Comment suis-je tombée dans ce monde complètement
axé sur le sexe où plaisir et vice se côtoie étroitement
? Comment la femme à la sexualité éteinte que j'étais, il
y a encore quelques temps avait-elle pu laisser la place
à celle que j'étais devenue, je me le demande encore…
Mais permettez-moi de me
présenter Florence, 42 ans, mère de deux enfants, devenu
grands et ne faisant plus que bref passages, mariée à un
homme charmant avec qui je coulais des jours heureux et
paisibles, pleins de complicité et d'affection, mais ou
la passion des débuts de notre mariage avait fait place
à une tendresse infinie. Autant dire que nos rapports avaient
bizarrement pratiquement disparus sans que nos sentiments
aient changé et que je me surprenais à m'astreindre à rejeter
systématiquement tout ce qui touchait de près ou de loin
à l'attirance sexuelle et ses plaisirs. Je travaillais dans
une petite agence bancaire située dans un centre commercial.
Sur le plan physique, je suis une brune aux yeux noir, d'un
mètre soixante neuf, pas trop mal, ceci dit sans aucune
vanité, même si à l'époque, je ne faisais rien pour me mettre
en valeur, plus de maquillage, plus de coiffeur, j'essayais
même de cacher ma poitrine (un 95C mythique) sous des vêtements
passe-partout. Bref je coulais des jours heureux, tranquilles,
sans surprise même si maintenant, et sans les renier, je
trouve que cette vie était bien terne et monotone.
Tout a commencé au départ
pour promotion de mon chef d'agence. Celui qui le remplaça
était assez jeune, la trentaine, célibataire, plutôt pas
mal de sa personne et je le cataloguais immédiatement comme
étant du genre séducteur. Je ne fus pas la seule, car Stéphanie,
une collègue, belle métisse antillaise dont je jugeais sévèrement
la tenue (jupe courte, voire même très courte, chemisier
ouvert, trop ouvert, débardeurs etc.…) déploya une belle
énergie pour attirer la nouveau venu dans ses rets, apparemment
en pure perte…Notre apparence était, même si nous nous entendions
très bien, à l'opposé, comme le feu et la glace. Elle bien
entendu, était le feu tous charmes déployés et moi la glace,
très prude dans les propos et la tenue. Elle plaisantait
souvent, me disant que si je n'étais pas mariée, j'aurais
fini dans un couvent, que j'étais sexy comme un fer à repasser,
etc….La seule chose qu'elle m'enviait était justement ce
que je cachais : mon tour de poitrine. Elle soupirait souvent
que la vie était mal faite, et qu'avec des seins comme les
miens elle aurait fait bander tous les hommes. La jolie
Stéphanie s'interrogeait même sur les mœurs du Chef voyant
ses efforts non payés de retour. Marc, puis qu'il se prénommait
ainsi, s'avéra un bon chef d'agence, compétent dynamique
avec des initiatives intéressantes, comme celle de suivre
commercialement quelques dossiers clients afin de ne pas
nous cantonner dans un rôle strict au guichet de la banque
ou avec Stéphanie et Michèle (une autre collègue à la vie
en perpétuelle agitation du fait de ses cinq enfants - des
jumeaux et ensuite des triplés). Un beau jour, ou, justement
je n'étais pas au guichet, Marc me demanda :
"Florence, vous pouvez
venir que nous étudions le dossier Legrand"
Courtoisement, il me fit
prendre place à une table de travail et vint s'asseoir à
mes cotés et nous commençâmes à compulser les éléments du
dossier. Au bout d'un moment, et je m'en souviens comme
si cela venait de se passer il y a quelques minutes, M.
H m'ordonna:
"Florence, ôtez vos
lunettes"
Je portais effectivement
des lunettes, non pas que j'en eu vraiment besoin, elles
étaient surtout faites pour la conduite, mais j'avais pris
l'habitude de les garder, sans doute pour éviter d'avoir
à me maquiller les yeux et puis, cela complétait mon "look"
d'institutrice comme me le faisait remarquer Stéphanie.
Je sursautais et prise de
cours, j'obtempérais.
"C'est bien ce que je
pensais, vous avez de beaux yeux" reprit-il en souriant
avant d'ajouter
"Ouvrez votre chemisier"
Je le regardais, stupéfaite…sans
voix…
"Vous ne m'avez pas
comprise, ouvrez votre chemisier, allez, hâtez-vous !"
Quelle raison m'ont fait,
ce jour-là accepter d'obéir à cette demande étrange, j'avoue
que je n'en sait rien, mais toujours est-il que, les yeux
baissés je déboutonnais mon chemisier.
"Bien…, maintenant ôtez
le, ainsi que votre soutien gorge"
Là encore, comme un automate,
je retirais mon chemisier et devant mon hésitation, il somma
de plus belle :
"Le soutien gorge !
allez pressez-vous, vous avez peur que tout cela s'écroule"
Totalement subjuguée, je
passais mes mains dans mon dos pour dégrafer le sous-vêtement
et vite je croisais les bras dans un réflexe de pudeur.
Depuis mon mariage, et à part le médecin, personne n'avait
vu ma poitrine nue…
Il se leva, alla verrouiller
la porte de son bureau, et sans un mot, il me prit par le
bras, me fit lever, décroisa mes bras, me dirigea vers un
de ses fauteuils, m'y fit asseoir et, me faisant face, ouvrit
tranquillement sa braguette, sorti son sexe. Il s'agenouilla
sur le fauteuil, de part et d'autre de mes cuisses et plaça
son membre entre mes seins. Puis les saisissant à pleines
mains il les utilisa, fort bien d'ailleurs, pour se masturber.
J'aurais du me rebeller, le
faire cesser… mais non, rien…je sentais sa verge grossir,
mes seins durcir, il y avait bien longtemps qu'ils n'avaient
pas été autant sollicités et s'en était presque douloureux,
enfin presque ! et aussi…très agréable. Malgré moi et commune
une sensation oubliée, je sentis une stimulation que je
n'avais pas ressentie depuis des années. Brusquement, il
délaissa ma poitrine, me pris par la nuque d'une main et
de l'autre présenta sa verge à mes lèvres en disant simplement
"Suce"
Toujours aussi inerte, je
laissais son sexe envahir ma bouche et après deux ou trois
allées et retour il éjacula. Comme il me maintenait toujours,
je n'eus pas d'alternative, j'avalais …pour la première
fois de ma vie…J'avais toujours refusé cela à mon mari et
autrefois lorsque je lui pratiquais une fellation, j'avais
soin de le faire exploser en dehors de ma bouche ou si je
lui offrais ce réceptacle, de recracher cette substance
aussi après. Mais là…non…morte de honte j'ingurgitais ce
qu'il m'imposait. Il me libéra la bouche, se ré-ajusta,
en disant.
"Je vous remercie c'était
très bien"
Le plus rapidement possible
je me rhabillais et confuse je quittais presque en courant
le bureau pour aller m'enfermer dans les toilettes pour
y reprendre mes esprits. Le soir en regagnant le domicile,
je fulminais, Ah l'immonde personnage…, l'obsédé…j'allais
immédiatement en parler à mon mari…il lui casserait la figure…j'allais
écrire au PDG…il serait viré, condamné pour harcèlement.
Il allait voir… Il allait…j'allais…j'allais rien du tout…et
s'il voulait recommencer…Les jours passèrent et inconsciemment
(pas qu'inconsciemment d'ailleurs) je souhaitais être à
nouveau être convoquée. Mais non, rien ne se passait, bien
qu'il m'avait semblé qu'il me regardait parfois à la dérobée,
mais je me faisais sûrement des idées. Un après-midi alors
que j'étais au guichet de la banque, il me dit
"Florence, pourriez
me faire cette lettre à la fermeture, j'irais ensuite la
poster, je désirerais que cela soit envoyé aujourd'hui"
C'est vrai que ce jour là,
Stéphanie étant absente, j'étais la seule pour faire fonction
de secrétaire ou en tout cas la plus performante sur ordinateur.
A l'heure requise, je fermais donc l'accès aux clients et
m'installais pour taper cette courte lettre et l'imprimer.
Ce fut vite fait et je frappais à la porte de mon chef pour
lui faire signer. Il était assis à son bureau un peu sur
le coté et tendis la main vers moi pour que je lui donne
la lettre. Je contournais donc le bureau pour me trouver
en face…De mon patron, pantalon ouvert, le sexe tendu vers
moi et qui ordonna
"Florence, pendant que
je relis cette lettre, sucez-moi"
Interdite et sans réaction,
sans doute rougissante je lui tendis la lettre et…m'agenouillais
entre ses jambes. Timidement je saisis sa verge d'une main
et commençais à la presser. D'une légère, oh très légère…,pression
de sa main sur ma tête, il m'encouragea à lui prodiguer
la caresse buccale qu'il souhaitait. J'arrondis donc mes
lèvres et l'embouchais. Toujours en le caressant, je le
faisant aller et venir dans ma bouche. Surprise, la première
fois, je n'avais pas fait attention, mais là, bien qu'en
ayant un morceau dans la bouche, j'avais encore de quoi
caresser. En fait, il avait une verge, plus imposante que
celle de mon mari, plus longue et plus grosse aussi…Cette
pensée commença à m'embraser le ventre et je m'appliquais
à ma tâche. Comme pour me prévenir de ce qui allait survenir,
il me posa simplement la main sur la tête. Je compris…Et
il n'eut pas, cette fois, besoin de me maintenir la tête,
il jouit par long jet que je déglutis docilement. Quand
j'eus avalé la dernière goutte, je me relevai. Il commenta
:
"Vous ne sucez pas mal
du tout, vous serez bientôt parfaite, je vous remercie à
demain".
Comme j'allais franchir la
porte de son bureau il me lança :
"Florence ! la prochaine
fois, je vous prendrai…"
Éberluée, ébahie que venait-il
de se passer, qu'avait-il dit … Je n'était pas sûre d'avoir
bien compris…Je partis comme un robot, mais un robot dont
la culotte aurait été mouillée par l'excitation… quelle
honte ! Très émoustillée, ce soir là je tentais des approches
auprès de mon mari. Hélas pour moi ce soir là le Real de
Madrid rencontrait je nais pas qui pour je ne sais pas quelle
coupe si bien que je me retrouvais seule au lit et pour
la première fois depuis des lustres, je me caressais jusqu'à
l'orgasme en pensant à ce gros membre qui avait-il promis
allait de nouveau prendre le chemin de mes lèvres et aussi
celui de mon ventre. J'en ai rêvé cette nuit là…Le lendemain,
dégrisée, je me ressaisis, j'allais aller voir mon chef
et lui expliquer que j'aimais mon mari, que j'avais été
deux fois surprises, mais que j'étais une femme honnête,
fidèle à son conjoint et que j'étais décidée à …à… à accepter
tout ce qu'il avait promis. Il mit au point un nouveau système
de fermeture de l'agence. Michèle, Stéphanie et moi n'aurions
plus de semaine de fermeture, mais nous le ferions journellement
un jour sur trois, Frédéric le commercial étant dispensé
de ce travail Marc H. se réservant la mise en route de l'alarme
une fois tout le monde parti. Je pensais, alors, avec confusion,
que j'allais être seule avec lui tous les trois jours…Je
fus vite déçue, pendant plusieurs semaine il ne se passa
rien, je commençais à le déplorer ainsi qu'à espérer tous
les jours. Un samedi, alors que j'avais fermé les portes,
éteint l'éclairage de l'accueil et du guichet j'allais me
diriger vers les bureaux…je sursautais…Il était derrière
moi. Sans que j'ai pu faire un geste (l'aurais-je voulu)
il m'enlaça, sa bouche se posa sur la mienne, sa langue
força le barrage de mes lèvres, pour s'enrouler autour de
la mienne. Fiévreusement, je lui rendis son baiser. Il m'entraîna
vers mon propre bureau, m'y appuya, m'embrassa de nouveau,
ses mains caressaient ma taille, se baissant, il saisit
l'ourlet ma jupe et commença à la relever. Il laissa échapper
:
"Ha! J'aurais du m'en
douter, tu portes ces saloperies de collant"
Puis me poussa, m'obligeant
à m'allonger le dos sur mon bureau, me releva les jambes,
d'une main experte il saisit mon collant et mon slip qui
finirent sur la moquette. Il m'écarta ensuite les jambes,
sorti son sexe qu'il frotta le long de ma fente qui se trempait
de plus en plus. Et avec infiniment de douceur me pénétra.
Je sentis sa verge brûlante se frayer un passage dans mon
vagin qui n'avait pas été visité depuis si longtemps et
jamais par un sexe de cette dimension. J'avais honte, je
me laissais sauter comme la première secrétaire venue…mais
qu'est ce que j'étais bien…Il me dit
"On sent qu'il y a longtemps
que tu n'as pas fait l'amour, toi, quel gâchis ! je vais
remédier à cela…"
Il me pénétra à fond avec
douceur, m'envahissant complètement, puis il se mit lentement
à aller et venir. Ses mains relevèrent mon pull et il me
caressa les seins, que c'était bon.
"Ouvres les yeux que
je vois que tu aimes cela" ordonna-t-il.
J'obéis, le pencha sur moi
pour m'embrasser. Sa langue envahissait ma bouche, ses mains
me parcouraient, son sexe m'envahissait aussi, je m'offrais…
Ses va et viens augmentèrent d'intensité et je sentis que
j'allais jouir…Mon Dieu, moi, la femme sage depuis des années,
jouir sur le coin d'un bureau… Je tentais de résister à
cet orgasme et , comme s'il lisait en moi, il me dit :
"Laisses-toi aller,
ça va être bon"
Et il se mit à me pilonner
de plus belle, et là …je me rendis, je me laissais aller
en une jouissance muette pendant que lui, sous le coup de
contractions de mon vagin pris son plaisir sans retenue,
m'inondant véritablement.
Galamment il m'aida à me relever
et me demanda :
"Tu es toujours aussi
peu démonstrative ?" et sans me laisser le temps de
répondre, il ajouta :
"Je vais te prendre en
main, tu es faite pour l'amour…Dis-moi tu as aimé au moins"
Je ne comprenais plus rien
du tout - comment ça faite pour l'amour ? Comment ça me
prendre en mains ? Toujours est-il que je m'entendis répondre,
que oui, j'avais beaucoup aimé. Après m'être rajustée nous
nous séparâmes non sans nous être longuement embrassés.
En rentrant à la maison, j'avais honte comme jamais je n'avais
eu honte, j'avais trompé mon mari et le pire c'est que j'avais
aimé cela…Il fallait que je me ressaisisse. Le lendemain,
le dimanche s'écoula lentement, je n'arrivais pas à me décider,
rompre, recommencer, recommencer, rompre tout cela se mélangeait
dans ma tête et aussi m'échauffais les sens, éperdue, je
faillis même tout avouer à Philippe mon mari, mais je me
retins. Je passais une mauvaise nuit demain, il faudrait
que je tranche. Ce lundi, jour de fermeture de l'agence,
mon mari parti travailler et je me mis en devoir de faire
un grand ménage. Cela allait m'occuper l'esprit, en chemise
de nuit je m'attelais à cette tâche. La sonnette retentit.
J'ouvrais. La foudre tombant à mes pieds ne m'aurais pas
fait plus d'effet, je demeurais immobile, muette tétanisée
IL était là devant moi. Il entra referma la porte derrière
lui et …me pris dans ses bras . Sa bouche s'écrasa sur la
mienne, je lui offrais mes lèvres, ma langue, je lui rendis
farouchement son baiser. Ma chemise de nuit s'envola, j'étais
nue contre mon amant. Il me dit
"J'ai pensé à toi tout
le dimanche, tu sens ?
Oh oui ! je sentais cette
bosse contre mon ventre Oh oui je savais qu'il allait me
faire l'amour et que je n'attendais que cela…être à nouveau
possédée par ce sexe imposant. Il s'écarta et me tendit
un sac qu'il avait amené avec lui.
"Enfiles cela"
me dit-il
Interrogative, je pris sac,
l'ouvrais, il contenait une paire de bas noir et un porte-jarretelles
de même couleur. J'étais outrée me harnacher pour faire
l'amour, lui aussi était friand de genre de chose…En fait,
je fut outrée une fraction de seconde, la suivante je ceignis
le porte-jarretelles et laissait Marc, confortablement assis
dans un fauteuil, assister à mon humiliant habillage. Lorsque
les nylons furent tendus il ordonna :
"Va t'arranger en peu
et chausses-toi"
Incapable d'avoir une réaction,
j'obéis sans savoir pourquoi. Un petit trait de crayon,
un peu de brillant à lèvre, (je n'avais plus rien d'autre
pour me maquiller) je mis ma paire de chaussure la plus
haute qui devait bien culminer à deux centimètres…et rejoignis
Marc. Toujours assis dans le fauteuil, il me considéra et
dit :
"Je souhaite que tu
portes des talons aiguilles, j'adore cela, en attendant
viens me sucer"
Des talons aiguilles ! et
puis quoi encore ! Oui promis juré, demain j'en achèterais…et
les plus haut que je pourrais trouver. Je me laissais couler
entre ses jambes ouvrit le pantalon, lui ôtais ainsi que
son slip qui contenait difficilement son érection et embouchais
le pénis tant désiré. Je le fit coulisser entre mes lèvres,
le léchais, m'appliquant du mieux que je pouvais. Au bout
de quelque instant, il demanda :
"Arrête un peu, ou est
la chambre que je te fasse l'amour"
Je le pris par la main et
le guidais vers la chambre. Il m'enlaça en demandant :
"Tu veux ?"
"Oui" répondis-je
dans un souffle.
Le reste se passa vite et
je me retrouvais sur le dos, Marc ma pénétra et s'allongea
sur moi…Que c'était bon de se sentir ainsi écrasée sous
son amant. Son sexe m'envahit de toute sa longueur, quelle
sensation ! Très lentement, il se mit en mouvement avec
beaucoup de délicatesse mais en même temps très virilement…j'adorais
! Je sentais mon vagin littéralement fondre, mon ventre
me brûlait, une boule s'y format, enfla, enfla, c'est y
était, j'allais jouir, je me contractais, et tremblant de
partout j'eu un premier orgasme. Restant en moi, il me laissa
reprendre mes esprits, puis recommença ses va et viens en
disant :
"Remontes tes jambes
sur mes épaules, je pourrais te prendre plus profondément
et cette fois ci je veux t'entendre jouir, compris…"
J'acquiesçais en m'offrant
de mon mieux à ce membre qui effectivement me pourfendait
en vérité, si gros, si long, si loin, je commençais même
à laisser échapper quelques gémissements qui eurent l'air
de le ravir. Lorsqu'il sentit qu'il allait à nouveau me
faire atteindre le plaisir, il dit :
"Je sens que tu vas
jouir, dis-moi que tu jouis…"
"Oh oui, je vais jouir"
murmurai-je
"Plus fort "
"Je jouis…"
"Encore plus fort ! c'est
bon ?
"Oh oui c'est bon…je
jouiiis " m'écriai-je en rallant
"Moi aussi, tiens prends…"
Et je sentis son pénis gonfler
et exploser et se déverser en moi, que c'était bon…Il se
retira et nous prîmes un temps pour récupérer, ce qu'il
fit en me complimentant de mon laisser aller à exprimer
ma jouissance. Ce laps de temps fut en fait très court,
car bientôt, il me prit à nouveau dans ses bras, m'embrassa
longuement. Sans retenue je lui offris ma bouche et ma langue,
ses mains me parcoururent enfin. Il s'attarda longuement
sur mes seins, les léchant, les soupesant, en faisant rouler
les extrémités, les suçant, puis il me caressa les flancs,
la taille, dos mais aussi les fesses et les cuisses. Mon
corps répondait à ces caresses, je recommençais à mouiller
et un peu timidement je le caressais également. Son sexe
se redressa et il me demanda de le prendre dans ma bouche.
Vu ou il avait été auparavant, j'hésitais, il devait être
imprégné de sa semence mais également de mes propres sécrétions.
Devant mon hésitation, il devint plus directif :
"Allez ne me fait pas
attendre, tu vas voir, elle a du goût maintenant, c'est
comme quand tu te masturbe et que tu te lèches les doigts
après."
Eperdue, je n'osais lui dire
que jamais je ne m'étais léché les doigts après m'être caressée,
il faudrait peut être que j'essaie. Pour ne rien avoir à
répondre, je fis ce qu'il me demandait et j'embouchais son
membre tendu. Je pris bien mon temps pour lui donner le
maximum de plaisir, le faisant coulisser entre mes joues
serrées, l'embrassant sur toute la longueur, léchant avec
délice son gland pendant que je pressais ses testicules,
qu'est ce qu'il m'emplissait bien la bouche…Il m'annonça
qu'il voulait me rendre la pareille. Il me fit placer à
quatre pattes, tête-bêche au dessus de lui en position de
69. Ce fut réellement divin, c'était la première fois que
sa bouche se posait sur mon sexe et que sa langue pénétrait
mon intimité - Divin ! Tellement divin que sous la conjugaison
de ses lèvres qui aspiraient mon petit bouton et de ses
doigts j'eus droit encore une fois à un bel orgasme. Mon
amant,' car c'était bien de cela qu'il s'agissait, me repoussa,
me fit mettre sur le dos et me pénétra d'une seule poussée
que j'accueillis avec un petit cri. Il se mit à me pistonner
d'une façon que je qualifierai de sauvage et je passais
mes jambes autour de ses reins pour mieux m'offrir.
"Tu aimes quand je te
baise ?" demanda-t-il
"Oh oui !"
"Dis que tu aimes !"
"J'aime quand tu me fais
l'amour Marc !"
"Dis que tu aimes quand
je te baise"
"J'aime que tu me baises
!" Laissais-je échapper avec honte car employer des
termes un peu crus ne faisait pas partie, non plus de mes
habitudes. Mais là, je me sentais prête à tout, même dire
des insanités dans le lit conjugal avec un amant qui me…qui
me…qui me baisait …et bien de surcroît. Si bien que je me
laissais aller à annoncer ma jouissance.
"Oh je vais jouir…continue…
c'est bon… je pars oooooh!"
Il m'acheva des quelques
coups de rein puissant et je sentis sa verge grossir puis
sa semence m'inonder le vagin, il s'écrasa sur moi en disant
:
"C'était super bien,
tu vas devenir un bon coup"
Vu l'heure je lui proposais
de manger un petit quelque chose. En riant il me demanda
:
"Tu veux que je reprenne
des forces pour t'en remettre une petite dose"
Comme rougissante je ne répondais
rien, il continua en m'enlaçant :
"Tu en veux encore,
n'est ce pas ? Dis-moi que tu en as envie, cela ce voit
à la façon dont tu me regarde la queue".
Timidement j'avouais que "Oui
j'en avais encore envie" un peu estomaquée de cette
façon triviale qu'il avait de s'exprimer mais qui quelque
part me troublait un peu.
Il me demanda, par contre,
de rester dans la même tenue et c'est en porte-jarretelles
que sous ses regards appuyés que je préparais rapidement
à manger. Pendant le repas, assis à mes cotés ils ne cessa
pas de me caresser, de me complimenter sur mes seins, la
douceur de ma peau, la façon de le sucer. Il me dit ensuite
que nous allions vivre une aventure d'une sensualité exacerbée
si je le souhaitais. Que pouvais-je répondre, surtout avec
deux doigts dans le vagin à ce moment précis, à part que
c'était fou mais oui…oui…oui…Il me fit promettre de m'arranger
un peu pour aller travailler, me disant qu'il adorerait
me contempler sachant qu'après je serais à lui. Il me fit
promettre également de dire des mots crus, m'expliquant
qu'il adorait les femmes bien élevées, qui proféraient des
insanités en baisant. Pendant que je débarrassais la table,
il vint se coller derrière moi pris mes seins à pleines
mains, m'embrassa dans le cou en me disant :
"J'ai très envie de
te prendre en levrette, tu veux ?"
Oui je voulais, oui ! Il
m'entraîna à nouveau dans la chambre me fit prendre la positon
qu'il souhaitait se plaça derrière moi, frotta son sexe
contre ma vulve et mon clitoris et positionnant son gland
contre mes petite lèvre m'investit bien à fond. Quels moments
délicieux il me fit passer solidement emmanchée, il me caressait
le dos les hanches, les cuisses, l'entrejambe humm, les
fesses, les épaules, la poitrine re-humm. Pour mieux me
perforer à sa guise, il me tenait par la taille, ou s'agrippait
à mes cheveux qu'il tirait doucement en arrière pour mieux
me faire cambrer ou bien encore se me saisissait par les
seins qu'il malaxait véritablement me faisant tourner la
tête pour un farouche baiser retourné. J'étais "aux
anges" ou plutôt "au diable" mes soupirs
semblaient le déchaîner, sous ses efforts j'ahanais littéralement.
La jouissance allait me submerger, je l'encourageais, allant
au devant de ses coups de reins :
"Plus fort…plus fort…encore…"
"Comme ça, tu la sens
bien hein ! Dis-moi que tu la sens"
"Oui, je la sens, elle
me remplit, j'aime" répondis-je et brusquement je criais,
oui, je criais, moi et mes principes, moi et mon rejet de
la sexualité, je criais, je criais ma jouissance à mon amant
et cela sembla l'exciter au plus haut point. Les doigts
enfoncés dans mes hanches il éjacula bruyamment et attendis
que son membre perde de l'arrogance avant de se retirer.
Nous reprîmes nos esprits et nous nous levâmes pour aller
nous rafraîchir à la cuisine. Tout en prenant un verre,
il me passa le bras autour de la tailler et mine de rien
recommença à me caresser. Il me demanda à quelle heure revenait
mon mari. Jugeant que le temps qui nous était imparti était
suffisant il dit :
"Bien, ce sera suffisant,
tu va me faire une petite gâterie avant que je parte"
Décidément, il était infatigable.
Il m'entraîna dans le salon, s'installa confortablement
dans un fauteuil et m'apostropha :
"Allez, à genoux, suces
!"
Toujours sans savoir pourquoi
mais totalement obéissante je m'agenouillais entre ses jambes
et me mit à le sucer avec application. Sous mes caresses
et ma langue son pénis se raidit et je redoublais de sensualité
dans ma fellation. Au bout d'un moment de ce traitement
il demanda :
"Je vais te jouir dans
la bouche, tu vas tout avaler Florence ?"
"Oui, je vais tout avaler,
jusqu'à la dernière goutte" le rassurai-je, consternée
de mes propos.
L'éjaculation fut importante,
mais comme promis j'ingurgitais ce liquide chaud et épais
auquel il me semblait que je commençais à prendre goût.
Il me demanda si je suçais
mon mari. Je répondis par l'affirmative omettant de dire
que c'était qu'il y avait longtemps que cela ne m'était
pas arrivé. Il me dit qu'il fallait que je continue et que
cela me ferait un excellent entraînement pour mieux le sucer,
lui. Puis il se rhabilla et après un très long baiser, il
partit.
Aussitôt seule, je lavais
mes souillures et me couchais épuisée. C'est au lit que
mon mari me trouva - malade. Il ne fut pas étonné, me faisant
remarquer mes yeux cernés et mon front brûlant, pour lui,
je devais couver quelque chose. Plein de gentillesse et
de prévenance, comme à son habitude, il s'occupa de moi.
J'en avais les larmes aux yeux et faillit lui avouer mes
turpitudes de la journée. Le démon qui était en moi m'en
dissuada…et je sus que des après-midi comme celle que je
venais de passer…,il y en aurait d'autres…
Auteur
|