TITRE :  Florence (2ème partie)
Catégorie : 
Histoire Extra conjugale

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Après ce lundi agité avec Marc, mon chef d'agence et amant, je me rendis à l'agence bancaire ou je travaillais. Je m'étais un peu mieux habillée et immédiatement Stéphanie me jeta un regard surpris, mais heureusement sans me questionner. Geste discret de Marc, et la matinée se passa. A la pause méridienne, je me précipitais dans la galerie commerciale pour y faire emplette d'un nécessaire pour me maquiller et surtout acheter comme je l'avais promis des chaussures à talons hauts. Devant les rayons, j'hésitais, rien ne me paraissait faire l'affaire. J'allais partir lorsque le vendeur s'approcha :
     "Vous n'avez pas trouvé ce que vous vouliez"
     Moi si, mais ce que voulait mon amant non, et je m'entendis répondre :
     "Ma foi non, je cherchais une paire de talon très haut, genre talon aiguille".
     Il me regarda, effectivement ma demande cadrait mal avec la façon dont j'étais vêtue.
     "Vous savez, ce n'est pas vraiment la mode cette saison, mais si vous avez un instant je crois qu'il me reste une ou deux paires en réserve"
     Il revint avec trois boites. Hauts talons, j'étais servie, je les essayais toutes, il me faudrait de l'entraînement pour me déplacer, mais de toute façon, je ne les achetais pas vraiment pour marcher.
     "Vous vous êtes décidée"
     "Oui, je vais prendre les vernies noires, avec la bride"
     "Vous avez raisons elles sont superbes, c'est celle qui ont les plus haut talons 11 cm, je ne vous les conseille pas pour le jogging…" reprit-il en riant
     Je payais et de retour à l'agence je m'arrangeais pour que Marc remarque cet achat. Il eut une moue satisfaite.
     Le lendemain, me croisant dans le couloir, il me dit
     "Ce soir, je te saute…"
     Je vécu le reste de la journée dans cette attente…Le soir sans perdre de temps, je fermais l'agence, frappais à la porte de Marc.
     "Entre fit-il, alors impatiente ? allez viens"
     Enfin à nouveau j'étais dans ses bras, et je lui rendis longuement son baiser. Ses mains me parcoururent. Il me dit :
     "Je vais te trousser et te prendre sur mon bureau"
     Il me fit pivoter, m'accouder au bureau et releva ma jupe puis…rien. Je jetais un regard vers lui et ne rencontrais qu'un regard courroucé. D'un geste Brusque, il rabaissa ma jupe en lançant :
     "Tu n'as rien compris, je ne veux plus te voir en collant, je ne te baiserais que lorsque tu porteras des bas, et pour te punir, je ne te toucherais pas de la semaine".
     Les larmes me montèrent aux yeux et je lui lançais un regard plein de détresse, et de frustration.
     "Si tu veux que je passe te voir lundi, il va falloir faire un effort"
     Quel salaud ! Il voulait que je ressemble à une couverture de magazine pour homme Eh bien non ! Pas question…C'était décidé, ce serait … oui bien sûr ! Je l'assurais que je serais comme il le souhaitait (et peut être au delà). Il me dit simplement et crûment que c'était mon intérêt de l'exciter si je voulais qu'il bande.
     Fin de semaine morne, dimanche long, enfin ce fut le lundi. Dès mon mari parti, je me levai, rapidement petit déjeuner, vite douche, j'enfilais les bas, les fixais au porte-jarretelles, bien tendus, j'enfilais les escarpins, en attachais la bride autour de ma cheville puis direction la salle de bains, ou je me séchais les cheveux, les coiffais, puis me maquillais comme il y avait bien longtemps que je ne l'avais pas fait. En sortant de la salle de bain, je me regardais dans le miroir du couloir. Pas mal, pas mal du tout, malgré quelques années de trop, l'image renvoyée était satisfaisante. Bien coiffée, bien maquillée pratiquement nue sur de telles chaussures j'aurais plut à beaucoup d'hommes, à commencer par mon mari. Son image se dissipa remplacée par celle de Marc. Allais-je lui plaire à lui ! Retour à la salle de bain, les yeux …un peu plus souligné, la bouche…un peu plus rouge…c'était mieux. Mais que faisait-il…pas encore là…l'attente me crispait le ventre. Je guettais les voitures qui ne s'arrêtaient pas. Ha ça y était, zut, non! Puis brusquement SA voiture, l'estomac noué j'entendis son pas dans l'allée, la sonnerie retentit, retentit dans ma tête, retenti dans mon sexe…panique…Une fraction de seconde d'hésitation de la femme fidèle qui était en moi, vite balayée par celle qui cocufiait allègrement son mari…j'ouvrais…Je vis tout de suite dans ses yeux que j'étais à la hauteur de ce qu'il souhaitait. Il m'enlaça, ses mains me parcoururent, il m'embrassa dans cou, sur les épaules, évitant ma bouche maquillée qu'il réservait sûrement à un autre usage. Il me dit
     "Tu es belle, encore un peu terne pour mon goût, mais pour cette fois ça ira…"
     Là, il exagérait…vraiment…Si cela continuait, pour lui plaire, j'allais devoir ressembler à une…à une….Il ajouta :
     "Tu me plait, c'est pour m'exciter, que tu t'es préparée ?"
     "Oui" soufflais-je
     "Tu en à envie de ma queue hein ?"
     "Oui"
     "Dis-moi que tu en as envie !"
     "J'en ai envie"
     "De quoi ?
     "De ta queue, j'ai envie de ta queue" finis-je par répondre docilement
     "C'est bien, tu es belle, tu me fais bander, mais ce n'est pas le tout, je te veux très salope…"
     Je m'aperçus alors que les mots crus qu'il employait, loin de me choquer comme cela aurait du être le cas, commençait à me faire de l'effet. De toute façon, maquillée comme je l'étais, en porte-jarretelles et talon aiguille, à part, effectivement d'une salope, je ne pensais pas ressembler à autre chose. Il allait falloir que j'assume…mais j'avais tellement envie de lui que je me sentais prête à tout. Il me prit par la taille, m'emmena vers le canapé le plus proche, m'y fit agenouiller, jambes écartées et les seins contre le dossier. Il se déshabilla prestement et se posta derrière moi. Je me cambrais pour mieux m'offrir, ses doigts m'ouvrirent et le sexe tant attendu remplit le mien. Lorsqu'il se fut bien introduit à fond, il me saisit par les hanches et se mit en mouvement prenant bien soin de donner la plus grande amplitude à ses mouvements. Il me besognait de toute sa longueur et je sentais ses c.., ses testicules battre ma vulve. Maintenant que son pieu de chair coulissait librement en moi, ses mains s'étaient mises en mouvement. Il me caressait les épaules le dos, les flancs, m'empoignait les seins, me caressant le ventre, allant même jusqu'à titiller mon clitoris. En même temps, il m'embrassait dans le cou, suçait mes oreilles, me faisait retourner pour prendre voracement la bouche que je lui offrais sans retenue. J'étais bien, dans ces moments là, je me sentais comme ensorcelée, je n'étais plus qu'une femelle en chaleur avide de sexe. Il le comprit à mes gémissements et comme je le prévoyais, il recommença à me parler crûment, ce qui en rajouta à mon embrasement.
     "Elle est bonne hein petite madame B. la queue du chef ! Elle aime ça madame B. se faire mettre ! Allez répond !"
     Vaincue, je me laissais aller
     "Oh oui, elle est bonne ta queue, elle me remplit bien, ouiii, encore, oh comme ça…des grands coups…que c'est bon une grosse queue…, plus fort …je vais jouir…"
     Comprenant que j'allais atteindre le plaisir, en se cramponnant à mes seins il me bourra littéralement de grands coups de reins vigoureux. Je fus littéralement assaillie par un puissant orgasme qui me fit râler. Quelle sensation… Marc était vraiment un amant hors pair (et je n'avais encore rien vu…). J'étais encore toute pantelante quand il se retira, le sexe encore rigide, il fit le tour du canapé et présenta sa queue luisante à mes lèvres, m'ordonnant de lui faire une pipe, ce que je m'évertuais à faire de mon mieux. Il tenta même de me faire pénétrer son mandrin dans le début de la gorge, mais les réflexes de nausée ne lui permirent pas de pousser plus loin son exploration. Néanmoins, il me fit encore promettre de m'entraîner. Comme d'habitude…je promis…Pour ne faire pardonner, je m'activais de mon mieux sur cette verge dont je raffolais tant jusqu'à ce qu'il m'annonce dans son langage trivial "qu'il allait balancer la purée" qu'effectivement je reçus sur la langue et sur le visage. Connaissant maintenant les lieux, il me prit par la main pour m'emmener vers la chambre ou, sur le lit il me soumit à une délicieuse séance de câlins (que je lui rendis bien volontiers) avant d'exiger :
     "Maintenant, c'est toi qui travaille viens sur moi" et il se mit sur le dos, hampe dressée vers le plafond. Oubliant ma retenue habituelle, je m'agenouillais de part et d'autre plaçant ma vulve à l'aplomb de cette queue sur laquelle j'allais m'empaler. Je la saisis et lentement me laissais glisser jusqu'à ce que ma chatte l'ait toute absorbée. Encouragée par Marc, je commençais à monter et descendre autour de ce cylindre brûlant pendant qu'il me caressait la taille et les seins. Il me fit pencher en avant pour mieux prendre le bout de mes seins entre ses lèvres et me les sucer tout à loisir, qu'il s'y prenait bien…Il me demanda ensuite :
     "Caresses -toi les, j'aime voir les femmes se peloter les nichons"
     Toujours ses mots crus…j'obéis, prenant mes rondeurs à pleines mains…Il m'en fit ensuite pincer les bouts pour qu'ils soient tout gonflés et sensibles. Il me prit par la taille et m'imposa son rythme jusqu'à ce qu'une vague de plaisir nous submerge et nous laisse haletant lui, le sexe ramolli et moi la chatte inondée par sa semence.
     Nous convîmes d'une pause pour nous reposer un peu et manger un petit quelque chose que, comme la semaine passée, je préparais devant lui en petite tenue, à la différence que je commençais à éprouver un sentiment de plaisir pervers à évoluer ainsi devant lui et à le frôler avec un rien de provocation. Bien sûr (c'était fait pour cela) il le remarqua et me traita (en autre) d'allumeuse et de petite salope et en profita pour me lutiner. Le repas fut rapidement expédié, malgré ses mains qui s'attardaient sur moi et sur mon entrejambe et les miennes qui soupesaient ses bourses gonflées et qui le masturbaient tendrement. Au café il me dit :
     "Va te refaire une beauté, puisque tu as l'air d'en vouloir de bite je vais te gaver"
     Vite j'allais à la salle de bain et me rappelant ce qu'il m'avait dit le matin même, je me maquillais d'une façon très soutenue (trop à mon goût) mais eu l'air de lui convenir puisqu'il souhaita que j'aille travailler ainsi désormais. Commentant de manière obscène le dessin de ma bouche, il m'ordonna de me m'agenouiller et encore un fois de le pomper. Quand il se trouva assez rigide, il me fit relever et dit :
     "Allez au lit, en levrette au bord du lit"
     J'étais ravie, je désirai ardemment, depuis l'autre jour ou mon plaisir avait été si grand qu'il recommence dans cette position. Ce fut d'un seul coup et presque brutalement que je fus enfilée, pour mon plus grand plaisir, il se déchaîna véritablement, son sexe butant au fond de moi. Prise dans cet engrenage sensuel j'y répondis de mon mieux, m'offrant gémissant comme une femelle en chaleur (qu'étais-je d'autre..) L’encourageant à "y aller plus fort, plus loin" -quelle honte- ce qu'il fit de telle manière que je criais en éprouvant un orgasme surprenant d'intensité et un second immédiatement après lorsque sa queue gonfla et qu'un flot de sperme fusa en moi.
     Quand nous eûmes reprit nos esprit, il m'enlaça, et me demanda :
     "Tu aimes nos lundi Florence?"
     "Oh oui !"
     "Tu voudras qu'il y en ait d'autre"
     "Oui, si tu me trouve à la hauteur…, tu te rends compte à mon age… "
     "Ne soit pas inquiète de la hauteur, avec moi tu va atteindre des sommets et puis, il n'y a pas d'age pour devenir une vraie cochonne…tu verras, il y aura les lundis et puis d'autres occasions"
     Puis craignant un peu le retour de mon mari qui me trouva de fort bonne humeur ce soir là, il quitta…
     A suivre…Si la suite vous intéresse…

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