TITRE : Infidelité
Catégorie : 
Histoire Extra conjugale

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Un ami de sport m'a proposé de l'accompagner dans une soirée que des gens qu'il connaît donnent. Elle doit se dérouler dans un quartier chic de Paris et d'après ce que j'ai compris c'est le genre cocktail mondain. Je n'aime pas vraiment ce style de réception mais j'ai accepté histoire de voir des nouvelles têtes. Et puis mon mari a insisté pour que j'y aille afin de me changer les idées. Il est passé me prendre à la maison et nous sommes partis dans sa voiture.
Pendant le trajet, il me dit que je suis belle et que je vais plaire à ses amis. Il faut dire que j'ai mis beaucoup d'application dans le choix de mes vêtements et dans mon maquillage. Je suis ravie de son compliment.
Nous arrivons dans un grand appartement qui laisse voir que les propriétaires ne sont pas gênés question argent.
Un buffet est dressé dans le salon qui est luxueusement meublé de grands canapés et de fauteuils profonds. Une dizaine de personnes sont déjà là et les hôtes m'accueillent très gentiment reprochant à mon ami de leur avoir caché cette si charmante personne. Je trouve qu'ils en font beaucoup trop mais je me garde bien de faire la moindre réflexion.
« Nous ne serons qu'un petit groupe d'intimes » dit le maître de maison
« C'est à la bonne franquette, alors faites comme chez vous » ajoute sa femme.
Quels faux culs ! Le buffet vient visiblement de chez un traiteur et a dû coûter une certaine somme. Mais qu'importe.
L'ambiance est détendue, les invités semblent sympas, je profite de cette soirée. Les conversations sont agréables bien que les hommes soient un peu dragueurs mais je passe un bon moment.
Nous somme entrain de discuter et de rigoler avec un groupe lorsque mon ami passe son bras autour de ma taille. Comme c'est fait dans un geste amical je ne dis rien. Mais bientôt sa main descend sur ma hanche. Horreur, j'ai mis un porte-jarretelles et il va s'en apercevoir ! Je m'écarte précipitamment. Son regard me fait comprendre que le pot aux roses est découvert. Je suis vraiment gênée.
Heureusement qu'il n'insiste pas.
Il y a déjà un certain temps que nous sommes là et les gens se sont dispersés en petits groupes.
Mon regard est attiré par un couple assis sur un canapé qui ne se gêne pas pour s'embrasser à pleine bouche. Je me dis que c'est vraiment déplacé mais les autres ne semblent pas en être choqués. L'homme glisse une main sous la jupe de la femme qui écarte les cuisses. Il ne va quand même pas la masturber devant tout le monde ! Eh bien il le fait !
Outrée par leur attitude je me retourne. Les gens avec qui je discute ont, eux aussi, vu la scène mais ils n'en sont pas gênés. Au contraire ils sourient !
Voyant mon embarras, un des hommes me dit : « ils sont font un petit plaisir, ce n'est pas méchant. »
Je lui trouve l'esprit bien large.
Comme de bien entendu, la conversation tourne maintenant sur le sexe. Et ça les amuse !
Je n'ose pas regarder à nouveau vers le canapé craignant d'y voir que les choses continues.
Soudain deux des femmes qui sont de mon groupe s'embrassent.J'en reste coi !
Je regarde autour de moi et ce que je vois m'électrise. Le couple du canapé et presque nu et la femme fais une pipe à l'homme, d'autres couples s'embrassent ou se pelotent.
J'ai compris. C'est une partouze !
Je comprends mieux les allusions de mon ami ou des autres personnes présentent.
Ne sachant pas quoi faire, je me réfugie dans la salle de bain.
Je n'aime pas être prise au dépourvu et je n'apprécie pas du tout le traquenard tendu. C'est ce que je dis à mon ami lorsqu'il me rejoint.
« Tu n'aimes pas faire l'amour ? » demande -t'il
« Pas dans ces conditions. »
« Si j'ai bien senti, sous ta superbe robe, il y a des choses encore plus jolies. »
Je ne réponds pas.
« Tout à l'heure j'ai bien cru sentir la forme d'un porte-jarretelles. »
Je reste muette.
« Et si tu as mis des dessous sexys, c'est peut-être que tu avais une idée derrière la tête ? »
Ce n'est pas faux. Lorsque je me suis habillée, je me suis dis qu'il est plutôt mignon et que si il me faisait des propositions je n'étais pas sure d'y résister. Mais je ne peux pas lui dire ça.
Il avance à nouveau la main vers ma cuisse et, tout en la caressant, insiste sur la jarretelle.
« Tu es belle, Marie, j'ai très envie de toi. »
Lorsque sa bouche touche la mienne, je réponds à son baiser.
« Viens, je vais te faire l'amour »
Il m'entraîne vers le salon.
Au fond de moi, je sais que la situation ne me déplait pas. Ce que je n'aime pas, c'est de n'avoir pas été prévenue.
En arrivant dans le salon, je constate que les affaires sont déjà bien avancées. Des couples font l'amour un peu partout dans différentes positions. Des femmes chevauchent des hommes, d'autres sont prisent en levrette ou sucent leur partenaire. Les deux femmes de tout à l'heure sont, elles aussi, en pleine action. Visiblement elles se passent très bien d'homme.
Mon ami défait la fermeture à glissière de ma robe. Elle tombe à mes pieds. Il semble aimer mes sous-vêtements. Il faut dire que j'ai fais fort. J'ai une parure rouge à dentelle noire faite d'un slip complètement transparent, d'un soutien-gorge coordonné et du porte-jarretelles qui va avec. Maintenant je peux l'avouer, j'étais sure que nous ferions l'amour ce soir mais je ne pensais pas que ce serait dans ces conditions.
Il embrasse la naissance de mes seins enfermés dans le soutien-gorge pigeonnant et glisse ses mains sur mes fesses.
Je regarde autour de nous. Personne ne nous observe. Alors je me lance.
Je défais la ceinture de son pantalon, enlève le bouton et ouvre la braguette. Je passe une main dans son caleçon et me saisis de son sexe.
Sa main est entrée dans mon slip et est arrivée jusqu'à ma chatte qu'elle trouve déjà bien humide.
Nous nous masturbons quelques instants, puis, me mettant à genoux, je le prends dans ma bouche.
Je dois donner un certain spectacle. A genoux devant un homme dans une tenue plus que sexy.Mais je m'en moque, il n'y a plus que le fait de baiser qui m'intéresse.
Pendant que je le suce, il enlève le reste de ses vêtements puis nous nous allongeons sur la moquette. Là, il retire mon soutien-gorge et prend mes tétons entre ses lèvres tout en glissant une main entre mes cuisses. Bientôt un doigt m'investit puis deux. Il s'y prend plutôt bien et je ne tarde pas à sentir le plaisir monter. Pour lui faciliter la tâche, j'enlève ma culotte.
A peine l'ai-je fait qu'il plaque sa main sur mon sexe et le caresse insistant particulièrement sur le clitoris. Je suis tellement mouillée que ses doigts glissent sans difficulté. Les soupirs autour de moi ont pour effet de m'exciter.
Il se couche sur moi. Il va me baiser !
Je sens sa queue qui cherche l'entrée de ma chatte, qui la trouve et qui s'enfonce doucement dedans. Que c'est bon ! Qu'il me baise bien !
Des doigts se saisissent de mes tétons. Un homme c'est approché de nous. Je vais pour le chasser mais mon ami me demande de le laisser faire. Excitée comme je suis, je me dis pourquoi pas. Et je me laisse aller à la sensation de cette queue qui va et vient en moi.
Lorsqu'il replie mes jambes, je le sens au plus profond de mon sexe. S'il continue, il va me faire jouir.
L'homme qui s'occupait de mes seins m'embrasse. Au point ou j'en suis, je réponds à son baiser. Mon ami me demande alors d'être gentille avec lui. Je n'ai pas le temps de me poser la question de ce que ça veut dire que l'homme s'agenouille et avance sa queue vers ma bouche. Dire que je l'ai sucé serait exagéré. Je l'ai laissé faire, c'est tout. J'ai tourné la tête vers lui, j'ai ouvert la bouche et il y a introduit son sexe. Là, il a bougé doucement, s'enfonçant un peu puis se retirant.
C'est donc sans véritable envie que j'ai cette queue dans la bouche. Par contre celle que j'ai dans le sexe recommence bien vite à faire monter le plaisir. J'oublie celle du haut et me concentre sur celle du bas.
Le plaisir est de plus en plus fort et je sens que l'orgasme n'est pas loin. Sous le coup de l'excitation je me mets à apprécier la queue que j'ai dans la bouche. Je la prends dans une main et la masturbe en même temps que je la suce avec application.
Et là je jouis.
Les deux hommes ne me laissent pas le temps de récupérer. Celui que je ne connais pas prend la place de mon ami. C'est la première fois qu'un parfait inconnu me baise. Je le laisse faire ne pensant qu'au plaisir de sentir une nouvelle queue en moi. J'ai envie de jouir une seconde fois mais ça ne vient pas. Je lui dis de se mettre sur le dos et je me couche sur lui. Là, je sens encore mieux son sexe et j'imprime le rythme que je veux. Je sens sa queue qui s'enfonce au fond de mon sexe et dans un mouvement rageur je jouis pour la seconde fois.
Je me couche sur le coté pour reprendre mon souffle mais ça ne semble pas être de leur goût. Ils me font mettre à genoux et me demandent de les sucer. J'obtempère et les prends alternativement dans ma bouche.
Pendant que je les suce, deux mains se saisissent de mes seins. Je laisse faire. On m'embrasse le dos puis les fesses. Les mains quittent mes seins et remplacent la bouche. Maintenant elles glissent entre mes cuisses et deux doigts investissent ma chatte sans autre forme de procès. Je suis trempée.
L'homme qui est derrière moi me fait mettre à quatre pattes et me prend en levrette. Je n'ai même pas vu son visage.mais je sens bien sa queue.
Je suce toujours les deux autres et je sens les prémices de leur plaisir. J'hésite à m'arrêter mais je décide de continuer. Une première goutte de sperme s écrase dans ma gorge et le salaud se vide complètement dans ma bouche pendant que je branle l'autre.
Lorsqu'il s'est bien vidé les couilles le second veut le remplacer mais je refuse. Je veux jouir encore une fois avant.
Je me dégage de celui qui me prenait et me couche sur lui. Je vois enfin son visage mais je m'en moque. A peine me suis-je empalée sur lui que je jouis pour la troisième fois.
Sans qu'il sorte de moi, nous nous retournons et je me retrouve sur le dos. Il se déchaîne et me baise à grands coups de bites.
Quelques instants et il sort de moi. Il jouit abondement sur mon ventre.
Le troisième frotte sa queue sur mes seins insistant avec son gland sur les tétons. Je le prends dans ma main et le branle. Il ne faut pas longtemps pour qu'à son tour il se répande sur moi.
Ma poitrine et mon ventre sont couverts de sperme. Je retourne dans la salle de bain mais cette fois pour me nettoyer !
Dans la voiture qui nous ramène, je remercie mon ami pour la soirée.
C'était ma première partouze mais je me jure que ce ne sera pas la dernière.
Arrivés devant chez moi, il me prend dans ses bras et m'embrasse. Un long baiser tendre et délicieux. J'aurais bien continué plus longtemps mais je suis devant chez moi et un voisin pourrait nous voir ou encore pire, mon mari. Je sors de la voiture et j'ouvre la porte du jardin. Il me suit pour me dire au revoir. Il veut m'embrasser une dernière fois mais je lui tends la joue. Ses mains prennent ma taille.
« Embrasses-moi »
Je ne peux pas lui refuser ce dernier baiser mais nous sommes devant la porte du jardin, dans la rue. Aussi, je l'entraîne à l'intérieur de quelques pas. Je jette un coup d'oil vers la fenêtre de la chambre. Malgré l'heure tardive il y a de la lumière. Soit mon mari ne dort pas soit il s'est endormi avec la lumière. Je lui fais remarquer le danger de la situation. Ne m'écoutant pas, il se colle contre moi et m'embrasse. Le salaud bande encore.
Ses mains remontent ma robe et caressent mes fesses. Je m'écarte. Il me serre plus fort. Maintenant, une main entre dans mon slip et se glisse sur ma chatte. Perdant toute raison, je passe mes bras autour de sa nuque et l'embrasse passionnément.
Il ouvre son pantalon. Je devrais fuir mais je recule de quelques pas et je m'appuie sur un mur.
Je viens de participer à une partouze où trois hommes m'ont baisé et je vais avoir un nouveau rapport chez moi, dans mon jardin, à quelques mètres de mon mari.
Et ça m'excite à un point inimaginable !
Je retire ma culotte et je l'attends. Il plie les genoux et me prend debout. Il ne faut pas longtemps pour que nous jouissions tous les deux. J'ai un orgasme furieux, presque bestial mais tellement bon.
Il ramasse ma culotte et me dit qu'il la garde en souvenir puis il s'en va.
Quelle soirée !
Je m'essuie succinctement avec un mouchoir en papier et rentre dans ma maison
Je pénètre avec précaution dans la chambre. Effectivement, mon mari dort un livre sur le ventre. Tant mieux, je n'ai pas très envie de discuter avec lui. Et puis si j'avais dû me déshabiller devant lui je n'aurais pas pu lui cacher que je n'ai plus de culotte.
Je défais la fermeture à glissière de ma robe lorsque sa voix retentie.
« Tu es rentrée. C'était bien ? »
Mon cour fait un bond dans ma poitrine.
Je lui raconte deux ou trois banalités et je suis sur le point de m'éclipser dans la salle de bain lorsqu'il me demande de venir m'asseoir à coté de lui. Je lui demande d'attendre que je sois déshabillée mais il insiste. Je m'assois donc sur le lit.
Il me dit que je suis très belle et que cette robe me va vraiment bien. Je le connais suffisamment pour savoir qu'il a envie de faire l'amour. Comme si je n'avais pas eu mon content pour ce soir !
Il glisse sa main dans l'ouverture de ma robe et caresse mon dos.
« Tu as dû faire des envieux. Tu es très désirable comme ça. »
S'il savait que je ne me suis pas contentée de faire des envieux mais que j'ai été copieusement baisée.
Le plaisir de mon ami commence à couler le long de mes cuisses.
Il défait maintenant le haut de ma robe qui descend le long de mes épaules dévoilant le soutien-gorge.
« Sexy. Tu es allée à une soirée ou à un rendez-vous galant » me dit-il sur le ton de la plaisanterie.
Je fais celle qui n'apprécie pas l'allusion. Il rigole et m'allonge. Il passe alors une main dans mon soutien-gorge et sort un sein. « Non s'il te plait, attends »
Ne m'écoutant pas, il passe une main sous ma robe. Il faut vraiment que je fasse quelque chose de toute urgence ou il va découvrir mon sexe nu et dégoulinant du sperme de mon ami.
« Attends, tu va froisser ma robe »
D'autorité je me lève juste avant que le pot aux roses ne soit découvert et je me précipite dans la salle de bain.
« Je me lave et je reviens »
J'enlève précipitamment mes vêtements et je cache le porte-jarretelles. Puis j'efface les traces de mon infidélité et le rejoins.
Nous faisons l'amour.
Il me connaît bien et sait me faire jouir en me disant les mots crus que j'aime parfois entendre dans ces conditions. Mais lorsqu'il me dit que je suis une salope, il est à cent lieues de penser à quel point c'est vrai.
Après m'avoir fais jouir (une fois de plus dans la soirée !) il me retourne et me sodomise. Tiens, je n'y avais pas encore eu droit ce soir.
Ce fut vraiment une soirée inoubliable.
Marie

 

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