Tout en arpentant la rue d'un pas pressé, je
regarde ma montre :
- "Déjà 20H10 ! Ouhlà,
je suis à la bourre. J'espère au moins qu'elle est prête,
car sinon on aura plus de place." J'arrive devant chez
Florence le souffle court, et je frappe à la porte dans
la foulée.
- "J'arrive!", Répond
une voix fluette qui m'est familière.
Quelques secondes après, je
vois ma Belle, souriante comme d'habitude, et encore en
peignoir.
- Qu'est-ce que tu fous ?
On est à la bourre !
- Ca va, ça va, j'en ai pas
pour longtemps ! Répond-elle après m'avoir furtivement embrassé.
Puis elle file à la salle
de bains...
Bon, bin je vais quand même
rentrer, même si elle ne me l'a pas proposé, car je sens
que ça va être long. Je m'assois sur une chaise et j'attends.
De toute façon, ça ne sert à rien de lui faire remarquer
mon impatience, elle en fera autant la prochaine fois.
Tout d'un coup, la porte de
la salle de bains s'ouvre à grand fracas et elle déboule
dans la pièce tel un diable qui sort de sa boîte. C'est
ma foi un diable fort charmant, vêtu d'un petit string rouge
qui lui habille délicieusement les fesses, et... de rien
d'autre, ce qui me permet d'admirer ses deux jolis petits
seins qui se dandinent à chacun de ses pas. Ce spectacle
suffit amplement à me dire que finalement, je suis bien
content qu'elle soit en retard. Pourtant, en à peine quelques
secondes, ses plus beaux appas de jeune femme se retrouvent
dissimulés sous sa robe bleue que j'adore et qui lui va
à ravir : un décolleté assez prononcé, une coupe assez moulante
qui laisse deviner sa silhouette, et une longueur assez
réduite qui permet d'admirer ses jambes nues. Je la trouve
finalement presqu'aussi délicieuse habillée que nue.
- Puisqu'on est pressés,
tant pis, j'ai pas mis de soutif ! Me dit-elle en prenant
son sac. En plus, je sais que t'aimes ça donc t'es content
? Rajoute-t-elle avec espièglerie.
Sûr que je suis content !
Je vais pouvoir me rincer l'œil sur son décolleté toute
la soirée, et fantasmer sur ses seins que j'ai déjà hâte
de retrouver tout à l'heure pour un tête-à-tête que je sens
déjà torride. Mais je commence à la connaître ma petite
Flo, elle dit que c'est de ma faute si elle sort sans soutif,
mais en fait elle en mourrait d'envie, et quelque chose
me dit qu'elle va revenir excitée à mort pas cette petite
sortie en tenue très légère.
J'ai à peine le temps de l'admirer
un peu plus en détails que je me retrouve entraîné sur le
palier. Tant pis, je me dis que j'aurai le temps de la contempler
tout au long de la soirée, et puis j'avais presqu'oublié
qu'on était à la bourre.
Quelques minutes de marche
plus tard, on arrive enfin au restaurant, avec seulement
25 minutes de retard, ce qui est conforme aux habitudes
de ma tendre moitié, et aux miennes aussi je dois bien avouer.
Ca doit être le tempérament des gens du Sud... Heureusement,
on trouve une table sans trop de difficultés.
AAAAAhhhhhhh, enfin installés!
Je peux me plonger à loisir dans son corsage, et aussi un
peu dans ses yeux qui me regradent amoureusement (du moins
j'ose le croire). Rien ne peut venir troubler ma béate contemplation,
ni le serveur, ni les plats qu'il m'apporte, ni les autres
clients, ni les bavardages incessants de ma Belle, que je
n'écoute que d'une oreille distraite d'ailleurs...
Jusqu'au moment où, juste
avant le dessert, elle décide de s'absenter pour faire ce
que toutes les femmes font sans arrêt, à savoir aller aux
toilettes, sans oublier bien entendu d'emmener son sac à
mains, dès fois qu'on veuille lui piquer, ou que je veuille
fouiller dedans ! Je reste donc quelques minutes seul, ce
qui me permet de faire un petit tour d'horizon des personnes
présentes dans la salle, et surtout des personnes de sexe
féminin évidemment. Mais celle que je préfère ne tarde pas
à revenir, plus éblouissante que jamais dans sa robe légère
qui virevolte.
Après le café, au moment
où l'attente de l'addition rend l'atmosphère un peu lourde,
ma petite Flo ne trouve rien de mieux que de m'annoncer,
avec un petit sourire espiègle au coin des lèvres :
- Tu sais quoi ? J'ai une
petite surprise pour toi !
- Ah ouais ? Ca tombe bien,
j'adore les surprises. Et c'est quoi ?
- Si tu veux le savoir, regarde
dans mon sac !
Ce mystère m'intrigue. Sans
plus tarder, je m'empare de son sac, ce qui d'habitude m'est
totalement prohibé, et je l'ouvre, ce qui d'habitude frise
le crime de lèse-majesté. Je ne tarde pas à deviner la "petite
surprise" comme elle dit. Son petit string rouge, qui
en partant de chez elle était bien au chaud entre ses fesses,
se retrouve encore bien au chaud, mais dans son sac cette
fois ! A mon avis, il a perdu au change !
Je la regarde interloqué,
tandis qu'elle me regarde l'air amusé et fière de son coup.
Je ne tarde pas moi aussi à trouver ça amusant, et même
assez excitant à dire vrai. Depuis le temps que j'en rêve,
je n'en reviens pas qu'elle se soit enfin décidée à le faire
! Car si le fait de sortir sans soutien-gorge lui est déjà
arrivé, se retrouver sans rien sous sa robe est tout nouveau,
du moins avec moi en tout cas.
Comme si mon trouble n'était
pas assez évident, je sens son pied qui vient frotter contre
ma jambe et remonter dangereusement vers un endroit qu'il
m'est alors difficile de contrôler. Mais heureusement, ou
plutôt malheureusement, le serveur vient interrompre les
velléités libertines de ma compagne, et en profite au passage
pour me fusiller avec une addition plombée à la chevrotine.
Une fois sortis du restaurant,
j'ai une envie folle de rentrer, mais ma Belle, décidément
pas à cours d'idées lumineuses, me propose une partie de
billard, ce qui permettra de profiter de la douce soirée,
et aussi d'étancher un peu plus sa soif d'exhib.
Nous voilà donc partis, dans
les bras l'un de l'autre, pour une partie qui s'annonce
des plus distrayantes ! Le bar n'est pas loin, on y est
en même pas 5 minutes.
En y repensant, je la soupçonne
d'ailleurs d'avoir choisi le billard en connaissance de
cause. Car quoi de plus excitant que de se retrouver dans
un bar à faire un billard, penchée sur la table, le décolleté
généreusement offert aux regards des fidèles du comptoir,
le minou à l'air, avec la robe qui se relève par le derrière
et qui offre une vue impayable sur ses jambes (et peut-être
plus) aux clients installés sur les tables ?
Mais, chères lectrices, chers
lecteurs, n'allez quand même pas vous imaginer que les idées
de ma Belle se limitent aux plaisirs charnels et exhibitionnistes
; il me faut dire aussi que l'on s'est souvent retrouvés
à faire des parties sans aucune autre intention que le plaisir
de jouer car c'est un jeu qu'elle apprécie particulièrement...
peut-être parce que ça se joue avec une queue et des boules
? (Je sais, le jeu de mots est affligeant mais c'était vraiment
trop tentant).
Bref, revenons à l'histoire
qui nous occupe, et qui je l'espère vous passionne (ouais
bon, on peut toujours rêver). On prend donc une table, un
verre chacun, et on commence à jouer. Bien que moi autant
que Florence ayons un niveau correct, je me souviens très
bien que ce soir là fût une catastrophe au niveau du jeu
à proprement parler. Mais pouvait-il en être autrement ?
Moi, je ne pense qu'à une seule chose depuis qu'on est sortis
du restaurant, c'est me retrouver en tête-à-tête avec ma
charmante compagne, quant à Flo elle doit être excitée comme
une pucelle à son premier rendez-vous amoureux par tous
ces regards qui la transpercent, où qui semblent la transpercer,
car le fait de sortir sans culotte a le pouvoir de lui faire
croire que tous les yeux masculins des alentours sont braqués
sur elle. Et les mâles sont nombreux dans l'assistance,
même si la plupart des regards sont concentrés sur les écrans
de télé qui diffusent le match de foot dont le souvenir
de l'affiche me fait défaut.
Moi, je suis évidemment fier
comme Artaban de voir ma copine faire baver la moitié du
bar, et je me dis que la nuit va être longue !
Mais après deux ou trois
parties, qui ont d'ailleurs duré plus longtemps qu'à l'accoutumée
tant notre niveau de jeu était déplorable, ma petite exhibitionniste,
sûrement rassasiée de regards avides, décide d'arrêter là
ce massacre, qui est une véritable insulte faite à ce jeu.
Je ne peux qu'adhérer, car tout ce qui peut me rapprocher
de l'instant où on rentrera chez moi est le bienvenu, même
si ces quelques parties ont dû attiser le désir de ma partenaire.
On s'assoit quand même quelques minutes sur une table pour
finir notre verre. Blottie au creux de mon épaule, je la
sens chaude comme la braise. Je ne peux m'empêcher de lui
demander :
- Alors, c'était comment
cette partie de billard en tenue légère ?
- Je suis toute dégoulinante,
c'est la folie ! Me répond-elle avec son sourire d'ingénue
qui tranche singulièrement avec ses propos. D'ailleurs j'ai
arrêté parce que j'avais peur de tâcher ma robe.
Cet aveu me transporte et
me donne une trique du tonnerre. Je souffre le martyre dans
mon jean soudain trop étroit pour contenir le volume décuplé
de mon sexe.
- J'ai envie de toi ! Soufflais-je
à ma Belle en forme de proposition.
- Moi aussi ! Répond-elle
instinctivement. Si on rentrait ?
Mais l'occasion est trop belle
de lui proposer ce dont j'ai toujours rêvé :
- Ca te dirait d'aller plutôt
faire un tour dans les toilettes ?
- Ca va pas ? On va se faire
repérer !
- Mais non, on va faire gaffe
! Et puis on s'en fout, on connaît personne ! Ca t'excite
pas à toi ?
- Si, mais c'est dangereux
! Proteste-t-elle pour la forme tant ses yeux brillent d'envie.
- Oooooohhhhhh!! Fais pas
ta chochotte ! Allez viens, suis-moi !"
Avant même qu'elle ne puisse
réagir, je l'entraîne avec moi dans les toilettes hommes
; comme dirait un certain poète-chansonnier :
- "Elle m'a dit d'un
ton sévère
- Qu'est-ce que tu fais là
?
Mais elle m'a laissé faire,
Les filles c'est comme ça!"
Bref, on arrive sans encombre
à se faufiler dans une cabine, les toilettes sont désertes,
ils sont tous plantés devant le match. Ca rassure quelque
peu ma chérie, même si elle me fait remarquer, sûrement
à juste titre :
- On nous a peut-être repérés
en train d'aller tous les deux en même temps aux toilettes
!
- Bin quoi, on a eu une envie
pressante simultanément et puis voilà ! Et puis on s'en
fout, au moins ils sauront que je t'aime !
Je mets fin à cette conversation
en collant mes lèvres contre les siennes pour un baiser
des plus torrides et annonciateur de bien des plaisirs.
Mais je suis intrigué, j'ai envie de voir sa chatte toute
trempée. Je retire donc en vitesse sa robe toute fine en
un clin d'œil et elle se retrouve complètement nue. Je ne
m'attarde pas sur ses seins, dont les pointes sont pourtant
fièrement dressées, et, malgré l'état d'insalubrité avancé
du sol (le choix des toilettes hommes n'était sûrement pas
le plus judicieux), je m'agenouille pour admirer son sexe.
Je constate avec satisfaction les effets de sa petite exhibition
: Son minou est complètement luisant de mouille, ses fins
poils sont collés à ses lèvres, et quelques gouttes dévalent
l'intérieur de ses cuisses.
- " Bin dis donc, va
falloir nettoyer tout ça maintenant !"
Sans plus tarder, je me mets
en action. Ma langue et mes lèvres s'affairent avec application.
Tout y passe : ses cuisses, ses lèvres, son clito, l'entrée
de son vagin... Ses petits cris de plaisir contenus (on
est quand même dans un lieu public !) Me prouvent son excitation
éminente. D'ailleurs, elle ne tarde pas à retirer ma tête
de son entrejambe pour passer à la suite, en me murmurant
:
- " Viens, prends-moi,
j'ai trop envie !"
Je me soumets bien volontiers
à ses désirs ! Je dégrafe les quelques boutons de ma braguette
et fait jaillir mon sexe bien dur et bien raide. Je m'approche
alors de ma chère Florence et, après avoir relevé sa cuisse
pour faciliter le passage, présente mon gland à l'entrée
de son vagin. Je ne tarde pas à trouver l'ouverture, et,
pour reprendre les termes d'un sport cher à mon cœur, je
prends alors le trou pour une pénétration plein axe (quelle
finesse !).
Ma Belle ne peut contenir
un cri aigu devant cette intromission. Je commence par quelques
petits mouvements mais les cris et les encouragements de
ma partenaire me convainquent d'accélérer. Je m'exécute,
mais je sais que je ne pourrais pas tenir longtemps à ce
rythme, je suis bien trop excité. Heureusement, elle aussi
est au bord de la jouissance. Très vite, je sens son corps
s'agiter frénétiquement, son bassin onduler, ses mains empoignent
mes fesses, ses cris pourtant étouffés résonnent dans la
petite cabine exiguë ; l'orgasme qui la submerge, tel un
raz-de-marée emportant tout dans son sillage, provoque à
mon tour le mien, et nous jouissons ensemble, dans un moment
d'une intensité qui n'a d'égal que la rapidité du rapport.
Je reste quelques instants
en elle, la tête posée sur son épaule, à reprendre mon souffle,
et à partager ce moment d'émotion intense. Elle aussi est
essoufflée, et son cœur palpite avec une rapidité rare.
Puis je me retire, et on se
rhabille, ce qui ne prend guère plus que quelques secondes
! Enfin on ressort. Dommage, il n'y a toujours personne
dans les toilettes pour nous écouter, et je me dis avec
regret que personne n'a entendu ma Flo jouir. Mais ce n'est
pas grave, et je rejoins le bar l'air triomphant, j'ai l'impression
que tout le monde sait ce qu'on vient de faire, que tout
le monde m'envie, que tout le monde se prosterne devant
moi, il s'en faut de peu pour que je grimpe sur le bar pour
crier "Je suis le roi du monde !!!!!".
Ouhla, je m'enflamme un peu.
Bon, reprenons. A peine revenus à notre table, on décide
de partir, car Florence a l'impression que tout le monde
nous regarde. Tiens, c'est bizarre, tout à l'heure ça l'excitait,
et là ça la gêne. Décidément, je crois que jamais je ne
comprendrai les femmes.
Bon, tant pis, moi ça me plaisait
bien qu'on nous regarde en se disant "oah, ils ont
été faire l'amour dans les toilettes !". Mais c'est
Flo qui décide, si elle se sent gênée...
A peine sortis du bar, ses
propos qu'elle me souffle à l'oreille m'enflamment :
- - "J'ai du sperme
qui coule partout sur mes cuisses !"
Hmmmmm... Cet aveu me donne
une trique foudroyante ! (Encore ! - Bin ouais !). Je suis
obligé d'adapter ma marche en fonction de ce gros truc qui
bouge tout seul dans mon caleçon. Ma Belle est encore une
fois toute contente de son effet, mais elle a intérêt à
assumer tout à l'heure, car il va falloir du temps pour
faire baisser mon excitation. Mais bon, vu l'état qui doit
être le sien également, elle devrait y arriver assez facilement...
On arrive chez moi au pas
de course. Je n'y tiens plus, avant même d'atteindre le
premier étage, je la plaque contre le mur et commence à
l'embrasser et à la peloter frénétiquement. Ma main ne résiste
pas et va faire un tour du côté de son entrejambe, pour
constater qu'effectivement son sexe dégouline de sperme.
Je bande toujours autant et je me dis que faire l'amour
dans la cage d'escalier, avec le risque qu'on nous surprenne,
pourrait être une bonne idée. Malheureusement, Flo ne veut
pas risquer de se faire repérer dans une position compromettante
et elle parvient, après une longue transaction et avec la
promesse d'une petite gâterie buccale dans l'intimité de
ma chambre, à me faire relâcher mon étreinte. Les marches
qui nous séparent du deuxième étage sont avalées d'une traite
et c'est avec un bonheur indescriptible que je referme à
clé la porte de ma chambre d'étudiant pour une nuit qui
s'annonce sous les meilleurs auspices.
Enfin seuls, sans la crainte
pour ma copine qu'un voyeur vienne déranger nos ébats, je
m'approche d'elle avec l'assurance qu'elle ne me repoussera
pas, et même avec le sentiment qu'elle piaffe d'impatience
que je la prenne dans mes bras. En vrai gentleman, je me
dois alors d'honorer son corps brûlant de désir. En guise
de préambule, je pose un petit baiser sur ses lèvres qui,
en quête d'un vrai patin digne de ce nom, ne tardent pas
à s'ouvrir. Sa langue se fraye un chemin entre mes lèvres
; ma bouche, toujours hospitalière et connaissant parfaitement
la visiteuse, l'accueille avec grand plaisir, puis nos langues
se cherchent, se trouvent rapidement, et échangent quelques
amabilités en un ballet rempli d'érotisme et de sensualité.
Tout en continuant ce baiser
fougueux, je déshabille ma Belle. Oh, ce n'est pas ce qu'il
y a de plus long à faire, il suffit d'écarter les bretelles
de ses épaules pour que sa robe tombe à ses chevilles. Et,
le lecteur attentif se souvenant qu'elle ne portait plus
de sous-vêtements à ce moment-là, il lui sera facile de
conclure qu'elle se trouve alors quasiment nue, seuls ses
petits talons et sa robe couvrant ses chevilles pouvant
encore être une barrière à sa nudité totale, ce qui est
ma foi bien peu.
Mais, elle interrompt ce baiser
pour me glisser à l'oreille :
- " Tu te souviens de
ce que je t'ai promis ?"
Je lui réponds d'un sourire
entendu, tandis que sa main s'est déjà égarée sur les boutons
de mon jeans et caresse mon sexe qui n'en peut plus d'être
confiné dans un espace aussi étroit.
Je lis dans son regard toute
la lubricité qui l'anime. Ma chemise ne résiste pas longtemps
et ses petits baisers sur mon torse me font frissonner.
Elle descend petit à petit pour aller chercher sa petite
friandise. Mon pantalon n'est nullement un obstacle à ses
envies. En quelques secondes, il se retrouve à mes chevilles,
suivi de mon caleçon. Ainsi libéré, mon sexe pointe fièrement
à quelques centimètres de son visage. Agenouillée à mes
pieds, ses yeux regardent mon visage et elle me sourit.
Sans me quitter des yeux,
elle enroule sa main autour de ma verge et finit lentement
de me décalotter en me branlant à vitesse très réduite.
J'adore sentir et voir cette petite main aux doigts si fins
s'enrouler autour de mon sexe. Mais déjà elle approche son
visage et commence à lécher mon gland déjà bien liquoreux.
Chaque coup de langue m'électrise et me procure un plaisir
indescriptible. Puis ses lèvres entrent en action ; D'abord
par quelques baisers timides, mais bien vite elles se montrent
plus aventureuses et coulissent de plus en plus sur ma verge,
mais toujours avec lenteur et délicatesse. Elle sait jouer
avec mon plaisir, ne pas me faire jouir trop vite, et je
sais qu'elle aussi prend plaisir à cette caresse. "Le
plaisir d'offrir, la joie de recevoir"...
Ses yeux ont quitté les miens
et ma Belle est maintenant totalement concentrée sur son
affaire. Avec sa langue, avec ses lèvres, avec ses mains,
sur mon gland, sur ma verge, sur mes couilles, avec lenteur,
puis plus vite, en changeant le rythme, ma bien aimée connaît
toutes les subtilités et les variantes pour réaliser une
bonne fellation. Et Dieu qu'elle s'y prend bien ! (Même
si Dieu n'y est pas pour grand-chose dans l'affaire !)
Mais, alors que le plaisir
est à son comble est vient flirter avec la zone rouge de
non-retour, ma fellatrice s'arrête et se relève, avant de
poser ses lèvres humides et goûtues sur les miennes. Ce
baiser au goût particulier est ma foi bien agréable, même
si je suis déçue de cet arrêt soudain.
- "Viens sur le lit,
me dit-elle, on sera plus à l'aise !"
J'obéis, docile et en totale
confiance (je suis entre de bonnes mains !). Guidée par
ma Douce et Tendre, je me retrouve allongé sur le lit et
sur le dos, et libéré de tout vêtement, tout comme ma compagne
d'ailleurs. Alors elle s'allonge à mes côtés et m'embrasse
à nouveau, avant de me souffler à l'oreille :
- T'inquiète pas, j'ai pas
encore fini ma petite gâterie ! Tu veux que je continue
au moins ?
- Quelle question ! Evidemment
que j'en ai envie, t'es la meilleure ma petite Flo !"
Alors, telle une liane, elle
se laisse doucement glisser sur mon corps en déposant une
kyrielle de baisers qui me font frissonner. Arrivée à destination,
elle se saisit de ma verge posée sur mon ventre, la redresse
à la verticale tout en la scrutant amoureusement, et approche
sa bouche jusqu'à ce que ses lèvres viennent couvrir mon
gland. Alors, elle recommence ses va-et-vient. D'abord lentement,
comme au début, comme si tout recommençait, comme tout à
l'heure. Puis elle accélère, tout en restant à vitesse réduite.
Grand avantage d'une relation longue(enfin "longue",
disons quelques années !), Elle sait quelles caresses peuvent
augmenter le plaisir et sa main vient caresser mes couilles
avec douceur, tandis que mon sexe ne doit de garder sa verticalité
que grâce à la bouche généreuse de Florence. Ses cheveux
viennent caresser mon ventre en cadence, me coupant par
la même occasion la vue de son visage. Tant pis, ça me permet
de me concentrer encore plus sur ses caresses exquises.
Mais malgré sa lenteur, je
sens qu'entre ses lèvres, sa main toujours aussi douce,
et ses petits gémissements étouffés, je ne pourrai pas résister
longtemps. Vite, penser à un truc pas du tout érotique ;
ah je sais, les formules de trigo : cos(a+b) = cosa.cosb-
sina.sinb, cos(a-b)=... Trop tard ! Malgré mon avertissement
censé lui faire reculer sa bouche, ma Belle continue son
traitement divin et revient même me branler à vive allure
avec sa main. Fatalement, quelques secondes plus tard, une
vive vague de plaisir envahit mon bas-ventre, déclenchant
par la même occasion le processus irréversible de l'éjaculation.
Ayant absorbé le premier jet, ce qui est assez rare pour
être souligné, Flo retire enfin sa bouche en vitesse, sans
cesser sa branlette, et m'observe déverser mon plaisir sur
mon ventre...
- Pourquoi tu t'es pas retirée
plus tôt ? M’interrogeais-je avec avoir savouré ma jouissance.
- Je voulais voir si cette
fois j'allais aimer !
- Ah ! Toujours pas visiblement
! Répondis-je d'un ton légèrement moqueur.
- Bin non, toujours pas, c'est
dégueulasse ce truc, et en plus j'ai failli m'étouffer,
c'est trop puissant quand ça sort !"
Nous partons alors tous les
deux dans un grand éclat de rire, avant de partir à la salle
de bains pour nettoyer les dégâts causés par les caresses
expertes de ma tendre moitié...
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