Ma femme était particulièrement joyeuse depuis
quelque temps, elle chantonnait, souriait souvent et était
d’humeur très coquine, ce qui ne lui était pas arrivée depuis
longtemps. Je la trouvais vraiment belle, elle s’habillait
très sexy et je dois dire que notre vie sexuelle avait pris
un sérieux coup d’accélérateur. Sophie redevenait comme
au début de notre mariage, il y a 9 ans. Avec la routine,
le travail et les enfants, nous avions un peu perdu de vu
notre amour. Âgés tous les deux de 34 ans, nous avons une
vie plutôt paisible, je suis directeur commercial d’une
petite PME et ma femme est secrétaire dans une grosse entreprise
de bâtiment, nous gagnons pas trop mal notre vie et nos
deux enfants se portent bien.
Après l’avoir questionné
plusieurs fois sur son changement d’humeur, auquel je n’ai
pas eu de réponse, j’ai décidé de profiter de la situation.
Nos câlins qui étaient, il y a encore un mois, de médiocre
qualité et assez peu fréquent, devenaient une vrai fête
des sens. Alors que pendant près de trois ans j’ai dû me
contenter de la baise à papa, maintenant elle me suçait
comme a nos débuts et m’a même autorisé un doigt dans son
anus. J’étais aux anges et fantasmais déjà sur la possible
perspective de pouvoir enfin pénétrer son petit trou inexploré.
J’ai même eu droit à une
superbe branlette espagnole, une première entre nous. Alors
qu’elle était allongée sur le dos, je remontais le long
de son ventre après lui avoir longuement léché sa petite
chatte. Continuant le parcours, je m’occupais alors de ses
seins qu’elle a plutôt volumineux et, comme toutes les grosses
poitrines, légèrement tombante, ce qui m’excite beaucoup
plus que des gros seins qui tiennent tout seul. J’ai alors
eu envie de me branler entre ses deux globes. Je m’agenouillais
au-dessus de ma femme et posais mon sexe dans cette si douce
vallée. Elle me souriait et resserrait avec ses mains ses
seins autour de ma verge. Je commençais la douce branlette,
je saisis ses tétons bandés entre mes doigts et les tiraillais
au rythme de mon pistonnage.
Ma femme me regardait droit
dans les yeux avec dans le regard quelque chose de très
cochon et vicieux, elle ne m’avait jamais regardé comme
cela auparavant. C’était si excitant que j’accélérais rapidement
la cadence sentant déjà le plaisir poindre. Plus je torturais
ses pointes de seins plus elle gémissait, je les lui serrais
pourtant si fort. Je ne pus me contrôler et éjacula sur
son cou et le menton, jamais mon sperme n’avait été aussi
près de sa bouche. Elle prit mon pénis entre ses doigts
et le branla quelque seconde avant d’en sucer le gland doucement.
Cette sensation était des plus merveilleuses.
Le lendemain de cette superbe
séance, je suis allé la chercher à la sortie de son travail
pour lui faire une petite surprise. Après 20 minutes d’attente,
ne la voyant pas arrivée, je décidais d’aller voir dans
les locaux. Il était déjà 19h20 et bien sûr personne à l’accueil.
Je monte donc voir à son bureau où elle n’était pas non
plus. Je vais alors voir Jean-Claude, l’un de ses supérieurs
avec qui j’avais sympathisé lors du dernier repas de fin
d’année. Je cherchais son bureau dans le dédale de couloir,
lorsque j’entendis des bruits et des gémissements qui venaient
justement d’une porte ou le nom de cet homme était inscrit.
Je souriais et pensais à ma propre expérience où un soir
à la même heure j’avais séduit une cliente et nous avions
batifolé dans mon bureau. En repensant à cette situation,
mon sexe se mit à gonfler. Regardant de droite et de gauche,
je m’approchais de la porte, mis la main sur la poignée
et la tourna le plus doucement possible.
Je devenais un voyeur, mon
cœur battait très vite, la peur de ma faire surprendre sans
doute. La porte s’ouvrit sous mon impulsion, je vis alors
un homme de dos qui visiblement culbutait une femme sur
son bureau. Je gardais la porte juste suffisamment entre-ouverte
pour voir le couple s’ébattre. L’homme était entièrement
nu et je pouvais voir son sexe coulissé dans le vagin de
sa compagne. Elle était sur le dos aux vues de ses jambes
sur les épaules de l’homme. Il l’a pistonnait vigoureusement,
seul des feulements émanait du couple. Ils devaient retenir
leurs cris de jouissance pour ne pas ameuter le personnel
de nettoyage.
Je bandais très fort et me
caressais à travers mon pantalon. Il sortit son sexe pour
de nouveau la pénétré plusieurs fois, je pus me rendre compte
qu’il était plutôt bien membré comme on dit, très long et
surtout très large. L’expression « monté comme un mulet
» traversa mon esprit et me fis sourire. Ces deux là devait
bien se connaître car il ne portait pas de capote. Il accéléra
le rythme, il lui défonçait la chatte à grand coup de bite
très rapide, je voyais ses grosses couilles claquées sur
les fesses de la fille. Ses gestes furent de plus et plus
désordonné, il se crispa et se retira pour éjaculer sur
la chatte en émettant un râle profond. J’en profitais pour
m’éclipser en douceur.
Mon sexe était vraiment très
dur dans mon pantalon. J’étais très excité. J’avais quand
même envie de voir à quoi ressemblait la compagne du « mulet
». Je descends à ma voiture et vais me garer dans un petit
coin discret. J’attends, impatient. J’imagine déjà la tête
de ma femme quand je vais lui dire ce qu’il se passe dans
les bureaux lorsque les employés sont partis, j’en ris d’avance.
Après à peine 10 minutes,
je vois donc Jean-Claude sortir de l’entreprise suivit de…
? Mais oui, c’est Sophie, ma femme. Comme un con, j’ai maté
ma femme entrain de se faire enfiler par son chef. Ils sont
monté dans la voiture de l’autre abruti et sont partis.
J’étais complément abasourdi. Je ne comprenais plus rien
du tout. Je redémarrais ma voiture pour les suivre. Je me
demandais bien ou il pouvait encore aller. Ma femme m’avait
dis qu’elle serait à la maison vers 20h30. Ils se dirigeaient
tranquillement vers chez moi. Ils se bécotaient comme des
amoureux à chaque feu. Arrivés prés de la maison, il stoppa
devant l’arrêt de bus ou elle descendit. Après un baiser
torride, elle se mit assis sur le banc, je ne comprenais
pas trop ce qu’elle faisait. Mais à peine 2 minutes plus
tard, un bus déposa un flot de passagers et ma femme prit
alors la direction de la maison. Je compris alors que le
bus est celui qu’elle prend habituellement pour rentrer.
Les différentes correspondances font qu’elle met près d’une
heure et demi de son boulot à la maison, situé dans des
banlieues opposées de la ville, alors qu’en voiture, on
met une vingtaine de minutes par la rocade. Ils devaient
faire ça depuis un bout de temps pour être aussi synchrone.
Cà me rendait dingue de ne
rien avoir vu. Je restais dans ma voiture à recomposer un
puzzle dont je n’avais qu’une partie des pièces. J’en tirais
la conclusion que cela avait du commencé lorsque le comportement
de Sophie avait changé. Je bouillonnais, que faire, une
scène bien sûr, mais pas devant les enfants. Je décidais
de prendre sur moi et de lui en parlé calmement, si c’est
possible, lorsque les filles seront couchées.
Une fois au lit, elle était
d’humeur coquine et me taquinait pour que je lui fasse l’amour,
je choisis alors ce moment pour parler :
- Je suis venu te chercher
tout à l’heure à la sortie de tout travail, mais je ne t’ai
pas vue sortir.
- Ah ! Ben… Euh… Je suis sortie
un peu plus tôt !
- Laisse moi finir, s’il te
plait. Comme je ne te voyais pas arriver, je suis allé à
ton bureau, il n’y avait personne non plus.
- Ben oui, j’ai quitté plus
tôt, je viens de te dire.
- Tais-toi, s’il te plait.
Je suis allé voir Jean-Claude et je suppose que tu connais
la suite. Je vous ai vu en train de baiser. Dis-je sur un
ton sec.
- Excuse-moi mon chéri, je
suis désolée dit-elle en pleurant.
- Ca fait longtemps vous deux.
- C’est la première fois.
- Menteuse, ça fait au moins
un mois que tu couches avec lui.
- Je t’aime.
- Alors pourquoi vas-tu te
faire baiser par ce con ?
- Ces dernier temps c’était
plus ça entre-nous, il m’a redonné goût à la vie. Tu avais
l’air content de cela.
- Oui, mais pas à ce prix-là.
- Tu veux me quitter ?
- Non, je veux que tu démissionnes
et que tu ne le revois plus bien sûr. Et nous ne reparlerons
plus jamais de ça.
- Je ne peux pas, j’ai trop
besoin de lui. Il me fait tellement de bien.
- Quoi ? Mais je rêve là.
- Sois tu me quittes, ce qui
me déchirera le cœur, soit tu acceptes de me partager.
- Qui peut accepter ça ? Personne.
- J’ai bien accepté moi pendant
des années que tu baises tes pouffiasses.
J’étais estomaqué, je ne
pensais pas qu’elle s’était doutée de mes nombreuses infidélités.
J’aime trop ma femme pour la quitter, je l’aime trop pour
la savoir avec un autre. J’étais piégé. Elle me raconta
qu’elle s’était jetée dans les bras de son chef par vengeance
d’être bafouée. Après une longue discussion, je m’allongeais
dans le canapé. Je repensais à ce que j’avais vu, aux exigences
de ma femme, à mes maîtresses, toutes des femmes de passage.
Puis me revient en mémoire une histoire que j’avais lue
dans un livre érotique, c’était un homme qui avait pour
fantasme de voir sa femme faire l’amour avec un autre, il
offrait sa femme à des inconnus et les regardaient en se
branlant. Je visionnais dans mon esprit la scène lorsque
je voyais Jean-Claude sortir sa grosse bite de ma femme
et quand il la bourrait bien fort. Je me mis à bander. Je
ne pus m’empêcher de me branler.
- Je vois que de me voir
baiser avec un autre t’excite.
La voix de ma femme venait
de l’entrée du salon. Elle m’observait depuis un bon moment
il semblerait.
- J’ai envie de venir ici
avec Jean-Claude demain après-midi, nous avons pris un jour
de RTT, les enfants seront à l’école, si tu veux nous regarder
faire l’amour…
En disant cela, elle s’était
rapproché de moi, tirait maintenant sur la couverture pour
découvrir mon sexe en érection. Elle se pencha et le prit
entre ses doigts. Elle me branla doucement. C’était comme
une délivrance. J’avais trop bandé aujourd’hui, j’étais
près à tout pour me soulager. Elle le savait et faisait
durer le supplice, donnant parfois quelque coup de langue
sur mon gland gras de mon excitation. Elle m’embouchait
très lentement, puis me recrachait et ne me touchait plus
pendant de longues minutes et elle recommençait.
- Alors ça t’excite de voir
ta petite femme sous le sexe d’un autre mâle. Tu voudrais
encore me voir bien remplie par sa grosse queue.
- Tous ce que tu voudras ma
chérie.
- Heureuse de te l’entendre
dire.
Sur ces mots elle me suça
en profondeur, je sentais le fond de sa gorge presser mon
gland. Elle m’aspira de plus en plus vite. Je sentais ma
jouissance arriver. Je lui dis que j’allais bientôt partir
mais elle me garda entre ses lèvres et je me répandis à
grands jets au fond de sa bouche. Elle ne put tout avaler
et une partie coulait sur son menton. Elle m’avait avalé
pour la première fois. Je me levais pour la suivre dans
la chambre, mais elle me dit :
- Tu dormiras dans le canapé
jusqu’à ce que je te le dise. Tu m’as fais souffrir pendant
toutes ces années où tu me trompais, j’ai besoins de te
faire souffrir à mon tour.
- Mais je … Bon, comme tu
voudras. Merci quand même d’avoir été jusqu’au bout, j’ai
adoré jouir dans ta bouche.
- C’est normal que tu en profites,
je le fais bien avec Jean-Claude. Je lui dirais de venir
vers 14h. Tu pourras nous regarder mais je ne veux pas que
tu interviennes.
Elle disparut dans la chambre.
Le peu de temps où j’ai pu dormir fut très mouvementé. Ce
sont les filles qui m’ont réveillé le matin. Après quelques
explications sur le fait de ma présence sur le canapé, je
pris ma douche et m’apprêtais à partir au bureau en déposant
les enfants sur le trajet lorsque Sophie me prit par le
bras et me chuchota à l’oreille :
- Tu devrais rester avec
moi aujourd’hui, j’ai une surprise.
- Je dépose les enfants et
je reviens tout de suite.
- Je t’attends mon amour.
J’étais plutôt content. Je
pensais que ma surprise était que nous allions faire l’amour
toute la journée et qu’elle ne reverrait plus son amant.
De retour à la maison, elle me signala sa présence dans
la chambre. Elle était allongée sur le dos, les jambes impudiquement
écartées, les genoux sur la poitrine :
- Fais-moi vite l’amour !
- Tout de suite ma chérie
!
Je bandais déjà. Je retirais
rapidement mon pantalon et la pénétrai en douceur.
- Plus fort ! Sois plus brutal
avec moi !
- Tiens prend ça ! Je vais
te la défoncer ta chatte !
Je la limais comme un fou.
Essayant d’aller toujours plus loin en elle. Elle gémissait,
me griffait le dos et les fesses. Alors que j’étais sur
le point de lâcher ma semence, elle me repoussa et prit
mon sexe en mains et elle me branla jusqu’à ce que j’éjacule
sur ses seins.
- C’était bon mon amour,
mais j’aurais préféré venir dans ta petite chatte.
- Tu ne voudrais quand même
pas que Jean-Claude passe après que tu m’es souillée.
Je croyais que nous allions
passer la journée tous les deux. Je dois dire que j’ai pris
comme un coup de masse sur la tête. Nous étions allongés
l’un à côté de l’autre, lorsqu’elle me dit :
- Tu va m’épiler le sexe
pour que je sois bien douce pour mon amant.
- Tu n’as jamais voulu le
faire pour moi
- Et bien maintenant je veux
bien. C’est pour toi … Et pour lui.
- Non, je tolère déjà difficilement
qu’il vienne te baiser ici, alors c’est pas pour te préparer
pour lui.
- Comme tu veux !
Elle partit s’enfermer dans
la salle de bain. Moi je m’habillais et partis faire un
tour à pied, histoire de réfléchir un peu. Je rentrais vers
12h00. Ma femme était dans la cuisine, elle finissait de
préparer le repas. Elle était vêtue d’une mini jupe en cuire
rouge, d’une guêpière rouge et noire, de bas résilles et
des chaussures à talons aiguille. Elle avait l’air d’une
pute et je lui dis :
- Je ne t’ai jamais vu avec
ces vêtements !
- C’est normal puisque c’est
Jean-Claude qui me les a offerts. C’est la première fois
que je les porte.
- On dirait une pute.
- C’est exactement l’effet
recherché. C’est son fantasme.
- C’est débile.
- Peut-être pour toi, mais
moi, ça m’excite !
Nous avons mangé sans parler.
A la fin du repas, comme si la situation était banale, elle
me dit :
- Il ne devrait plus tarder
maintenant. Tu te cacheras dans la chambre d’amis, je ne
veux pas qu’il te voit. Et si tu veux voir, soit discret.
- Tu es folle.
- Tu peux partir si tu veux
?
- Non, je…
- Bien, alors c’est décidé.
Et lorsqu’il sera parti, je te ferais une surprise, garde
ton jus pour ta petite femme.
Elle conclut la conversation
en me donnant un baiser très torride. Sa langue cherchait
la mienne en profondeur. Elle frottait son pubis sur ma
cuisse et écrasait ses gros seins sur mon torse. Elle était
vraiment très excitée, ce qui me fit d’abord plaisir, puis
me rappelant que ce n’est pas moi qui allais en profiter,
ça me brisa le cœur.
Le carillon de l’entrée sonna.
Elle me fit signe d’aller me cacher, j’obéissais comme un
enfant. Je me postais derrière la porte fermée de la chambre.
J’écoutais leur conversation qui fut brève. Après quelques
secondes, le silence ne me laissait plus de doute sur leurs
activités. Ils devaient s’embrasser. J’entrouvris la porte
pour observer ce qu’il se passait. Le couloir vide, je continuais
ma progression jusqu’au salon. Ils étaient bien entrain
de s’embrasser langoureusement sur le canapé. Il avait les
mains sur ses seins, elle commençait à gémir. Voir ma femme
dans un acte aussi chargé d’émotion avec un autre homme
m’anéantit. Je restais caché contre un angle du mur, j’observais
la scène au travers les branchages d’une grosse plante verte.
Les mains de Jean-Claude avaient déjà relevé sa mini jupe,
un doigt glissait dans la chatte de ma femme. Je m’aperçu
alors qu’elle n’avait pas mis de string et que son sexe
était complètement imberbe. La salope s’était rasée pour
lui. Je bandais comme un fou. Il se releva et se mit dans
le fauteuil qui faisait face à ma Sophie. Il se trouvait
dos à moi maintenant. Il dit alors à ma femme :
- Alors ma petite pute, c’est
combien le strip-tease ?
- Je te le fais pour 20 euros
!
- Ok, fais moi bander sale
pute !
Il jeta un billet de 20 euros
sur la table basse. Ma femme mit un cd et commença à se
trémousser sensuellement. Elle était à la fois vulgaire
et très belle. Elle remontait sa jupe et prenait des poses
obscènes, dévoila sa chatte et son petit anus. Tantôt elle
était à genoux sur le canapé et écartait ses fesses, tantôt
elle se plaçait juste devant lui et glissait deux doigts
dans son vagin. Je la trouvais merveilleuse. Elle jetait
parfois vers moi de petits coups d’œil discrets.
- Combien tu prends pour
une pipe ?
- Pareil, 20 euros.
- Alors suce-moi bien la queue
!
Elle se pencha. Je ne les
voyais plus. J’entendais les bruits de succions et les gémissements
de plaisir de son amant. Puis ma femme lui dit :
- Mets-toi debout, je vais
te déshabiller.
Elle le dirigea pour le mettre
de profile par rapport à moi. Elle lui retira sa chemise
et lui fit retirer son pantalon qui était déjà à ses pieds.
Elle a fait çà pour que je la vois sucer son homme. Son
sexe me parut encore plus gros que la veille. L’expression
« monter comme un mulet » ne me faisait plus sourire. Elle
s’agenouillait devant lui et lui lapa le gland. Elle parcourut
de ses lèvres humides la grosse verge. Elle goba l’une après
l’autre les grosses couilles poilues de Jean-Claude. Elle
remonta et l’emboucha. Elle aspirait et se creusait les
joues, elle pompait en exagérant les bruits de succions.
Elle essayait même de forcer en la rentrant le plus loin
possible dans sa gorge, elle en avait des haut-le-cœur.
Jamais, elle ne m’avait sucer comme çà. Elle se donnait
comme jamais. Je voyais bien qu’elle faisait ça à cause
de moi.
- J’ai envie de te baiser
maintenant. Alors combien ?
- Ca dépend ce que tu veux
?
- Bien je veux te baiser !
- Juste ma chatte ou la totale
?
- La totale ? Mais je croyais
que tu ne voulais pas te faire sodomiser ?
- Tu seras le premier !
- Tu me rends dingue, toi
! Je prends la totale bien sûr !
- Ce sera …200 euros.
- Quoi ? Mais j’ai pas autant
sur moi, et puis c’est qu’un jeu érotique, soit raisonnable.
- Mon mari n’y a jamais eu
droit, tu as l’honneur de me déflorer ma petite pastille
et tu discutes encore. C’est toi qui fantasme sur les putes,
alors va jusqu’au bout. Tu me donneras le reste de la somme
au bureau, se sera encore plus excitant. Et si tu es gentil,
tu auras le droit de me sodomiser dans ton bureau et peut-être
dans la salle de réunion.
- Tes vraiment la reine des
vicieuses. Tu es superbe !
Je venais d’assister en direct
à une négociation pour la sodomie de ma femme, chose qu’elle
m’a toujours refusé. Elle accepte avec un autre le jour
où justement je la regarde faire. Elle a vraiment décidé
de me rabaisser plus bas que terre. Le pire, c’est que je
ne débandais pas. Elle se mit à genoux sur le canapé, elle
écartait les fesses. Il se posta derrière elle et lui glissa
d’une seule poussée son énorme sexe dans la chatte. Elle
criait de plaisir, elle eut un orgasme pratiquement tout
de suite. Il l’a pilonnait violemment et lui martyrisant
les pointes des seins. Je voyais ses grosses couilles frapper
son clito. Elle était comme une poupée désarticulée tellement
il l’a bourrait fort. Il était endurant et elle eut encore
2 ou 3 orgasmes. Elle hurlait sa jouissance. Je n’en pouvais
plus, je me branlais comme un dingue. Soudain, il se retira
de sa chatte et lui dit :
- Maintenant, je vais compléter
la totale.
Elle ne semblait pas aussi
sûre d’elle désormais, mais elle décida d’aller jusqu’au
bout. Pour crâner un peu, elle lui répéta :
- D’accord, mais rappelle-toi,
ce sera 200 euros.
Sans répondre, il flatta d’une
main le creux de ses reins, descendant quelquefois jusqu’à
la fossette adorable qui marquait la naissance de la raie.
Il se mit à caresser les jolies fesses rondes et fermes.
Le souffle de Sophie s’accéléra imperceptiblement, preuve
certaine que ses caresses portaient fruits. Avec des gestes
précautionneux, il s’approcha insensiblement de la raie
et tout naturellement, sa main s’insinua entre les fesses.
Comme elle ne réagissait pas négativement à son approche,
il effleura du doigt le petit trou serré aux bords plissés.
Elle lui manifesta son plaisir par une ondulation de la
croupe. Ayant investi cette deuxième plate-forme du plaisir
féminin, il décida d’en profiter immédiatement. Les fesses
de Sophie enserraient la main de l’homme d’une étreinte
chaude et moite. Il commença à masser doucement de son index
les abords immédiats de l’anus, y faisant pénétrer progressivement
son doigt. Elle se mit à gémir doucement puis de plus en
plus fort. Il était en elle désormais jusqu’à la deuxième
phalange. L’anneau musclé le serrait gentiment comme s’il
ne voulait jamais le laisser partir. Il poussa alors son
index jusqu’à ce qu’il ait complètement disparu dans la
grotte brûlante. Il y demeura un bon moment sans bouger
tandis que ma femme soupirait, ravie :
- C’est bon ton doigt là
… Que c’est bon…
Elle se tortilla légèrement
avec des mouvements de reptile. Il commença alors à retirer
tranquillement son doigt, et arrivé à la première phalange,
le renfonça sans brusquerie, s’attachant à rendre la pénétration
harmonieuse en suivant la courbe intérieure du rectum.
Il refit ce geste plusieurs
fois et peu à peu, le sphincter se relâcha autour de son
doigt.
Encouragé par les gémissements
de plus en plus prononcés de sa maîtresse, il put alors
l’enculer de l’index tout à loisir. Parfois, elle soulevait
son cul à la rencontre de son doigt comme si elle avait
voulu que celui-ci soit plus long et la fouille jusqu’au
fond de ses entrailles.
Il glissait à présent sans
aucune résistance dans l’étroit conduit qu’il lubrifiait
par quelques coups de langue ou en recueillant la liqueur
gluante secrétée par les muqueuses vaginales. Elle râlait
de plaisir, agitée par une sorte de spasme ressemblant à
un orgasme passager. Il n’insista pas d’avantage et retira
son doigt tout gluant et le porta à sa bouche tandis qu’elle
gardait son visage enfoui dans l’oreiller.
Il l’aida ensuite à soulever
sa croupe, afin que ses fesses s’évasent naturellement.
Son petit trou était juste à la portée de sa queue. Il positionna
son gland déjà animé de lourdes pulsations sur sa pastille.
Il cramponna ses hanches et commença à pousser, tandis qu’avec
sa main droite, il s’évertuait à lui caresser le clitoris.
Je voyais cet énorme pénis glisser dans le petit anus vierge
de ma femme. Elle poussait un râlement rauque que je ne
pouvais pas interpréter, était-ce de la jouissance ou de
la douleur ?
Il était maintenant bien
planté en elle, la chevillant jusqu’au fond de son cul.
Il resta alors un certain moment sans bouger lui laissant
ainsi le temps de s’accoutumer à son intrusion. Il commença
alors, doucement à se retirer en partie, puis s’enfonça
de nouveau jusqu’à la base de sa queue. Progressivement,
ses mouvements s’amplifiaient tandis que Sophie murmurait
des mots sans suite et jouissait de plus en plus bruyamment.
Il s’agrippait fermement à ses hanches entama un pilonnage
violent du petit cul tout juste dépucelé de mon épouse.
Elle hurlait maintenant, de plaisir ou de douleur, je ne
pourrais le dire, mais elle hurlait. Son corps fût parcouru
de spasme, réaction témoignant d’un orgasme fulgurant. Il
se retira du l’étroit conduit et lui dit :
- Retournes-toi, je vais
jouir.
- Viens par-là mon chéri.
Elle se mit à genoux devant
lui, prenant soin de toujours le mettre de profile par rapport
à moi et elle le reprit en bouche. Elle gardait le gland
entre les lèvres et de sa main droite, elle le branlait
énergiquement. Il se crispa et éjacula en râlant dans la
bouche de ma femme. Après être resté dans sa bouche quelques
minutes, il lui dit :
- Elle est merveilleuse ta
bouche, mais j’aurais aimé jouir dans ton petit derrière.
- Tu sais bien qu’on ne peut
pas. Mon mari se rendrait compte de notre liaison s’il voyait
ton sperme en moi.
- Je préfère quand il est
en déplacement, je peux te remplir sans risque.
- Moi aussi, j’aurais aimé
sentir ton jus en moi.
- Tu me le permettras tout
à l’heure, comme je suis le seul par-là, il ne verra pas
mon jus dans tes fesses.
- T’es qu’un vilain cochon
vicieux.
- J’en ai autant à ton service.
Et les voilà qui s’embrasse
de nouveau comme des amoureux. Je les laisse allonger nus
sur le canapé pour me retirer dans la chambre d’amis. J’étais
assis sur le lit lorsque la porte s’ouvrit sur ma femme
toujours nue. Elle me chuchota :
- Je lui ai dis que j’allais
aux toilettes. Cà t’as plus, on dirait, tu bandes encore.
Elle me serrait le sexe a
travers mon pantalon et me donna un profond baiser qui avait
un arrière goût de sperme. Elle prit ma main et la posa
sur sa vulve rasée. Je lui caressais doucement et glissais
un doigt dans le vagin. Elle ondula son bassin quelques
secondes puis se détacha de notre étreinte pour se réfugier
dans les wc afin de donner le change à son amant. Je restais
assis là pendant une vingtaine de minutes. Je les entendais
discuter sans vraiment comprendre ce qu’ils se disaient.
Ils riaient, se chamaillaient comme des amoureux. Puis j’entendis
ma femme dire plus fort :
- Oh oui ! Lèche-moi bien
mon petit trou ! Prépare le bien, il est déjà irrité.
- Je vais bien te le dilater,
j’en veux pour mon fric.
Ils riaient encore après cette
phrase. Je sortis de la chambre et retournai à mon poste
d’observation. Elle était à genoux sur le canapé, le visage
et les épaules sur le haut du dossier. De ses mains, elle
écartait ses fesses. Jean-Claude avait le nez fourré entre
ses jolis globes. Elle gémissait déjà. Elle tournait la
tête et regardait dans ma direction. Son visage transpirait
l’extase. Je ne voyais pas ce que l’homme faisait à ma femme,
je devinais seulement qu’elle devait avoir déjà un ou plusieurs
doigts dans le fondement. Il l’a préparait longuement. Il
se releva, il écartait les jambes pour mettre son gros sexe
à la hauteur du petit anus de ma femme. Je voyais son gland
violacé se rapproché de l’entrée interdite. Il le posa dessus
et doucement il força le passage. Ma femme laissa échapper
un hurlement de douleur. Il arrêta sa progression :
- Tu as mal ma chérie ? Tu
veux arrêter ?
- Oui, ça fait mal, mais je
ne veux pas arrêter maintenant. Vas-y doucement.
- Comme tu voudras !
Il avança encore. Ma femme
contenait ses plaintes en un râle rauque et continu. Il
avait pratiquement fait pénétrer la moitié de son énorme
engin lorsqu’il stoppa. Après quelques secondes d’immobilisation,
il repartit en arrière et commença une lent va et vient.
- Caresse-toi la chatte en
même temps. Tu prendras plus de plaisir.
- Je ne me suis jamais sentie
aussi remplie de ma vie.
- Et encore tu n’as que la
moitié en toi.
- Mets-moi tout maintenant.
Je pense pouvoir t’accueillir en entier.
Il poussa alors son membre
entièrement dans le cul de ma douce Sophie. Il s’immobilisa
encore quelques secondes et reprit les aller-retour. Elle
se caressait le clito. Moi, je bandais comme jamais. Je
me branlais en regardant ma femme se faire enculer. J’ais
juste eu droit de lui mettre un doigt après 9 ans de mariage
et lui, la sodomisait de son gros sexe pour la deuxième
fois en moins d’une heure. Il accélérait progressivement
la cadence. Les cris de ma femme ressemblaient de plus en
plus à de la jouissance plutôt qu’à de la douleur. Je voyais
ses doigts aller et venir dans sa chatte. Il l’a pilonnait
maintenant dans un rythme élevé. J’avais l’impression qu’il
allait la déchirer tellement il l’a bourrait fort. Mon épouse
jouissait intensément, ses cries saccadés par le pilonnage
en étaient la preuve. Il l’a lima un bon moment, parfois
il sortait son sexe et observait la béance de ma douce Sophie,
puis il la pénétrait de nouveau. Ma femme eût un orgasme
puissant, mais lui continuait de lui éclater l’arrière train.
- Viens ! Jouis maintenant
!
- Pas encore, je veux profiter
de ton trou du cul.
- Je n’en peux plus, j’ai
trop mal.
- T’as voulu jouer à la pute,
moi, je vais jusqu’au bout de mon fantasme comme tu me l’as
demandé.
- Tu m’éclates trop le cul.
- Merci, ma petite pute.
Il lui attrapa les cheveux
et tira fort dessus, la forçant ainsi à se cambrer encore
plus. Il accéléra encore dans des mouvements désordonnés
et poussa un puissant crie de jouissance lorsqu’il vida
ses grosses couilles dans le cul dilaté de ma petite femme
qui hurlait maintenant sa douleur. Ils restaient soudés
comme ça de longues minutes. Puis doucement il se retira.
Du sperme s’échappa de son trou du cul béant. Il se posa
assis à côté de ma femme toujours sur les genoux. Je m’éclipsa
dans la chambre pour ne pas qu’il me voit. Un quart d’heure
plus tard, j’entendis l’eau de la douche couler. Ma femme
vint me dire :
- J’espère que ça t’as plus.
Il part après sa douche. Je te ferais ta surprise après.
- Oh oui ! Je n’en peux plus
de bander.
- Encore quelques minutes
de patience.
- A tout de suite.
Il sortit de la salle de
bain et ils se quittèrent en s’embrassant. Je sortis de
la chambre et roula une grosse pelle à ma femme qui était
toujours nue. Elle se dirigea vers le salon et reprit la
même position qu’avec son amant sur le canapé. Elle écartait
ses fesses luisantes de sperme.
- J’ai envie que toi aussi
tu me lèches mon petit trou.
- Mais il est plein de sperme.
- Et alors, j’ai bien avalé
le tien hier soir, tu ne faisais pas tant d’histoire.
Je me penchai sur son derrière
et commençais à laper son petit trou gluant du foutre de
son amant. Cà avait le goût de sperme, de merde et de sécrétion
vaginale. C’était écœurant et excitant à la fois. Je bandais
toujours aussi dur. Je me voyais déjà en train de la sodomiser.
- Nettoies bien tout mon
amour, met bien ta langue dedans. Oh Oui ! Comme ça !
Elle me rendait dingue avec
ses mots. Je la pénétrais de ma langue. Puis elle se retourna,
prit mon sexe entre ses lèvres et me suça très fort. Elle
allait et venait très vite sur ma queue. N’en pouvant plus,
je me libera dans sa bouche. Elle me regardait dans les
yeux et recracha mon sperme sur ma bite et me dit :
- Elle te plait ma surprise.
- C’était ça ma surprise !
- Ben oui, qu’est ce que tu
croyais ?
- Je pensais pouvoir te…
- Tu rigoles ou quoi. Tu crois
que tu va pouvoir me sodomiser comme ça. Et en plus avec
ce qu’il m’a mis, je préfère laisser mon cul tranquille,
sans compter ce qu’il m’a promit de me mettre demain. D’ailleurs,
puisque tu m’as baisé pendant des années après avoir baiser
tes poufiasses, j’ai décidé que tu ne jouirais plus en moi.
Tu pourras jouir entre mes seins si tu lèches les restes
de Jean-Claude. Quant à mon petit trou, ne compte pas là-dessus,
y a qu’avec ta langue que tu le toucheras. Ce sera ta punition
pour m’avoir trompée toutes ces années.
C’est comme cela depuis maintenant
six mois. Elle tient ses promesses et je dors toujours dans
le salon. Après le repas du soir, on s’enferme dans la chambre
et elle me fait lécher son minou ou son anus plein du sperme
séché de son amant. Puis, selon son humeur, je lui fais
l’amour ou elle me suce mais jamais je ne jouis dans son
corps. Jean-Claude, qui profite bien de la situation pour
la remplir comme il le désire, vient parfois à la maison
pour lui faire l’amour. Pendant les dernières vacances scolaires,
elle a envoyé les filles chez mes parents et m’a demandé
d’aller à l’hôtel. Prétextant un déplacement professionnel
auprès de sa femme, ils ont passé pratiquement une semaine
à baiser et à dormir chez moi, dans le lit conjugal ou je
n’ai pas mis une oreille depuis très longtemps.
La vengeance des femmes est souvent pire que le mal qu’on
leur a fait
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