Cette aventure m'est arrivée, il y a une dizaine
d'année, alors que j'habitais à Grenoble. Une de mes collègues
de travail, Estelle, dont j'étais amoureux, ayant trouvée
un nouveau travail, était partie s'installée dans une autre
ville et je me languissais d'elle. Même s'il n'y avait jamais
rien eu entre nous, nous étions
très complices, et nous nous étions trouvés un loisir en
commun, c'était le bowling. Cet après midi là, au travail,
une autre de mes collègues, Ghislaine, elle aussi amie d'Estelle,
est venue me voir dans mon bureau.
- Jean, je viens d'avoir
Estelle au téléphone. Elle ne va pas bien du tout.
- Je sais. Elle s'ennuie
là-bas toute seule.
- Oui. Tu sais, ce qui serait
sympa ?
- Non, dis moi.
- Et bien, si on y allait
ce soir, après le boulot. Tu as quelque chose de prévu ?
- Euh… Non. Mais, ton mari
et ton fils ?
- Eux ? Mon mari est chez
sa mère jusqu'à Dimanche, avec Julien.
- Mais, tu es sure que l'on
peut débarquer chez elle à l'improviste ?
- Oh, allez… Et puis, si
elle n'est pas seule, on fera demi tour.
- Mummm… Bon, c'est d'accord.
- On pourra prendre ta voiture
? Moi, je suis venu en bus aujourd'hui.
- Dis donc, tu ne crois pas
que tu exagères un peu ?
- Si… Mais tu aimes bien
rendre service non ? me dit elle avec un grand sourire
- Allez, file, j'ai du travail.
A tout à l'heure.
- Tchao.
En fin de journée, vers 18h30,
Ghislaine m'a appelée pour savoir si on pouvait y aller.
Nous sommes descendu au sous-sol, et nous sommes montés
dans ma voiture, direction Chambéry. Ghislaine était comme
à son habitude habillée de façon très classique, d'une jupe
jaune et d'un chemisier vert. Le chemisier faisait ressortir
sa chevelure rousse qui ondulait sur ses épaules. J'ai mis
le contact et nous sommes partis. Environ une heure plus
tard, je me garais au pied de l'immeuble d'Estelle. Je connaissais
bien son adresse, car je l'avais aidée lors de son déménagement.
Nous avons sonné à l'interphone. Par chance, elle était
chez elle, et seule de surcroît. Je ne sais pas comment
j'aurais réagi si j'avais appris qu'elle était avec un homme.
Elle a parue vraiment heureuse de nous voir, et elle nous
a sautée au cou. Elle était vraiment belle, élancée, ses
cheveux coupés au carré qui dessinait le pourtour de son
visage. Ses petits yeux noisette pétillaient de bonheur.
Elle nous a fait asseoir et nous a offert un apéritif.
- Par contre, je suis embêtée,
mon frigo est vide.
- Oh, ce n'est pas grave,
nous n'étions pas venus jouer les piques assiette. Je vous
invite au restaurant.
- Ah bon ? En quel honneur
? Tu as eu une promotion ?
- Non, ai-je répondu en riant.
Simplement parce que je suis content d'être avec vous ce
soir.
- C'est gentil ça, a dit
Ghislaine.
- Jean, il est toujours gentil.
- Arrêtez les filles, j'ai
les chevilles qui vont exploser.
J'ai laissé Estelle choisir
le restaurant. Nous avons passé une agréable soirée, dans
un cadre qui n'avait rien d'exceptionnel. Les autres clients
jetaient parfois des regards vers notre table. Il faut dire
que j'avais fière allure avec ces deux belles femmes à ma
table. Et nous ne nous privions pas pour nous amuser et
pour rire comme des gamins. J'ai eu pourtant la sensation
qu'Estelle participait de moins en moins, comme si elle
s'éteignait petit à petit. Le repas terminé, je leur ai
proposé d'aller faire un bowling.
- Estelle, tu sais où est
le bowling hein ? On va s'en faire un, comme avant ?
- Non Jean, c'est gentil,
mais je ne me sens pas très bien. J'ai un mal de crâne terrible
et je préférerais rentrer si cela ne vous ennuies pas.
- C'est vrai ? Et tu ne disais
rien. Allez zou, on te ramène chez toi.
J'ai payé la note du restaurant,
laissé un pourboire correct, mais sans plus, à la hauteur
du repas que nous venions de faire. Nous sommes remontés
dans la voiture et j'ai reconduit Estelle chez elle.
- Je ne vous propose pas
de monter, je suis vraiment pas bien. Une autre fois ?
- D'accord, a répondu Ghislaine.
Prends des comprimés, couches toi vite et dors.
Nous avons attendu en bas
dans la voiture qu'elle nous fasse un petit signe de la
fenêtre et nous sommes rentrés. Tout au long de la route,
j'ai peu parlé, ruminant ma déception de n'avoir rien fait
avec Estelle. J'en voulais presque à Ghislaine de sa présence,
tout en sachant que j'étais injuste. Je l'ai ramenée chez
elle, me garant au pied de son immeuble.
- Puisque tu as trouvé une
place, tu veux venir boire un dernier verre ?
- Est-ce que c'est raisonnable
?
- Allez, il n'est pas tard.
Tu as sommeil ?
- Non, c'est vrai.
- Alors tu viens ?
Elle m'avait dit tout cela
d'un ton très doux, comme si elle cherchait à se faire pardonner.
Et je n'ai jamais su dire non à une femme qui me parle sur
ce ton. Je suis donc sorti de la voiture et je l'ai fermée
à clé. Nous sommes montés chez elle, au huitième et dernier
étage de son immeuble.
Une fois chez elle, elle a
tout de suite enlevée ses chaussures. Elle a pris mon blouson
et ma pochette pour les ranger dans un placard.
- Tu veux quelque chose à
boire ?
- Euh oui.
- Un petit digestif ?
- C'est pas un peu tard ?
- Meuh non. J'ai du Get 27.
Avec des glaçons c'est fameux.
- C'est vrai que c'est bon.
Un peu sucré mais enfin.
- Alors t'en prends un ?
- Oui, merci.
- Mets toi à l'aise, installe
toi dans le canapé, je reviens.
- Tu veux un coup de main.
- Non non, ça va aller.
Elle est partie dans la cuisine
et j'ai entendu les bruits de préparation des boissons.
Lorsqu'elle est revenue, j'ai remarqué qu'elle avait défait
les deux boutons du haut de son chemisier. Elle a du apercevoir
mon regard, car elle a précisé en déposant les verres sur
la table basse.
- Il fait trop chaud. Cela
ne t'ennuies pas que je me sois mise un peu à l'aise.
- Non, pas du tout.
En fait, ainsi placée, j'avais
une vue plongeant dans son chemisier et ses seins emprisonnés
dans un petit soutien gorge blanc se promenaient devant
moi.
- Tu connais Séville ?
- Non pourquoi ?
- Cela te dit de voir les
photos de mon dernier voyage ? Nous sommes allés là bas
avec Pierre.
- Ah oui, pourquoi pas.
Elle a ouvert une armoire,
et se hissant sur la pointe des pieds, elle a sorti trois
albums de photos, avant de revenir vers moi. Elle a posé
les albums sur la table basse et s'est assise à coté de
moi, à ma droite. Elle a pris les deux verres, m'en a tendu
un.
- Allez, à ta santé.
- A la tienne, Ghislaine.
Après avoir bu un peu, elle
a pris le premier album et l'a posé sur ses genoux.
- Bon, alors là, tu vois,
c'était le premier jour. On a visité le cœur historique
de la ville. Les photos sont pas forcément terribles, car
les ruelles sont très étroites.
- Euh, là en fait, je vois
pas grand-chose.
- Pardon ?
- Oui, si tu gardes l'album
sur tes genoux, je ne vois rien ou presque.
- Oh ! Désolée.
Elle s'est rapprochée de moi,
se collant contre mon flanc, et elle a posé l'album à cheval
sur nos jambes.
- Tu vois mieux là ?
- Oui, là j'y vois bien.
- Bon. Alors tu vois, ce
qui est super, c'est que les maisons sont blanches. Ca fait
très lumineux. Et beaucoup ont des petites fontaines, comme
celle là tiens, me dit elle en montrant une photo.
Pendant qu'elle continuait
ses explications, j'ai dégagé mon bras droit et je l'ai
posé sur le dossier du canapé, pour être plus confortablement
installé. Elle me montrait une série de photos de la forteresse
l'Alcazar tout en me parlant de l'histoire de ce bâtiment.
Moi, mon regard était plutôt accroché par la vision de ses
seins quand elle se penchait en avant pour me montrer l'une
ou l'autre de ses photos. Nos corps côte à côte, le Get
et la frustration de ne pas être avec Estelle, tout cela
contribuaient à me mettre dans un certain état d'excitation.
Je tentais de me raisonner, en me disant que Ghislaine était
mariée, que c'était une copine et une collègue de travail
et je tentais, un peu vainement, de continuer à m'intéresser
à la ville de Séville. Le premier album se terminait.
- Alors là, tu vois, ce sont
les jardins de la forteresse. Il y a toujours beaucoup de
monde, car on y trouve une chose rare, de l'ombre. Beaucoup
de couple d'amoureux se retrouvent là pour se bécoter. Tu
veux voir la suite ?
- Euh… Oui
Sa main a effleurée ma cuisse
en refermant l'album qu'elle a ensuite déposé sur la table.
Elle a pris le suivant, qu'elle a ouvert sur nos genoux.
- C'est toute une série sur
la cathédrale. Elle est vraiment immense, tu sais. A l'intérieur,
c'est magnifique. Et il y a de ces tableaux. Tiens, regarde.
Ses petits seins tressautaient
pendant qu'elle tournait les pages. J'ai laissé glisser
mon bras le
long du dossier, pour venir
le reposer sur l'assise du divan. Ma main effleurait ses
hanches.
Elle a tourné la tête pour
la regarder, puis a repris ses explications.
- Alors là tu vois, c'est
une toile de Greco. Elle est vraiment splendide. Tu as vu
tous ces détails ?
- Oui, c'est sublime.
J'ai plaqué ma main sur sa
hanche. Elle a tournée la tête, l'a regardée, s'est tournée
vers moi. Elle a ouvert la bouche, s'apprêtant à dire quelque
chose, puis s'est ravisée et s'est penchée
sur l'album.
- Tiens, là, c'est l'ancien
minaret de la mosquée. Tu savais que la cathédrale a été
bâtie sur une mosquée ?
- Non, je l'ignorais.
- Moi je trouves pas que
ces minarets, cela fait un peu phallique, tu ne crois pas
?
- Si, c'est sur. Comme les
fusées.
- Oui, dit elle en riant
doucement.
Ma main caressait sa hanche
et le haut de sa cuisse. J'ai sentit alors, sous mes doigts,
la fermeture éclair et le bouton d'attache de la jupe. Je
m'y suis attaqué, et, sans qu'elle ne réagisse, j'ai défait
le bouton et fait glisser la fermeture éclair en lui faisant
émettre son ruit
caractéristique. Il était
impossible qu'elle ne réagisse pas, à ce stade. Et pourtant.
Elle continuait sagement à me montrer ses photos, et attaquait
maintenant le troisième album. Pendant qu'elle s'était penchée
en avant pour changer d'albums photos, j'ai glissé ma main
sons sa jupe. J'ai senti la toile de sa petite culotte et
la peau soyeuse de ses cuisses.
- Alors là, tu vois, ce sont
les arènes. Tu as déjà assisté à une corrida ?
- Non, jamais.
- C'est cruel, mais c'est
un spectacle fantastique. Cela ne te laisse pas insensible.
C'est tellement violent, animal.
- Cela t'a plut ?
- Oui et non. Mais c'est
excitant.
- Pardon ?
- Euh… Oui, cela a quelque
chose d'excitant. J'ai détesté le spectacle offert, mais
cela m'a réellement émoustillée. Une amie m'a dit que c'était
sans doute l'odeur de la mort. Tu y crois toi ?
- Bof.
En disant cela, j'ai approché
ma main gauche et j'ai défait le bouton du haut de son chemisier.
Elle m'a laissé faire, puis a tourné la page de l'album.
- Alors là, c'est l'université.
C'est joli non.
- Oui, très.
Je n'étais vraiment plus intéressé
par les photos, et j'ai retiré un bouton supplémentaire.
Son chemisier était ouvert jusqu'au dessus de son nombril.
Elle a tournée une nouvelle page.
- Et là, les archives de
Indes. Il y a là dedans un nombre incroyable de documents.
Quand j'y pense, des objets
et des livres qui datent de Christophe Colomb.
- Ouais, c'est fou.
Et hop, un bouton de plus.
J'ai tiré sur le chemisier pour le faire sortir de sa jupe.
Plus aucun bouton n'était attaché. Elle a de nouveau tourné
une page de l'album.
- Là, c'était notre hôtel,
avec Pierre. C'est là que nous sommes revenus de la corrida.
- Ah oui. Et vous avez fait
quoi ? ai-je demandé en souriant
- Et bien, la corrida n'avait
pas eu tout à fait le même effet sur lui.
Elle s'est penchée pour poser
l'album photo que nous avions fini. J'en ai profité pour
glisser mes mains dans son dos et dégrafer son soutien gorge.
- Quel effet cela a-t-il
eu alors ? lui ai-je demandé en saisissant un de ses seins
dans ma main et en le caressant.
- Euh… Et bien aucun, justement.
- Et alors ?
Mon autre main était de nouveau
dans sa jupe, s'insinuant entre ses cuisses.
- J'ai du l'aider un peu,
pour retrouver la forme.
- Ah bon ? Et comment ?
Elle s'est redressée, a prit
son verre et l'a vidé d'un trait. Puis, elle s'est emparée
de ma ceinture, en a défait la boucle et s'est attaquée
aux boutons de ma braguette, qu'elle a enlevés un à un.
Dans le même temps, je lui ai retiré son chemisier et son
soutien gorge. Elle a ouvert mon pantalon, s'est adossée
de nouveau dans le canapé et a glissée une main dans mon
slip, pour s'emparer de la base de ma verge. Je lui léchais
maintenant les seins, ma langue s'attardant sur ses tétons,
dessinant le pourtour des fines auréoles. J'ai sentit son
autre main se glisser dans mon slip et s'emparer de mes
couilles. Ma verge a grossit entre ses doigts, tandis que
les miens couraient sur tout le haut de son corps désormais
accessible.
- Voilà, comme cela. Et il
a retrouvé la forme, comme toi.
- D'accord. Et c'est tout
?
- Non.
Sans cesser mes caresses,
j'ai fait sauter mes chaussures, puis je me suis redressé
et j'ai retiré mon pantalon et mon slip. Elle a défait les
deux boutons du col de mon polo, l'a attrapé ensuite par
le bas et me l'a retiré. Nous avons continué à nous caresser
comme cela quelques minutes. Ma queue durcissait de plus
en plus dans sa main. Elle a soulevée ensuite ses fesses,
et en se cambrant, elle a ôtée sa jupe et sa culotte, qu'elle
a envoyée au loin, avant de se lever et de s'agenouiller
devant moi. Elle s'est glissée entre mes jambes, a saisis
ma verge et a approchée son visage. Elle a ouvert la bouche
et a avalée mon sexe. Ses lèvres ont enserrées ma queue
et j'ai sentis la chaleur de sa gorge irradier mon membre
dressé pour elle. Elle a placée ses deux mains sur mes hanches
et balançait sa tête d'avant en arrière, avalant ma bite.
Elle suçait bien, m'arrachant bien vite des soupirs d'aise.
Ma verge coulissait dans sa bouche, dans de grands bruits
de succion. J'ai toujours été sensible à l'ouïe, et de l'entendre
me sucer me ravissait de plaisir. Puis elle a lâchée ma
queue.
- Tu as des préservatifs
? m'a-t-elle demandée
- Oui, dans la poche intérieure
de mon blouson.
Elle s'est levée pour aller
les chercher. J'ai vu son cul ferme et rond se balancer
pendant qu'elle se dirigeait vers le hall d'entrée et j'ai
pu admirer ses seins et ses hanches lorsqu'elle est revenue
vers moi. Ses petites pommes rondes tressautaient doucement
à chacun de ses pas.
- Dis donc, tu avais pris
une sacrée réserve. dit elle en posant la boite sur la table
- En fait, je ne savais pas
ce qui se passerait ce soir. Alors avant de partir voir
Estelle, j'ai fait un saut à la pharmacie et ils n'avaient
que des boites
- Dis donc, toi, tu n'aurais
pas le béguin pour Estelle.
- Si, un peu. En fait, j'ai
vraiment envie d'elle depuis que je l'ai vu..
- Ah, j'en étais sure. Et
bien, ce soir, je vais t'aider à l'oublier.
Elle s'est agenouillée de
nouveau et a recommencée à me sucer. Puis, elle a sortit
une petite pochette de la boite, a déchirée l'enveloppe
et a prit le morceau de caoutchouc entre ses doigts. Elle
s'est emparée de ma verge, a posé la capote sur le sommet
et l'a délicatement déroulée le long de mon membre. C'était
vraiment bon, comme une caresse.
- Dis donc, tu n'as pas eu
besoin de lire le mode d'emploi ?
- Chut ! me dit elle en posant
l'index sur mes lèvres.
Puis elle s'est levée, a passée
une jambe de chaque coté des miennes et elle a grimpée sur
le canapé, avant de s'approcher de moi, en marchant à genoux.
Une fois arrivée au dessus de mon bassin, elle a pris ma
queue encapuchonnée et la pointée vers sa chatte. Elle s'est
doucement laissée redescendre, s'empalant ainsi sur ma pine.
Elle a posée les mains sur mes hanches pendant que je prenais
fermement ses fesses dans les miennes. Ma queue était totalement
en elle, et elle commençait à s'activer. Je l'aidais à monter
et descendre, faisant coulisser ma bite dans son vagin.
Ses seins étaient à la hauteur de ma bouche et je les gobais
voluptueusement. Elle se cambrait, offrant sa poitrine à
mes baisers, la tête penchée en arrière, poussant de petits
cris de plaisir.
On a fait l'amour comme cela,
moi assis dans le canapé, elle agenouillée sur moi, empalée
sur ma verge. Je l'ai baisée de longues minutes, savourant
cet instant inattendu. Elle s'est laissée aller quand le
plaisir l'a submergée, et s'est couchée sur moi, le corps
parcouru de petits frissons. Elle a blottie son visage dans
mon cou, alors que je continuais à lui pilonner la chatte.
J'ai jouit quelques secondes après elle, me libérant en
elle, mais dans mon petit réceptacle en caoutchouc, donnant
de grands coups de reins à chaque jet de foutre.
Nous sommes restés comme cela
quelques instants, en nous embrassant goulûment à pleine
bouche. Puis, elle a saisi la base de ma verge dans sa main,
a bloqué le bout de plastique avec ses doigts et s'est relevée,
désolidarisant nos deux sexes. Elle a ensuite retirée ma
capote de mon sexe qui commençait à se ramollir. Debout
devant moi, la capote dans la main, elle m'a demandée si
je voulais boire quelque chose. Je lui ai demandé un verre
de lait car j'adore ça après avoir fait l'amour. Elle s'est
rendue dans la cuisine et j'ai entendu le couvercle de la
poubelle qui se refermait, emportant avec lui la semence
que j'avais répandue.
Elle est revenue avec un verre
de lait à la main, dans lequel nous avons bu tous les deux.
- Tu restes ?
- Si tu veux bien. Et si
ton mari ne débarque pas.
- Pas de risque, il ne sera
pas là avant deux jours.
- Alors c'est d'accord.
Tout en discutant, elle jouait
avec ma queue, comme une gamine joue avec ses cheveux. Elle
l'a passait de doigt en doigt et une nouvelle érection n'a
pas tardée à s'emparer de ma verge.
- Déjà ?
- Comment cela déjà ?
- Tu rebandes déjà ?
- Ben oui, pourquoi ?
- Ben… Pierre, il lui faut
au moins une heure de repos.
- Ah.
Ce n'était plus des caresses
de jeu maintenant. Sa main enserrait ma bite et elle me
branlait doucement. Petit à petit ma verge grossissait sous
ses caresses. Je n'avais que très rarement fait l'amour
plusieurs fois de suite et j'étais moi même surpris d'être
à nouveau en forme aussi rapidement.
- Raconte moi ce que vous
avez après la corrida ? lui ai-je demandé
- On est rentrés à l'hôtel,
je te l'ai dit.
- Oui, mais une fois dans
la chambre.
- C'est personnel, Jean.
- Allez, j'ai envie que tu
me racontes.
- Et bien on a fait l'amour.
- Je m'en doutais un peu.
Donnes moi des détails. Il te baise bien ?
- Je n'ai pas à me plaindre.
- Vraiment bien ?
Sa main me branlait vraiment
maintenant.
- Vraiment bien, c'est plutôt
rare. Mais c'est pas mal en général.
- Et tu le suces ?
- Là tu vas un peu loin non
?
- Allez, sois sympa, raconte.
Ca m'excite d'entendre les gens parler de leur partie de
jambes en l'air.
- Oui je le suce ! Voilà,
t'es content.
- Tu le fais souvent.
- A chaque fois.
- Et tu aimes ?
- Mouais, j'aime assez.
- Et tu le fais jouir avec
la bouche ?
- Cela m'est arrivé, une
ou deux fois.
- Tu aimes ?
- Pas trop non. Et fait,
je n'aime pas le goût. Sinon, j'adore le sentiment que cela
procure.
- Il en a une grosse ?
- Non, pas énorme, normale
voire un peu plus, je dirais. Comme la tienne.
- Et il te lèche ?
- Rarement.
- Tu aimes ?
- Quoi ? Que l'on me lèche
? ... Oui dit-elle d'une petite voix…
- Tu veux que je te lèche
? Que je te fasse jouir avec ma bouche ? J'adore faire cela.
- Tu ferais ça ? C'est vrai
? Arrête, tu me tentes.
- Moi, je veux bien.
- Vrai ? Alors c'est d'accord.
- Et toi, tu voudrais me
faire jouir en me suçant ?
- Bof, pas trop. Tu en as
envie ?
- Ouais. J'ai envie d'un
vrai 69.
Elle n'a pas répondu tout
de suite, mais elle a continué à me branler. Je caressais
ses fesses pendant ce temps. Elle s'est dégagée de la caresse,
a pris ma main dans la sienne.
- Viens, on va dans le lit,
on sera mieux.
- Alors, tu acceptes ?
- Oui, viens.
Nous sommes allés dans la
chambre, au milieu de laquelle trônait le lit familial,
recouvert d'un joli dessus de lit en patchwork, très coloré.
Elle l'a ôté avant de me faire signe de m'allonger. Je me
suis couché sur le dos et je l'ai regardé s'installer au
dessus de moi, tête bêche. Elle a ouvert ses cuisses et
s'est installé sur moi, mettant son bassin au dessus de
mon visage. J'avais devant les yeux le spectacle de son
entrejambe, sa petite chatte rosée aux lèvres gonflées,
bien rasée, et couronnant le tout, son petit anus brun.
J'ai senti sa bouche engloutir ma queue pendant qu'elle
descendait son bassin. Avec deux doigts, j'ai caressé ce
sexe déjà humide. J'y ai goûté, posant mes lèvres dessus,
glissant ma langue à l'intérieur. Une saveur douceâtre m'a
envahi, et j'ai délicieusement bu à sa fontaine. J'ai passé
ma langue sur l'ourlet de ses lèvres, faisant le tour de
sa chatte, m'attardant sur son petit bouton pendant que
sa tête montait et descendait le long de ma bite. J'ai doucement
titillé son clitoris du bout de la langue, pendant que j'introduisais
lentement un doigt dans sa fente. Elle soupirait tout en
continuant à me sucer, mordillant mon gland ce qui m'a procuré
d'agréables frissons. J'ai plaqué ma bouche sur sa vulve,
introduisant ma langue dans les profondeurs de ses chairs,
buvant ses sucs intimes. J'ai, en même temps, posé un doigt
sur son anus que j'ai caressé.
Ma langue plantée dans sa
chatte, je n'ai pas pu m'empêcher d'introduire mon index
dans son fondement, ce qui l'a presque fait crier de plaisir.
Elle avait sorti ma queue de sa bouche et la tête posée
sur mes bourses, elle se laissait aller à mes caresses.
Je sentais son souffle chaud sur mon entrecuisse. Il est
vrai qu'il est difficile de s'appliquer à caresser l'autre
tout en appréciant les plaisirs qu'il vous prodigue. J'ai
donc continué à lui lécher le con, prenant son clitoris
entre mes lèvres, le caressant de ma langue que j'ai ensuite
introduite à nouveau dans sa fente. Mon index avait pris
possession de son cul, et je le faisais entrer et sortir
de cet orifice. Ghislaine gémissait sous mes caresses, ne
s'occupant plus que de son plaisir. Et je me suis attaché
à lui en donner. Je lapais son sexe, ma langue tournait
autour de son clitoris, de plus en plus rapidement, avant
de replonger dans sa chatte. D'une main, je lui caressais
les hanches et je lui pétrissais les fesses tandis que je
continuais à la sodomiser de mon index.
Elle ne s'arrêtait plus de
gémir et je l'ai amené jusqu'au septième ciel. En criant,
elle a relevé son bassin, se soustrayant à mes caresses.
J'ai senti sur mon index son anus se contracter, pendant
que tout son corps frissonnait. Je l'ai accompagné de mes
caresses sur ses hanches, son ventre et ses seins. Elle
s'est petit à petit laissée aller, et s'est recouchée sur
moi, mais sans me sucer de nouveau. Puis, elle s'est relevée
et s'est allongée à mes cotés.
- Oh, tu m'as tuée. C'était
vraiment trop bon. Cela faisait des années que je n'avais
pas jouit comme cela. Tu m'as exténuée.
- Merci.
- Je sens que je vais bien
dormir. Ca te dérange si j'éteins ?
- Euh… Non non.
Qu'auriez-vous fait à ma place,
hein ? Je bandais atrocement et ne rêvais que d'une bonne
pipe, mais elle ne pensait plus à moi et s'endormais doucement,
les sens et le corps comblés par mes caresses. Elle s'était
blottie contre moi, et les yeux fermés, s'enfonçait doucement
dans l'univers des rêves. Autant vous dire que pour ma part,
j'ai mis vraiment longtemps pour m'endormir, d'autant que
nos corps nus continuait de se frôler.
Je me suis réveillé, au milieu
d'un rêve érotique où plusieurs femmes me caressaient le
corps et me branlait. Il faisait jour et la lumière du matin
passait au travers des rideaux de la fenêtre. Ghislaine
était à genoux entre mes cuisses et tenait ma verge dans
sa main en me caressant doucement. Elle ne me regardait
pas, les yeux rivés sur mon membre, et ne s'était visiblement
pas rendu compte de mon réveil. Je n'ai rien dit, la laissant
faire. Elle passait les mains sur ma queue dressée, la caressant
doucement, descendant parfois sur mes bourses.
Elle a continué comme cela
quelque instant, puis a saisi ma verge à pleine main et
m'a branlé doucement. Ce faisant, elle a ainsi fini de me
décalotter totalement le gland. Elle a continué à m'astiquer
la bite, puis elle s'est mise à embrasser mon gland, du
bout des lèvres au début, avant de l'entourer de ses lèvres,
déposant de petits baisers sur le sommet. Puis elle a commencé
à sortir sa langue et à me lécher le bout de la queue. Sa
main continuait ses caresses sur mon sexe et mes couilles.
Je sentais les pointes de ses seins frotter mes cuisses.
Elle a avalée ma bite et elle
a commencé à me pomper. Sa bouche, douce et chaude était
un fourreau délicieux. Elle était en train d'accomplir sa
promesse de la veille. Elle me suçait et me branlait, visiblement
désireuse de me faire jouir. A aucun moment elle n'a cherchée
à savoir si j'étais réveillé. Face à moi, je voyais ma bite
disparaître et apparaître en fonction des mouvements de
sa tête. Je sentais monter mon plaisir, sous la chaleur
de sa bouche, la douceur de ses lèvres, l'avidité de sa
langue. Je gémissais maintenant, sans retenue, guidant ses
caresses de la voix, lui faisant comprendre ce que j'attendais.
Elle m'a saisit les couilles et a continuer à me sucer,
conservant mon gland dans sa bouche, passant sa langue autour,
et me branlant de son autre main. Petit à petit, elle m'a
amené au point de non retour.
J'ai jouit, comme cela m'était
rarement arrivé. Je m'étais laissé aller à ses caresses,
et c'est ainsi, que totalement détendu et sans me poser
plus de questions, j'ai éjaculé dans sa bouche. Sans la
prévenir, je me suis répandu en longs jets qu'elle a avalé,
les joues creusées, aspirant ma semence. Je l'entendais
aspirer mon foutre, me suçant comme elle l'aurait fait avec
une friandise. C'était tout bonnement le réveil paradisiaque.
Je sentais sa langue tourner sur mon gland pendant que,
les lèvres serrées autour de ma verge, elle aspirait mon
sperme. Elle a fini par relever la tête vers moi, et elle
m'a sourit.
- Alors, tu as aimé ? m'a-t-elle
demandé
- Tu savais que j'étais réveillé
?
- Il aurait vraiment fallut
que tu sois mort pour ne pas te réveiller.
- C'est vrai. En tout les
cas, la journée ne pouvait pas mieux commencer, lui ai-je
répondu.
Nous avons alors échangés
un ardent baiser avant de nous lever pour aller déjeuner.
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