TITRE : La bavure
Catégorie : 
Histoire Lesbienne

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Ce jour là, ma femme était seule à la maison quand la sonnette retentit. Elle partit ouvrir la porte et tomba nez à nez avec un policier. C'était une femme en tenue. Nous avions été cambriolés la veille et nous avions signalé cet incident au commissariat.

     - Bonjour madame, je viens prendre votre déposition, pour le cambriolage.
     - Mais bien sûr, mais je comptais me déplacer.
     - C'est à dire que je dois aussi faire quelques relevés.
     - Entrez, alors, je vous en prie, dit ma femme en s'effaçant pour la laisser entrer.

     La femme policière était plus grande qu'elle. Elle portait des rangers à semelles épaisses. Son blouson serré à la taille, s'arrêtait juste au dessus des hanches et de son ceinturon de cuir. Elle avait son arme, des menottes, sa matraque, son talkie-walkie. Seul détail féminin, un chignon de cheveux blonds surmonté par une casquette marquée police.
     Il y avait un monde entre ma femme et son tailleur et cette femme, en tenue de combat. Distraitement, mon épouse regarda les fesses de ce policier. Sous le pantalon de toile un peu brillante, elle aperçut les marques d'un slip sans doute style brésilien, très échancré car la marque passait au milieu de chaque fesse. Ma femme sourit, en pensant qu'en plus du chignon c'était un indice de plus sur la féminité de ce policier. Elle ferma la porte.
     La fille se tenait dans la salle à manger, debout, immobile.

     - Je vais vous demander de me faire l'inventaire de ce qui vous a été volé.

     Ma femme se lança dans la liste, appareil photo, un peu de liquide, le coffre à bijoux et les pièces anciennes de mon mari…

     - Les bijoux, où étaient-ils ?
     - Dans mon armoire, cachés.
     - Je peux voir ?

     Ma femme la guida dans notre chambre, elle ouvrit l'armoire.

     - C'est là, il était sur ce rayon. C'était le rayon des nombreux sous-vêtements que possède ma femme. Tout de suite la policière tendit la main et la glissa sous les piles de sous-vêtements.
     - C'est juste pour vérifier, dit-elle en palpant sous les strings de soie, les porte-jarretelles et les guêpières. En sortant sa main, elle entraîna une pile qui tomba sur le sol.
     - Excusez-moi.
     - Ce n'est rien.

     Elles s'accroupirent en même temps. Leurs têtes se cognèrent légèrement. Elles s'excusèrent leurs visages à quelques centimètres l'un de l'autre. Ma femme pensa subitement à sa jupe assez courte qui dévoilait la moitié de ses jambes nues. Elle sentit le regard de la femme sur elles. Lentement, les yeux remontèrent sur le décolleté du chemisier, assez ouvert pour montrer la poitrine généreuse de mon épouse que le soutien gorge ne parvenait pas à contenir. La policière tenait dans sa main un string de dentelle. Machinalement, ses doigts caressaient le tissu ajouré.

     - Les pièces, où étaient-elles ? dit-elle en se dressant avec aisance.
     - Sur le rayon de mon mari, là en dessous.

     La policière répéta la fouille. Ce que ma femme avait oublié c'est qu'en plus de ma collection de pièces, il y avait quelques revues pornographiques que nous aimons lire ensembles, allongés nus sur le lit. Evidemment, la femme tomba dessus. Elle regarda la couverture qui montrait un athlète nu, et, agenouillée devant lui, une fille qui s'apprêtait à honorer avec sa bouche le membre qu'elle tenait en main.

     - Ces hommes et leur bite, une vraie histoire d'amour, dit alors la policière.
     - Oui, c'est exactement ça, dit ma femme en riant.
     - Vous aimez ça ?
     - Oui, comme tout le monde.
     - Non pas comme tout le monde. Moi je préfère la douceur des femmes, leur patience.

     Son regard avait changé. Il était devenu dur et ses yeux plantés dans ceux de ma femme, la transperçaient. La policière s'approcha. Ma femme ne bougea pas, tétanisée, tel un lapin pris dans les phares. La femme posa ses mains sur ses hanches.

     - C'est tellement mieux, des mains de femme.

     Les mains descendaient sur les courbes généreuses.

     - C'est plus délicat, plus attentif, une femme connaît un corps de femme.

     Ma femme leva son visage vers celui de cette belle fille. Celle-ci retira sa casquette qu'elle jeta sur le lit. Elle retira les épingles qui retenaient son chignon. Ses longs cheveux s'étalèrent sur ses épaules. Puis d'une main, tenant toujours ma femme par une hanche, elle ouvrit son blouson bleu marine. Elle portait un tee-shirt bleu marine aussi. Elle avait des seins énormes que le blouson avait jusque là caché. Les pointes de ces seins tendaient le tissu.

     - Une femme, c'est plein de secrets, de courbes, de creux, de cavernes à visiter.

     De sa main libre, elle releva son tee shirt. Elle dégagea un sein rond, d'un blanc laiteux, avec une large aréole foncée et un téton énorme, tendu, agressif.
     Ma femme leva la main et la posa sur ce globe. Il était ferme. Elle sentit dans sa paume, le téton qui pointait. La femme flic, remonta sa main sous la veste du tailleur, elle tira le chemisier pour se frayer un chemin vers le corps de ma femme. Mon épouse frissonna au contact des doigts sur son flanc. La flic trouva la fermeture de coté de la jupe. Elle la fit glisser. De son autre main, qu'elle passait dans la chevelure brune de ma femme, elle attira la tête contre son sein.

     - Une bouche de femme sait comment caresser, lécher, téter.

     Ma femme se laissait faire, soumise à l'autorité de cette femme, attirée par son corps solide. Elle sentit le téton contre ses lèvres, la chaleur de cette poitrine. Elle embrassa cette pointe érigée. La fille grogna :

     - Oui, continuez, je sens que vous êtes douée, que vous aimez ça.

     La jupe glissa au sol dans un froissement de tissu, dégageant les jambes gainées de soie jusqu'à mi-cuisse.
     La bouche happa le téton. La fille gémit.

     - Ouais vas-y.

     Elle quitta son blouson et son tee shirt. Elle ne gardait que le bas de sa tenue d'intervention. Le torse nu, les épaules couvertes de sa chevelure d'amazone. Elle attira une main sur son autre sein découvert.

     Ma femme était encore intimidée, se retenait d'avoir des caresses trop précises. Elle sentit une main se poser sur ses fesses et l'attirer contre la jambe. Elle sentit contre son ventre, le froid du pistolet, contact dur, elle ouvrit ses cuisses et posa son sexe contre la cuisse solide. Elle léchait les seins, encouragée par leur propriétaire. Elle les pétrissait avec joie. La femme flic décrocha son ceinturon qui tomba lourdement au sol. Ma femme glissa vers le bas, se frottant contre la jambe. Elle ne pu se retenir de frotter son sexe contre le tissu du pantalon. Déjà, elle sentait le voile de son string englué par les sécrétions de sa chatte. Elle continue à descendre. Une fois à genoux devant la fille, elle dégrafa le pantalon et le tira vers le bas. Elle découvrit un slip noir. La fille écarta le triangle de lycra noir et dégagea sa chatte. Elle était totalement rasée. Ma femme lui fit quitter son pantalon qui grâce à une bande velcro pouvait s'enlever tout en gardant les chaussures. Ces grosses chaussures noires de type militaire. Le slip disparut de la même façon. La fille obligea ma femme à se relever. Elle avait un regard étrange. Soudain, avec brutalité, elle arracha littéralement le reste de vêtements de ma femme. Le chemisier au sol termina en lambeaux. Ses sous vêtements lui furent arrachés avec violence.

     Ma femme était maintenant nue, juchée sur ses hauts talons. La fille se colla contre elle. Elle sentit la chaleur de son corps charnu. Ses seins qui s'écrasaient contre son corps. La femme flic lui attrapa une cuisse et la releva contre sa hanche. Le sexe de ma femme se retrouva collé contre cette hanche. La fille glissa sa main entre les fesses et les doigts atteignirent son sexe.

     - Tu es déjà toute mouillée. Les doigts glissaient dans les sécrétions de ma femme. Elle tenait sa visiteuse par les hanches et l'attirait encore plus près d'elle.

     Elle gémit en sentant un majeur pressé pénétrer en elle. Le doigt ne resta pas mais il glissa entre les fesses pour atteindre l'œillet voisin.
     Ma femme gémit.

     - Et là, tu aimes aussi ?
     - Oui.
     - Il te le fait ?
     - Oui. Le doigt jouait à l'entrée.

     Brusquement, la fille obligea ma femme à se pencher, elle eut le temps de poser ses mains sur le pied du lit. Penchée sur sa croupe, la fille lui fit écarter les cuisses. Les doigts replongèrent dans sa chatte. Ma femme sentit son ventre s'ouvrir devant plusieurs doigts inquisiteurs. Elle se cambra, s'ouvrit au maximum en posant un pied sur le pied du lit. Ainsi, elle offrit ton son entrejambe. La fille glissa un doigt entre ses fesses. Ma femme subissait avec plaisir la double pénétration qui lui infligeait son amante. Elle gémissait, se mordait les lèvres pour ne pas crier à chaque fois que les doigts s'enfonçaient. Elle remuait son bassin pour montrer combien elle était prête à tout.

     La fille la repoussa et se pencha et attrapa son ceinturon. Elle attrapa sa longue matraque de bois noire. Le bout se posa sur le ventre de ma femme. Elle fut poussée vers le lit et s'y retrouva assise.

     - Tourne toi, dit la fille en agitant son bâton.

     Ma femme obéit et se mit à quatre pattes sur le lit. Elle sentit le bout froid glisser sur son dos et appuyer sur ses reins. Elle se cambra sous la pression.
     Elle tourna la tête vers les portes de l'armoire et aperçut son reflet dans les miroirs. Elle pu observer aussi la fille. Leurs regards se croisèrent dans le reflet.

     - Tu es belle, dit la fille. Ensuite, le bout de la matraque se plaça sous son menton.
     - Relève la tête, sois fière de tes fantasmes.

     Le bâton caressa son dos jusqu'à sa croupe. Il se leva à la verticale et glissa dans la raie de ses fesses frottant de toute sa longueur contre son œillet. Il tourna pour se caler ensuite entre les grandes lèvres de son sexe. Nouvelle caresse froide. Ma femme fut agitée d'un spasme de plaisir.

     La fille s'agenouilla derrière elle. Elle sentit le ventre plat, musclé se coller contre ses fesses. Les mains s'accrochèrent à ses hanches, elle avait toujours la matraque à la main.

     - J'ai très envie de te baiser, dit la fille. Dans la glace, leurs regards ne se quittaient pas. La fille ondulait, mimant un coït. Ma femme avait une respiration saccadée, elle sentait tout son corps attendre les prochaines caresses précises. Elle était prête, en avait envie. Elle voulait s'abandonner aux désirs de cette femme.
     - Moi aussi, j'ai envie que tu me baises, dit-elle alors.

     La fille se recula. Ma femme sentit le bout rond de la matraque se poser contre sa chatte. Lentement, le bois la pénétra.

     - J'aime faire l'amour avec des femmes, j'aime les prendre, je les fais jouir, tu vas aimer aussi, dit-elle dans la glace.

     
     La fille la tenait par une épaule et la tirait en arrière pour qu'elle vienne s'empaler sur la matraque. Ce qu'elle fit, jusqu'à ce que le bout de la matraque cogne au fond de son vagin. La pénétration dura un long moment, dans un silence seulement troublé par les respirations haletantes et les soupirs de ma femme. Si elle baissait la tête, la fille lui tirait les cheveux pour qu'elle se redresse. Si elle ne se cambrait pas, la fille appuyait sur ses reins. Le bois sortit du sexe. Il remonta entre les fesses. Le bout rond glissant força l'autre entrée.

     - Non, pas là avec ça, gémit ma femme sans pour autant tenter d'échapper à ce qui allait arriver.

     Sans pitié, la matraque se glissa entre les reins. La flic s'appliquait pour dilater au maximum l'œillet de sa victime consentante. Ma femme avait choisi de se donner totalement et laissait sa gaine s'ouvrir. Elle reçu les félicitations. La fille retira la matraque. Elle se pencha vers la croupe dévastée, sa langue prit le relais et se glissa à son tour dans la caverne parfumée. Mon épouse gémit de bonheur. Elle aimait sentir une langue visiter entre ses fesses, les parties les plus intimes de son corps.

     La fille vint s'asseoir devant ma femme. Elle était sexy avec juste ses chaussures hautes et ses grosses chaussettes roulées. Ma femme s'assit sur la matraque pour la garder profondément plantée en elle. Sous les yeux, elle avait la chatte coulante de la fille. Celle-ci tirait les lèvres de son sexe. Il s'ouvrait largement. Elle glissa en elle trois doigts, qui disparurent totalement. Il y ajouta un quatrième. Elle fouilla un moment sa chatte, sous le regard attentif de ma femme, qui, elle, continuait de s'enfoncer la matraque en bougeant d'avant en arrière. La fille retira ses doigts, libérant son sexe élargi par cette visite profonde.

     - Lèche maintenant.

     Ma femme fondit sur le sexe, son menton s'enfouit entre les lèvres, sa langue pointant pour aller recueillir les sécrétions gluantes au plus profond de cette grotte. Elle apprécia l'odeur, le goût de ce liquide épais qui restait sur sa langue. Parfois, dans la passion de ce baiser, la langue glissait entre les fesses vers l'œillet rasé de la fille. Elle avait glissé ses mains sous les fesses, les pouces les ouvraient pour faciliter le passage.
     Ma femme ne se rappela pas comment elles s'étaient retrouvées, à l'envers l'une sur l'autre, la fille au dessous. Elles se léchaient, se fouillaient, se sodomisaient toutes deux avec la même fougue.

     - Je veux que tu gicles, dit la fille d'une voix rauque, allez lâche toi. Viens dans ma bouche.

     Ma femme ne comprit pas tout de suite ce qu'elle voulait, jusqu'au moment où elle sentit un liquide chaud, clair dans sa bouche. Le jet d'urine jaillissait de ce corps. Ma femme se précipita pour continuer à lécher ce corps généreux qui lui mouillait le visage, et elle se laissa aussi aller et se vida par saccades sur le visage de la femme flic qui, elle aussi lapait en buvant à la fontaine.

     Elles jouirent toutes les deux intensément, bruyamment, ne cherchant pas à faire taire leurs corps ni leurs cris.
     Elles récupérèrent de leur orgasme, écroulées, l'une sur l'autre, le corps défait, encore ouvert, encore coulant.

     
     Ma femme m'a raconté son expérience, le soir même. Je sais que depuis ce jour, elle reçoit des visites régulières de cette femme flic que je ne connais toujours pas.

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