TITRE : L'inconnue du Parking
Catégorie : 
Histoire Exhibition et voyeur
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Un jour je croise, dans la galerie, une fille plutôt jolie, habillée d'une mini au ras des fesses, portant un paquet à la main. Elle se dirige vers l'extérieur. Je lui emboîte le pas, admirant ses longues jambes et le balancement de son petit cul. J'espère bien la voir monter en voiture, ce qui me révèle ce que cache à peine sa jupe. Sitôt qu'elle est assise, je suis à sa hauteur et découvre ses cuisses jusqu'au fond d'un slip blanc, à travers le collant noir. Quel dommage qu’il existe de tels collants, les bas sont tellement plus sexy. Elle se rend forcément compte que je la regarde, mais ne manifeste rien et démarre. Je suis sa voiture des yeux, ostensiblement planté au milieu de l’allée. Et j'ai un pincement au cœur… Au lieu de sortir du parking, je la vois le contourner et revenir sur ses pas par l'allée parallèle à celle qu'elle vient de quitter. Je me porte vite sur son passage. Elle ne peut pas ne pas me voir et passe doucement à ma hauteur. J'ai à nouveau une jolie vision de ses jambes et du fond de sa culotte toujours visible. Elle roule au pas et je marche à sa hauteur, côté passager, ne la quittant pas des yeux. Au bout de l'allée, elle marque l’arrêt, me laissant encore le temps de me rincer l’œil, puis redémarre et me sème. Elle n'a pas fait un geste pour rabattre sa jupe. Je la vois disparaître et, un peu dépité, je reprends ma balade d'observation.

Au bout de quelques minutes, il me semble apercevoir à nouveau la voiture rentrer sur le parking. Le cœur battant, je l'observe ; c'est bien elle ! Je vais à sa rencontre, me tenant bien en vue. Elle vient vers moi, et sans me jeter un regard, passe à quelques centimètres, au pas. Incroyable ! Elle n'a plus de collants et sa minijupe découvre largement son slip blanc, presque jusqu'à la taille. Elle se laisse admirer sur quelques mètres et me sème à nouveau. Bien planté au milieu de l'allée, je la vois qui me regarde dans son rétro et lui fais signe, bras écartés, pour lui montrer mon regret de la voir à nouveau partir.

Cette petite salope m'a mis le feu au sang et je sens mon cœur cogner. Je rêvais de tomber sur une exhibitionniste et l'aperçu qu'elle m'a donné d’elle me laisse sur ma faim. À ma stupéfaction, je la vois qui, au lieu de quitter le parking, s’arrête non loin de la sortie, dans un coin ou il n'y a pratiquement personne. Elle semble vouloir rester dans sa voiture. Fébrile et plein d'espoir, je la rejoins en marchant le plus vite possible. Elle me voit arriver. De loin, elle me regarde. Elle ne bouge pas. Le cœur battant, je m'approche du côté passager. Le moteur de la voiture tourne. Je vois sa main posée sur le volant, l'autre bras disparaît vers le levier de vitesse. Et je découvre que cette main, c'est sur son slip qu'elle est posée. Très doucement, elle se caresse, les cuisses légèrement écartées, sans même me regarder. Son doigt suit sa fente à travers le tissu qui moule ses lèvres gonflées et ses jolies cuisses tressaillent presque imperceptiblement Je m’approche de sa vitre. Elle n’a pas un regard vers moi, les yeux fixés droit devant elle. Ses joues sont un peu rouges, sa jolie bouche entrouverte et ses seins se soulèvent un peu précipitamment au rythme de sa respiration accélérée. Je suis fasciné par cette main qui caresse ce slip blanc, tétanisé devant ce spectacle tellement excitant et je n’ose bouger de peur de briser cet instant surréaliste. Sans un regard pour moi, elle semble concentrée sur son plaisir solitaire à tel point que je me fais l’effet d’un voyeur ayant surpris une jolie femme qui se donne du plaisir se croyant seule. Mais il est si évident que cette exhibition m’est réservée que je m’enhardis. Contournant la voiture, je me colle à sa portière, le visage tout contre sa vitre légèrement entrouverte. Ses yeux croisent les miens et je m’efforce de sourire en les découvrant brillants, humides et chavirés. Ses narines sont pincées et elle a l’air très excitée. Sa respiration est plus saccadée et le mouvement de ses doigts sur son slip se fait plus pesant.

Je vois son index incruster le tissu blanc dans sa fente et ses cuisses parcourues de tremblements s’ouvrir encore. Son regard se porte à la hauteur de mon sexe et je réponds à ce qui me semble être son attente en défaisant ma braguette pour libérer ma queue tendue. Elle n’ignore plus l’effet que me procure son exhibition et, d’une main, écarte le fond de sa culotte, me révélant une toison brune et soyeuse. Je la vois du bout du doigt se masser le clitoris, tandis qu’elle se cambre, ouvrant encore les cuisses. Elle se branle les yeux fixés sur ma bite. Je commence moi aussi à m’astiquer lentement pour elle et ce doit être ce qu’elle attendait car je vois son doigt s’enfoncer dans sa cramouille. Il en ressort luisant, couvert de foutre, et replonge pour sortir à nouveau. Ses yeux ne quittent pas mon sexe, ses joues sont rouges, son nez pincé, et sa poitrine se soulève rapidement. Ses tétons pointent à travers le chemisier. Ses seins ont l’air pleins et ronds. J’espère qu’elle va les dénuder.

J’entends son souffle saccadé, un faible gémissement, Je relâche la pression sur ma queue car je sens que je vais exploser et je voudrais prolonger ce moment, mais ma jolie exhibitionniste semble au contraire accélérer sa caresse. Son doigt est profondément fiché dans son con baveux, ses cuisses tremblent, son nez se pince et ses joues rougissent. Elle se cambre et sa main, qui écarte le fond de son slip, semble vouloir l’arracher. Ses yeux sont toujours rivés sur ma queue et je crois comprendre sa demande. J’active ma masturbation et très vite je décharge. Je sens mon sperme jaillir, mais je ne quitte pas des yeux le visage de ma jolie complice. Son œil s’allume au moment où jaillit mon foutre et je la vois se pâmer, tremblante, les yeux hagards, la bouche ouverte.

Pour la deuxième fois son regard humide et voilé croise le mien. Elle me rend un sourire aussi timide que doit l’être le mien, et avant que je n’aie pu réagir, emballe son moteur qu’elle n’avait pas arrêté, sans même rabattre sa jupe, et quitte le parking. Je n’ai même pas cherché à la suivre, encore sous le coup de ce que je venais de voir.

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