Après ce lundi agité avec Marc, mon chef d'agence
et amant, je me rendis à l'agence bancaire ou je travaillais.
Je m'étais un peu mieux habillée et immédiatement Stéphanie
me jeta un regard surpris, mais heureusement sans me questionner.
Geste discret de Marc, et la matinée se passa. A la pause
méridienne, je me précipitais dans la galerie commerciale
pour y faire emplette d'un nécessaire pour me maquiller
et surtout acheter comme je l'avais promis des chaussures
à talons hauts. Devant les rayons, j'hésitais, rien ne me
paraissait faire l'affaire. J'allais partir lorsque le vendeur
s'approcha :
"Vous n'avez pas trouvé
ce que vous vouliez"
Moi si, mais ce que voulait
mon amant non, et je m'entendis répondre :
"Ma foi non, je cherchais
une paire de talon très haut, genre talon aiguille".
Il me regarda, effectivement
ma demande cadrait mal avec la façon dont j'étais vêtue.
"Vous savez, ce n'est
pas vraiment la mode cette saison, mais si vous avez un
instant je crois qu'il me reste une ou deux paires en réserve"
Il revint avec trois boites.
Hauts talons, j'étais servie, je les essayais toutes, il
me faudrait de l'entraînement pour me déplacer, mais de
toute façon, je ne les achetais pas vraiment pour marcher.
"Vous vous êtes décidée"
"Oui, je vais prendre
les vernies noires, avec la bride"
"Vous avez raisons elles
sont superbes, c'est celle qui ont les plus haut talons
11 cm, je ne vous les conseille pas pour le jogging…"
reprit-il en riant
Je payais et de retour à l'agence
je m'arrangeais pour que Marc remarque cet achat. Il eut
une moue satisfaite.
Le lendemain, me croisant
dans le couloir, il me dit
"Ce soir, je te saute…"
Je vécu le reste de la journée
dans cette attente…Le soir sans perdre de temps, je fermais
l'agence, frappais à la porte de Marc.
"Entre fit-il, alors
impatiente ? allez viens"
Enfin à nouveau j'étais dans
ses bras, et je lui rendis longuement son baiser. Ses mains
me parcoururent. Il me dit :
"Je vais te trousser
et te prendre sur mon bureau"
Il me fit pivoter, m'accouder
au bureau et releva ma jupe puis…rien. Je jetais un regard
vers lui et ne rencontrais qu'un regard courroucé. D'un
geste Brusque, il rabaissa ma jupe en lançant :
"Tu n'as rien compris,
je ne veux plus te voir en collant, je ne te baiserais que
lorsque tu porteras des bas, et pour te punir, je ne te
toucherais pas de la semaine".
Les larmes me montèrent aux
yeux et je lui lançais un regard plein de détresse, et de
frustration.
"Si tu veux que je passe
te voir lundi, il va falloir faire un effort"
Quel salaud ! Il voulait que
je ressemble à une couverture de magazine pour homme Eh
bien non ! Pas question…C'était décidé, ce serait … oui
bien sûr ! Je l'assurais que je serais comme il le souhaitait
(et peut être au delà). Il me dit simplement et crûment
que c'était mon intérêt de l'exciter si je voulais qu'il
bande.
Fin de semaine morne, dimanche
long, enfin ce fut le lundi. Dès mon mari parti, je me levai,
rapidement petit déjeuner, vite douche, j'enfilais les bas,
les fixais au porte-jarretelles, bien tendus, j'enfilais
les escarpins, en attachais la bride autour de ma cheville
puis direction la salle de bains, ou je me séchais les cheveux,
les coiffais, puis me maquillais comme il y avait bien longtemps
que je ne l'avais pas fait. En sortant de la salle de bain,
je me regardais dans le miroir du couloir. Pas mal, pas
mal du tout, malgré quelques années de trop, l'image renvoyée
était satisfaisante. Bien coiffée, bien maquillée pratiquement
nue sur de telles chaussures j'aurais plut à beaucoup d'hommes,
à commencer par mon mari. Son image se dissipa remplacée
par celle de Marc. Allais-je lui plaire à lui ! Retour à
la salle de bain, les yeux …un peu plus souligné, la bouche…un
peu plus rouge…c'était mieux. Mais que faisait-il…pas encore
là…l'attente me crispait le ventre. Je guettais les voitures
qui ne s'arrêtaient pas. Ha ça y était, zut, non! Puis brusquement
SA voiture, l'estomac noué j'entendis son pas dans l'allée,
la sonnerie retentit, retentit dans ma tête, retenti dans
mon sexe…panique…Une fraction de seconde d'hésitation de
la femme fidèle qui était en moi, vite balayée par celle
qui cocufiait allègrement son mari…j'ouvrais…Je vis tout
de suite dans ses yeux que j'étais à la hauteur de ce qu'il
souhaitait. Il m'enlaça, ses mains me parcoururent, il m'embrassa
dans cou, sur les épaules, évitant ma bouche maquillée qu'il
réservait sûrement à un autre usage. Il me dit
"Tu es belle, encore
un peu terne pour mon goût, mais pour cette fois ça ira…"
Là, il exagérait…vraiment…Si
cela continuait, pour lui plaire, j'allais devoir ressembler
à une…à une….Il ajouta :
"Tu me plait, c'est pour
m'exciter, que tu t'es préparée ?"
"Oui" soufflais-je
"Tu en à envie de ma
queue hein ?"
"Oui"
"Dis-moi que tu en as
envie !"
"J'en ai envie"
"De quoi ?
"De ta queue, j'ai envie
de ta queue" finis-je par répondre docilement
"C'est bien, tu es belle,
tu me fais bander, mais ce n'est pas le tout, je te veux
très salope…"
Je m'aperçus alors que les
mots crus qu'il employait, loin de me choquer comme cela
aurait du être le cas, commençait à me faire de l'effet.
De toute façon, maquillée comme je l'étais, en porte-jarretelles
et talon aiguille, à part, effectivement d'une salope, je
ne pensais pas ressembler à autre chose. Il allait falloir
que j'assume…mais j'avais tellement envie de lui que je
me sentais prête à tout. Il me prit par la taille, m'emmena
vers le canapé le plus proche, m'y fit agenouiller, jambes
écartées et les seins contre le dossier. Il se déshabilla
prestement et se posta derrière moi. Je me cambrais pour
mieux m'offrir, ses doigts m'ouvrirent et le sexe tant attendu
remplit le mien. Lorsqu'il se fut bien introduit à fond,
il me saisit par les hanches et se mit en mouvement prenant
bien soin de donner la plus grande amplitude à ses mouvements.
Il me besognait de toute sa longueur et je sentais ses c..,
ses testicules battre ma vulve. Maintenant que son pieu
de chair coulissait librement en moi, ses mains s'étaient
mises en mouvement. Il me caressait les épaules le dos,
les flancs, m'empoignait les seins, me caressant le ventre,
allant même jusqu'à titiller mon clitoris. En même temps,
il m'embrassait dans le cou, suçait mes oreilles, me faisait
retourner pour prendre voracement la bouche que je lui offrais
sans retenue. J'étais bien, dans ces moments là, je me sentais
comme ensorcelée, je n'étais plus qu'une femelle en chaleur
avide de sexe. Il le comprit à mes gémissements et comme
je le prévoyais, il recommença à me parler crûment, ce qui
en rajouta à mon embrasement.
"Elle est bonne hein
petite madame B. la queue du chef ! Elle aime ça madame
B. se faire mettre ! Allez répond !"
Vaincue, je me laissais aller
"Oh oui, elle est bonne
ta queue, elle me remplit bien, ouiii, encore, oh comme
ça…des grands coups…que c'est bon une grosse queue…, plus
fort …je vais jouir…"
Comprenant que j'allais atteindre
le plaisir, en se cramponnant à mes seins il me bourra littéralement
de grands coups de reins vigoureux. Je fus littéralement
assaillie par un puissant orgasme qui me fit râler. Quelle
sensation… Marc était vraiment un amant hors pair (et je
n'avais encore rien vu…). J'étais encore toute pantelante
quand il se retira, le sexe encore rigide, il fit le tour
du canapé et présenta sa queue luisante à mes lèvres, m'ordonnant
de lui faire une pipe, ce que je m'évertuais à faire de
mon mieux. Il tenta même de me faire pénétrer son mandrin
dans le début de la gorge, mais les réflexes de nausée ne
lui permirent pas de pousser plus loin son exploration.
Néanmoins, il me fit encore promettre de m'entraîner. Comme
d'habitude…je promis…Pour ne faire pardonner, je m'activais
de mon mieux sur cette verge dont je raffolais tant jusqu'à
ce qu'il m'annonce dans son langage trivial "qu'il
allait balancer la purée" qu'effectivement je reçus
sur la langue et sur le visage. Connaissant maintenant les
lieux, il me prit par la main pour m'emmener vers la chambre
ou, sur le lit il me soumit à une délicieuse séance de câlins
(que je lui rendis bien volontiers) avant d'exiger :
"Maintenant, c'est toi
qui travaille viens sur moi" et il se mit sur le dos,
hampe dressée vers le plafond. Oubliant ma retenue habituelle,
je m'agenouillais de part et d'autre plaçant ma vulve à
l'aplomb de cette queue sur laquelle j'allais m'empaler.
Je la saisis et lentement me laissais glisser jusqu'à ce
que ma chatte l'ait toute absorbée. Encouragée par Marc,
je commençais à monter et descendre autour de ce cylindre
brûlant pendant qu'il me caressait la taille et les seins.
Il me fit pencher en avant pour mieux prendre le bout de
mes seins entre ses lèvres et me les sucer tout à loisir,
qu'il s'y prenait bien…Il me demanda ensuite :
"Caresses -toi les, j'aime
voir les femmes se peloter les nichons"
Toujours ses mots crus…j'obéis,
prenant mes rondeurs à pleines mains…Il m'en fit ensuite
pincer les bouts pour qu'ils soient tout gonflés et sensibles.
Il me prit par la taille et m'imposa son rythme jusqu'à
ce qu'une vague de plaisir nous submerge et nous laisse
haletant lui, le sexe ramolli et moi la chatte inondée par
sa semence.
Nous convîmes d'une pause
pour nous reposer un peu et manger un petit quelque chose
que, comme la semaine passée, je préparais devant lui en
petite tenue, à la différence que je commençais à éprouver
un sentiment de plaisir pervers à évoluer ainsi devant lui
et à le frôler avec un rien de provocation. Bien sûr (c'était
fait pour cela) il le remarqua et me traita (en autre) d'allumeuse
et de petite salope et en profita pour me lutiner. Le repas
fut rapidement expédié, malgré ses mains qui s'attardaient
sur moi et sur mon entrejambe et les miennes qui soupesaient
ses bourses gonflées et qui le masturbaient tendrement.
Au café il me dit :
"Va te refaire une beauté,
puisque tu as l'air d'en vouloir de bite je vais te gaver"
Vite j'allais à la salle de
bain et me rappelant ce qu'il m'avait dit le matin même,
je me maquillais d'une façon très soutenue (trop à mon goût)
mais eu l'air de lui convenir puisqu'il souhaita que j'aille
travailler ainsi désormais. Commentant de manière obscène
le dessin de ma bouche, il m'ordonna de me m'agenouiller
et encore un fois de le pomper. Quand il se trouva assez
rigide, il me fit relever et dit :
"Allez au lit, en levrette
au bord du lit"
J'étais ravie, je désirai
ardemment, depuis l'autre jour ou mon plaisir avait été
si grand qu'il recommence dans cette position. Ce fut d'un
seul coup et presque brutalement que je fus enfilée, pour
mon plus grand plaisir, il se déchaîna véritablement, son
sexe butant au fond de moi. Prise dans cet engrenage sensuel
j'y répondis de mon mieux, m'offrant gémissant comme une
femelle en chaleur (qu'étais-je d'autre..) L’encourageant
à "y aller plus fort, plus loin" -quelle honte-
ce qu'il fit de telle manière que je criais en éprouvant
un orgasme surprenant d'intensité et un second immédiatement
après lorsque sa queue gonfla et qu'un flot de sperme fusa
en moi.
Quand nous eûmes reprit nos
esprit, il m'enlaça, et me demanda :
"Tu aimes nos lundi Florence?"
"Oh oui !"
"Tu voudras qu'il y en
ait d'autre"
"Oui, si tu me trouve
à la hauteur…, tu te rends compte à mon age… "
"Ne soit pas inquiète
de la hauteur, avec moi tu va atteindre des sommets et puis,
il n'y a pas d'age pour devenir une vraie cochonne…tu verras,
il y aura les lundis et puis d'autres occasions"
Puis craignant un peu le retour
de mon mari qui me trouva de fort bonne humeur ce soir là,
il quitta…
A suivre…Si la suite vous
intéresse…
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