Quand on est bon à rien, et prêt à tout, il
reste toujours la profession d’agent immobilier pour essayer
de gagner sa vie. C’est ce qu’on dit souvent. C’est totalement
faux, car, pour réussir, il faut vraiment payer de sa personne
et les sacrifices à consentir sont énormes, à commencer
par la perte de toute moralité, et de tout amour propre,
c’est le cas de le dire…
En ce qui me concerne, je
tairai les circonstances qui m’ont amené à m’engager dans
cette voie, et pire encore, créer ma propre agence.
J’obtins miraculeusement
la caution exigée par la loi, et avec l’aide de copains
de copains, je me trouvai un beau matin assis devant mon
bureau, dans un local repeint à neuf, un télécopieur prêt
à cracher des ramettes de papier, et plein de fournitures
administratives de toutes les couleurs.
Bien sur, ce qui manquait
un peu, c’était les affaires et je dois à la vérité de dire
que ma modeste vitrine n’était pas remplie d’annonces de
locations ou de ventes.
Fort opportunément, une vague
relation dans le même domaine était sur le point de faire
faillite, de telle sorte que je me retrouvai avec un petit
portefeuille de démarrage, le temps de changer de nom aux
mandats.
Le premier appel téléphonique
eut lieu une huitaine de jours seulement après mon installation
et je me suis dit que le business allait démarrer. Mon banquier
attendait cela avec encore plus d’impatience que moi !
Cet appel me fit soudain
réaliser qu’il me manquait une secrétaire, une assistante,
une comptable, une femme de ménage, bref une collaboratrice
de haut niveau présentant bien, qui puisse me décharger
de toute cette logistique pour disposer de tout mon temps
en « commercial ».
Passé maître dans l’exploitation
de filières douteuses, c’est une nouvelle fois l’ami d’un
ami, qui me donna l’adresse d’une certaine Coralie Bertine,
la trentaine larguée, divorcée de son état, du genre un
peu maquillée et légèrement pétasse, l’image type de la
secrétaire du détective privé, sauf qu’elle était brune.
Mais pour le reste elle avait
tout ce qu’il faut, formes avantageuses, look sexy, bouche
pulpeuse, coiffure compliquée, la panoplie de celle qui
recherche un second service après avoir jusqu’à présent
collectionné les ringards.
Il était évident qu’elle
avait la tête de l’emploi si j’ose dire, et je me montrai
assez peu exigeant sur ses capacités professionnelles de
secrétaire et de comptable. En revanche, les perspectives
rapidement entrevues, notamment au niveau du jeu de jambes,
lors de l’entretien d’embauche m’amenèrent à l’engager sur
le champ, à temps complet.
Je dois dire aujourd’hui
que, malgré les apparences, c’est ce que j’ai fait de mieux.
Je l’installai derrière un
comptoir de la pièce d’accueil, transformant la pièce du
fond en bureau du patron.
C’est seulement trois jours
après son arrivée, en pleine période d’essai et souhaitant
bien faire, qu’elle me fit sa première pipe.
Jusqu’à présent, son occupation
principale de la matinée était de me servir le café. Elle
s’autorisait à boire sa tasse de thé - pas de café pour
elle - en ma compagnie, imitant Lauren Bacall dans la façon
de tirer sur sa cigarette, et la jouant personnelle et féline
sur ses croisements de jambes, me montrant chaque matin
en moins d’une minute chrono qu’elle portait des bas.
Une supposée maladresse consistant
dans le versement de trois gouttes de café sur le haut de
mon pantalon lui donna l’occasion de mesurer ma réactivité
à l’opération « jeu de cuisses » entamée quelques minutes
plus tôt.
Alors qu’elle se trouvait
en position accroupie face à mon fauteuil pivotant justement
tourné vers elle, sa main munie d’un sopalin ne tarda pas
à s’égarer la où les gouttes étaient encore existantes pour
constater avec un délicieux ravissement, hoo mais Chris
(nous nous appelions par notre prénom depuis le deuxième
jour), c’est moi qui vous fait cet effet ? et de presser
sa main sur le paquet en pleine évolution.
Elle ne doutait de rien la
garce, et elle avait bien raison.
Elle en vint tout aussi naturellement
à défaire le zip de la braguette et à sortir l’engin patronal
qu’elle saisit fermement tout en disant, ohh mon dieu qu’est
ce que vous êtes gros, Chris, je le tiens à peine entre
mes doigts.
Après quelques coups de poignet,
elle approcha sa bouche et embrassa le corps du délit de
ses lèvres charnues.
- Excusez-moi Chris, elle
me fait très envie…Je ne peux pas y résister.
- Je ne vous demande pas un
tel sacrifice, Coralie…
Je lui rendais hommage de
cette prévenance sentant bon le contrat à durée indéterminée
en bandant fort honorablement, surtout qu’elle se tournait
vers moi pour me faire découvrir, sous sa jupe de tailleur
relevée, ses cuisses gainées de dim up blancs du plus bel
effet et de la motte couverte d’une culotte de fine dentelle,
tellement fine que bref…
Elle commença alors à me
sucer avalant ma queue le plus loin possible dans sa bouche
en me regardant dans les yeux. Le grand jeu, la pipe royale,
une technique époustouflante, fruits d’une évidente expérience
dans l’art de tailler les crayons et l’ami Pierrot était
aux anges.
Ah oui, au fait, l’ami Pierrot,
c’est le nom de mon sexe. C’est une ex qui adorait la sodomie
qui me l’avait donné. L’ami Pierrot : parce qu’il était
souvent dans la lune. J’appris ensuite que c’était aussi
une marque de sucette et des marques de sucette, il y en
avait fréquemment dessus, de telle sorte que je n’avais
pas depuis changé ce petit nom auquel il était habitué et
qui lui allait très bien, avec en plus le petit côté romantique
qui plaisait aux midinettes nymphomanes.
Mais revenons sur le sujet.
La bonne connaissance du terrain sous-braguettal (néologisme
!) par Coralie la conduisit à extirper mes demoiselles pour
y goûter à grand coups de langue tout en agitant d’une main
habile la hampe dressée.
Ce savoir faire incontestable,
qui distingue la bonne secrétaire de l’excellente, allait
produire tout naturellement son effet, lorsque le carillon
aigrelet de la porte d’entrée résonna. D’un sursaut, Coralie
se releva et lissant sa jupe, se rendit dans la pièce d’accueil.
Je crus un instant à la survenance
d’une première affaire, mais ce n’était que le facteur qui
nous apportait une seule lettre, mais très intéressante
puisqu’elle émanait de l’URSSAF locale, où l’on avait enregistré
mon existence et celle de ma salariée, de telle sorte que
nous serions dorénavant bien suivis. C’est bon d’être ainsi
pris en considération.
Coralie était revenue avec
une mimique du genre.. « ohh patron, qu’ai je fait… vous
allez me prendre pour une dévergondée… ».
Je ne me faisais naturellement
aucune illusion sur le sujet. Elle non plus d’ailleurs.
Je n’osais quand même pas lui dire que c’est exactement
ce que je pensais.
J’hésitai entre deux phrases
: « ohh Coralie, mais vous n’avez pas fini votre travail
» ou « je vous en prie, n’en parlons plus, un moment d’égarement
». Pas très longtemps.
Bien sur, je choisis la première.
Je sens qu’autrement je l’aurais déçue et peut-être même
vexée. Les gens sont si susceptibles aujourd’hui.
Avec un sourire carnassier,
elle revint par dessous le bureau pour ressortir mon engin
toujours tendu et continuer sa besogne. Je demeurai ainsi,
savourant la douceur moelleuse de sa bouche, l’énergie de
ses lèvres, goûtant ce moment sublimissime du patron qui
se fait pomper la queue par sa secrétaire aussi BCBG que
BCBG (bouche charnue bouche goulue pour le deuxième).
Le moment était venu de passer
à l’étape suivante.
- Mais Coralie, ne puis-je
également rendre hommage à votre intimité ?
- Ohh Chris, mais si bien
sur…
- Venez donc vous asseoir
sur mon bureau… vous y serez à l’aise pour vous y faire
cunnilinguer puis vigoureusement piner…
- Mon dieu, quel bon programme
roucoula-t-elle…Mais, Chris et mon travail ? (sic).
- Il attendra bien un peu.
Nous poursuivîmes ainsi cet
entretien et je pus goûter à cette jolie chatte fort humide
et bien entretenue, à croire qu’elle faisait de l’usage,
que je lapai cérémonieusement alors que la coquine d’une
main, gardait écarté son string, et de l’autre se tripotait
les nichons.
Ma secrétaire gémissante
m’informa soudain, entre deux gémissements, qu’elle m’avait
pris un rendez-vous ce matin-même à dix heures et demie
avec une cliente recherchant un appartement à louer.
- Vous auriez pu me le dire,
Coralie, haletai-je également en lui enfonçant l’ami Pierrot
jusqu’à la garde.
C’est vrai quoi, n’ayant
rien sur mon agenda, j’aurai bien aimé qu’on puisse y marquer
quelque chose.
- Bon sang, mais il est onze
heures moins vingt !!
C’est à ce moment là que
nous entendîmes distinctement un « hum hum ».
Notre regard fit comme un
seul homme bien que nous soyons en couple et Coralie et
moi découvrîmes, appuyée sur l’huisserie, une jeune femme
de 25 ans environ qui nous regardait copuler comme des cochons,
la main glissée sous sa jupe.
Coralie sursauta en criant
mon dieu et d’un joli flop se désengagea du gourdin qui
la ramonait, se remit debout, descendit sa jupe et se précipita
vers notre visiteuse.
- Glups… excusez-nous...
Euh, vous êtes mademoiselle Magali Bidineux ? Vous aviez
rendez-vous ?
Elle l’entraîna vers la pièce
de réception, me laissant remettre de l’ordre dans ma tenue.
- Je euh vais vous annoncer
l’entendis-je déclarer sérieusement.
Elle frappa à la porte pour
me déclarer officiellement que Melle Magali Bidineux était
arrivée.
- Votre rendez-vous est arrivé,
Monsieur, annonça-t-elle très professionnelle.
- Faites-la entrer Coralie.
Ma première cliente, en tout
cas celle qui se déplaçait à l’agence, fit son entrée dans
mon bureau, derrière lequel je m’étais levé, et laissa échapper
un regard furtif vers ma braguette, voulant sans doute s’assurer
que je la ne recevais pas la bite à l’air, ce qui n’aurait
pas été de la meilleure des politesses.
Apparemment rassurée par
cette preuve de civilité et de savoir-vivre, mais avec des
joues quelque peu rosissantes, elle prit place sur le fauteuil
visiteur en vrai skai de Malaisie.
- Hum… excusez-moi, je euh…
n’ai pas vu la sonnette et la porte était entr’ouverte et
malgré moi, je vous ai …. surpris en pleine hum..
- Conférence ?
- Oui, c’est cela.
Ce con de facteur, il aurait
pu fermer sa porte…
C’était pas le même style
que ma secrétaire, plutôt le contraire. Cheveux châtain
courts, de fines lunettes cerclées, allure sage et vêtements
classiques, chemisier boutonné au cou, jupe souple et longue
au dessous du genou, bibliothécaire plus vraie que nature,
intellectuelle tirant le diable par la queue (il y a pire
comme situation comme tirée par la queue du diable par exemple).
- Que puis-je pour vous Mademoiselle
? Ah oui.. vous venez pour l’appartement de Madame Udik.
- Effectivement, voilà quelques
semaines que je l’ai visité et je l’ai vu dans votre vitrine
et donc je voulais voir s’il était toujours libre.
- Absolument, dis-je mais
j’ai quelqu’un dessus (cours du soir n° 1 de l’agent immobilier)
qui doit me donner sa réponse ce soir.
- C’est juste le loyer…. Il
est un peu cher.
- Vous n’êtes pas sérieuse
Mademoiselle, vous l’avez visité, vous avez vu la qualité,
l’emplacement, les prestations ? (leçon n° 2).
- Oui, je sais mais tout de
même, je pourrai peut-être obtenir une petite baisse ?
- Pardon ?
- Une petite baisse… du loyer…
- Excusez-moi, j’avais mal
compris…
- Il faudrait que je demande
à la propriétaire. Remarquez, je dois aller la voir cet
après-midi, affirmai-je avec aplomb en ouvrant et fermant
rapidement mon agenda.
- Je…
- Oui ?
- Je suis vraiment intéressée
par cet appartement, vous savez…
Je la vis jeter un œil à
la porte fermée du bureau.
- Oui, c’est ce que je vois…
- Comment vous convaincre
d’en parler à la propriétaire ?
- Eh bien…
- Vous n’avez pas terminé
votre .. conférence tout à l’heure, si je ne m’abuse, me
demanda-t-elle en se levant.
- Euh... non en effet…
Elle fit alors le tour de
mon bureau et vint alors s’y appuyer, tout en levant une
de ses jambes pour poser sa chaussure sur ma cuisse. Je
remarquai l’élégance de ses escarpins.
Surpris de cette initiative
et abusé par son côté sainte-nitouche, je n’esquissai pas
un geste. Elle releva sa jupe lentement, dévoilant une magnifique
paire de jambes galbées dans un voile blanc très fin, qui
se révéla être un collant. Retroussant sa jupe sur ses hanches,
elle baissa elle-même ce collant à mi cuisse et d’un geste
délicieusement obscène, écarta sa culotte de dentelle noire.
C’est dans cette position d’une totale impudeur qu’elle
m’apostropha .
- Cà m’a excitée de vous
voir baiser votre assistante. Je suis toute trempée… regardez
comme vous m’avez fait mouiller.
Je regardai effectivement
son doigt qui ouvrait ses nymphes laissant deviner l’humidité
de cette jolie chatte en se flattant le clitoris érigé.
C’est dans ce genre de situation
qu’on se dit que ce job a du bon. Les gens sont prêts
à tout pour se loger !
- Alors ? qu’est ce vous
attendez ? bouffez la moi…
D’un mouvement de bassin,
elle m’invitait à la consommation. Naturellement, il m’était
impossible de résister à cette friandise impromptue.
C’est vrai qu’elle était
trempée, une fontaine, une fragrance délicieusement parfumée
que je buvais à la source, ma langue tantôt fouillant son
fourreau aussi loin que possible, tantôt suçant son joli
clitoris excité. Mélanie gémissait de plaisir.
- Ohh s’il vous plait..
- Oui ? dis je me relevant
quelque peu de mon ouvrage…
- Dites à votre secrétaire
de revenir.. Je euh … voudrais qu’elle vous suce en même
temps…
- Vos désirs sont des ordres…répondis-je
en même temps que je décrochai le téléphone. Dring…. Coralie
!!!?
- Oui Monsieur ? fit-elle
après quelques secondes…
- Pouvez-vous venir, je vous
prie ?
- Pour une lettre ?
- Non, Coralie, pour une pipe…
- Ohh de suite, Monsieur…
C’est beau une secrétaire
dévouée. Coralie fit son entrée et découvrit Mélanie assise
sur mon bureau, cuisses écartées, qui m’offrait sa jolie
fente exsudant une excitation sans complexe.
- Mademoiselle aimerait que
vous me suciez Coralie, tandis que je lui lèche la chatte.
- Oh bien sur, avec plaisir..
Commerciale jusqu’au bout des ongles, la Coralie, après
tout la cliente est reine…
Elle n’eut qu’à descendre
ma braguette pour faire jaillir ma queue dont la rigidité
de bon aloi ne la surprit pas.
- Ohh mais vous bandez terriblement…dit-elle
en repassant sous le bureau et extirpant mes bourses de
mon pantalon pour une prestation complète.
Nous poursuivîmes quelques
minutes cette double joute buccale, Mélanie pâmée, regardant
la bouche habile de ma secrétaire me faire cette pipe de
bonne facture.
Soudain, le téléphone sonna.
Je mis la main sur la tête de Coralie pour qu’elle poursuive
sa divine fellation et tendis la main vers le combiné, retirant
ma bouche du con liquoreux de Mélanie qui la remplaça par
ses doigts.
- Je vais répondre, dis-je,
c’est peut-être un client.
- Mmmmhhh fit Coralie...
- Allo ?
- …
- Ohh Bonjour Madame UDIK
dis-je.. Je mis ma main sur le combiné en répétant tout
bas. Coralie c’est notre propriétaire Olympe UDIK… Euh oui
chère Madame, cet après midi.. oui..
- …
- Ce matin ? euh oui je vais
faire l’impossible pour me libérer. Je suis sur une affaire
en ce moment…
- …
- Comment ?
- …
- Bon bien j’arrive..C’est
cela avant midi.
- Oui.. borborygma (néologisme
!) Coralie, la bouche à moitié pleine. Allez-y patron, ne
perdons pas cette cliente… ne vous inquiétez pas je vais
m’arranger avec Mademoiselle Mélanie.
Pour la seconde fois de la
matinée, je dus abandonner la scène en plein action. Je
me levai avec un soupir, rengainant mon pistolet. Aussitôt,
Coralie vint prendre ma place pour continuer à languer la
chatte de Mélanie.
Je laissai ainsi ces deux
femmes BCBG (Belle Coquine Bonne Gouine) à leurs travaux
féminins et sortis pour gagner ma voiture.
Un quart d’heure plus tard,
je sonnai à la porte de la villa cossue d’Olympe UDIK, belle
quadragénaire blonde, du kilométrage distingué, les cheveux
retenus par une queue de cheval, les prunelles noires et
des faux cils longs comme des allumettes cramées, épanouie,
généreuse, au balcon prometteur sans être plantureux, qui
m’ouvrit vêtue d’une robe moulante de velours noir, épousant
ses rondeurs avantageuses.
Sur sa fiche de cliente,
remplie du temps de mon prédécesseur, figuraient deux annotations
au crayon (veuve – ne pas accepter l’apéritif). Si la première
mention semblait claire (encore qu’on l’on distingua après
veuve le mot « joyeuse » qui avait été effacé), la référence
à l’apéritif ne cessait de m’intriguer, et cela d’autant
que je m’aperçus qu’elle me mandait précisément à l’heure
où il peut être sacrifié à ce rite préprandial…
- Bonjour, Madame UDIK..
Je suis…
- Oui, je sais, appelez-moi
Olympe…Entrez…dit-elle en reprenant le corridor vers ce
que je supposais être le salon.
Je ne manquai pas de porter
mon regard sur cette croupe qui ondulait devant moi, m’apercevant
que la robe était fendue bien haut et qu’Olympe portait
des bas couture.
Après mes deux frustations
de la matinée, cette vision enchanteresse suffit à rétablir
une certaine consistance de l’ami Pierrot et c’est avec
une certaine tension que je la suivis dans son salon.
Je pris place sur un confortable
canapé de cuir beige, en même temps que je repérai sur la
table basse un seau à champagne dans lequel, entre les glaçons
un grand cru à bulles, attendait de jaillir.
Je passerai ici les quelques
propos que nous échangeâmes concernant son appartement et
je fus tout heureux, bien que je n’en laissai rien paraître,
de considérer que ma première affaire était dans la poche,
la locataire, Melle Mélanie Bidineux, dont les avantages
furent exposés à Olympe, ayant trouvé grâce à ses yeux.
Je pensai donc pouvoir m’éclipser
et enlever Mélanie des privautés de ma secrétaire pour sur
le champ lui faire signer son bail (et finir mon ouvrage
par la même occasion) mais Olympe stoppa net cet élan en
déclarant que le règlement de cette affaire méritait bien
une coupe de champagne.
Je ne pouvais décemment refuser.
- Pouvez-vous me la déboucher,
Chris, je peux vous appeler Chris n’est ce pas ? minauda-t-elle
en relevant légèrement sa robe sur ses jambes pliées en
arrière sur le canapé.
- Certainement Olympe dis-je
en m’emparant de la bouteille et commençant à défaire le
muselet, sous le regard pétillant d’Olympe.
Le bouchon explosa, la mousse
jaillit et je versai ce breuvage mordoré dans les deux flûtes
posées près du seau.
J’en tendis une à Olympe
qui me tint les doigts un instant de trop et nous trinquâmes,
les yeux dans les yeux.
- J’adore le champagne, tous
les champagnes et vous, Chris ?
- Moi aussi, répondis-je n’ayant
encore rien compris…
- Surtout les champagnes naturels…
- Euh oui....
- Ohh.. nous partageons donc
les mêmes affinités humides ?
- Je crois.
Elle sourit béatement. Je
me donnai une certaine contenance (si l’on peut dire) en
vidant ma coupe, faisant celui qui avait tout compris et
qui jouait dans la subtilité.
- J’en ai un excellent..
reprit-elle..
- Quoi ?
- Du champagne naturel et
très personnel. Aimeriez-vous le goûter ?
- Bien sur Olympe, avec grand
plaisir…
Elle vida sa coupe d’un trait
et se mit debout sur la table de salon en me souriant, tout
en relevant sa robe et dévoilant ses bas noirs, puis son
porte-jarretelles et enfin sa toison de fausse blonde. J’avalai
ma salive en constatant qu’elle ne portait pas de culotte.
Elle s’accroupit ainsi sur
le seau à champagne.
- Donnez-moi votre coupe
dit-elle et passez-moi la mienne aussi…
Elle passa sa main sur sa
chatte, écartant ses lèvres intimes. Soudain, la lumière
fut et en même temps que je réalisai la situation, je vis
le pipi d’Olympe jaillir et ce jet dru frapper les glaçons
dans le seau.
La source fut bientôt plus
ténue et Olympe présenta sous elle nos deux coupes de champagne
qu’elle remplit à moitié de son champagne personnel.
Elle revint s’asseoir près
de moi, négligeant de rabattre complètement sa robe, restant
ainsi ses cuisses gainées de bas coquins attirer mon regard
concupiscent. Elle me tendit ma coupe…
- A votre santé, Chris dit-elle
en portant sa flûte à ses lèvres… Moi, j’aime nature mais
vous pouvez panacher avec quelques bulles si vous aimez
mieux.
J’esquissai un sourire. Je
n’allais quand même pas rater ma première affaire pour si
peu, me dis je et bus à mon tour au calice…
- C’est euh délicieux…dis-je
- Oui, j’adore…
Nous sirotâmes lentement
cette boisson forte et je compris alors l’annotation concernant
l’apéritif. Mais je n’étais pas au bout de mes surprises…
En effet, Olympe avait vidé sa flûte et me regardait, s’avisant
qu’il me restait encore de son champagne intime.
- Allez, cul sec… m’encouragea-t-elle.
L’expression n’était pas
des mieux choisies au regard de l’origine du breuvage.
- A votre tour, Chris…
- Oh Olympe, vous voulez que..
- Absolument, je meurs d’envie
de goûter aussi à votre nectar…
Elle me tendit sa coupe vide.
- Servez-moi, je vous prie…
Je n’eus que quelques secondes
d’hésitation et à mon tour je me levai pour venir, devant
elle, défaire ma braguette et sortir le robinet. Cela ne
vint pas tout de suite, mais Olympe se montra patiente.
- Je n’y arriverai pas si
vous me faites trop euh bander Olympe…
- Oh excusez-moi dit cette
hypocrite en cachant un peu ses cuisses.
Enfin, la délivrance survint
et je me mis à mon tour à uriner dans le seau à champagne.
Olympe se pencha alors et fit elle-même le service, passant
les deux flûtes sous le tuyau.
- Pas trop pour moi, je conduis…dis-je.
Elle daigna sourire mais
je remarquai qu’elle remplissait la sienne presque à ras
bord.
- Hum, quel arôme fascinant,
sentit-elle en fermant les yeux de bonheur…
- Je vous l’accorde.
Nous bûmes donc de nouveau,
et cette fois ci, étant plus près l’un de l’autre sur le
canapé, nos bouches se joignirent, partageant mon champagne
naturel.
Une telle perversité m’avait
finalement placé dans un état d’excitation certain et comme
j’avais vais omis de refermer mon pantalon, Olympe s’empara
de mon gourdin en forte dilatation, qu’elle s’employa à
faire durcir encore par une fort savante masturbation, tout
en suçant ma langue comme une affamée.
De mon côté, je lui mis ma
main entre les cuisses, qu’elle écarta fort obligeamment
pour faciliter l’accès libre et total à sa fourche humide.
Nous en étions ainsi à nous
branler fort gentiment et nous convînmes de ne pas en rester
là, ce qui supposait que je me dévêtisse plus amplement
pour venir surplomber Olympe, en tête bêche, afin que lui
broute son minou tandis qu’elle me léchait les couilles,
mon gland emprisonné entre les globes laiteux de ses superbes
nibards.
La coquine exploitait à fond,
à coups de langue voraces et fureteurs, le derrière de ma
personne BCBG (Belles Couilles Beau Cul).
Après nous être ainsi copieusement
léchés, Olympe UDIK me pria de l’enfiler sur son canapé,
ce que je fis avec grand plaisir. Cuisses ouvertes devant
moi, en se pelotant les nichons, elle accueillit mon gros
crayon.
Le sentais le plaisir monter
et je me dis que cette fois, je pouvais me laisser aller
entre les cuisses de cette cochonne. J’accentuai mon pistonnage
à la grande satisfaction de ma cliente qui semblait aimer
aller au fond des choses.
Soudain, un carillon sonore
retentit dans la maison. Olympe, d’un mouvement de bassin,
se dégagea aussitôt bondit sur ses pieds et rabattit sa
robe...
Je me retrouvai ainsi, à
genoux devant son canapé, mon sucre d’orge poisseux en flamberge…
- Oh mon dieu… ma fille qui
rentre du lycée. Elle a du sortir plus tôt que prévu. Vite
Chris rajustez-vous…
Cà commençait vraiment à
bien faire. Mais je ne pouvais décemment insister pour allez
jusqu’au terme explosif et jaillissant de notre relation.
Nous eûmes juste le temps
de nous composer une attitude convenable quoique un rien
débraillée avant de voir débouler une ado qui ne nous accorda
qu’un simple regard et regagna les étages.
Peu après, je pris congé
d’Olympe, certes une nouvelle fois bridé dans mes épanchements
mais fort d’un contrat en bon uniforme…
Je mis à profit une partie
du reste de l’après midi pour faire de la prospection commerciale,
ce qui ne servit d’ailleurs strictement à rien.
Quelque peu refroidi, je
finis par regagner mon agence en fin d’après midi, alors
que Coralie s’apprêtait à partir après cette dure journée
de labeur.
Elle me fit signe dès mon
arrivée pour me dire qu’elle avait introduit une visiteuse
dans mon bureau.
- Qui est-ce ? Je n’avais
pas de rendez-vous prévu, ce me semble…
Coralie s’approcha de moi
et tout en m’indiquant qu’il s’agissait d’une dame Tousseul,
posa sa main sur ma braguette tout en posant ses lèvres
sur les miennes.
- Ohh mon petit patron cochon,
mais vous sentez encore la moule ? Ne me dites pas que vous
avez mangé celle de Madame Udik ?
- Euh… si Coralie, mais pour
la bonne cause, on a peut-être fait notre première affaire
vous savez. Je pourrai vous payer autrement qu’en nature…
- Ne faites pas attendre votre
rendez-vous, dit-elle. A demain toi, ajouta-t-elle en serrant
mon sexe en pleine revigoration.
Elle me laissa alors seul
et j’entrai dans mon bureau.
Une jeune femme aux cheveux
châtain assez courts, avec une frange qui avait un peu souffert
depuis le coiffeur, en tailleur de ville beige assez cintré,
la veste croisée sur un bustier de dentelle blanche, se
leva du siège visiteur sur lequel elle patientait.
- Bonsoir, me lança-t-elle.
- Euh, bonsoir, euh Madame…
?
- Tousseul, mais appelez-moi
Sébastienne.
- Oui, mais…
- Vous ne me remettez-pas
?
A ma connaissance, je ne
l’avais encore jamais mise. Il était normal que je ne la
remisse point.
- Attendez, je crois que…
- Je suis votre concurrente
du bas de la rue. Moi aussi, j’ai lancé mon agence il y
a un mois et au lieu de se faire la pige, j’ai pensé qu’on
pourrait peut-être travailler ensemble ?
- Vous croyez ?
- En couple, on travaillerait
mieux. Un homme et une femme, vous comprenez ? C’est mieux
pour le commercial…
- Vous pensez ?
- Evidemment, vous prenez
la négociation avec les femmes et moi avec les hommes et
on engrange les affaires…
- Humm, dis-je dubitatif…
Nous nous étions rassis,
l’un en face de l’autre sur les deux fauteuils visiteurs.
Je l’observai un peu mieux. Je crus voir - mais étais-je
vraiment lucide ? – que la veste était plus ouverte que
tout à l’heure et que la jupe était plus remontée que la
décence l’eut raisonnablement permis.
- Dites-mois la vérité, poursuivis-t-elle.
Vous ne sautez pas vos clientes ou vous ne leur faites pas
une petite langue ?
- Vous plaisantez ? jamais
de la vie, réussis-je à dire avec le plus grand sérieux.
- Je ne vous crois pas…
- Je suis très respectueux
de la déontologie de la profession…
- Mon cul…
- Quoi ?
- Et votre secrétaire, vous
ne la tringlez pas ?
- Euh… si, un peu, avouai-je.
- Ah, vous voyez…
- Et vous, vous baisez avec
tous vos clients ?
- Baiser non, pas souvent
mais sucer oui, un certain nombre. C’est pour çà qu’il faut
qu’on s’associe vous voyez. Je perds trop d’affaires avec
les femmes. Elles ne sont pas toutes gouines vous comprenez,
et les arguments d’un homme sont parfois… décisifs…
- Je ne savais pas que le
métier d’agent immobilier était un métier de bouche.
- Ah bon, il était agent immobilier
avant d’être président ?
- Euh.. qui çà ?
- Bush ?
En plus, elle avait de l’humour…
- Je peux vous poser une
question ? Pourquoi moi ? Il y en a d’autres qui…
- Olympe Udik m’a téléphoné.
- Quoi ?
- Eh oui. Je l’avais en portefeuille
et je n’arrivais pas à conclure. Cet après midi, elle me
passe un coup de fil pour me dire qu’elle avait fait affaire
avec vous et euh m’a raconté comment vous vous y étiez pris..
- Oups... et elle vous a raconté
l’apéritif ?
- Quel apéritif ? non, vos
prestations canapéennes seulement.
- Ah…
- Vous voyez, çà marche.
- Peut-être…
- Alors, on fait affaire ?
Sur ce, elle commença à remonter
sa jupe de tailleur découvrant progressivement ses cuisses.
Sébastienne Tousseul portait
naturellement des dim-up chair au large liseré qu’elle semblait
fière d’exhiber avec son petit sourire de carnassière. Elle
retira alors sa veste de tailleur pour dévoiler son bustier
blanc. Je sentais l’ami Pierrot se réveiller.
- En somme, on se montre
nos outils de travail ?
- Oui, si on veut, opina-t-elle
en souriant…Et puis, je veux savoir si mon associé est à
la hauteur.
- La longueur et la largeur
vous intéresse aussi ? dis je en sortant mon engin alors
qu’elle même retirait gracieusement son string noir en écartant
les jambes, me montrant sa jolie toison châtain et sa chatte
aux lèvres épilées.
- Qui commence ?
- Moi ?
- Je vous en prie… m’invita-t-elle
en ouvrant largement les cuisses.
Je me mis à genoux sur ma
moquette râpeuse et commençai à lécher ma quatrième chatte
de la journée. Ce n’était pas la plus désagréable. J’y mettais
tout mon art, la bouche, la langue, les doigts, le grand
jeu.
A tel point que Sébastienne
explosa bientôt de plaisir. Elle était absolument ravissante
à voir jouir.
Après quelques instants de
récupération, me voyant assis en train de flatter l’ami
Pierrot, elle vint à son tour à s’agenouiller devant moi
et me rendis l’hommage de sa bouche. Elle avait de la pratique
incontestablement.
Peut-être la fatigue de la
journée, toujours est-il qu’elle me demanda de l’enfiler
sur mon bureau.
Je m’empressai de lui donner
satisfaction. J’adore cette position. Une femme en bas sexy,
les cuisses écartées, mouillant sur mes dossiers, et moi
debout en train d’aller et venir en elle, tous deux regardant
la queue dans son mouvement d’aller et retour.
Je ne me privai donc pas
de ramoner le conduit hospitalier de ma nouvelle associée,
elle-même semble-t-il ravie de faire intime connaissance
avec l’ami Pierrot.
Nous y allions de bon train,
lorsque, soudain, son portable sonna, coupant court à nos
ébats en plein crescendo.
- Ohh, excuses-moi, c’est
la sonnerie de la maison. C’est mon mari qui m’appelle.
Je dois répondre..
- Ah bon en plus, tu es mariée
?
- Oui et alors ?
- Alors ? euh rien…
- Je ne confonds pas la vie
privée et les affaires, tu sais.
On aura tout entendu… Tandis
qu’elle donnait du « mon chéri » à son époux, je continuai
à lui fourrer ma praline, mais je sentais bien que cette
fois encore, je serai chocolat. Ca n’a pas raté, crotte
!.
- Bon, je suis désolée Chris,
mais il faut que je file. Encore un ou deux petits coups
s’il te plait, pour la route. Humm, je crois bien que la
connexion est passée entre nous deux. On finira demain promis.
On a tout le temps maintenant…
Sur ce, elle remit son string,
sa veste et m’envoya un baiser des lèvres.
- A demain, cher associé…
Et voilà, je me retrouvai
un nouvelle fois avec l’ami Pierrot tout fier et personne
pour s’en occuper.
Le temps avait passé. Je
ramassai toutes mes affaires, éteignis la lumière, verrouillai
ma porte et me dirigeai vers mon petit restau habituel du
soir, en pensant que Polly, la serveuse rousse incendie,
serait peut-être d’humeur badine et un peu plus.
Oui, son nom de famille est
Sohn et alors ??
Lorsque j’y arrivai, et me
fus installé, j’appris que c’était son jour de congé, à
Polly. Je n’y avais plus pensé…
Je dînai donc bien tristement
et une heure plus tard, je regagnai mes pénates plus BCBG
que jamais (ici « bite contrariée, baise gâchée »).
Quelle journée…
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