TITRE : Histoires friponnes
Catégorie : 
Histoire dans des lieux insolites

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Les deux filles sont face à face, de la musique douce est jouée par la chaîne hi fi, elles se regardent dans les yeux en souriant mais personne ne parle jusqu’à se que la locataire brise le silence :

- Ce que je vais raconter est une petite aventure sans lendemain qui m’est arrivée lorsque j’avais dix-neuf ans en première année de BTS action commerciale. A l’époque j’étais aussi ronde que maintenant, mes formes repoussaient les garçons qui me trouvaient trop grosse, mais en même temps ils regardaient tout le temps mon cul et ma poitrine. Un jour une sortie est organisée par nos professeurs… D’abord, il faut te dire que je ne suis pas de Paris, je suis originaire d’Avignon. Donc les profs décident de partir faire la descente des gorges de l’Ardèche en canoë. Comme j’étais mal dans ma peau, ma première réaction a été de dire que je ne viendrais pas, mais mes parents, qui en avaient marre de toujours m’excuser, m’ont forcée à accepter. Pendant les trois semaines qui ont précédé le départ, j’étais mal rien qu’à l’idée de me mettre en short, alors en maillot… Puis petit à petit, je me suis motivée toute seule et la veille de partir, j’ai décidé que je n’avais pas à avoir de complexe.

- Surtout que tu n’es pas grosse.

- C’est vrai mais même si j’étais plus enveloppée, je pense que j’aurais réagi de la même manière. Le jour J, j’arrive avec un bermuda qui s’arrête au dessus des genoux et un petit haut sans manche. Dessous je porte un maillot de bain une pièce noir. Dans le bus personne ne fait de réflexion sur ma tenue et donc prise dans l’ambiance, je ne me soucie de rien. La journée se passe très bien, j’étais avec une copine dans le canoë, le soir tout le monde s’arrête pour manger et dormir sur la berge. Pendant les préparatifs du repas j’aperçois qu’un garçon brun aux yeux noirs n’arrête pas de me reluquer.

- Enfin un garçon arrive, je trouvais le temps long !!!

- Excuse-moi, je rentre dans le vif du sujet, lui répond Vanessa en s’enfonçant dans le fauteuil et en écartant ses jambes légèrement.

Donc il me regarde pendant que je suis de corvée de cuisine, puis pendant tout le repas. Après avoir mangé, je vais faire un petit pipi loin du campement derrière un bosquet. Comme j’ai toujours mon maillot une pièce, mais sans mon haut, j’enlève les bretelles, je le fait glisser avec mon bermuda jusqu’à mes genoux et je m’accroupis. Pendant que je suis en train d’uriner, je vois Thibaut qui me regarde derrière un arbre. Je suis très gênée et toujours accroupie je me retourne en faisant attention à ne pas me pisser dessus. Mais lui, au lieu de partir dès qu’il a été démasqué, vient se mettre debout devant moi et sort son sexe. J’avais déjà fait l’amour, donc je n’étais pas horrifiée, mais il ne manquait pas de culot. Comme j’étais dans une période un peu comme aujourd’hui, mais moins prononcée quand même et que le garçon était tout à fait à mon goût, j’ai gobé son petit sexe en érection.

- Coquine !!! Dit Audrey qui commence à être émoustillée et qui elle aussi écarte ses jambes dodues.

- Oui j’avoue… Sans me vanter, je suis assez experte avec ma langue et ma bouche, Thibaut s’en est rendu compte très vite. D’une main je touchais ses testicules, et j’avalais complètement son chibre en enroulant ma langue autour et en faisant des mouvements de va et vient.

Pendant son récit, Vanessa ne peut s’empêcher de se toucher et après avoir relevé sa jupe, caresse son sexe nu largement offert à la vision d’Audrey qui fait de même. Mais plus prude elle n’a pas enlevé sa culotte jaune pâle en dentelles. Chacune regarde le minou de l’autre, la bouche à demi-ouverte.

- Je peux te dire qu’il a éjaculé rapidement sur mes seins, mais moi j’en voulais plus et j’ai donc continuer de le pomper, en m’appliquant sur son gland fin. Au bout de quelques minutes il s’est remis au garde à vous et quand il fut bien dur, je l’ai poussé par terre sur le dos. J’en ai profité pour enlever mon maillot et mon bermuda et je suis monté sur lui. A califourchon, bien campée sur mes pieds, j’ai pris son sexe en main et je l’ai dirigé vers mon petit trou. J’étais vierge de se coté-là, mais j’avais toujours eu envie d’essayer. Les circonstances étaient en ma faveur, un petit sexe, c’est moi qui dirigeait tout et il y avait la pénombre. Tout doucement, j’ai approché le gland de mon anus trempé par la cyprine de mon minou excité, puis à l’aide de mes cuisses je me suis baissée pour venir m’empaler doucement. Au début, je ne rentrais que quelques centimètres du fin pénis, puis petit à petit j’allais plus loin en gémissant. Me sentir remplie m’excitait au plus haut point, d’une main je caressais mon clito car mon partenaire n’était pas très actif se concentrant pour ne pas jouir…

- Je me répète, mais tu es très coquine et ça me plaît beaucoup, dit Audrey dont la main a disparu sous sa culotte.

- Je prends ça comme un compliment ! Je disais donc que je montais et descendais de plus en plus bas, jusqu’à ce que je touche mes fesses sur ses cuisses. Son sexe totalement en moi, j’ai commencé à bouger plus vite en ondulant mon bassin, jamais j’aurais cru prendre autant de plaisir en me faisant sodomiser. Plus je bougeais et plus vite ma main excitait mon clitoris, totalement trempée ma cyprine coulait entre mes fesses et le pénis coulissait sans peine en moi. J’ai joui en criant, sans penser que l’on pourrait m’entendre mais j’étais tellement bien. Thibaut n’a pas pu se retenir et a tout lâché dans mon boyau, j’ai senti la chaleur du liquide dans mon corps. Je l’ai embrassé sur la bouche et il m’a demandé si pour moi aussi c’était la première fois. Je lui ai répondu oui pour lui faire plaisir, le pauvre ne s’est même pas aperçu qu’il me prenait par derrière. Je me suis endormie, sereine dans mon sac de couchage, la tête pleine d’images et de sensations résultant de cette première sodomie. Par contre, il m’a collé toute la journée du lendemain alors que moi je n’avais pas envie, je voulais du sexe pas de lui.

- Très mignon comme dépucelage, je suis trempée par ta petite histoire, dit Audrey les yeux fermés et la main titillant son clitoris.

- Toi aussi tu es coquine… Racontes moi quelques chose de sympa, répond Vanessa, deux doigts fouillant son sexe luisant.

- Je me lance, c’était il y a environ deux ans, à l’époque j’étais encore avec mon ex-petit ami. Il était parti en déplacement pour la semaine et comme d’habitude dans ce cas-la en sortant du travail, au lieu de renter directement chez moi, je vais flâner dans une galerie marchande. Je passe devant les vitrines nonchalamment, quand je remarque qu’un homme plus âgé que moi me regarde avec insistance. Je fais mine de ne pas remarquer et je continue ma ballade, avec ce regard pesant sur moi. Puis au bout d’un certain temps, je sens un souffle chaud sur ma nuque, je devine tout de suite que c’est le gars qui me regardait. « J’ai envie de toi » me dit-il à l’oreille. D’habitude ce genre de situation me fait très peur, mais ce jour-là, aucune appréhension de ma part et sans rien dire je le suis avec un regard approbateur et complice. Il m’emmène vers une porte de sortie de secours qu’il ouvre, on se retrouve à l’air libre, derrière le bâtiment dans une rue déserte jonchée de cartons empilés les uns sur les autres. Les quais de livraison sont déserts, l’inconnu choisit un endroit dans un recoin caché et se met tout de suite à genoux.

- Ça commence plutôt bien, lâche la jeune blonde dans un soupir qui en dit long sur l’action de ses doigts dans sa grotte d’amour qu’Audrey peut voir en détail.

- « Sourire » En tous cas ça te fait de l’effet ma petite coquine, vu l’état de ton petit minou ! je continue, il défait la ceinture et la braguette de mon pantalon qu’il baisse en même temps que ma culotte qui, entre parenthèses, n’était vraiment pas sexy. Il regarde mon entre-cuisse quelques secondes puis il plonge la bouche en avant sur mon buisson touffu et avec sa langue épaisse commence à me lécher partout. Je pose mes mains sur sa tête pour que son visage ne quitte pas mon intimité, je soupire à chaque fois que sa langue tarabuste le clitoris et qu’elle sonde le trou entre mes grandes lèvres. Il est insatiable et va-et-vient sur mes chairs sensibles, je mouille abondamment sur son visage et je m’en aperçois quand il se redresse et qu’il vient coller sa bouche contre la mienne, en me pénétrant vigoureusement. En me léchant, le prévoyant avait défait son pantalon et en se relevant pour m’embrasser, il en profite pour m’empaler littéralement. Cette soudaine intrusion de mon intimité m’arrache un cri de surprise que j’étouffe dans sa bouche, en plus il est très correctement monté et je suis toute remplie. Ses coups de boutoir sont virils, à chaque mouvement, il sort presque entièrement son chibre pour me l’enfoncer au plus profond de mes entrailles. J’adore cette façon d’être prise, un peu en force, et il m’embrasse toujours pour m’empêcher de crier trop fort.

- Hummm. J’aurais aimé être à ta place…

- Oui, peut être mais c’était moi, petite gourmande… Ses mains pétrissent mes seins au travers de mon ample chemise, la pression exercée sur mes mamelons et l’introduction de son sexe me font jouir une première fois dans de petits sursauts. Plaquée contre un mur, il continue de me prendre avec puissance en levant une de mes jambes à l’aide d’une de ses mains qu’il a passée sous ma cuisse. L’introduction est plus profonde, ce qui redouble mon plaisir et j’atteins un deuxième orgasme en poussant de longs soupirs bruyants. Puis il se retire soudainement et de ses mains ouvre mon chemisier en cassant quelques boutons. Il m’ordonne de me mettre à genoux et je me soumets avec joie à cet ordre. Il prend son sexe d’une main et le masturbe jusqu’à ce qu’il couvre ma poitrine et mon soutien-gorge de foutre épais. Puis il se rhabille en vitesse et part en courant après m’avoir déposé un baiser sur le front et m’avoir remerciée. Seule dans la rue étroite, je me remets de mes émotions en remettant mes habits en ordre. Il n’y a que la chemise dont il manque des boutons qui me donne plus de mal et je repars faire les magasins, le cerveau plein de souvenirs et les seins maculés de sperme.

- Wouaaawwww, super rencontre !! S’enthousiasme la jeune coquine.

- Et oui ! Je suis retourné plusieurs fois dans ce centre commercial et jamais je n’ai revu cet homme et malgré mes envies, je n’ai jamais osé demander à un gars de me prendre dans un coin.

Les deux femmes ne sont pas rassasiées et l’une comme l’autre se masturbe frénétiquement, ne s’arrêtent que pour éviter de jouir trop vite, sans se concerter elles font durer le plaisir au maximum.

- Bon je vais raconter autre chose, dit Vanessa totalement excitée de se masturbée devant une autre femme qui fait la même chose.

- Je t’écoute, répond la blonde plus âgée qui enlève sa culotte pour s’exhiber comme sa nouvelle amie.

Les deux femmes restent un moment à se regarder leur sexe mouillé où leurs doigts caresses toutes les zones sensibles. Sans un mot, elles apprécient la situation, être avec une autre femme et n’avoir aucune honte à exhiber les parties de leur corps et leurs gestes coquins les plus intimes. C’est la locataire de l’appartement qui, la première, se lève et se déshabille totalement. Audrey regarde la petite blonde avec des yeux ronds se rasseoir complètement nue. Sans se démonter, elle fait la même chose et les voilà maintenant complètement offertes à la vision de l’autre. Les deux femmes sont rondes mais pas obèses, leurs formes généreuses sont gracieuses et leurs mains retrouvent le chemin de leur intimité sexuelle et de leurs mamelons durcis.

Continuant la lente masturbation, Vanessa reprend la parole :

- Voilà je suis plus à l’aise maintenant…

- Moi aussi, je suis très bien toute nue…

- Mmmmm. Donc prête pour s’amuser avec tes petites mains. Je vais te raconter la fois où je n’avais pas encore dix-huit ans et que j’étais aller dormir chez une copine. Je passe en fin d’après-midi chez elle, je mange avec elle, sa petite sœur et ses parents. Le soir on se couche toute les deux dans la même chambre, elle sur son lit et moi sur un matelas posé sur le sol. Après avoir discuté tard dans la nuit, on s’endort paisiblement. Puis, vers quatre heures du matin, je me lève pour aller faire pipi; quand je ressors des toilettes, je fais un détour par la cuisine pour boire un verre d’eau et je vois le père de mon amie qui fait de même. La seule différence, c’est que je porte une chemise de nuit et qui lui est nu comme un ver. Il ne me remarque pas, car je ne fais pas de bruit pour ne pas réveiller les autres. Il a environ quarante cinq ans, bien conservé à part un petit ventre naissant et sa queue est dressée vers le ciel. J’avoue que je n’ai plus pensé au verre d’eau…

- C’est sûr que dans cette situation !! Rajoute la deuxième délurée avant de mettre un mamelon à portée de sa bouche et de lui donner des coups de langue.

- En trente secondes ma foufoune s’est liquéfiée et mes tétons ont durcis tandis que je regardais que son sexe en érection. C’est pendant que je le contemplais qu’il s’est aperçu de ma présence. Instinctivement il a placé ses mains sur sa virilité et s’est retourné. Il me parlait, me disait de rentrer dans ma chambre et de redescendre plus tard. Comme aimantée, je me suis mise à marcher vers lui et je l’ai pris dans mes bras, mes mains se rejoignant sur sa poitrine velue. Et là comme par magie il s’est détendu, ses bras sont tombés le long de son corps et j’ai descendu les mains pour toucher son bâton de chair. Doucement je l’ai branlé, et en me baissant sur les jambes je lui ai déposé des baisers du creux des omoplates jusqu’à ses fesses. Et puis d’un coup en suivant le sillon de ses fesses j’ai touché par hasard son petit trou que j’ai rapidement léché ce qui m’a procuré une énorme excitation. De plus, cela n’avait pas l’air de lui déplaire, bien au contraire, il s’est penché et a écarté ses jambes. J’avais la bouche collée à cet orifice doux et moelleux sur lequel ma langue allait et venait. En baissant mon visage je lui léchais les testicules un à un, puis je remontais m’occuper de la petite pastille brune.

- Mmmmmmm, je vais jouir, dit Audrey en activant les mouvements de sa main tandis que Vanessa interromps son histoire pour regarder le visage de la blonde pendant qu’elle atteint l’orgasme.

La femme de trente ans fait une dernière rotation du poignet qui vrille les deux doigts présents dans son vagin, ce qui provoque une jouissance qui est égale à la puissance des soupirs rauques sortant de sa bouche charnue. Regardant le joli spectacle, la plus jeune jouit à son tour dans un tonnerre de petits cris plus aigus les uns que les autres. Après quoi les deux femmes se regardent, reprenant leurs esprits peu à peu, avant que Vanessa poursuive son histoire.

- Je continue quand même ma belle Audrey…

- Fais donc jolie Vanessa, répond la deuxième en entrant dans son jeu.

- Je l’ai léché un long moment avant de le faire tourner pour qu’il me présente son coté face où était accroché son dard. D’entrée, j’ai pris le gland entre mes lèvres et je l’ai sucé comme s’il s’agissait d’une bonne glace tandis qu’un de mes majeurs s’occupait de titiller l’entrée de son anus mouillé. A ce petit jeu, il n’a pas fallu longtemps pour que je le sente venir, et juste avant qu’il me remplisse la bouche j’ai recraché son pénis et je l’ai branlé sur ma poitrine. Il a aspergé la naissance de mes seins mais surtout ma chemise de nuit. Puis je me suis levée, j’ai posé un doigt sur sa bouche quand il a voulu me parler et je suis allée me coucher après être passé à la salle de bain nettoyer ma chemise de nuit.

- Eh bien, tu es une sacrée cochonne !

- Peut être mais tu n’es pas mal non plus ! Tu es quand même venue chez moi te mettre à poil et de branler.

- C’est tout à fait vrai et je suis contente de l’avoir fait, répond Audrey en se tripotant machinalement les mamelles. Tu veux qu’on continue à se raconter des trucs ?

- Bien sûr, j’en ai très envie.

- Bon… Qu’est-ce que je pourrais bien t’avouer…Ah oui ! Je me rappelle d’un truc qui m’est arrivée dans un camping quand je suis allée avec des amis en week-end après mon bac. On n’était parti pas très loin, sur la côte Normande, et le premier soir, je suis allée prendre une douche. Je rentre dans la cabine, je me déshabille et je commence à me laver. La cabine était faite de panneaux de bois peints et je n’avais pas remarqué qu’il y avait des trous dans certains. En fait deux garçons me regardaient en train de me savonner, je me suis aperçu de leur présence, quand l’un deux s’est enhardi à passer son sexe par un des trous. Au début j’étais paniquée, puis un peu comme toi, ça m’a vite passé.

- - On se ressemble et on a les mêmes envies, on ne serait pas sœur ? Demande Vanessa en faisant un clin d’œil, un sourire au coin de la bouche et une main reprenant le chemin du clitoris.

- Peut être… Qui sait ? Donc je me suis penchée pour le voir de près, il était long mais fin et j’ai commencé à le branler après avoir mis du gel douche sur ma main. Après quelques secondes, j’ai entendu chuchoter : « Putain, c’est une vrai pute, va mettre ta queue dans le trou en face ». c’est la première fois qu’on me traitait de la sorte et au lieu de me vexer ça m’a excité, être traitée comme un objet, soumise aux désirs de ces garçons. J’aime me sentir un peu brusquée, forcée même…

- C’est bien ce que je pensais… Petite vicieuse…

- « Sourire » Puis je sens quelque chose taper ma cuisse, je me fais un quart de tour en tenant toujours la première bite pour m’apercevoir qu’un autre sexe vient de faire son apparition dans le panneau d’en face. Celui-là est plus épais et aussi long, mais de couloir noire, je reste un moment à le regarder, fascinée, puis je le prends aussi en main pour le branler. Ensuite, accroupie, je suce chaque gland l’un après l’autre en jouant avec le petit trou qui est au bout. J’entends leurs râles et leurs commentaires : « Putain que c’est bon ! », « Elle suce bien cette salope !», « Oh oui !!! Cette langue ». Ces expressions vulgaires ont le don de m’exciter. Pour la première fois de ma vie que j’ai droit à deux beaux sexes bien durs, dont un appartenant à un black, j’ai envie d’en profiter et je me mets en position. Je me penche en avant, les jambes très légèrement fléchies, pour sucer la queue d’ébène et je passe une main entre mes jambes pour attraper l’autre bite que je dirige vers mon vagin ouvert et largement lubrifié.

- Et bien dit donc… C’est du propre !

- Jalouse !!!

- Tu dois avoir raison… Avoue la plus jeune des délurées en se masturbant, deux doigts dans la fente humide et l’autre main qui écarte ses lèvres intimes.

- Sûrement, même ! En bougeant en arrière, le sexe le plus fin fouille mon vagin et en basculant vers l’avant je peux avaler la queue noire. J’ai passé un long moment à faire cette gymnastique, jusqu’à ce que je change de coté pour sentir le plus gros pieu dans mon vagin. J’y suis allé doucement car c’est la première fois qu’un sexe aussi gros pénétrait mon intimité. Au bout de quelques temps, je me suis habituée à ce diamètre et j’ai pris un pied inimaginable. J’ai changé plusieurs fois de côté et j’ai eu un orgasme sur chacun des deux pieux. Le premier sur le plus fin, a été soudain, mais le second je l’ai voulu et je suis resté plus longtemps à me faire limer. Je suis crue, mais j’aime parler de moi comme une traînée.

- Cela ne me choque pas et je ne te considère pas comme une traînée.

- Merci, mais je ne suis pas une pute, c’est juste que des fois j’aime être traitée comme une moins que rien. Je m’empalais comme une gourmande sur la queue d’ébène et j’ai crié brièvement quand j’ai joui la seconde fois. Les deux garçons étant près de l’explosion, j’ai repris ma position du début et c’est accroupie que je les ai branlés en leur mettant quelques coups de langue sur le gland. Le premier à m’arroser est le black qui envoie ses giclées de sperme tiède sur mon visage, mon cou et ma poitrine. La bite la plus fine met plus de temps à venir et tandis que l’autre garçon récupère son membre mollissant. Je suis face au gland, quand il décharge sa semence en jets saccadés qui atterrissent sur mon visage. Quand il a fini de cracher il se retire et je me retrouve assise au fond de la douche, le visage et le haut du corps couvert de traces de sperme. Je souris, heureuse de m’être livrée à fond à deux inconnus dont je ne connaîtrais qu’une seule partie de leur anatomie. Impossible de dire comment ils étaient physiquement, ni l’âge qu’ils avaient. Je me suis lavée et je suis retourné aux tentes où mes amis m’attendaient depuis un bon bout de temps.

- Bravo, super, j’adore ça !!! S’enthousiasme Vanessa.

- Merci ! J’ai adoré aussi, tu peux me croire. En plus rien que d’y penser j’ai l’abricot en feu.

- Tu veux que je l’éteigne ?

- Je te trouve bien effrontée ma petite… Répond Audrey.

- Un peu, c’est vrai…

- J’aime ta spontanéité.

- Ça me rappelle quelque chose qui m’est arrivée il y bientôt un an. J’étais tranquillement en voiture sur une petite route à cinquante kilomètres de Paris, je roulais tranquillement et depuis un moment un gars en voiture n’arrêtait pas de me coller au train. Je voyais qu’il était énervé par ma lenteur, mais je n’ai pas accéléré pour autant. Arrivé à un stop, je m’arrête et il se gare à ma hauteur et baisse sa vitre coté passager pour m’engueuler : « Tu l’as trouvé où ton permis de conduire ? Tu ferais mieux d’aller te faire enculer au lieu de conduire ». Et c’est là que j’ai répondu naturellement : « Par qui monsieur ? ».

- « Rires » Et bien ça c’est de la répartie, j’adore. Commente Audrey avec le majeur bien au chaud dans son con.

- C’est bien répondu mais ce n’est pas fini ! Il me dit : « Quoi ? » et j’ai répondu : « Par qui voulez-vous que je me fasse enculer ? ». Il s’est retrouvé con et a dit que si je voulais, il s’en occuperait. Sans me démonter je lui ai répondu que j’étais d’accord et qu’il n’avait qu’à me suivre. Je ne connaissais pas bien le coin, mais après quelques kilomètres, j’ai pris un chemin entre des pâturages et je me suis garée sur une petite place en terre au milieu de nulle part. Je suis sortie de la voiture avant qu’il n’arrête la sienne, j’ai soulevé ma robe et j’ai appuyé mes mains sur le capot. Je me suis offerte à lui sans le regarder en attendant qu’il m’honore.

- Tu n’as pas peur !!!

- Tu sais un homme devant un cul sait ce qu’il doit faire. J’ai entendu ses pas, puis le bruit d’une ceinture qu’on dégrafe. Pendant qu’il s’affairait, il marmonnait des phrases dont je ne comprenais que quelques mots dont certains grossiers revenaient assez souvent. Ses mains ont écarté mon large fessier et sans fioritures, il a mis sa queue contre mon œillet. Heureusement que la situation m’avait fait mouiller sinon je n’aurais pas du tout été lubrifiée. Il a poussé, avec son bassin, son sexe dans mon anus serré qui a eu du mal à l’absorber. Je poussais pour aider à la manœuvre et quand il a été dans la place, il a commencé des mouvements puissants de piston. Au début, c’est de la douleur que j’ai ressentie, mais au bout de quelques instants, le plaisir a pris le dessus et j’ai crié sans retenue qu’il me baise à fond.

- Je suis encore toute retournée par cette confession ma jolie blonde. Lui dit son amie en se masturbant de plus belle.

- Mmmmm, tu me dis de mots doux maintenant… J’aime ma belle. Je peux te dire qu’il y est allé brutalement, j’entendais son souffle court et rauque quand il prenais de l’élan pour balancer son bassin d’avant en arrière pour mieux me pénétrer. Plus il allait profondément et plus j’en demandais, j’étais vraiment dans mon délire sexuel et j’aurais aimé que ça ne finisse jamais. Malheureusement, les bonnes choses ont une fin et il a inondé mon trou du cul de se semence avant de se retirer et de partir en me laissant les fesses en l’air. J’ai remonté ma culotte, remis ma robe et j’ai repris mon véhicule avec les fesses endolories et de la semence coulant de mon trou encore largement ouvert.

- Tu es vraiment une sacrée cochonne !!!

- Je pense que tu as raison, répond Vanessa en rigolant. Mais que veux-tu, on ne se refait pas.

- Tu as raison, reste comme tu es. Tu fais une adorable cochonne.

- Et que dirais-tu si l’adorable cochonne venait goûter à ton abricot en feu ?

- Je pense que se serait une bonne initiative et pendant ce temps je te raconterais une coquinerie.


A suivre...

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