TITRE :  Leçon d'une heure
Catégorie : 
Histoire Extra conjugale
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Je m’appelle Clarisse et j’ai 28 ans. J’ose ici dire que je suis jolie, plutôt bien faite puisqu’on ne m’a pas souvent dit le contraire !!! J’exagère un peu, mais 1m72, 60 kg, quelques rondeurs ( 90-58-88 ), c’est pas mal non , pour une blonde ? lol…

Alors j vais vous raconter mon histoire. Tout d’abord, je suis mariée et maman depuis quelques mois. Ma mère, directrice d’une maison de retraite aux environs de Toulouse souhaitait prendre sa retraite. Moi, avocate dans un cabinet, j’en avait un peu marre et elle me proposa sa succession. Avant d’accepter, elle me fit découvrir le milieu. Je dois dire qu’étant divorcée depuis pas mal de temps, elle avait tissé avec moi de nouveaux liens, de copine à copine, et me parlait de tout, même de ses amants ! Rien ne me choquait venant d’elle, jusqu’à ce qu’elle m’avoue qu’elle avait des vues sur le chef de cuisine qui travaillait pour son entreprise. Là non plus, rien d’anormal, sauf qu’il venait d’avoir 24 ans ! Là, je tiquais !

Un jour donc, je fis sa rencontre. En effet, il était pas mal, voire plutôt séduisant. Grand, brun, le regard sombre, tantôt rieur, tantôt sévère, je dus avouer qu’il avait beaucoup de charme, ce jeune homme.

Mais bon. Le temps passa. Puis, à force de le connaître, je me suis surprise à me rendre plusieurs fois par jour en cuisine, pour des motifs inutiles. J’en profitait pour le regarder, mater son joli petit derrière !!! A chaque fois que je retournais dans mon bureau, j’en avais honte ! J’étais pourtant comblée. J’ai un mari adorable, qui me fait l’amour régulièrement, quoi désirer d’autre ? Mais lui, il m’intriguait.

Mais les jours défilant, je devenais de plus en plus accro, j’engageai la conversation. Le soir, dans mon lit, je pensais à lui, effrayée à l’idée de prononcer un « Alex » que mon mari aurait mal pris ! Puis, de jours en jours, je commençais à me masturber en pensant à lui, à ce qu’il me ferait. Sous la douche, dans mon lit, sur mon canapé…Je l’imaginais même en moi alors que mon mari me faisait l’amour….Infidèle par la pensée, ce n’était pas si grave, mais quand même…

Un jour de printemps, quelle idée me pris de lui demander de me rejoindre dans mon bureau, à la fin du service du soir ? Je n’avais aucune idée de l’excuse et de la raison que j’allais lui fournir pour lui imposer cela. A 19h, on frappa à la porte.

C’était lui. Enfin. Oui, car j’avais attendu cet instant de longues heures, comme si me retrouver seule avec lui dans le bureau était le pas à ne pas franchir. Il s’assit et je fermais la porte à clé. Pour ne pas être dérangés ?....

Nous avons parlés quelques instants, puis, je lui réclamais un massage. Je ne saurais dire d’où cette idée m’est venue. Il m’assis de force sur ses genoux et rapidement, remonta ma jupe sur mes cuisses pour que je sois plus confortablement installée. J’étais mieux que cela. Avec une dextérité incroyable, il massa mes épaules, ma nuque lentement, et sans que je m’en aperçoive réellement, il écartait mes jambes avec ses genoux et posa mes cuisses, grandes ouvertes, sur les accoudoirs du fauteuil. Moi, comme de la pâte à modeler, je me laisser faire, sans penser à rien. En ressentant seulement son souffle et son haleine douce me chauffer le cou. Bientôt, ses caresses devinrent plus précises. Ses doigts descendaient sur mon chemisier et effleuraient ma poitrine avec précaution, attendant de ma part que je les repousse. Je ne dis rien. Tandis que je sentais gonfler une bosse sous mes fesses, je tremblais à l’idée que ma culotte de sat in ne se mouille rapidement. Et rien qu’en y pensant, cela se produisit. Jambes écartées, j’avais l’impression que les effluves de ma chatte, d’ordinaire si pudique, ne montent à nos narines. J’étais surexcitée, toute à lui. D’un coup, je sentis ses doigts s’agiter sur mon chemisier. Il dégrafait mes boutons un à un. Inconsciemment, je me redressais et l’aider à me déshabiller. Aussitôt dit, aussitôt fait. Ses mains douces palpaient à présent mes seins lourds à travers le tissu de mon soutien-gorge blanc. Ses index tâtaient mes tétons durcis par l’excitation. Devenant plus pressant, sa main droite me caressait de partout, les seins, le ventre, tandis que l’autre allait faire abdiquer mon soutien-gorge. Clac ! Me voici torse nu, les seins à découvert. Ma poitrine enfin libre de toute retenue se dilata, jamais je n’avais vu mes seins si gonflés et mes tétons si tendus. J’en avais presque mal. Sans rien dire, il continua ses caresses, me massant, me palpant, me malaxant le s seins avec douceur et volonté. Il pinça mes tétons, ce qui eu bientôt raison de moi. Je me sentais déjà partir. Je sentis aussi qu’un jet de mouille venait d’achever définitivement le tissu de ma culotte. Il m’embrassa, me dit que j’étais belle. Puis, il me leva, m’approcha de mon bureau et fit glisser la fermeture de ma jupe puis la jupe au sol. Je pensais so