TITRE : Elle s'offre à un inconnu dans les bois, devant moi
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Histoire avec un e inconnu e

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Je m'appelle Pascal. Depuis 5 ans, je vis une histoire d'amour fabuleuse avec ma somptueuse fiancée. Elle s'appelle Laetitia et elle a 25 ans. C'est une fille magnifique, jeune, pétillante et fraîche. Brune, aux yeux bruns, teint pâle, belle poitrine, taille fine et élancée. Un vrai régal pour les yeux. Toutes les personnes qui la connaissent vous le diront, j'ai une chance inouïe d'être avec elle. C'est une blanche colombe.

Depuis tout ce temps que je suis avec elle, j'ai pu lui faire découvrir un tas s'expériences sexuelles. C'est moi qui lui aie tout appris puisque, lorsque je l'ai connue, elle était encore vierge. Une perle rare donc !

Quand je dis un tas d'expériences sexuelles, je précise que c'est dans le cadre du sacro saint couple classique. Je parle surtout des tenues sexy, provocantes. sans compter sur tout l'aspect sexuel de l'acte à deux.

Mais bon, on ne se refait pas. Malgré le parfait bonheur que je vis avec elle, je dois avouer que je suis fortement attiré par des pratiques sexuelles plus fortes, telles que l'échangisme, l'amour plural. Des expériences que j'ai pu partagé avant de la connaître, mais en tant que célibataire. Cela a toujours été mon fantasme le plus fou : voir la femme que j'aime le plus au monde jouir avec d'autres hommes. Est-ce peut-être du à un vieux complexe typiquement masculin que celui d'avoir un sexe trop petit ? Le mien fait 13 centimètres en érection. J'aimerais tellement la voir se donner à d'autres hommes ayant un sexe hors du commun.

Ce que je vais vous raconter s'est réellement passé.

Ce jour là, j'avais décidé de l'emmener faire une ballade, dans les bois. Dans un endroit bucolique, reculé, où personne ne pourrait nous surprendre (bien que je l'espérais un peu secrètement).

Je la regardais nue, méticuleusement épilée, déjà maquillée et parfumée. Déjà comme ça, elle était super excitante. Pour mon plaisir, elle s'habilla sexy : Guêpière noire, bas auto fixant noirs, string noir, hauts talons noirs, jupe courte noire moulante et un fin gilet mauve bien moulant la mettant en valeur. Elle s'habillait langoureusement avec des yeux coquins, en me faisant une moue qui en disait long sur ses attentes du jour. En la regardant ainsi, je n'avais qu'une seule envie, lui sauter dessus et lui faire l'amour comme une bête acharnée. Mais je devais tenir, du moins encore un peu.

Quand elle fut prête, nous partîmes en voiture, dans ma toute nouvelle Golf. Elle ne me demanda pas où je l'emmenais. Elle observait le chemin, toute excitée. cela se sentait.

Au bout d'une vingtaine de minutes, j'arrivai à l'entrée d'un bois, dans un trou perdu, à l'écart de tout village et que je savais très peu fréquenté pour être un ancien de la région. Je m'enfonçais dans le chemin prévu pour le 4X4 du seul garde forestier. Le seul risque que j'avais, c'était d'être embourbé. On était en plein été mais dans cette partie du bois, cela sèche très mal.

Après m'être enfoncé quelques centaines de mètres, je m'arrêtai pour me lancer dans les batifolages tant attendus. Nous décidâmes de sortir de la voiture et de commencer en plein air, contre un arbre. Je la serrais très fort contre moi, sentant sa belle poitrine contre mon torse. Ma main caressait ses jambes et remontaient, se faufilant sous sa jupe moulante qui n'attendait qu'à être retroussée. Je bandais comme un taureau. Je la désirais, elle m'excitait tellement. Elle m'embrasait dans la nuque et sa main avait ouvert ma braguette, sortant ma verge ultra tendue d'excitation. Mes mains avaient retroussé sa jupe, palpant ces fesses si magnifiques, si fermes, pendant qu'elle me masturbait lentement mais vigoureusement.

Et puis, tout à coup, nous entendîmes un bruit rauque à 5 mètres de nous qui la glaça complètement.

« Hé bien là ! Qu'est ce que vous me foutez ici ? Vous ne savez pas lire ? C'est interdit de venir en voiture dans ce bois ! »

Je me retournai et je vis un grand type, baraqué, dans la quarantaine. C'était le fermier du coin sans nul doute. Il nous avait certainement épié. Il me regarda et esquiva un bref sourire qui en disait long en voyant mon sexe. Il dut lui paraître bien petit. Puis il regarda Laetitia qui remettait sa jupe, toute stressée.

« Hé bien voyez moi ça comme c'est bien beau tout ça ! »

Je rangeais l'artillerie qu'il s'approchait de nous et continuait à parler :

« Alors, on a besoin d'un petit endroit sympathique pour donner un peu de plaisir à madame ? On n'assure pas entre ses quatre murs ? »

Non mais franchement pour qui il se prend là ? Pensai-je.

« Vous allez me fiche le camp vite fait, sinon j'appelle les flics ! »

Trop gentil celui-là. Frustré va !

Sans trop attendre, nous nous précipitâmes dans la voiture. Sans trop faire attention, je démarrai trop vite et misère de misère, comme si ce n'était pas suffisant, voilà que je m'embourbe.

Sur le fait, notre gaillard revient à la charge.

« Pas très malin en plus. Et comment vous allez faire pour sortir de là maintenant ? »

Vous ne pourriez pas nous aider ? Osai-je demander.

« Mouais. Et comment ? Il faut que j'amène le 4X4. Et comme je le disais tout à l'heure, c'est interdit de venir en voiture ici. Si les flics passent par là, bonjour la facture. C'est risqué votre entreprise. Maintenant, si vous donnez une petite compensation pour le risque. Après tout, tout travail mérite salaire ! »

La façon dont il avait dit ça en regardant Laetitia assise dans la voiture et dont la jupe remontait de façon à que l'on voit bien qu'il s'agissait de bas auto fixant. Je le sentais venir, l'oiseau.

J'ai de quoi vous payer lui répondis-je.

« Je n'en doute pas. » En regardant laetitia, le sourire en coin, presque en train de baver à la vue de ma petite gazelle toute fraîche super sexy. « Mais l'argent ne m'intéresse pas ! Par contre, si votre demoiselle consent à me faire une petite gâterie. je suis preneur ! ».

Et puis encore ? M'exclamai je. Pas question !

« Tant pis pour vous alors. Ce sera une dépanneuse, une contravention salée par les flics. Sans compter que d'ici deux heures, il va faire noir et que le village est à 30 minutes à pieds au bas mot. Il n'y a pas de réseau ici mon bon monsieur ».

Là il me sciait. Quel maître chanteur celui-là. Et c'est vrai qu'à part sa ferme à 5 minutes, il n'y a rien dans les environs ! Je n'avais pas choisi ce trou perdu pour rien. Je voulais la tranquillité pour assouvir tous les désirs de ma petite femme. Surtout que quand elle jouit, elle aime bien crier. Il fallait un endroit isolé.

Sur mon refus, il repartit vers sa ferme, à pieds.

« Qu'est-ce que l'on va faire ? » me demanda laetitia.

« Tu vas prendre le volant, je vais pousser. »

Après 10 minutes d'efforts, il fallait se rendre à l'évidence, ce n'était pas gagné. C'était pire encore. Je retournai à ma place dans la voiture et regardai laetitia :

« On ne va quand même pas cédé à son chantage »

Elle ne disait rien, stressée par la situation. Sur l'entrefaite, je la resserrai tout contre moi et commençai à lui caresser les jambes. Très vite, elle les écarta un peu pour que je puisse remonter et atteindre son string que je tirai quelque peu pour faire pénétrer un doigt dans sa chatte. Quelle ne fut pas ma surprise de sentir sa chatte toute mouillée, ruisselante même.

« Excitée avec ça ! Il t'excite le fermier ? »

Elle laissa glisser un gémissement pendant que mes doigts malaxaient son clitoris tout dilaté. C'est alors que l'on entendit un bruit de moteur. Un 4X4 arrivait à notre hauteur. C'était notre fermier qui revenait à la charge. Il sauta hors de son 4X4 et s'approcha de la voiture.

« On a réfléchi à la situation ? Je ne demande pas grand-chose quand même comme compensation. »

« Laissez nous réfléchir encore une minute » lui répondis je.

« Une minute alors, pas plus ! » Et il s'éloigna.

« Tu serais capable de la faire ? »

Je la voyais super stressée mais excitée aussi.

« Juste une fellation alors ! »

Il revint à la charge :

« Alors ? »

« Juste une fellation, pas plus » lui dis je fermement.

« Ok »

J'avais à peine fini qu'il ouvrait la portière passager et, l'attrapant par le bras, sortit laetitia de la voiture.

« Hé doucement » lui criai-je

Ouvrant la portière arrière, il la fit monter en la poussant fermement. C'était un costaud notre gaillard, je n'étais pas trop rassuré. Il fit glisser son pantalon et monta dans la voiture par la même porte. De l'avant, je voyais tout ce qui se passait. Notre gaillard avait une sacré queue, très longue et surtout très large, en pleine érection : véritablement monté comme un mulet ! Il ne tarda pas en besogne. Il se masturbait et pris la tête de laetitia pour la diriger sur son colossal sexe en érection.

« Juste une fellation » répétai-je « et doucement hein ! »

« Mais oui, ferme là un peu ! »

Je voyais ma petite gazelle prendre en bouche tant bien que mal ce sexe énorme. Il appuyait sa main contre sa tête pour qu'elle l'avale au plus profond. Je voyais bien qu'elle avait du mal. Je regardais complètement excité par la situation. Je pensais bien qu'il ne resterait pas là. Alors qu'elle suçait à pleine bouche, je voyais qu'elle desserrait un peu les cuisses, ce qu'il remarqua évidemment. Ni une ni deux, il commença à caresser ses jambes, en remontant par l'intérieur des cuisses. Très vite, les jambes de laetitia s'entrouvraient de plus en plus, lui laissant le passage jusqu'à son intimité. J'étais complètement estomaqué par la scène, de sorte que je ne pouvais plus rien dire. J'avais toutes les peines du monde à avaler ma salive. Il arriva à remonter jusqu'à son string qu'il put tirer suffisamment pour atteindre le clitoris qu'il commença à malaxer. Tout en le suçant, j'entendis ma petite femme gémir. Il pénétra un doit dans sa chatte, complètement ruisselante.

« Elle mouille comme une vraie pute ta bourgeoise ! On voit qu'elle avait besoin d'un vrai homme au moins une fois la satisfaire ! »

Je restais bouche bée. Hébété.

Il insistait le bougre et insérait deux doigts à la fois, ce qui la faisait encore plus gémir, bien que sa bouche était goulûment remplie de chair bien ferme. Il n'hésita pas à retrousser sa jupe, laissant voir les fesses magnifiques et bien fermes, qu'il s'amusa à fesser d'emblée.

« Hum. ma cochonne. Tu ne vas pas me dire que tu ne veux pas goûter à mon gros calibre. »

Il relâcha la tête de laetitia qui se redressa pour reprendre pleinement sa respiration. Elle était complètement excitée, elle tenait cette queue entre ses mains, tout en léchant le gland prêt à exploser. Le gaillard tira sur le gilet, déboutonnant tout d'une fois. C'est pour ça que je l'aimais ce gilet. Facile à retirer. Il agrippa le string et le fit glisser le long des jambes, laissant sa moule entièrement découverte.

« Viens sur moi ! Je te veux ! »

Il agrippa les fesses de laetitia et énergiquement, il la mit sur lui. Toujours bien agrippé, il mis son gland contre les lèvres toutes dilatées d'excitation. C'est alors qu'il la pénétra en la ramenant brusquement sur lui. Elle explosa. Elle lâcha un cri de jouissance terrible, comme jamais je ne lui avais entendu auparavant. Complètement en elle, il commença à lui faire faire des vas et vient puissants. Il lui enleva son gilet et découvrant sa belle poitrine, une main sur les fesses pour assurer le va et vient constant, l'autre main descendant le dessus de la guêpière, il commença à mordiller les tétons avec ses dents. C'était devenu un fauve. Il voulait complètement la posséder. C'était surréaliste. Il était en elle, sans préservatif, ce parfait inconnu. C'était la surexcitation certainement qui la faisait agir de la sorte. Je la voyais jouir comme une bête. Elle criait de plaisir comme jamais elle ne l'avait fait auparavant. Je ne disais rien. Excité par la situation mais trop tétanisé que pour faire ou dire quelque chose. Je me surprenais à bander devant un tel spectacle de débauche. Elle criait :

« Ouiiii. encore. plus fort. »

« Je veux jouir en toi ma belle, je veux que tu sentes tout mon foutre en toi ! »

Elle s'agrippait à son coup, lui continuait à lui lécher les seins, à la fesser, à la peloter. Elle criait toujours plus fort sous les coups de queue. Puis elle lâcha un vrai un hurlement de plaisir, intense et profond. Un hurlement de jouissance totale. Devant ce spectacle, je l'entendis gémir également, un bruit rauque et fort. Je pus comprendre à ce moment là qu'il se vidait complètement en elle, au plus profond de ses entrailles. Un court instant plus tard, lorsqu'ils eurent récupérer un peu de lucidité, il se retira d'elle et la jeta sur le coté. Je la regardais, complètement exténuée, hagarde, cherchant à récupérer sa respiration. Les jambes écartées, je pouvais voir à quel point sa chatte avait pu être mise à contribution : elle était complètement dilatée. C'est à ce moment là que je regardais, complètement sonné, tout ce sperme sortir d'elle, tout ce liquide blanc, couler entre ses fesses. Il avait la dose le salaud. Elle qui ne prenait pas la pilule en ce moment ! Elle commença à rire, tant son plaisir fut intense. Lui était déjà sorti de la voiture. Il avait déjà même tiré notre voiture que l'on ne s'en était pas encore aperçu, tant ils nous fallaient nous remettre de nos émotions. C'est alors que je sentis aussi que j'avais joui dans mon caleçon, tant j'avais été excité par la situation. Bordel, quelle expérience pour un premier écart dans notre couple.

« Hé ben, ça en valait la peine ! Ta femme, c'est vraiment une affaire en or. Tu reviens quand tu veux ! »

A peine fini son travail et sa réflexion qu'il repartait avec son 4X4. Bigre, quel avenir nous attendait après une telle expérience. C'était mon fantasme le plus fou. Il s'est réalisé presque malgré moi. Et j'ai peur de déjà le regretter. Mais ça, seul l'avenir nous le dira.

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