TITRE : Infidèle
Catégorie : 
Histoire Extra conjugale

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Je suis mariée à Richard depuis 5 ans. Lorsque je l'ai connu, je ne dévoilais rien et était plutôt timide sexuellement. Petit à petit, il m'a dévergondé et a transformé ma garde robe. Aujourd'hui, nous avons une relation sexuelle très développé et je m'habille de manière sexy et le pantalon a quasiment disparu de mes tenues.
J'aime mon mari et je lui ai été fidèle jusqu'à maintenant. Mais voilà, un moment d'égarement et ma vie extra conjugale fait dorénavant partie de ma vie.

Je suis chef comptable et le début janvier est une période difficile pour moi. Je travaille beaucoup est finie plus tard que d'habitude. Cette année a été plus éprouvante que d'habitude car nous avons connu des problèmes informatiques.

Il était 20 heures et je travaillais avec l'informaticien. Nous avons décidé de faire une pause et nous avions à notre disposition des plateaux repas. Nous avons dîner sagement et dégusté l'excellent quart de vin rouge inclus dans le plateau. Moi qui ne boit jamais, j'avais les joues bien rouges. Je suis allée me rafraîchir la figure pendant qu'il nous préparait un café serré. Je me connais et je sais que lorsque j'ai un peu bu, je suis très chaude et j'essayée de me contenir pour ne rien faire paraître. Revenue dans la salle informatique, je me suis assise sur un bureau pour boire le café qui me remettrait les idées bien en place. Les joues me chauffaient encore. Face à moi, Patrice dégagea mes cheveux et me caressa la joue. A ce moment, je me suis aperçue qu'en croisant et décroisant mes jambes, ma jupe était remontée un peu et la lisière de mes bas était visible. Je n'ai pas réagi à sa caresse par contre j'ai senti mes tétons se durcirent et une chaleur dans le bas du ventre qui m'alertaient de mon désir. Il posa alors ses mains sur mes genoux et se mit à les caresser en remontant lentement. Ma seule réaction fut de poser mes mains sur le bureau et de fermer les yeux. Je m'offrais. Il déboutonna alors la veste de mon tailleur et passa la main dans mon dos pour faire sauter l'agrafe de mon soutien gorge. A ce moment, j'ai eu un moment de lucidité et chercha à l'arrêter. Mais il avait déjà posé sa bouche sur un sein et je n'ai pas pu le repousser. L'autre main est passée sous ma jupe et il n'a pu que constater mon excitation. Je n'ai pu retenir mon gémissement. Il m'a alors mise debout et m'a retournée. J'étais maintenant impatiente. J'ai entendue la boucle de sa ceinture et un moment est passé. Ma jupe s'est relevée, mon string a glissé le long de mes jambes et j'ai senti le bout de son sexe couvert à l'entrée de mon intimité. Il m'a attrapé par les hanches et s'est enfoncé en moi. Il m'a baisé fougueusement et je prenais littéralement mon pied. Pendant ses pénétrations, il écartait de plus en plus mes fesses. J'ai senti un doigt titiller mon anus mais je lui ai retirée. Richard m'a initié à la sodomie et j'aime ça mais je ne voulais pas offrir à Patrice mon cul. Il m'a alors glissé à l'oreille qu'à la place, il voudra une gâterie. Il m'a besogné encore et encore avant de s'écarter et dans un mouvement rapide, il a retiré son préservatif et m'a retournée. Je l'ai pris en bouche et rapidement, j'ai senti une giclée au fond de ma gorge suivant par une autre. Je l'ai gardée en bouche et avalée ce que j'ai pu. Nous nous sommes rajusté avant de se remettre au travail. Je suis rentrée chez moi vers 23 heures, j'ai pris une douche et me suis blottie contre mon mari endormi.

Quelques jours plus tard, j'avais mon entretien annuel avec mon boss. J'étais également en tailleur jupe courte, veste et des dessous assortis et sexy. Mon patron a une grande table en verre. Il a fait une pile des papiers qui traînaient sur son bureau, a prit la fiche de suivi d'entretien et a commencé à me parler des objectifs passés.
Il louchait régulièrement sur mes jambes que je croisais et décroisais. Le premier objectif était atteint. Il me regarda droit dans les yeux et me testa :
- Si je vous demande de dégrafer un bouton de votre veste que feriez vous ?
Je trouvais le jeu amusant et m'exécuta.
A chaque objectif, il me demandais d'ôter un bouton supplémentaire. Je me suis vite retrouvée avec ma veste entièrement dégrafée mais je la maintenais croisée. Il me félicita pour la réussite du dernier objectif qui était de mettre en place les nouvelles normes de comptabilité européenne. Là, toujours en me regardant dans les yeux, il me proposa un nouveau challenge, de dégrafer mon soutien gorge.
L'aventure avec Patrice m'avait donnée envie de découvrir d'autres hommes et j'étais déjà bien excitée. J'ai écartée ma veste, passée les mains dans mon dos et fit sauter l'agrafe. Mes seins lui apparurent fermes et dressés. Il se leva, se mit à ma droite et prit un sein qu'il caressa avec douceur en insistant sur le téton. Je le regarda et de ma main la plus proche, fit glisser la fermeture éclair de son pantalon avant de déboucler sa ceinture. Je fis jaillir son sexe et pencha ma bouche. Il grossissait dans ma bouche. Après quelques minutes, il s'assit sur la chaise d'à côté, son sexe droit comme un i. Je me leva, enleva ma culotte, releva ma jupe et dos à lui, m'empala. Je montais et descendais sur sa tige tandis qu'il me malaxait les seins. Prise ainsi profondément et la particularité de la situation me fit avoir un orgasme magnifique. Dans l'excitation, je me suis soulevée pour présenter mon autre orifice à son sexe. Lentement je suis descendu pour le sentir entièrement en moi. C'est lui qui bougeait pour me prendre avec plus d'ardeur. Je l'ai laissé se vider dans mes fesses dans un gémissement de plaisir. Là aussi j'ai pris mon pied. J'ai compris aujourd'hui que j'aime le sexe au point de m'offrir à d'autres hommes. J'ai également découvert que cela nuisait en rien ma vie amoureuse avec mon mari et même ajoutait un certain piment à nos relations sexuelles. Tant que Richard ne l'apprend pas, notre couple s'en verra que plus heureux.
Aujourd'hui si le regard des hommes sur moi n'a pas changé, c'est l'attrait que je ressens qui a évoluée.
Depuis que je me suis libérée du point de vue de mes aventures extra conjugale, j'ai répondue à quelques tentations qui m'ont toujours apportées un plus dans ma vie sexuelle.

A la sortie d'une boite, fin d'une soirée entre fille, j'aperçois un des jeunes hommes, qui nous avez dragué faire du stop. Je le fais monter dans la voiture. Il m'explique que ces potes ramenaient 2 minettes et qu'il leur avait laissé la place dans la voiture. Seul garçon de la bande à ne pas avoir chopé une nana, Il me faisait pitié. Pour un jeune, il a réussi à me faire jouir quand je lui ai laissé me sauter à l'arrière de la voiture dans un parking isolé.

Il m'arrive maintenant d'avoir des pulsions et le besoin de me faire sauter. Je suis devenue une garce.

La venue des commissaires aux comptes est un moment pénible. C'est aussi la période de réunions de préparation. Mon Directeur, qui avait déjà eu le droit à mes faveurs, me convoqua pour mettre au point la stratégie à adopter. Arrivée à son bureau, je l'entendis dire à sa secrétaire de ne pas le déranger. Il m'ouvrit la porte et la referma à clé derrière moi. J'avais aussi envie et je ne me suis pas refusée. Avant même que je puisse m'asseoir, il m'a prise dans ses bras pour m'embrasser. Il me malaxe les fesses en remontant ma jupe. Il écarte déjà mon string et me caresse le minou. Je suis trempée. Il me retourne et je m'appui sur le bureau. Ma jupe est remontée au tour de ma taille. Il ne me retire même pas mon string mais l'écarte simplement. Je le sens rapidement en moi. Le plaisir monte au rythme de ses coups de butoir. Je sais que ça va être rapide mais j'ai également envie d'une étreinte rapide et forte. Il tint fort mes fesses et dans un dernier mouvement, se vide au fond de moi. J'ai eu du plaisir mais ressens encore en moi l'envie.
J'ai eu beaucoup de mal à me concentrer pendant la réunion avec les commissaires aux comptes. Il était plus de 21 heures quand nous sommes sortis. Il était grand temps de retrouver mon p'tit mari et dans l'état où je me trouve, il va devoir s'occuper de moi.
Je prends donc l'ascenseur accompagné du responsable du dossier. L'ascenseur s'arrête entre 2 étages et pour moi, c'est la panique. Je ne suis pas hystérique mais me mets à sangloter et même pleurer de peur. Pour me rassurer, l'homme m'entoure de ses bras comme pour consoler une petite fille. Le trouble s'installe mais je suis mal à l'aise et trop inquiète pour réagir. Effectivement ses bras m'apaisent mais je sens bien qu'il me caresse plus qu'il ne cherche à me calmer. Une de ses mains descend et effleure une fesse. L'approche réussit, il la pose directement dessus. Toujours pas de réaction et ce sont ses deux mains qui sont plaquées fermement sur mon cul. Maintenant, il les malaxe, les pelote. Adroitement, il plisse ma jupe afin de la remonter jusqu'à ce quel soit à ras de ma culotte. Tout à coup, je réagis et il a une main entre mes cuisses, une sur un sein et il me fait des bisous dans le cou. Je ne pense plus du tout à la panne d'ascenseur et lui offre ma bouche. Pendant notre baiser, un doigt s'est introduit entre mes lèvres, il a passé une main sous mon chemisier pour extraire un sein du soutif. Je dégrafe moi-même son pantalon et prend à pleine main son sexe en pleine érection. Ma culotte tombe à mes pieds. Il me retourne et me demande de prendre appui sur la paroi et de me cambrer au maximum. Il soulève ma jupe et me pénètre violemment. La paroi est un miroir et je le vois tenir mes hanches et faire ses mouvements en même temps que je le sens en moi. Ses paroles deviennent crues et dit qu'il se doutait que j'étais une salope qui aime se faire mettre. Puis, qu'il va me la fourrer dans le cul. Ca m'excite encore plus et lorsque je sens son gland à l'entrée de mon p'tit trou, je recule pour qu'il s'y enfonce bien. Il me sodomise avec fougue et moi je ne retiens plus mes cris. Il m'envoi sa sauce, fait encore 2, 3 aller retours et se retire, fier. Je m'essuie, remets ma culotte et à ce moment, l'ascenseur se débloque. Il s'en va comme si rien ne s'était passé. Je m'en fou, moi aussi, j'ai pris mon pied.
Après m'être fait sauter déjà 2 fois, ce soir mon mari me fera l'amour.

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