TITRE : Drôle de rencontre
Catégorie : 
Histoire avec un e inconnu e

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Juin 1994, je suis sur l’autoroute A6 en direction de la capitale. Il est bientôt deux heures du matin, donc déjà samedi, et la fatigue se fait sentir. Je rentre chez moi, après une semaine de visite en clientèle sur la côte d’azur . Des commerçants en matériel nautique et accastillage. La semaine a été correcte, et même si elle s’est terminée tard, je ne le regrette pas. Mon dernier café date d’ il y a 300 km environ, avant Vienne. Je crois qu’il ne faut plus lutter contre le sommeil. Dodo deux heures et tout ira bien. Un grand panneau annonce le prochain parking à 5 km. C’est tout bon aurait dit Killy. Il n’y a pas foule à cette heure ci. Le parking est vide. Même pas un camion. Il faut dire que je ne suis pas dans le sens des départs, et que les poids lourds n’ont plus le droit de circuler depuis déjà trois heures. En fait je n’ai pas très bien regardé, au fond du parking, il y a une autre voiture. A environ 50 m de la mienne, juste à coté du bâtiment des sanitaires.
     Je sors de ma voiture, fais quelques pas pour me dégourdir les jambes et me dirige vers les toilettes. Un petit pipi et un peu d’eau sur la figure et je serai prêt à dormir. En passant, je jette un coup d’œil distrait à l’autre voiture, et entre dans le bâtiment. Ce n’est qu’après que je réalise ce que je viens de voir. Il y a un couple à bord, et la femme est en train de faire une fellation à l’homme. Je ne suis pas sur d’avoir bien vu, aussi je reviens discrètement sur mes pas et abrité dans l’ombre du mur, regarde à nouveau. A travers le pare-brise, je ne vois pas grand chose si ce n’est une tête aux cheveux clairs qui bouge à la hauteur du volant. A voir le mouvement, je ne pense pas avoir fait une grosse erreur d’appréciation. Je décide d’aller d’abord pisser un coup, et je verrai bien ce qui se passera en sortant.
     Je ne me cache pas et ressort du bâtiment comme si de rien n’était. En repassant à coté de la voiture, mon coup d’œil se fait plus insistant. Les occupants se sont mis à l’aise. Lui n’avait qu’un short et un slip maintenant sur ses genoux, et un tee-shirt remonté haut sur son ventre. Il a l’air grand et assez mince, est très brun et doit avoir dans les quarante ans. Elle a un chemisier et une jupe courte, genre tennis. Ses cheveux sont roux clairs, et le peu que je vois de son visage m’a l’air assez jeune. Les fenêtres de la voiture sont ouvertes et j’entends très bien la respiration de l’homme, et les petits bruits mouillés qui accompagnent l’activité de sa compagne.
     - Il nous regarde, dit l’homme, continue.
     - Il est loin?
     - Juste à coté.
     - Il est bien?
     - Pas mal, notre âge et tout gris. Regarde le, tu décideras de ce qu’on fait.
     En entendant cela, je me suis approché un peu plus, histoire qu’elle me voit mieux. Je découvre son visage entier. Pas mal, elle me sourit en remontant ses cheveux.
     - Intéressé par la scène? Me demande t elle.
     - Très, si vous acceptez les spectateurs, je prends mon billet.
     - Soit mais à une condition: c’est moi qui décide de tout ce qui se passe. Vous pouvez proposer ce que vous voulez, vous devrez faire ce que je vous dirai. Ça vous va?
     - O.K. pour moi.
     - J’ai votre parole? Si je dis non, c’est non?
     - Promis.
     - Parfait, que souhaitez vous?
     - Continuez comme si je n’étais pas là, je vous dirai au fur et à mesure.
     Elle est à genoux, fesses sur les talons, sur le siège passager, face à moi. Depuis qu’elle s’est redressée pour me parler, j’ai pu constater que son chemisier était complètement ouvert sur une très orgueilleuse poitrine. Ses deux seins laiteux et bien faits sont lourds, avec des bouts longs et dressés. Sa jupe est bien une jupe de tennis, forme portefeuille, les deux pans écartés sur ses cuisses, et il est probable qu’elle aurait un franc succès à jouer dans cette tenue là sur un court. L’absence de culotte pour cacher sa foufoune lui vaudrait sûrement bien des applaudissements. Cela me permet en tout cas de constater que c’est bien une vraie rousse, même si le minou en question est très dégarni. Pour tout dire elle est rasée et n’a gardé qu’un mince pinceau de poils dans le prolongement de sa fente. Son compagnon a glissé une main sous ses fesses et je devine quelques doigts qui s’activent dans l’ombre.
     - Tu sais chérie, nous devrions sortir de la voiture, ce serait plus confortable pour toi et plus convivial pour notre invité.
     - Et on va sous les arbres vers les tables?
     - Si tu veux.
     Nous profitons de ce que nous sommes tous les trois debout pour faire quelques rapides présentations.
     - Voici Dominique, et moi c’est Jacques.
     - Nicolas, seul, hélas !!
     Il remet un peu d’ordre dans sa tenue, c’est à dire qu’il finit d’enlever short et slip qui l’auraient gênés pour marcher, puis les gardant à la main, se dirige vers le coffre de la voiture d’où il sort une couverture. Nous le suivons elle et moi en direction du bosquet d’arbres. Arrivé près d’une table, il étale dessus sa couverture.
     - Que dirais tu si je te léchais un peu la chatte, demanda t il à Dominique?
     - Ma foi, bonne idée, cela permettra à notre ami d’en savoir un peu plus sur moi. Tout en disant cela elle s’allonge sur la table, les pieds sur le bord, genoux écartés, offrant aux rayons de la lune, et à mes regards, son sexe grand ouvert.
     Je me place à coté d’elle, et regarde à la fois ce qui se passe au niveau de son ventre, et les caresses qu’elle se prodigue sur les seins. Jacques s’acquitte consciencieusement de sa tache et le bout de sa langue semble un papillon qui butine une fleur. Cela me permet de bien voir. Elle a un sexe charnu, ses petites lèvres dépassent largement de la fente et le long capuchon laisse deviner un clitoris épais et long lui aussi. Du reste, l’homme le suce comme elle le faisait à sa verge quelques minutes auparavant.
     - Nicolas, tu bandes? Me demande Dominique. Elle a le souffle court, la voix rauque.
     - Ça t’étonne ?
     - Non, mais tu devrais me faire voir ça.
     Je me souviens de ce qu’elle disait tout à l’heure et prends son désir pour un ordre. Je sors donc de mon pantalon mon sexe érigé.
     - Pas mal, dit elle d’un air gourmand. Regarde amour, le monsieur il en a une aussi grosse que la tienne. Mettez vous cote à cote tous les deux que je vois cela de plus près.
     Jacques quitte son poste et se relève, ce qui se dresse au bas de son ventre n’a rien à envier à ce qui orne le mien. Et vice versa.
     Dominique s’est assis sur le bord de la table, pieds sur le banc et nous fait venir face à elle.
     - On dirait de vraies jumelles.
     Elle dégrafe mon pantalon, et le fait glisser accompagné de mon slip sur mes genoux. Ceci fait elle nous prends chacun dans une main, et se met à comparer les « mérites » de son compagnon et les miens. Ne pouvant nous départager ni au poids ni aux dimensions, elle décide de changer d’échelle de mesure.
     - je vais goûter pour déterminer celui de vous deux qui a le meilleur goût. Vous ne vous ressemblerez pas jusque là quand même. Je vais commencer par Nicolas, je connais déjà le goût de Jacques .
     Elle m’attire vers elle et m’administre un traitement que je suis prêt à subir à nouveau dès qu’elle le souhaitera. Des pipes on m’en a déjà fait un certain nombre, mais celle là est un morceau d’anthologie. Sa bouche est chaude et humide. Rien que de très normal me direz vous ! mais elle donne l’impression d’être tapissée d’un velours d’une qualité.... ses lèvres s’ouvrent et me laissent passer sans un effort. Pourtant je ne suis pas ce qu’on appelle un petit calibre! Je me sens aspiré, pompé, sucé comme je l’ai rarement été, en tout cas pas les trois à la fois. Cela dure quelques dizaine de secondes. Puis elle s’arrête, se redresse, me reprends dans sa main et dit:
     - le goût est à la hauteur du reste. Plus salé que Jacques, la consistance est au moins aussi agréable, nous verrons la tenue en bouche. Jacques approches toi un peu.
     Pendant qu’elle me suçait, Jacques se branlait tranquillement. Je voyais sa main aller et venir le long de son sexe, le mouvement décalottant le gland régulièrement.
     - Je te sucerai bien moi aussi pendant que tu le fais à Jacques, lui dis-je. Qu’en penses tu?
     Dominique interrompt son exercice.
     - Si tu veux, je m’installe. Venez mes hommes!
     Allongée sur le dos, la tête au bord de la table sur un petit coté, le ventre offert a ma bouche coté banc, elle tire Jacques par son sexe et l’engloutit comme si elle avait une faim incontrôlable.
     Devant moi sa motte soigneusement épilée luit doucement sous la lune, je vois sa fente complètement inondée et d’ou coule une liqueur limpide. Je goutte du bout de la langue. A ce contact elle frémit. Je recommence pour voir si je ne me suis pas fait d’illusions. Non c’est bien ça. Des que je la touche, c’est comme si elle prenait une secousse électrique. Ça promet!!
     Je pose mes mains sur ses cuisses pour les écarter au maximum et pose mes lèvres sur son sexe. Son pubis semble tout à coup comme doté d’une vie propre. Un vrai rodéo et pour pouvoir conserver mes lèvres sur celles de sa foufoune, je dois batailler sec. Foin des bordures et préliminaires, cette femelle là, il ne faut pas lui en promettre. Ma langue se démène tant qu’elle peux, mes doigts aussi. Elle me reçois avec bonheur, et bien qu’ayant la bouche pleine du membre de son homme, elle arrive encore à gémir et crier.
     Jacques aussi, manifeste bruyamment le plaisir qu’il ressent. A l’entendre encourager Dominique, il est probable qu’il ne va pas tarder à prendre son pied.
     Coté minou, les choses s’accélèrent également. Elle coule de plus en plus fort, et cette liqueur est douce et sucrée. Un régal dont je ne me prive pas. Mon visage est trempé, son entre jambes aussi, ses fesses ruissellent de ce que je n’ai pas bu. Je tente une approche de son petit trou avec le majeur de ma main droite. L’œillet palpite doucement. Je n’ai aucun mal à pousser mon avantage plus loin. Mon doigt disparaît entièrement dans son cul étroit mais souple. Un second ne tarde pas à l’y rejoindre. J’ai de plus en plus de mal à garder le contact avec sa fente. Elle est agitée de frissons violents et je sens aux contractions de son cul que son plaisir n’est pas loin.
     Ils le prennent ensemble. Elle me serre la tête entre ses cuisses. Et elle ne fait pas semblant!! Lui dégorge son foutre à gros bouillons au fond de sa gorge, elle m’inonde d’un seul coup, comme si elle me pissait dessus. Je me demande du reste s’il n’y a pas un peu de ça!! Et ça dure, on dirait que ni l’un ni l’autre ne s’arrêtera. Elle ronronne comme une chatte en chaleur, mais plus fort. Et elle a la bouche pleine! Lui crie à la lune la jouissance qu’il vient de prendre. Puis petit à petit tout se calme. Je sens ses muscles se détendre, mes doigts quittent petit à petit, lentement , comme à regret, le fourreau qu’ils avaient pris d’assaut. Je me redresse et la regarde. Elle se lèche les lèvres comme une petite fille qui viendrai de manger une cuillère de crème et ne voudrai pas en perdre la moindre miette. Elle tiens toujours Jacques, un peu moins raide, dans la main.
     - Merci mes hommes! Quel jouissance!
     - A votre service Madame, répondons nous en cœur, sans même nous être concertés.
     -Et Nicolas , tu ne peux pas le laisser comme cela!
     - Il est vrai que j’aurai du mal à me glisser sous mon volant dans l’état où je suis. Mais ça va s’arranger, n’est ce pas Dominique?
     Elle ne réponds même pas, mais me prends en main et en bouche immédiatement. Une main sur ma queue, l’autre sur son clito, elle se caresse avec une certaine violence. Le traitement qu’elle m’inflige est à l’unisson et vient très rapidement à bout de ma résistance. Je me déverse dans sa bouche à longs traits crémeux et en prenant à cette situation un plaisir fou. A hurler. Ce que je fais sans aucune retenue. D’autant moins qu’elle aussi jouit à nouveau, moins fort certes, mais quand même, quelle santé!

     Pendant ce temps Jacques est allé jusqu’à la voiture et d’une glacière que j ’avais vue dans le coffre, il a tiré une bouteille de champagne. C’est assez surréaliste de nous voir tous les trois sur ce parking d’autoroute à moitié, voire pour Dominique entièrement, nus en train de boire du champagne sous la lune.
     Dominique s’est assise sur la table et en tailleur. Elle expose sans aucune pudeur son sexe à nos regards. Cela me redonne un peu de vigueur très rapidement. Plus vite qu’a son compagnon. Mais qu’avaient ils donc fait avant mon arrivée?
     - Dis donc Nicolas, j’ai l’impression que je te fais de l’effet me dit elle entre deux gorgées de champagne.
     - Gagné. J’aurai du mal à le cacher.
     - C’est de ma faute, mais ça ne me déplais pas. De te voir comme ça, ça me donne des idées.
     - Mon dieu, dit Jacques, attends toi au pire!
     - Un pire qui va te faire bander mon garçon! Je veux que vous me preniez en sandwich! Maintenant.
     Et c’est comme ça qu’à trois heures du matin bien sonnées, je me suis retrouvé enculant une superbe femelle sur un parking de la A6, pendant que son mari la baisait d’une manière plus traditionnelle. C’est elle qui a joui le plus vite.
     - Deux queues dans le ventre qui vous ramonent, ça donne des ailes, on gagne du temps, nous a t elle dit une fois qu’elle a eu repris ses esprits.
     Pour ceux a qui cela n’est jamais arrivé, imaginez ce que peut procurer comme sensations une telle situation. D’abord vous partagez la dame avec un autre. Ce n’est pas si courant que ça. Ensuite elle vous a proposé son cul, ce qui n’est pas non plus très fréquent. Enfin vous sentez à travers ses muqueuses la queue de son mari qui la ramone en même temps que vous. Même si vous n’êtes pas homo, cela vous échauffe quelque peu.
     Elle a re-joui en même temps que nous deux, lui un peu avant moi. J’ai senti les derniers spasmes de son sexe qui se déversait dans le sexe de Dominique au moment où je déchargeais dans son cul. Super sensation.
     L’un comme l’autre nous avons été longs à débander, nous sommes restés en elle le plus longtemps possible. Elle se laissait caresser, embrasser. Nous lui avons prodigué moultes marques de tendresse, puis l’avons regardé partir nue en direction des sanitaires. Nous l’y avons rejoint pour une rapide toilette, et nous nous sommes quittés, épuisés mais pas mécontents de notre nuit.
     Je ne connais d’eux que leurs prénoms. Ils ne connaissent de moi que le mien. S’ils se reconnaissent qu’ils m’écrivent. Notre rencontre restera une magnifique expérience, un souvenir merveilleux.

     Si un couple veux la retenter avec moi, je suis partant!!

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