Ce jour là, ma femme était seule à la maison
quand la sonnette retentit. Elle partit ouvrir la porte
et tomba nez à nez avec un policier. C'était une femme en
tenue. Nous avions été cambriolés la veille et nous avions
signalé cet incident au commissariat.
- Bonjour madame, je viens
prendre votre déposition, pour le cambriolage.
- Mais bien sûr, mais je comptais
me déplacer.
- C'est à dire que je dois
aussi faire quelques relevés.
- Entrez, alors, je vous en
prie, dit ma femme en s'effaçant pour la laisser entrer.
La femme policière était
plus grande qu'elle. Elle portait des rangers à semelles
épaisses. Son blouson serré à la taille, s'arrêtait juste
au dessus des hanches et de son ceinturon de cuir. Elle
avait son arme, des menottes, sa matraque, son talkie-walkie.
Seul détail féminin, un chignon de cheveux blonds surmonté
par une casquette marquée police.
Il y avait un monde entre
ma femme et son tailleur et cette femme, en tenue de combat.
Distraitement, mon épouse regarda les fesses de ce policier.
Sous le pantalon de toile un peu brillante, elle aperçut
les marques d'un slip sans doute style brésilien, très échancré
car la marque passait au milieu de chaque fesse. Ma femme
sourit, en pensant qu'en plus du chignon c'était un indice
de plus sur la féminité de ce policier. Elle ferma la porte.
La fille se tenait dans la
salle à manger, debout, immobile.
- Je vais vous demander de
me faire l'inventaire de ce qui vous a été volé.
Ma femme se lança dans la
liste, appareil photo, un peu de liquide, le coffre à bijoux
et les pièces anciennes de mon mari…
- Les bijoux, où étaient-ils
?
- Dans mon armoire, cachés.
- Je peux voir ?
Ma femme la guida dans notre
chambre, elle ouvrit l'armoire.
- C'est là, il était sur
ce rayon. C'était le rayon des nombreux sous-vêtements que
possède ma femme. Tout de suite la policière tendit la main
et la glissa sous les piles de sous-vêtements.
- C'est juste pour vérifier,
dit-elle en palpant sous les strings de soie, les porte-jarretelles
et les guêpières. En sortant sa main, elle entraîna une
pile qui tomba sur le sol.
- Excusez-moi.
- Ce n'est rien.
Elles s'accroupirent en même
temps. Leurs têtes se cognèrent légèrement. Elles s'excusèrent
leurs visages à quelques centimètres l'un de l'autre. Ma
femme pensa subitement à sa jupe assez courte qui dévoilait
la moitié de ses jambes nues. Elle sentit le regard de la
femme sur elles. Lentement, les yeux remontèrent sur le
décolleté du chemisier, assez ouvert pour montrer la poitrine
généreuse de mon épouse que le soutien gorge ne parvenait
pas à contenir. La policière tenait dans sa main un string
de dentelle. Machinalement, ses doigts caressaient le tissu
ajouré.
- Les pièces, où étaient-elles
? dit-elle en se dressant avec aisance.
- Sur le rayon de mon mari,
là en dessous.
La policière répéta la fouille.
Ce que ma femme avait oublié c'est qu'en plus de ma collection
de pièces, il y avait quelques revues pornographiques que
nous aimons lire ensembles, allongés nus sur le lit. Evidemment,
la femme tomba dessus. Elle regarda la couverture qui montrait
un athlète nu, et, agenouillée devant lui, une fille qui
s'apprêtait à honorer avec sa bouche le membre qu'elle tenait
en main.
- Ces hommes et leur bite,
une vraie histoire d'amour, dit alors la policière.
- Oui, c'est exactement ça,
dit ma femme en riant.
- Vous aimez ça ?
- Oui, comme tout le monde.
- Non pas comme tout le monde.
Moi je préfère la douceur des femmes, leur patience.
Son regard avait changé.
Il était devenu dur et ses yeux plantés dans ceux de ma
femme, la transperçaient. La policière s'approcha. Ma femme
ne bougea pas, tétanisée, tel un lapin pris dans les phares.
La femme posa ses mains sur ses hanches.
- C'est tellement mieux,
des mains de femme.
Les mains descendaient sur
les courbes généreuses.
- C'est plus délicat, plus
attentif, une femme connaît un corps de femme.
Ma femme leva son visage
vers celui de cette belle fille. Celle-ci retira sa casquette
qu'elle jeta sur le lit. Elle retira les épingles qui retenaient
son chignon. Ses longs cheveux s'étalèrent sur ses épaules.
Puis d'une main, tenant toujours ma femme par une hanche,
elle ouvrit son blouson bleu marine. Elle portait un tee-shirt
bleu marine aussi. Elle avait des seins énormes que le blouson
avait jusque là caché. Les pointes de ces seins tendaient
le tissu.
- Une femme, c'est plein
de secrets, de courbes, de creux, de cavernes à visiter.
De sa main libre, elle releva
son tee shirt. Elle dégagea un sein rond, d'un blanc laiteux,
avec une large aréole foncée et un téton énorme, tendu,
agressif.
Ma femme leva la main et la
posa sur ce globe. Il était ferme. Elle sentit dans sa paume,
le téton qui pointait. La femme flic, remonta sa main sous
la veste du tailleur, elle tira le chemisier pour se frayer
un chemin vers le corps de ma femme. Mon épouse frissonna
au contact des doigts sur son flanc. La flic trouva la fermeture
de coté de la jupe. Elle la fit glisser. De son autre main,
qu'elle passait dans la chevelure brune de ma femme, elle
attira la tête contre son sein.
- Une bouche de femme sait
comment caresser, lécher, téter.
Ma femme se laissait faire,
soumise à l'autorité de cette femme, attirée par son corps
solide. Elle sentit le téton contre ses lèvres, la chaleur
de cette poitrine. Elle embrassa cette pointe érigée. La
fille grogna :
- Oui, continuez, je sens
que vous êtes douée, que vous aimez ça.
La jupe glissa au sol dans
un froissement de tissu, dégageant les jambes gainées de
soie jusqu'à mi-cuisse.
La bouche happa le téton.
La fille gémit.
- Ouais vas-y.
Elle quitta son blouson et
son tee shirt. Elle ne gardait que le bas de sa tenue d'intervention.
Le torse nu, les épaules couvertes de sa chevelure d'amazone.
Elle attira une main sur son autre sein découvert.
Ma femme était encore intimidée,
se retenait d'avoir des caresses trop précises. Elle sentit
une main se poser sur ses fesses et l'attirer contre la
jambe. Elle sentit contre son ventre, le froid du pistolet,
contact dur, elle ouvrit ses cuisses et posa son sexe contre
la cuisse solide. Elle léchait les seins, encouragée par
leur propriétaire. Elle les pétrissait avec joie. La femme
flic décrocha son ceinturon qui tomba lourdement au sol.
Ma femme glissa vers le bas, se frottant contre la jambe.
Elle ne pu se retenir de frotter son sexe contre le tissu
du pantalon. Déjà, elle sentait le voile de son string englué
par les sécrétions de sa chatte. Elle continue à descendre.
Une fois à genoux devant la fille, elle dégrafa le pantalon
et le tira vers le bas. Elle découvrit un slip noir. La
fille écarta le triangle de lycra noir et dégagea sa chatte.
Elle était totalement rasée. Ma femme lui fit quitter son
pantalon qui grâce à une bande velcro pouvait s'enlever
tout en gardant les chaussures. Ces grosses chaussures noires
de type militaire. Le slip disparut de la même façon. La
fille obligea ma femme à se relever. Elle avait un regard
étrange. Soudain, avec brutalité, elle arracha littéralement
le reste de vêtements de ma femme. Le chemisier au sol termina
en lambeaux. Ses sous vêtements lui furent arrachés avec
violence.
Ma femme était maintenant
nue, juchée sur ses hauts talons. La fille se colla contre
elle. Elle sentit la chaleur de son corps charnu. Ses seins
qui s'écrasaient contre son corps. La femme flic lui attrapa
une cuisse et la releva contre sa hanche. Le sexe de ma
femme se retrouva collé contre cette hanche. La fille glissa
sa main entre les fesses et les doigts atteignirent son
sexe.
- Tu es déjà toute mouillée.
Les doigts glissaient dans les sécrétions de ma femme. Elle
tenait sa visiteuse par les hanches et l'attirait encore
plus près d'elle.
Elle gémit en sentant un
majeur pressé pénétrer en elle. Le doigt ne resta pas mais
il glissa entre les fesses pour atteindre l'œillet voisin.
Ma femme gémit.
- Et là, tu aimes aussi ?
- Oui.
- Il te le fait ?
- Oui. Le doigt jouait à l'entrée.
Brusquement, la fille obligea
ma femme à se pencher, elle eut le temps de poser ses mains
sur le pied du lit. Penchée sur sa croupe, la fille lui
fit écarter les cuisses. Les doigts replongèrent dans sa
chatte. Ma femme sentit son ventre s'ouvrir devant plusieurs
doigts inquisiteurs. Elle se cambra, s'ouvrit au maximum
en posant un pied sur le pied du lit. Ainsi, elle offrit
ton son entrejambe. La fille glissa un doigt entre ses fesses.
Ma femme subissait avec plaisir la double pénétration qui
lui infligeait son amante. Elle gémissait, se mordait les
lèvres pour ne pas crier à chaque fois que les doigts s'enfonçaient.
Elle remuait son bassin pour montrer combien elle était
prête à tout.
La fille la repoussa et se
pencha et attrapa son ceinturon. Elle attrapa sa longue
matraque de bois noire. Le bout se posa sur le ventre de
ma femme. Elle fut poussée vers le lit et s'y retrouva assise.
- Tourne toi, dit la fille
en agitant son bâton.
Ma femme obéit et se mit
à quatre pattes sur le lit. Elle sentit le bout froid glisser
sur son dos et appuyer sur ses reins. Elle se cambra sous
la pression.
Elle tourna la tête vers les
portes de l'armoire et aperçut son reflet dans les miroirs.
Elle pu observer aussi la fille. Leurs regards se croisèrent
dans le reflet.
- Tu es belle, dit la fille.
Ensuite, le bout de la matraque se plaça sous son menton.
- Relève la tête, sois fière
de tes fantasmes.
Le bâton caressa son dos
jusqu'à sa croupe. Il se leva à la verticale et glissa dans
la raie de ses fesses frottant de toute sa longueur contre
son œillet. Il tourna pour se caler ensuite entre les grandes
lèvres de son sexe. Nouvelle caresse froide. Ma femme fut
agitée d'un spasme de plaisir.
La fille s'agenouilla derrière
elle. Elle sentit le ventre plat, musclé se coller contre
ses fesses. Les mains s'accrochèrent à ses hanches, elle
avait toujours la matraque à la main.
- J'ai très envie de te baiser,
dit la fille. Dans la glace, leurs regards ne se quittaient
pas. La fille ondulait, mimant un coït. Ma femme avait une
respiration saccadée, elle sentait tout son corps attendre
les prochaines caresses précises. Elle était prête, en avait
envie. Elle voulait s'abandonner aux désirs de cette femme.
- Moi aussi, j'ai envie que
tu me baises, dit-elle alors.
La fille se recula. Ma femme
sentit le bout rond de la matraque se poser contre sa chatte.
Lentement, le bois la pénétra.
- J'aime faire l'amour avec
des femmes, j'aime les prendre, je les fais jouir, tu vas
aimer aussi, dit-elle dans la glace.
La fille la tenait par une
épaule et la tirait en arrière pour qu'elle vienne s'empaler
sur la matraque. Ce qu'elle fit, jusqu'à ce que le bout
de la matraque cogne au fond de son vagin. La pénétration
dura un long moment, dans un silence seulement troublé par
les respirations haletantes et les soupirs de ma femme.
Si elle baissait la tête, la fille lui tirait les cheveux
pour qu'elle se redresse. Si elle ne se cambrait pas, la
fille appuyait sur ses reins. Le bois sortit du sexe. Il
remonta entre les fesses. Le bout rond glissant força l'autre
entrée.
- Non, pas là avec ça, gémit
ma femme sans pour autant tenter d'échapper à ce qui allait
arriver.
Sans pitié, la matraque se
glissa entre les reins. La flic s'appliquait pour dilater
au maximum l'œillet de sa victime consentante. Ma femme
avait choisi de se donner totalement et laissait sa gaine
s'ouvrir. Elle reçu les félicitations. La fille retira la
matraque. Elle se pencha vers la croupe dévastée, sa langue
prit le relais et se glissa à son tour dans la caverne parfumée.
Mon épouse gémit de bonheur. Elle aimait sentir une langue
visiter entre ses fesses, les parties les plus intimes de
son corps.
La fille vint s'asseoir devant
ma femme. Elle était sexy avec juste ses chaussures hautes
et ses grosses chaussettes roulées. Ma femme s'assit sur
la matraque pour la garder profondément plantée en elle.
Sous les yeux, elle avait la chatte coulante de la fille.
Celle-ci tirait les lèvres de son sexe. Il s'ouvrait largement.
Elle glissa en elle trois doigts, qui disparurent totalement.
Il y ajouta un quatrième. Elle fouilla un moment sa chatte,
sous le regard attentif de ma femme, qui, elle, continuait
de s'enfoncer la matraque en bougeant d'avant en arrière.
La fille retira ses doigts, libérant son sexe élargi par
cette visite profonde.
- Lèche maintenant.
Ma femme fondit sur le sexe,
son menton s'enfouit entre les lèvres, sa langue pointant
pour aller recueillir les sécrétions gluantes au plus profond
de cette grotte. Elle apprécia l'odeur, le goût de ce liquide
épais qui restait sur sa langue. Parfois, dans la passion
de ce baiser, la langue glissait entre les fesses vers l'œillet
rasé de la fille. Elle avait glissé ses mains sous les fesses,
les pouces les ouvraient pour faciliter le passage.
Ma femme ne se rappela pas
comment elles s'étaient retrouvées, à l'envers l'une sur
l'autre, la fille au dessous. Elles se léchaient, se fouillaient,
se sodomisaient toutes deux avec la même fougue.
- Je veux que tu gicles,
dit la fille d'une voix rauque, allez lâche toi. Viens dans
ma bouche.
Ma femme ne comprit pas tout
de suite ce qu'elle voulait, jusqu'au moment où elle sentit
un liquide chaud, clair dans sa bouche. Le jet d'urine jaillissait
de ce corps. Ma femme se précipita pour continuer à lécher
ce corps généreux qui lui mouillait le visage, et elle se
laissa aussi aller et se vida par saccades sur le visage
de la femme flic qui, elle aussi lapait en buvant à la fontaine.
Elles jouirent toutes les
deux intensément, bruyamment, ne cherchant pas à faire taire
leurs corps ni leurs cris.
Elles récupérèrent de leur
orgasme, écroulées, l'une sur l'autre, le corps défait,
encore ouvert, encore coulant.
Ma femme m'a raconté son expérience,
le soir même. Je sais que depuis ce jour, elle reçoit des
visites régulières de cette femme flic que je ne connais
toujours pas.
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