Je ne résiste pas à l'envie de vous faire
parvenir une petite confession intime. Ma vie sexuelle est
assez plate. Je vis depuis une dizaine d'années avec
une femme que j'aime et qui m'a donné trois beaux enfants.
Nous faisons l'amour quelques fois par mois, sans excès
et, surtout, sans faire preuve de beaucoup d'originalité.
Nous ne nous sommes jamais trompés, Du moins, j'en
suis presque certain pour ce qui concerne ma femme et totalement
sûr pour moi-même. Mais hier, il m'est arrivé
quelque chose à quoi je n'étais pas du tout
préparé.
Il faisait très chaud et pour trouver un peu de fraîcheur, nous
sommes allés à la piscine en famille, avec ma femme et mes enfants.
Les garçons aiment bien profiter des jeux mis à disposition par
l'établissement et je fais habituellement quelques longueurs pendant
que mon épouse les surveille. Puis nous échangeons les rôles.
Ainsi, tout le monde y trouve son compte.
Hier donc, je venais de terminer mon sport. Deux petits kilomètres de
natation et je m'apprêtais à rejoindre ma femme pour prendre sa
place. Désirant souffler un peu au préalable, je me suis assis
sur les marches qui permettent d'entrer dans le bassin ludique, celui qui accueille
les baigneurs " relax ". Ma famille ne semblait pas être là
mais plutôt à l'intérieur du bâtiment, près
de la pataugeoire pour les petits. J'y jetai un oeil pour m'en assurer. Effectivement,
de là où j'étais, je pouvais voir le quatuor en train de
s'éclater. Rassuré sur ce point, je décidai de m'octroyer
quelques minutes de pause sur l'escalier. J'observais les enfants qui jouaient
avec leurs parents, surtout des mamans seules. J'ai rapidement capté
l'attention d'une jeune mère accompagnée de deux pré-adolescents.
Elle m'a remarqué et j'ai noté qu'elle se tournait de plus en
plus souvent vers moi. Il faut dire que je suis assez beau gosse, surtout en
maillot de bain. Je venais de nager et ma musculature était mise en valeur.
Je lui fis un petit clin d'il discret et elle ne sembla pas s'en offusquer,
se risquant même à me gratifier d'un sourire.
Pendant plusieurs minutes, je la regardai jouer avec ses enfants. Puis, ceux-ci
la délaissèrent pour commencer à discuter avec deux jeunes
minettes sensiblement du même âge qui passaient par-là. Ils
s'éloignèrent, laissant leur mère toute seule dans le bassin.
Elle s'approcha de moi en reculant. Sans que nous n'ayons échangé
un seul mot, elle s'assit sur mes cuisses, posant son cul sur mon maillot. Elle
fit tout cela sans même me regarder. Je respectai son choix et décidai
de ne pas lui parler.
Aussitôt assise sur moi, la mère de famille vicieuse commença
à bouger son derrière. Elle s'était arrangée pour
venir coller son cul juste sur ma queue. En fait, mon sexe était pris
entre ses deux fesses, bien dans la fente. Elle portait un maillot de bain une
pièce très moulant, qui marquait bien ses globes. Elle commença
à faire travailler ses muscles pour me masser la bite. Je trouvais ça
très agréable. Qui plus est, c'était discret. Bien sûr,
elle était sur mes genoux, mais une personne inconnue ne pouvait pas
se douter de quoi que ce soit. Je tournai la tête pour vérifier
que mon épouse était toujours loin et occupée. C'était
le cas et j'en étais heureux. Pour une fois qu'il m'arrivait une aventure
excitante, j'aurais été dépité de devoir l'écourter
prématurément.
La jeune femme me branlait avec son cul. Elle était incroyablement musclée
et j'avais l'impression, quand elle me serrait, que ma queue était prise
dans un étau. Elle avait su trouver le bout de ma pine et appuyait dessus
avec ses muscles fessiers. J'étais tendu à craquer le maillot
de bain. Ou plutôt, les maillots : le mien et le sien. Pourtant, quand
elle passa sa main entre mes cuisses, par-devant, je me mis à bander
encore plus fort. Elle venait de me sortir la bite, par le côté
du maillot. Je ne savais pas comment réagir. Elle prit mon membre entre
ses doigts et commença à me masturber. Comme il fallait qu'elle
reste discrète et que ses gestes ne trahissent pas son activité
impudique, elle évitait les mouvements amples. Tout se passait sous l'eau
car il ne fallait pas éveiller l'attention des baigneurs alentour.
Elle s'attacha donc plus particulièrement à me caresser le gland.
Du bout des doigts, elle me le touchait délicatement. Parfois, elle les
faisait tourner sur toute la surface et à d'autres moments, elle se contentait
d'exercer de petites pressions régulières sur le nud. Mais
ce que j'appréciais le plus, c'est quand elle venait me titiller le trou
par où l'on pisse. C'était vraiment une bonne branleuse et elle
savait y faire. J'étais très excité et je me demandais
comment tout cela allait bien pouvoir finir. Nous n'avions toujours échangé
aucune parole et je ne voyais pas où elle voulait en venir. Un peu inquiet
tout de même, je m'assurai une fois de plus d'un rapide coup d'il
que ma femme et mes enfants ne pouvaient pas nous voir.
A ce moment là, l'inconnue lubrique se saisit de ma main et vint la
poser sur sa cuisse, juste à quelques millimètres du bord de son
maillot. Tout cela se passait également sous l'eau. Elle n'avait pas
besoin d'ouvrir la bouche pour me faire comprendre ce qu'elle attendait de moi.
J'avançai hardiment le bras et écartai la fine épaisseur
de lycra de son vêtement de bain, au niveau du pli de l'aine. Là,
je trouvai deux grandes lèvres impressionnantes, gorgées de désir
et prêtes à s'ouvrir sous mes caresses. Je ne me fis pas prier
pour les peloter, tirer doucement dessus et essayer de lui rendre le plaisir
qu'elle me donnait. Avant de prendre possession de sa chatte, je voulais prendre
mon temps. Je n'étais pas certain d'en avoir beaucoup devant moi, mais
je m'en serai voulu de gâcher l'instant de pur bonheur que je vivais avec
elle.
Je caressais doucement les babines de sa bouche sexuelle. Je remontais tout
au long de sa fente juteuse. Malgré le fait que son bas-ventre était
totalement immergé, je sentais bien qu'elle mouillait abondamment. Comment
aurait-il pu en aller autrement d'ailleurs ? Si elle était aussi excitée
que moi (et je n'avais pas de raison d'en douter), son calice devait déborder
de jus. La pensée de cette liqueur de femme se déversant dans
le bassin de la piscine me troubla et j'esquissai un sourire. Je remontai mes
doigts vers le haut de son sexe et débusquai le petit bouton qui s'y
cachait. Lui aussi était gonflé et n'en pouvait plus d'attendre
qu'on vienne le toucher. Avec le bout de l'index, je commençai à
le tripoter. Plus bas, j'introduisis enfin le majeur dans le vagin de la mère
de famille coquine. C'est à ce moment qu'elle prononça ses seuls
mots, dans un souffle :
- Mets en deux !
Ce fut tout, je ne devais plus l'entendre par la suite.
Elle continuait à me branler la queue vicieusement. Son bras restait
immobile mais son poignet s'agitait sous l'eau. De l'extérieur, on n'aurait
jamais pu soupçonner ce qui se passait réellement. Je ne voyais
pas son visage, mais j'étais certain qu'elle maîtrisait parfaitement
ses réactions physiques pour donner le change aux autres baigneurs.
Elle avait pris mon manche en main, repliant ses doigts sur la colonne veineuse.
Seul son pouce restait sur mon gland. Elle le caressait toujours aussi bien
et parvenait à faire rouler son doigt dessus tout en allant et venant
au long de la hampe de chair. Elle était vraiment douée pour la
masturbation. J'essayais, de mon côté, d'être à la
hauteur de ses attentes. Pour cela, je m'appliquais à répéter
sur son gros clitoris les gestes qu'elle utilisait sur ma propre anatomie. J'avais
aussi posé mon pouce sur le bout et je la fouillais plus bas avec les
deux doigts qu'elle avait instamment réclamés. Par contre, j'avais
un peu plus de mal qu'elle à ne pas me trahir par des mouvements suspects
du bras, voire de l'épaule. Sans doute cela était-il dû
au manque de pratique. Tant bien que mal, pourtant, j'avais l'impression de
la mener là où elle le souhaitait.
Ma bite était toujours plus grosse et je sentais venir le moment où
mon foutre viendrait lui aussi se répandre dans la piscine. J'accélérai
alors la cadence sur et dans son sexe. A partir de là, elle a eu beaucoup
de mal à se contrôler. Je m'en suis aperçu car ses mouvements
sur ma pine devenaient eux aussi plus rapides et plus désordonnés.
Ce n'était pas pour me déplaire, au contraire. La fin était
proche et je voulais qu'elle m'assène maintenant le coup fatal, celui
qui me permettrait de jouir enfin. Elle partageait visiblement mon envie et
ne tarda guère à me faire éclater. Quand mes couilles se
vidèrent dans l'eau chaude du bassin, je la sentis se raidir. Son sexe
se contracta sur mes doigts et ses fesses se serrèrent sur mes cuisses.
Elle jouit sans un bruit, dignement et discrètement.
Avant de me quitter, elle se retourna, me sourit et me gratifia d'un "
merci " inoubliable. Puis, elle partit comme elle était venue. En
deux ou trois brasses, elle avait disparue.
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