Un beau matin de printemps… j'avais terminé
mon service militaire depuis peu.
N'ayant toujours pas mon
permis, dès que je devais me déplacer, il n'y avait qu'une
seule méthode lorsque j'étais seul : l'autostop, car dans
le sud de la Seine et Marne, les transports en commun ne
sont pas légion !
Ce jour là, je devais aller
voir des amis à coté de Montereau et c'est donc en auto-stoppeur
que je partis.
Un quart d'heure de marche
plus tard une voiture s'arrête et, qui vois-je ? Astrid,
une coiffeuse à domicile que je connais plutôt bien car
tous les gens se connaissent plus ou moins dans le coin.
C'est une jolie femme de 37
ans très bien faite et toujours élégante.
- Où vas-tu ?
- Je dois me rendre à Montereau
- Parfait, je dois y aller
aussi, monte !
Une fois dans la 205, la
discussion s'engage, on parle de tout et de rien.
Je la détaille des pieds à
la tête. Elle est vêtue d'une jupe noire qui lui arrive
à mi cuisse, fendue sur le devant, un chemisier rouge qui
met en valeur sa poitrine, que j'estime au moins être un
95 C voire D, légèrement ouvert et par lequel je vois une
partie du soutien-gorge noir. Des escarpins noirs, les jambes
gainées de bas couleur chair que j'aperçois à chaque fois
qu'elle débraye et ses longs cheveux châtains coiffés en
chignon qui me rendent fou.
Cette féminité naturelle qui
se dégage d'elle ne me laisse pas du tout indifférent, ma
carrure de rugbyman fait que nous sommes très rapprochés
dans cette petite voiture. A chaque fois qu'elle passe une
vitesse, elle frôle ma jambe.
- Il fait chaud, tu peux
ouvrir ta vitre si tu veux! me dit-elle avec un joli sourire
- Oui il fait très chaud,
dis-je en déboutonnant mon polo et en ouvrant légèrement
la vitre.
Je croise son regard qui
louche sur mon pantalon, elle me détaille furtivement du
regard et ses yeux s'attardent sur mon entrejambe. Je n'ai
pas de slip et le début d'une érection se fait sentir. Cette
situation me gêne et m'excite de plus en plus !
- Moi aussi j'ai chaud, lance-t-elle
en dégrafant un bouton de son corsage.
Je bande dur maintenant et
je ne peux cacher ma verge qui arrive presque à mi cuisse
sous mon jean !
Elle l'a vue maintenant et,
en passant la cinquième, sa main se pose sur mon genou.
- C'est moi qui te fait cet
effet? me dit-elle toujours aussi souriante.
En guise de réponse je lui
prends la main et la descends le long de ma cuisse. Elle
a la main sur mon sexe maintenant !
- Je connais un petit coin
tranquille un peu plus loin, veux tu qu'on s'arrête?
Je suis comme fou! Tout se
passe à 100 à l'heure et 10 minutes après être monté dans
sa voiture, on se retrouve prêt à fondre l'un sur l'autre!
Elle dévie sa route et on
se retrouve dans un petit chemin dans les bois.
Une fois le moteur coupé,
je lui caresse la cuisse doucement puis engouffre ma main
sous sa jupe pendant qu'elle s'active à défaire mon jean
pour libérer ma verge durcie par le désir.
- Tu es sacrément bien membré,
elle fait au moins 20 cm ! me dit-elle tout en me caressant.
Je suis au comble de l'excitation
!
Elle se met à genou sur son
siège et approche son visage de mon sexe tendu, je sens
son souffle chaud tout près puis sa langue qui tourne autour
de mon gland et d'un coup elle s'enfonce jusqu'à la garde
et commence un long va et vient, me suce, m'aspire, sa langue
n'en finit pas de tourner. Je lui dégrafe son corsage et
lui malaxe les seins qu'elle a vraiment durs. Je suis déjà
au bord de l'orgasme, elle le sent et s'arrête au fond.
J'ai mon sexe entièrement dans sa bouche puis elle reprend
avec un rythme infernal, je sens que je vais exploser, je
lui dis mais elle n'arrête pas. J'ai un orgasme comme jamais
je n'ai eu et je lui crache tout dans la bouche, elle me
pompe jusqu'à la dernière goutte et savoure ma semence qu'elle
avale ! C'est la première fois que je tombe sur une suceuse
comme ça !
- A mon tour de te faire
du bien, mets toi sur la banquette arrière.
Une fois installée confortablement
sur le dos, je lui retrousse sa jupe. Elle a vraiment beaucoup
de goût pour la lingerie également elle porte un string
et un porte-jarretelles noirs assortis au soutien-gorge.
Je commence un savant cunnilingus, elle est prise de soubresauts
et tout en continuant je lui glisse un doigt dans son intimité
trempée puis 2 et enfin 3, ce qui lui déclenche un orgasme
quasi instantané.
Elle m'embrasse goulûment
et me demande de la prendre sans plus tarder. Mon érection
n'ayant presque pas diminué je mets un préservatif et la
prends en missionnaire, position qu'elle affectionne tout
particulièrement, en commençant par de lents va et vient,
elle contracte volontairement les muscles de son vagin ce
qui a pour effet de décupler mon plaisir, j'accélère le
mouvement je la pilonne bien à fond, elle râle de plaisir,
puis elle a un nouvel orgasme. Je sens mon jus monter à
nouveau et je décide de finir en levrette à l'extérieur
accoudée au capot de sa voiture.
- Montre moi ton petit cul
que je le prenne bien à fond !
- Non tu es beaucoup trop
gros ça ne rentrera pas !
- Mais si j'y vais tout doucement
tu vas aimer !
Je force à peine son petit
trou et ça rentre grâce à la mouille restée sur le préservatif,
ce qui lui arrache un râle, je vais très lentement, son
trou devient de moins en moins serré, et j'accélère, elle
hurle de plaisir, on doit connaître mon prénom à 500 mètres
à la ronde, elle est prise d'un orgasme comme jamais elle
n'a eu auparavant, m'a t'elle dit plus tard.
Je me retire et finit dans
sa bouche où elle avale tout encore une fois.
Elle me remercie et me couvre
de mille baisers.
Nous reprenons la route. Au
moment de me déposer, elle me laisse son n° de portable
en me disant de la rappeler si je désire une coupe de cheveux,
payée en nature bien sûr !
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