TITRE : Le voyeur du chantier ...
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Dix heures sonnèrent au clocher de la paroisse. Claire après un dernier baiser à ses parents auxquels elle était venue rendre visite, comme elle le faisait chaque dimanche afin de prendre des nouvelles de leurs santés et de leur amener quelques courses, s'installa au volant de sa « Clio ». Là, avant de démarrer, elle prit le temps de bloquer les portières de l'intérieur ; habitude qu'elle avait décidée d'adopter après avoir vu un reportage à la télévision où de jeunes voyous n'hésitaient pas à ouvrir les portières des automobiles afin de dérober par la force les sacs à main des automobilistes féminines. Après un dernier signe de la main à l’adresse de ses parents qui se tenaient sur le pas de leur porte, elle s'élança sur la route pour rejoindre sa demeure distante de dix kilomètres et où l'attendaient en préparant la cuisine Jacques son mari, Isabelle sa fille et René son jeune fils.
     Mais comme elle passait devant le stade de foot, son attention fut attirée par une silhouette qui, son sac de sport posé à ses pieds, téléphonait à l'aide d'un portable. Son cœur s'emballa soudain tandis que sa respiration se bloquait. En ce jeune homme vêtu d'un short de sport et d'un maillot aux couleurs de l'équipe régionale elle avait reconnu Guillaume. ***

     Stoppant la voiture au niveau de l'adolescent, elle fit descendre la vitre, coté passager.

     - Guillaume ! Appela-t-elle. Monte !... Je te ramène !

     Reconnaissant en la conductrice de la « Clio » la voisine de ses parents qui l'avait si voluptueusement initié aux jeux amoureux un mois auparavant, Guillaume sentit à son tour son cœur battre la chamade. Sans hésiter, tout heureux de cette rencontre, il lança son sac de sport sur les sièges arrière avant de s'installer à coté de son initiatrice. Claire, les mains tremblantes d'émoi redémarra la gorge nouée.

     - Que fais-tu ici ? Demanda-t-elle d'une voix sourde, afin de briser le silence qui risquait de s'instaurer entre eux.
     - J'étais à l'entraînement de foot, répondit Guillaume, aussi ému que sa compagne... J'appelais mon père pour qu'il vienne me chercher.

     Tout en conduisant lentement, Claire songeait que si elle voulait profiter de la chance inespérée qui s’offrait à elle en la rencontre de Guillaume : cet adolescent, qui depuis un mois avait inexplicablement éveillé en elle des désirs sexuels de plus en plus incontrôlables, il fallait qu'elle fasse le premier geste, le garçon encore trop timide risquant de ne pas l’oser.

     - Tu as un peu pensé à moi ? Demanda-t-elle d'une voix émue.
     - Ouuii, reconnut Guillaume qui depuis un moment fixait les longues jambes bronzées de la conductrice, que la courte jupe retroussée à mi-cuisses dévoilait à ses regards affolés.
     - Moi aussi, avoua Claire dont le corps commençait à se couvrir d'une sueur érotique. J'ai souvent pensé à toi et à notre après-midi... Ça été un moment merveilleux non ?
     - Oui, acquiesça Guillaume de plus en plus excité par la vue des cuisses à demi dénudées.

     S'apercevant de la direction du regard de l'adolescent, Claire ressentit une soudaine chaleur se propager dans le bas de son ventre et à l'intérieur de son sexe. Instinctivement elle resserra ses jambes, autant que lui permettait la conduite du véhicule, pressant ses cuisses l'une contre l'autre pour tenter d'atténuer le désir qui humectait sournoisement sa vulve soudainement stimulée. Voyant que les kilomètres défilaient et qu'ils allaient bientôt arriver à destination, Claire décida qu’il lui fallait à tout prix prendre l'initiative ainsi qu'elle l'avait fait un mois auparavant. Otant sa main droite du volant, elle la posa sur la cuisse nue de l'adolescent. Aussitôt un troublant malaise la saisit à sentir cette chair ferme, musclée et duveteuse frémir sous ses doigts. Le désir qui déjà lui crispait le bas-ventre et lui incendiait la chatte s'accentua encore un peu plus, créant dans son corps de longs frissons douloureux.

     Sous ce soudain attouchement, Guillaume tressaillit de surprise et de plaisir, et tout son être se tendit dans une avide attente. Comme la main féminine si douce lui effleurait la cuisse d'une manière affolante, en frôlant insensiblement son entrejambe, il sentit son jeune membre viril se gonfler inexorablement dans son slip étroit. Enthousiasmé par cette affolante caresse il s'empressa d'écarter ses jambes, espérant que la femme vienne le toucher plus intimement, vienne caresser son membre qu'elle avait par ses attouchements tiré de sa torpeur.

     Percevant sous ses doigts les frémissements qui agitaient la cuisse du garçon, Claire en éprouva un intense plaisir ; et tandis qu'une nouvelle onde sensuelle la submergeait, elle laissa ses doigts errer au hasard sur cette chair douce et ferme à la fois. Tout en fixant la route devant elle, elle ne put s'empêcher de revoir en songe le corps nu de l'adolescent : son torse lisse, son ventre dur, et surtout sa verge longue et mince qui l'avait si bien comblée. Une envie folle de sentir sous ses doigts cette jeune virilité, qu'un mois auparavant elle avait découverte pour sa plus grande satisfaction, la saisit. Elle laissa alors sa main remonter en direction de l'entrecuisse du garçon. Le cœur battant follement, elle réussit à glisser ses doigts sous la jambe du short. Et lorsqu’elle sentit à travers le tissu du slip, la raideur de la jeune verge, une boule de désir lui obstrua la gorge tandis qu’une chaleur intense se propageait dans son bas-ventre. Au fond de son vagin, un véritable brasier lui irradia les entrailles, tandis qu'entre ses cuisses sa longue fente sexuelle s'écartait en s'humidifiant abondamment, trempant l'entrejambe de sa légère culotte.

     - Tu as envie de moi ? Demanda-t-elle émue devant sa découverte.
     - Ouuii ! Grogna Guillaume, au supplice.
     - Moi aussi, j'ai très envie de toi, lui répliqua-t-elle dans un souffle.

     Cependant, comme ils arrivaient devant un rond point, Claire retira à regret sa main de l'entrejambe de Guillaume pour reprendre le volant. Mais comme elle négociait le virage à gauche elle sentit les doigts du garçon se poser sur son genou découvert, puis comme un jeune animal craintif remonter doucement le long de sa cuisse droite, s'infiltrer sous sa jupe et tenter d'atteindre son entrecuisse. Tremblante d'émoi, elle laissa l'adolescent continuer son affolante progression en direction de son intimité moite.

     Guillaume, la gorge nouée par ce qu'il avait osé entreprendre, éprouvait un sensuel plaisir à sentir la chair veloutée de la cuisse féminine frémir doucement sous ses doigts fiévreux. Fixant avec avidité les genoux dénudés par la courte jupe largement retroussée, il tenta d'infiltrer ses doigts fureteurs dans la fourche des cuisses de sa compagne, percevant avec émotion la douce tiédeur qui s'en dégageait.

     Perdant complètement conscience de la réalité sous les attouchements de plus en plus précis du jeune mâle, Claire dont la vulve transpirait abondamment, songea qu'il fallait à tout prix qu'elle trouve un endroit suffisamment désert pour s'arrêter et profiter de l'incroyable chance qu'elle avait eue en rencontrant l'adolescent. Comme les premières maisons du lotissement où ils habitaient tous les deux apparaissaient au loin, elle sentit une angoisse la serrer à l'idée qu'elle allait être obligée de laisser partir Guillaume, sans qu'ils aient eut un instant de solitude pour se caresser l'un l'autre et se procurer mutuellement du plaisir. Soudain, alors que les doigts du garçon devenaient de plus en plus conquérant dans son entrecuisse en tentant de s'infiltrer sous sa culotte, elle se rappela, complètement affolée, qu'un groupe d'immeubles se trouvait en construction pas très loin d'où ils étaient. Songeant que le dimanche, les ouvriers ne travaillaient pas et qu'à cette heure de la journée il y avait peu de chance que des curieux visitent les lieux, elle engagea la « Clio » dans la direction du chantier désert :

     - Tu as bien cinq minutes ? Demanda-t-elle à l'adolescent d'une voix rendue rauque par l'intense désir qui maintenant l'habitait… Tu veux que l'on s'arrête un moment ?
     - Oh oui, approuva Guillaume complètement affolé par les courtes bouclettes pubiennes qu'il percevait sous ses doigts.

     Louvoyant entre les constructions en cours, Claire rechercha un endroit suffisamment désert et éloigné de la route, afin que l'on ne remarque pas la « Clio ». Lorsqu'elle coupa le contact, Guillaume avait enfin réussit à glisser ses doigts sous le nylon de son slip et malgré ses cuisses resserrées, du fait de sa position de conductrice, tentait maladroitement de les enfoncer entre les grandes lèvres de sa longue faille sexuelle béante. Le bas-ventre crispé par le puissant désir qui lui ravageait maintenant les entrailles, elle contrôla une dernière fois que les portières de la voiture étaient bien bloquées, et rassurée sur une improbable intrusion, elle rabaissa vivement son dossier afin d'être à l'aise pour subir les caresses malhabiles de son jeune compagnon. Décollant les fesses de son siège, elle retroussa sa jupe jusqu'à la taille pour pouvoir largement écarter ses jambes et s'offrir ainsi complètement aux attouchements de plus en plus insistants du garçon.

     Ayant enfin sa compagne à sa disposition, dans le silence du chantier déserté, Guillaume s'empressa de repousser l'entrejambe de la minuscule culotte de nylon, pour s'activer entre les grandes lèvres sexuelles qu'il venait de mettre à jour. Maladroitement, mais avec émotion, il chercha l'entrée du sanctuaire sacré, que la femme lui avait fait découvrir un mois auparavant et qui depuis peuplait ses rêves érotiques et embrasait sa virilité. Sans avoir à tâtonner bien longtemps, tant sa partenaire ruisselait de désir, son majeur glissa le long de la fente sexuelle béante et inondée de sécrétions amoureuses, et s'enfonça entièrement dans ce repaire moite et velouté. Une chaude liqueur lui poissa aussitôt la main. Les yeux fixés sur l'abondante pilosité rousse qui moutonnait sur le bas-ventre de sa compagne et se perdait dans la fourche de ses cuisses grandes ouvertes, Guillaume explora avec trouble et curiosité la vulve profonde et moelleuse. La gorge nouée, il agita en tous sens, dans une onctuosité aqueuse son doigt raidi, le laissant longuement aller et venir le long des parois juteuses de l'affolante galerie sexuelle ; dans laquelle il avait connu, un mois plus-tôt et pour la première fois, un orgasme extraordinaire. Dans son slip, sa verge terriblement tendue déformait outrageusement le devant de son short.

     Confortablement calée dans son siège, Claire, les yeux clos pour mieux apprécier les caresses dont elle était l’objet, se laissa emporter par l'extraordinaire plaisir qui sous les attouchements, pourtant maladroits de l'adolescent, envahissait peu à peu son corps, depuis ses reins jusqu'à son bas-ventre. Dans son corsage, emprisonnés dans leurs prisons de dentelle, ses seins s'étaient douloureusement gonflés, tandis que ses mamelons enflés par le désir réclamaient leur part de caresses, qui les auraient quelque peu calmé. Sous ce doigt malhabile qui la fouillait intimement, elle sentait sa chatte se liquéfier littéralement.

     - Oui, continue, gémit-elle à l'intention de son jeune amant… C'est merveilleux… Doucement, va doucement... Oui comme ça… Huumm, c'est bon …

     Grisé par l'ampleur de la vulve à l'intérieur de laquelle son doigt se démenait, Guillaume accola son index à son majeur et à l'aide de ses deux doigts joints il continua à récurer l'affolant sexe féminin si accueillant.

     - Oh oui ! Râla Claire en s’arquant sous cette nouvelle pénétration... Oui, c'est bon. Branle-moi bien, mon chéri. Tu me rends heureuse. Aaaahhh….

     
     Alors qu'il quittait la cabane de chantier, qui lui servait de logement pour la durée des travaux, afin de se rendre au restaurent routier distant de quelques mètres, Pédro distingua avec surprise une « Clio » garée dans un coin discret du chantier. Curieux, songeant qu'il s'agissait peut-être d'une voiture volée, il s'en approcha doucement. Mais à peine en fut-il à quelques mètres, qu'il s’aperçut que celle-ci en fait était occupée par un couple et que ce dernier était simplement occupé à se procurer du plaisir loin des regards indiscrets. Poussé par une curiosité perverse il fit encore quelques pas. La première chose qu'il découvrit à travers le pare-brise, fut le visage d'une femme, les traits ravagés par le plaisir, les yeux clos, la bouche entrouverte, la tête reposant sur le dossier rabattu. Et, penché sur elle, le haut d'un crâne, appartenant sans aucun doute à un jeune homme. Alors qu'il aurait dû se retirer discrètement, Pédro, saisit d'une curiosité vicieuse, se pencha afin de ne pas se faire remarquer et s'approcha furtivement de la voiture, coté conducteur. Ce qu’il vit alors, l'immobilisa le souffle soudain accéléré. A l'intérieur de l’habitacle, la femme, à qui il donna une quarantaine d'années, d'après ce qu'il pouvait en juger, était allongée sur son siège au dossier légèrement rabattu. Sa jupe largement retroussée jusqu'à la taille dénudait son ventre quelque peu arrondi recouvert par une fine culotte noire pratiquement translucide. Penché sur ce bas-ventre que la femme lui offrait, un jeune homme, nettement moins âgé que sa partenaire, avait largement repoussé sur le coté l'entrejambe du slip de dentelle, afin de découvrir le sexe de sa compagne. D'ou il était, Pédro put voir au centre d'une épaisse touffe de poils tirant sur le roux, les doigts du jeune garçon s'agiter follement dans la chatte rose de la femme. Jetant de nouveau un coup d’œil en direction du visage de celle-ci, le maçon portugais fut saisi par l'expression d’intense volupté qui le déformait.

     Sentant le plaisir s'emparer insensiblement de son bas-ventre, Claire, les yeux toujours clos, porta machinalement ses mains à sa poitrine douloureuse ; et prise d'une soudaine fièvre érotique, elle entreprit de faire sauter un à un les boutons de son chemisier qu'elle repoussa de chaque coté de son torse. Puis, gémissant doucement sous le plaisir que son jeune compagnon lui prodiguait si généreusement, elle repoussa les balconnets de dentelle de son soutien-gorge, noir également, libérant ses seins outrageusement gonflés par le désir. Empoignant fébrilement ses lourdes mamelles, elle entreprit de les presser avec une fièvre grandissante, tout en encourageant son jeune partenaire :

     - Oh oui, c'est bon, mon chéri… Continue comme ça ! … Oui… Oh oui…. Enfonce bien tes doigts !...

     De son poste d'observation, Pédro, que les occupants du véhicule n'avaient toujours pas repéré, pouvait contempler avec envie les merveilleux seins de la femme. Sans être trop gros ces derniers avaient la sensuelle pesanteur commune aux appas des femmes ayant passée la quarantaine ; d'une blancheur de lait, parsemés de quelques taches de son, ils possédaient de larges aréoles roses au centre desquelles se dressait un téton d'une étonnante longueur qui attisa la curiosité du maçon. Mais à contempler pareil spectacle luxurieux, Pédro ne tarda pas à sentir le désir l'envahir peu à peu et dans son slip sa virilité se gonfla en se redressant lentement. Alors sans réfléchir à ce que son geste avait d'impudique, il fit prestement glisser le zip de sa braguette et se contorsionnant, il en sortit difficilement son membre raidi et monstrueusement gonflé. Tout en suivant d'un œil allumé le spectacle terriblement excitant qui se passait sur les sièges avant de la « Clio », il entreprit de se masturber d'un poignet souple et habitué à ce genre d’exercice.

     Cependant, à l’intérieur de la voiture, inconscient du show qu'il offrait à ce spectateur improvisé, Guillaume continuait ses fouilles sexuelles à l'intérieur de la vulve débordante de suc de sa compagne. Le visage penché sur le bas-ventre frémissant de sa sensuelle partenaire, fixant l'abondante toison couleur feu, il continua de fouiller avec ivresse les profondeurs brûlantes du sexe palpitant de sa compagne alanguie.

     La chatte ruisselante, les tétons douloureusement durcis, les reins arqués, Claire se laissa emporter par le plaisir qui lui envahissait inexorablement les entrailles. Mais soudain, comme l'orgasme la saisissait impitoyablement, la faisant se cambrer frénétiquement sur son siège, elle s'empara de la tête de l'adolescent dans un geste passionné pour l'attirer contre sa poitrine dénudée ; la plaquant fiévreusement contre ses seins gonflés qu'elle écrasa pendant tout le temps que dura sa jouissance.

     - Oh oui !... Ah, chéri, je viens !... Aaaaahhhhh !

     Le visage collé contre les douces rotondités mammaires, le poignet bloqué dans l'étau des cuisses féminines furieusement resserrées, Guillaume écouta, triomphant et fier de lui, les plaintes amoureuses que sa compagne et initiatrice émettait sourdement ; tandis qu'un liquide brûlant lui engluait la paume...

     Lentement, Claire émergea de son nuage de félicité, revenant doucement à la réalité. Haletante, elle rendit alors sa liberté à son jeune amant qui venait, une fois de plus, de la faire jouir avec une violence qu’il était le seul à lui communiquer ; jamais son mari, qu’elle aimait pourtant tendrement ne lui avait procuré un tel orgasme. Desserrant l'étau de ses cuisses, elle relâcha ainsi le poignet du garçon, qui mollement retira ses doigts poisseux de la vulve trempée :

     - C'était vraiment bon, susurra-t-elle à l'intention de son jeune compagnon… Tu m’as procuré énormément de plaisir… Tu es un amant merveilleux… A mon tour de te faire jouir, tu l'as bien mérité.

     Mais alors qu'elle tentait de se redresser, elle sursauta violemment en découvrant à quelques centimètres de la vitre de sa portière le visage d'un homme qui la fixait, le regard halluciné. Complètement affolée par la découverte de ce spectateur surgi de nulle part, Claire songea à remettre en marche le moteur de la « Clio » pour s'éloigner au plus vite de ce traquenard. Se rendant compte que la femme à l’intérieur de la voiture l’avait découvert, Pédro, se recula précipitamment, apeuré, dévoilant ainsi à la conductrice son sexe outrageusement dressé hors de son pantalon.

     Comprenant alors qu'ils avaient à faire à un voyeur, Claire sentit une étrange sensation s'emparer d'elle ; le fait de savoir que son orgasme avait eu un autre spectateur que Guillaume, provoqua en elle un certain contentement pervers. Cependant, à ses cotés, l'adolescent qui avait aussi aperçu l'homme au membre viril dressé, s’immobilisa sur son siège, pris de panique.

     - Ne t'en fais pas, le rassura Claire, qui sentait un désir pervers l'envahir, alors que son jeune compagnon semblait tout à coup moins amoureux. Il ne peut rien nous faire, les portes sont verrouillées de l'intérieur... Ce n'est qu'un malade pas dangereux... Tu n'as plus envie que je te caresse ?
     - Si, murmura Guillaume d'une voix mal assurée, tout en regardant du coté de l'homme.

     Ce dernier, comprenant que les occupants de la « Clio » ne désiraient pas le pourchasser, ayant autre chose à faire, se rapprocha du véhicule pour surveiller ce qui allait se passer à l'intérieur, en se masturbant d'une main plus sure devant l'indifférence des occupants de la voiture à son égard.

     Devinant le regard du voyeur sur elle, Claire sentit une bouffée de chaleur l'envahir et de nouveau et malgré sa précédente jouissance qui l’avait vidé de ses sucs intimes, un étrange désir la saisit, lui crispant le bas-ventre. Se forçant à ignorer le regard concupiscent avec lequel l'inconnu les espionnait, et surtout ce à quoi il était occupé, elle se tourna vers Guillaume. L'adolescent semblait figé sur son siège, à cent lieux de tous désirs. Pour le rassurer, et surtout lui redonner cette vigueur qu’elle voyait disparaître avec inquiétude, Claire posa sa main droite sur le bas-ventre du garçon déconcerté. Ses doigts trouvèrent aisément la protubérance que faisait le membre viril de Guillaume, mais celui-ci constata-t-elle s'était nettement ramolli avec la découverte du spectateur inopiné. Comprenant le désarroi de l'adolescent, Claire entreprit alors de ranimer son désir défaillant en le caressant doucement par-dessus le tissu du short, pressant tendrement la jeune verge momentanément engourdie.

     Mais se sachant pressée par le temps, elle s'empressa de baisser le short du garçon, afin de mettre à jour l'objet de ses envies.
     Les seins ballottant doucement hors de son soutien-gorge, elle se pencha sur le jeune membre ramolli. Comprenant qu’il allait lui falloir se montrer experte pour réveiller la jeune verge que l’apparition de l’inconnu avait soudainement ramollie, elle referma ses doigts autour du membre qui avait perdu de son arrogance, pour le branler lentement, en un va-et-vient plein de sensualité. Tout en tentant de raviver les ardeurs amoureuses de l'adolescent, elle jeta un coup d’œil en direction du voyeur qui de l’extérieur suivait tous ses gestes en se masturbant furieusement.

     Prise d'un désir pervers, Claire se recula légèrement sur son siège, afin que l'homme dehors puisse suivre le mouvement de sa main le long du jeune sexe qu’elle branlait et contempler ses seins nus qui se balançaient mollement suivant ses mouvements de son poignet. Elle qui se montrait si réservée, si pudique même lors de ses débordements sexuels, éprouvait en ce moment un incontestable plaisir à être épiée par un inconnu, dans une situation où habituellement elle préférait agir en la seule compagnie de son compagnon du moment : que ce soit présentement avec son jeune amant ou habituellement avec son mari. Tout en fixant avec effronterie le voyeur, elle glissa sa main gauche entre ses cuisses écartées pour se saisir de l’entrejambe de sa culotte qu’elle repoussa largement, offrant à l’inconnu la vision de sa vulve abondamment poilue. Le souffle court, éprouvant un plaisir étrange, mais d’une intensité rare, elle fit glisser son majeur le long de sa fente trempée.

     Sous le voluptueux massage des doigts féminins le long de sa virilité, Guillaume oublia peu à peu la présence de l’inconnu qui les épiait pour se concentrer sur son plaisir naissant. Lentement sa virilité se gonfla par pulsations, pour bientôt retrouver une raideur majestueuse. Ne voulant pas voir ce qui se passait à l'extérieur, il porta son regard sur les lourdes mamelles laiteuses de la femme qui le branlait, et qui oscillaient sensuellement au rythme de la sensuelle masturbation dont il était l'objet.

     Sentant la jeune verge se gonfler en s’allongeant à l’intérieur de sa main, Claire se pencha alors sur le bas-ventre de l'adolescent ; et sans quitter des yeux l'homme qui penché en avant, le regard halluciné la fixait avec intensité, elle absorba le gland prodigieusement gonflé entre ses lèvres, l'aspirant fortement, l'avalant au plus profond de sa gorge accueillante. Guillaume poussa un faible gémissement de béatitude sous cette voluptueuse absorption en tendant frénétiquement son ventre en avant, à la rencontre de cette bouche chaude et savoureuse. Alors, lentement, avec douceur, Claire entreprit de faire coulisser ses lèvres charnues le long de la colonne de chair veloutée, la suçant avec un plaisir décuplé encore, par le fait que sa fellation avait un spectateur assidu. Désirant offrir un maximum de plaisir à son jeune amant qui lui avait dispensé un extraordinaire orgasme quelques instant plutôt, elle cessa son mouvement de succion, ne gardant que le gland dilaté en bouche qu’elle lécha du bout de la langue, excitant un peu plus l'épiderme irrité du bourgeon de chair. Tout en exacerbant le champignon turgescent et sans cesser de fixer le voyeur qui n'en perdait pas une miette, elle infiltra sa main gauche dans le short de l'adolescent à la recherche des couilles qu'elle trouva considérablement gonflées, douces et lisses malgré les quelques poils qui les recouvraient. Doucement elle les saisit entre ses doigts pour les presser délicatement, recherchant les noyaux durcis blottis dans leurs gaines de chair plissées, qu'elle pinça subtilement, faisant se cambrer Guillaume de plus belle ; ce qui eut pour effet de lui enfoncer le gland qu'elle léchait, au plus profond de la gorge.

     A l'extérieur, Pédro sentant le plaisir lui gonfler la queue, s'était redressé et activant sa folle masturbation, il agita furieusement sa main le long de son membre courtaud, en prenant soin de présenter son gland mafflu devant la vitre de la portière par laquelle la femme le regardait.

     Tout en continuant de pomper vaillamment la longue verge dressée de son jeune compagnon, Claire ne pouvait détacher son regard de l'affolant spectacle qui se passait à l'extérieur de la « Clio ». Elle fixa avec attention l'énorme bourgeon de chair violacé, qui à quelques centimètres d’elle, semblait la narguer. Une pensée salace lui traversa soudain l’esprit, que pouvait-on ressentir à branler deux membres en même temps ? Qu’éprouverait-elle à être prise par deux hommes en même temps ? Un long frisson la parcourut toute en s’imaginant, là, à genoux, offrant sa croupe à cette inconnu pour qu’il la prenne en levrette, alors qu’elle pomperait son jeune amant. La scène imaginée la troubla tellement qu’elle sentit sa vulve se liquéfier subitement. Soudain du gland congestionné de l’homme placé à l’extérieur, elle vit jaillir un premier jet blanchâtre qui vint s'écraser contre la vitre de la portière, puis un second aussi copieux que le premier suivit et puis d’autres encore, de moins en moins importants. Une véritable salve d'artillerie qui mitrailla la portière et forma un écran blanchâtre sur la vitre.

     Extrêmement bouleversée par cette éjaculation et par tout ce sperme qui maculait sa voiture, Claire, la chatte abondamment trempée accéléra sa succion, avalant frénétiquement la queue palpitante de Guillaume dans sa bouche dégoulinante de bave. Ce fut alors bref et rapide. Sans que rien ne le laisse présager ; avant que l’adolescent ne puisse la prévenir, la verge qu'elle malaxait de ses lèvres explosa soudainement, lui emplissant si copieusement le fond du palais qu'elle s'empressa d'avaler ce liquide chaud et salé qui jaillissait avec force de la jeune virilité. Longtemps elle pompa son jeune amant afin de le vider complètement, ne relâchant le membre que lorsqu'elle sentit ce dernier se ramollir dans sa bouche. Alors, les lèvres luisantes sur lesquelles quelques gouttes de sperme restaient accrochées, elle se redressa pour jeter un coup d’œil à l'extérieur de la voiture. Tout était désert, leur voyeur, ayant copieusement éjaculé avait disparu.

     - Le salaud ! Rouspéta-t-elle en rangeant ses seins dans leurs balconnets respectifs, il aurait pu décharger ailleurs ! … Il va falloir que j'essuie ça avant de rentrer.

     La montre du tableau de bord indiquait midi moins dix. Les deux amants remirent vivement de l'ordre dans leurs vêtements et Claire démarrant la « Clio » quitta rapidement le chantier maintenant désert.

     A quelques mètres des habitations, elle laissa descendre Guillaume sur un dernier baiser, et pendant que l'adolescent s'éloignait, elle descendit de voiture un chiffon afin d'essuyer les traces blanchâtres qui souillaient la vitre de la portière, non sans éprouver un certain malaise érotique à contempler tout ce sperme inutilement répandu. Prise d’une envie subite, elle tendit un doigt en direction du liquide séminale que le maçon portugais avait si généreusement lâché, pour en recueillir quelques gouttes.

     Avec un petit frisson de perversité elle porta son majeur brillant de sperme à sa bouche pour le sucer avec curiosité, éprouvant un étrange plaisir à sentir sur sa langue le goût acre du sperme.

     
     

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     Arrivée chez elle, Claire eut droit à un concert de protestations de la part de son mari et de ses enfants :

     - Ah, te voilà enfin !
     - On se faisait du souci !
     - Moi j'ai faim !

     Afin de mettre fin à ces agressions verbales, elle dut rapidement inventer une excuse valable pour son retard ; elle leur expliqua alors, qu'il y avait eu un accident sur la route et que celui-ci avait occasionné un bouchon. Puis la faim étant la plus forte, tout le monde prit place autour de la table de la salle à manger, où tout en s'alimentant, chacun y alla de son anecdote sur les dangers de la circulation.

     Très vite Claire se désintéressa des propos échangés autour d'elle, pour se remémorer les enivrants moments qu'elle avait vécus sur ce chantier désert. Mais si les échanges amoureux partagés avec son jeune amant dans l'intimité de la « Clio » lui remontèrent tendrement en mémoire, ils furent vite chassés par la vision de cet homme qui les avait espionnés pendant tout le temps qu’avaient duré leurs ébats. L'image de ce gland crachant sa semence laiteuse contre la vitre de la voiture la bouleversait à tel point, que les moments, pourtant affolants passés avec Guillaume s'estompèrent au profit du souvenir de cet inconnu se masturbant furieusement en la regardant œuvrer. Sous ces images qui défilaient dans son esprit, un étrange désir se propagea au plus intime de sa féminité, la faisant mouiller doucement sur sa chaise. Avec émoi, elle songea à sa culotte encore tout humide de sa jouissance récente.

     - ...... Maman !
     - Oui ?... Qu'est-ce que tu disais ? S'inquiéta Claire revenant brutalement à la réalité du repas.
     - Je te demandais, lui répéta Isabelle, si tu voulais bien me prêter ta voiture cet après-midi. J'ai promis à Jacqueline de passer la voir.
     - Si tu veux ma chérie. A la condition que tu m'aides à faire la vaisselle, accepta Claire.
     - Tu pourras me déposer à la vogue ? S'empressa de demander René à sa sœur aînée.
     - D'accord, à condition que tu nous aides à faire la vaisselle, accepta celle-ci en reprenant les conditions de sa mère.

     Le repas dominical terminé, Jacques, laissant les membres de sa famille s'occuper à la cuisine, alla s'installer dans un fauteuil face au poste de télévision, afin de suivre les dernières informations...

     La vaisselle lavée et rangée, Isabelle entraînant son jeune frère, s'empressa de s'installer avec un plaisir évident derrière le volant de la « Clio », sous le regard attendri de Claire qui leur fit un signe de la main. Une fois la voiture disparue, Claire regagna le salon où Jacques, confortablement installé regardait une émission de variété. Connaissant les habitudes de son mari, elle se dirigea vers le bahut où était rangé les alcools, afin de lui servir son verre de Cognac hebdomadaire.

     Regardant d'un œil distrait ce qui se passait sur le petit écran, Jacques suivit les déplacements de sa femme, et lorsque celle-ci se pencha en avant pour aller récupérer la bouteille de Cognac dans le bas du meuble, il ne put s'empêcher de poser un regard gourmand sur la croupe ronde, qui du fait de la position de sa propriétaire, se tendait dans sa direction, plaquant le tissu de la courte jupe sur les fesses fermes et au volume affolant. Sous le léger vêtement épousant le contour du postérieur évasé de son épouse, Jacques put discerner avec émoi le contour en relief de la culotte qui enserrait le derrière rebondi. Sous cette vision terriblement érotique, il ressentit un incontestable désir lui envahir le bas-ventre et donner vie à son membre viril. Aussi lorsque Claire s'approcha de son fauteuil lui offrant avec un sourire le verre ballon à demi plein de Cognac, il ne put s’empêcher de lancer sa main gauche en direction des jambes largement découvertes par la courte jupe.

     Comme elle se penchait innocemment pour offrir le verre d'alcool à son époux, Claire sentit une main curieuse se poser derrière son genou, puis remonter lentement le long de sa jambe, atteindre sa cuisse frémissante dans une approche terriblement sensuelle. Surprise par cet attouchement, auquel elle ne s'attendait pas, elle s'immobilisa la respiration soudain accélérée, attendant troublée la suite de la progression :

     - Eh bien ! Tu as perdu quelque chose ? Tenta-t-elle de plaisanter, songeant amusée que son époux allait être fort surpris lorsqu’il allait découvrir combien sa vulve était mouillée.

     Avec émoi, Jacques sentit sous ses doigts la peau douce, moelleuse et si soyeuse de l'intérieur des cuisses de sa sensuelle épouse. Laissant sa main remonter encore entre les deux colonnes de chair chaudes et frémissantes il ne tarda pas à venir buter sur le fin rempart de nylon de la culotte. L’abondante humidité qui poissait l’entrejambe de celle-ci l’étonna fortement.

     Sous cet attouchement affolant, qui accentua encore le trouble qui l'habitait depuis sa rencontre avec le voyeur du chantier, Claire, ne se souciant pas de savoir si son mari allait être surpris de constater combien elle était mouillée, écarta largement les jambes afin de permettre à la main masculine d’œuvrer à son aise dans son entrecuisse. Avec émotion elle sentit les doigts de son époux, écarter l'entrejambe de son slip, fourrager dans sa toison intime, pour bientôt atteindre sa longue faille sexuelle qui permettait l'entrée de son sanctuaire secret. Avec un gémissement d’impatience et de contentement elle ploya des genoux lorsqu'un doigt s'enfonce lentement entre les lèvres humides de sa chatte qui n'avait cessé de ruisseler depuis le matin :

     - Mon Dieu, comme tu es mouillée s'exclama Jacques en découvrant l'abondante moiteur qui lui enserrait le majeur.
     - J'ai envie de faire l'amour, répliqua Claire d’une voix rauque.
     - En effet, je m'en rends compte. Qu'est-ce qu'il t'arrive ?... C'est parce que les enfants ne sont pas là ?

     Pour toute réponse, Claire poussa un long gémissement car un deuxième doigt venait de s'enfoncer dans sa vulve trempée, s'accouplant au premier pour ramoner habilement son conduit sexuel gorgé de sucs vaginaux, tandis qu'un troisième venait lui écraser le clitoris. Vacillant sur ses jambes, elle préféra poser le verre ballon qu'elle tenait toujours dans sa main, sur un guéridon proche du fauteuil où Jacques était installé. Puis les yeux fermés sur son plaisir elle s'abandonna complètement aux caresses terriblement voluptueuses que lui prodiguait son époux, ployant encore un peu plus les genoux, afin de mieux se prêter à cette pénétration digitale. Dans sa chatte poisseuse les deux doigts accolés coulissaient avec une lenteur qui exacerbait ses sens en fusion, la faisant littéralement ruisseler.

     - Plus vite, gémit-elle. Va plus vite, c'est tellement bon.

     Jacques qui éprouvait lui-même un énorme plaisir à explorer la grotte intime de sa sensuelle épouse, continua de fouiller à son rythme la large galerie sexuelle chaude et sirupeuse, sans se soucier des doléances de sa compagne sexuellement affolée, qui l'incitait à accélérer ses va-et-vient. Longuement il explora ainsi la vulve dégoulinante, frottant avec délectation les parois spongieuses. Une chaude liqueur s'échappait d'entre les grandes lèvres sexuelles et venait lui engluer la main... Ployant de plus en plus sous le plaisir qui lui irradiait le bas-ventre, Claire gémissait doucement, encourageant son mari :

     - Ooohhh ouuii. C'est merveilleux… Continue !... Huummm…

     Mais l'incandescence qui se propageait dans ses entrailles, déclencha en elle un accès de fièvre lubrique. Sexuellement perturbée depuis le matin, ivre de désir, elle lança ses mains en direction de la ceinture du pantalon de son époux, qu'elle entreprit de dégrafer fébrilement. La braguette ne résista pas longtemps à ses doigts énervés, pas plus que le slip qu'elle repoussa impérativement, impatiente de mettre à jour l'objet de ses envies. Libérée de son emprisonnement, la verge bandée se redressa au garde à vous, présentant à la femme bouleversée, son champignon violacé et gonflé au centre duquel le méat s'ouvrait comme une minuscule bouche appelant le baiser. Refermant ses doigts autour du pieu de chair raidi, Claire entreprit alors de le branler d'une manière vigoureuse.

     - Doucement, s'écria Jacques surprit par cette furieuse masturbation. Calme-toi, tu vas me l’arracher !…

     Mais à sentir cette colonne de chair, ferme et dure, à la peau si veloutée contre sa paume lui rappela celle de ce voyeur qui avait éjaculé sa semence contre la « Clio ». Le souvenir de tout ce sperme dégoulinant contre la vitre de la voiture acheva de bouleverser Claire, qui sentant le plaisir l'envahir peu à peu, se recula précipitamment, échappant dans un gémissement douloureux, aux doigts qui la fouillaient intimement. Fixant d'un air goulu la verge dressée de son époux, elle retroussa vivement sa courte jupe, en se contorsionnant pour lui faire passer les rondeurs de ses hanches évasées ; puis elle repoussa sa culotte, à l'entrejambe complètement trempé, le long de ses jambes.

     - Qu'est-ce que tu fais ? Interrogea Jacques que ce spectacle excitait au plus haut point.
     - Je veux que tu me fasses l'amour !... Je veux sentir ta grosse queue dans ma chatte ! Râla Claire impatiente.

     Pressée de sentir la puissante virilité de son époux la pénétrer intimement, la jeune femme se plaça face à son mari toujours assis dans son fauteuil et pivota sur elle-même, présentant ainsi à son compagnon ses fesses rondes et fermes, sachant combien ce dernier appréciait son cul opulent. Pliant les genoux elle tendit sa large croupe en arrière afin de venir s'asseoir sur le membre viril dressé. Habilement elle plaça ses longues lèvres sexuelles gorgées de sucs mielleux au-dessus du gland congestionné, et lentement elle s'assit sur les cuisses de son compagnon, ravi. La puissante colonne de chair énormément gonflée s'enfonça alors lentement dans le corridor onctueux menant à son vagin en combustion, le champignon turgide refoulant ses chairs intimes, lui procurant un indicible plaisir.

     - Huummm, comme c'est bon, grogna-t-elle à l'intention de son mari… Je te sens bien dans ma chatte !

     Voluptueusement fichée sur la volumineuse verge qui lui emplissait la vulve, Claire s'immobilisa un instant afin de s'habituer à cette charnelle intrusion au sein de son intimité.

     Jacques, le membre enfoui dans la fournaise humide de son épouse s'abandonna au bien être de se sentir enfoncé au plus profond du sexe de sa compagne. Mais désirant sentir le fourreau torride coulisser le long de sa queue tendue, il empoigna les fesses compactes de sa femme, qu'il força à se soulever pour aussitôt la laisser retomber de tout son poids sur son membre épais, lui arrachant un râle de bonheur.

     Tirée de sa torpeur sensuelle, Claire commença alors à s'agiter. Les mains reposant sur ses genoux, elle souleva son bassin faisant ainsi glisser de bas en haut sa chatte trempée, le long de la virilité gonflée ; jusqu'au moment où sentant le gland sur le point de s'échapper de sa fente rendue glissante du fait de ses sécrétions vaginales, elle se laissa retomber sur les cuisses de son compagnon, sa chatte exécutant le trajet inverse le long de la verge qui la perforait. Poussant des petits gémissements de plaisir, elle s'empala ainsi une dizaine de fois, se procurant un plaisir de plus en plus intense, s'aidant en cela de la vision de cet homme, qui dans ce chantier désert s'était branlé pour elle, en la fixant, jusqu'à ce faire jouir à longs jets blanchâtres. De sa vulve barattée par un solide pilon de chair, un flot tiède s'échappait, poissant le tissu du pantalon de Jacques.

     Immobile, celui-ci laissait œuvrer sa sensuelle épouse, éprouvant un plaisir double. A celui, terriblement voluptueux procuré par le va-et-vient de la chatte liquéfié le long de sa queue congestionnée, se joignait celui suscité par la vue de la croupe dodue s'agitant follement sur son dard. Ayant empoigné depuis le début de la danse érotique de sa femme, les fesses fermes et potelées, il les avait largement écartées l'une de l'autre, afin de s'enivrer sexuellement du spectacle de l'anus brun et plissé qui s'entrouvrait convulsivement à chaque pénétration de sa verge dans le vagin bouillonnant.

     Mais à se démener ainsi, à coulisser éperdument sur la queue raide et gonflée de son mari, Claire ne tarda pas à sentir la jouissance l'envahir, la submerger, lui irradier les reins, le bas-ventre et les seins. Une explosion soudaine au plus intime de ses entrailles la tétanisa toute. Dans un long cri inhumain, elle jouit avec fureur, longuement, en se renversant contre la poitrine de son époux qui l'encercla tendrement de ses bras.

     La main gauche posée sur le ventre haletant de son épouse, à l'intérieur duquel palpitait sa verge toujours aussi bandée, Jacques laissa sa compagne reprendre peu à peu ses esprits en caressant doucement la chair moite et frémissante :

     - C'était merveilleux, murmura Claire au bout d'un instant en revenant à elle. J’en avais tellement envie, tu ne peux pas savoir...
     - En effet, je m’en suis rendu compte lui répliqua Jacques… Il y a longtemps que tu n’avais joui aussi fort… Je suis trempé…
     - Ça n’a pas d’importance, tu te changeras avant que les enfants ne rentrent… Mais toi, tu n'as pas joui ? S'inquiéta-t-elle en sentant dans sa chatte la raideur toujours présente du désir de son mari.
     - Tu ne m'en as pas laissé le temps !
     - Mon pauvre chéri, laisse-moi faire.

     Alors en épouse consommée, désireuse d'apporter à son compagnon, le plaisir qu'il était en droit d'attendre, elle reprit sa position d'amazone pour entamer une nouvelle chevauchée érotique, plus lente, plus voluptueuse, attentionnée à amener son époux à la jouissance finale. De sa chatte liquéfiée par sa précédente jouissance, un clapotis s'élevait sous les va-et-vient du membre viril qui la pourfendait, excitant un peu plus ses sens et ceux de son époux. Mais comme elle amorçait un mouvement de retrait de son bassin, la verge engluée de ses sucs intimes s'échappa de sa vulve devenue extrêmement glissante de par l'abondance de ses sécrétions vaginales.

     - Ohh ! S'exclama-t-elle. Ça devient glissant.

     Passant vivement une main entre ses cuisses elle saisit la queue gluante de ses déjections amoureuses et la maintenant fermement elle se réinstalla correctement au-dessus. Mais, prise d'une tentation nouvelle et sachant combien son époux, comme tout homme, appréciait le fait d’enfoncer sa virilité dans le minuscule orifice qui se cachait entre ses fesses, elle se plaça de façon à approcher l'ouverture secrète de ses reins face au gland dilaté. Puis sentant le bourgeon de chair gonflé contre sa frêle corolle anale, elle appuya fermement son anus resserré sur le nœud dur et volumineux. Grimaçant sous l'effort, elle poussa de toutes ses forces, forçant son petit trou à accepter l'introduction de ce pal de chair énorme.

     - Oh comme tu es gros ! Grogna-t-elle.

     Comprenant les intentions de son épouse, Jacques s'empressa de la saisir par les hanches et follement excité à l'idée d'enfoncer sa queue dans ce cul étroit, qui à chaque fois lui donnait un plaisir inouï, il l'attira vigoureusement à lui, lui arrachant un long râle où se mêlaient douleur et plaisir. Sous la furieuse poussée exercée par son compagnon, Claire sentit son orifice anal s'ouvrir, s'écarter, se distendre sous la formidable contrainte du gland volumineux. Celui-ci s'enfonça alors lentement dans le conduit réduit de ses reins, lui procurant une légère douleur, vite effacée par une exquise félicité. Une fois que l'énorme bourgeon de chair eut franchi le passage resserré de la collerette distendue de son anus, tout le reste de la verge s'enfonça sans problème dans son cul dilaté, lui procurant un extraordinaire plaisir, comme à chaque fois qu'elle se faisait sodomiser ; un plaisir plus fort, plus consistant, plus vigoureux que lorsqu'elle se faisait baiser normalement. Comme à chaque fois elle éprouva la sensation étrange d'être si profondément empalée, qu'elle eut l'impression que l'énorme gland la pénétrait jusqu'au milieu du ventre et qu'au moindre mouvement, le pieu qui la pourfendait allait encore s'enfoncer plus loin dans ses entrailles, pour lui remonter jusqu'au gosier.

     Inconscient des impressions que ressentait son épouse, Jacques remua son bassin, impatient de sentir l'étroit manchon de chair qui l'étranglait voluptueusement, coulisser le long de son membre avide d'émotions. Le cul élargi, Claire reprit sa pose initiale, les mains posées sur ses genoux, elle entreprit alors une nouvelle chevauchée, plus lente, moins fougueuse du fait de l'écartèlement de son orifice anal, chaque retombée de sa croupe sur le pal de chair affreusement gonflé lui arrachait un grognement de satisfaction.

     Confortablement installé au sein de son fauteuil, Jacques, les yeux fixés sur la croupe ronde qui s'agitait de bas en haut sur ses cuisses, sentait l'extase monter doucement le long de sa virilité comprimée par le cul resserré de sa compagne. Laissant le plaisir l'envahir graduellement, il s'empara du verre de Cognac que Claire avait déposé sur le guéridon, et attendit le corps crispé la venue de l'orgasme qu'il sentait imminente. Lorsque celle-ci le saisit, il eut l'impression que sa verge trop resserrée pour exploser normalement, demeurait figée, mais lâchait sa semence avec plus de force. Portant vivement le verre ballon à ses lèvres, il absorba goulûment le Cognac ambré, tandis que de son méat dilaté, son sperme jaillissait par saccades violentes et rapprochées, inondant copieusement les intestins de sa femme, qui percevant l'abondant lavement dont ses entrailles étaient l'objet, se mit à jouir pour la seconde fois, le corps arqué.

 

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