C'était par une chaude après-midi d'été dans
une célèbre piscine parisienne, aujourd'hui disparue. Les
corps dénudés des filles en string me faisaient perdre la
tête et une superbe brune, quasi nue, me jetait des oeillades
depuis un quart d'heure, ce qui mettait au supplice ma verge
emprisonnée dans un maillot bien trop étroit pour la circonstance.
Soudain la fille se leva, me jeta un regard que je pris
pour une invite et plongea. Je la suivis dans l'eau et me
mis à lui tourner autour, tout en la frôlant et en la chahutant.
Je nageai autour d'elle et entrai sans cesse en contact
avec sa peau veloutée et bronzée. Mais elle reculait en
poussant de petits cris, cherchant à échapper à mes mains
baladeuses. Enfin elle se trouva adossée au bord du bassin
et je me serrai contre elle. Elle riait et se débattait.
Je touchais ses seins, ses cuisses. Je lui caressais les
fesses.
-"Allons dans les douches !" lui criai-je à l'oreille, au
milieu du vacarme des baigneurs.
-"Oui", répondit-elle simplement.
Et nous sortîmes hâtivement de l'eau, bousculant les corps
sur notre passage. Nous nous retrouvâmes devant les douches
des hommes. Elles n'avaient pas de porte et étaient situées
dans des renfoncements. La première près de l'entrée était
libre. J'y entrai et fis signe à la fille de m'y rejoindre.
Deux jeunes gars nous virent et restèrent à proximité, pressentant
un spectacle de choix. J'avais du savon liquide et nous
en aspergeai. La fille se savonna de bon cœur. Elle riait
et jetait de fréquents coups d’œil aux deux jeunes types
qui s'étaient rapprochés.
-"Enlève ton string !", lui commandai-je.
Sans hésiter, elle l'ôta et fut complètement nue. Les deux
types n'en revenaient pas. Quand à moi je bandais si fort
que mon slip ne suffisait plus à contenir mon sexe et le
gland émergea au-dessus de l'élastique. Les deux jeunes
gars étaient plantés devant la douche et nous dévoraient
des yeux. La fille leur jeta un coup d’œil, se saisit de
ma queue, dégagea complètement le slip et commença de me
branler, sans les quitter des yeux. Son visage avait pris
une expression de défi. De son bras libre, elle m'entoura
le torse et se pressa contre moi. Je sentis ses mamelons
se presser contre mes côtes, mon sexe touchait son ventre
et elle se mit à me frotter la queue de bas en haut avec
son ventre. Elle ne quittait toujours pas les deux types
des yeux.
-"Baise-moi !", me susurra-t-elle à l'oreille.
Et elle se hissa en passant ses bras autour de mon cou et
ses cuisses autour de mes reins. Elle était à califourchon
et je mis une main sous chacune de ses fesses tout en la
plaquant au mur latéral de la douche. Puis je la pénétrai
debout. J'allais et venais en elle, elle était toute chaude
et moite. Elle avait ramené ses pieds sous mes fesses et
me serrait de toute la puissance de ses cuisses. Sa chatte
gobait ma queue avec avidité, jusqu'aux couilles. Sa peau
humide de savon se pressait contre la mienne, j'avais mon
visage enfouit dans sa chevelure et je m'imprégnais de son
odeur de femelle excitée. À un moment je regardai son visage
: ses yeux étaient grands ouverts et dévisageaient l'un
des deux gars, elle se donnait à lui en spectacle. J'en
fus à la fois choqué et surexcité. Mes coups de boutoir
redoublèrent d'intensité.
Le jeune gars à qui le spectacle était dédié n'y tint plus.
Il s'avança dans la douche, ôta son slip et commença à se
branler. Sa queue était puissante et longue. La fille tendit
la main et s'en empara. Je ne pus me retenir davantage et
déchargeai en elle. Je restai quelques instants en elle,
haletant. Elle n'avait pas lâché la queue du type et le
branlait vigoureusement. Elle m'éjecta de sa main libre
et amena le gars à elle en le tirant par la queue. Elle
lui fit prendre la même position qu'avec moi, guidant d'une
main le sexe du type jusqu'à sa chatte encore dégoulinante
de mon sperme. Elle l'enfourcha et se mit à aller et venir
le long de sa queue, elle l'avalait littéralement par le
con. Elle avait saisi ses couilles et les pressait fortement.
Sa respiration se fit de plus en plus rapide, haletante.
Elle geignait de plaisir, de plus en plus fort. À la fin
elle criait carrément. Enfin elle jouit et le type déchargea
en elle. Il faisait vraiment chaud cet après-midi là.
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