi et je place sa queue dans ma bouche pour le sucer
et le pomper du mieux que je peux. Mes mains sont sur ses
fesses et mes doigts se glissent vers son petit trou. Il
m'a permis de jouir dans sa bouche et je ne peux faire moins
que de le recevoir à mon tour. Je ne le connais pas
du tout ce type mais je sens quand il est sur le point de
venir. Il a les couilles qui remontent tandis que sa queue
se redresse et il râle de plaisir. Son gland fendu
que j'imagine prêt à projeter sa semence est
contre mon palais. Il enfonce ses doigts dans mes épaules
et jouit.
C'est fait, c'est parti, il s'arrête de bouger et
tient ma tête. En giclant il approche son pubis de
ma bouche, enfonçant sa queue à fond et me
mettant le nez dans ses poils. Je reçois beaucoup
de jus, beaucoup de semence épaisse, chaude et odorante
qui coule directement dans ma gorge. J'avale tout à
mon tour.
Nous n'avons pas échangé deux mots, juste
nos semences.
Auteur
|