TITRE : En boîte à Barcelone
Catégorie : 
Histoire Exhibition et voyeur

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Cette histoire relate, la petite exhibe, que j’ai réalisé lors d’une soirée passée sur Barcelone avec mon mari.
     Pierre devait pour son travail séjourner quelques jours dans cette ville espagnole. Il m’avait proposé de le rejoindre pour le week-end. C’était le mois de juin, la température devenait estivale mais les touristes n’avaient pas encore complètement envahi l’Espagne.

     Le samedi, nous visitons la vieille ville le nez au vent, tout en rentrant dans diverses boutiques pour touristes gogo. La dernière mode estivale est déjà dans toutes les échoppes. Soudain Pierre me fait remarquer, un petit ensemble jupette et haut top dans les mauves. C’est la mode cette année là de la Lambada. La jupe, n’est pas aussi courte que sur les clips vidéo qui nous sont passés à la télévision, mais elle est bien d’une longueur de jupette de tennis.
     Pierre, qui me conseille de l’essayer, sous prétexte que cela m’ira bien pour aller à la plage cet été. Je passe dans la cabine d’essayage. Je passe le top, C’est un haut très court qui laisse mon ventre entièrement nu, et s’arrête juste sous mes seins. Le décolleté en haut est type débardeur et laisse voir la gorge de mes seins mais de façon raisonnable. Je passe la minijupe. Elle est courte, mais pour une jupette d’été de plage, c’est admissible. Je sors de la cabine et demande à Pierre ce qu’il en pense Pierre me demande de tourner. Je sens la jupette qui flotte un peu. Puis il me demande de lever les bras.
     C’est là que je comprends l’intérêt que porte Pierre pour ce top. Le dessous de mes seins apparaît. Il faut avouer que ma poitrine opulente, tend le tissu de coton en avant, laissant un espace de 7/8 cm entre mon torse et le tissu de cette brassière, on voit mon soutien gorge blanc en dentelle. C’est mignon !! Plutôt à mettre cet été à la plage cette tenue.

     Nous décidons donc de prendre cet ensemble. Je retourne dans la cabine et remet ma tenue de touriste , short et tee shirt . Le vendeur, qui s’est rincé les yeux me tend mon paquet et nous voilà repartis à déambuler dans les rues de la cité. La journée se termine, et avant de retourner à l’hôtel nous dînons à la terrasse de café, près des Remblas. Je suis un peu étonnée que Pierre n’ai pas inventé un scénario pour me montrer un peu. Je suis presque déçue, alors que nous sommes dans une ville étrangère où personne ne nous connaît, donc propice à quelques escapades..
     Nous entrons dans la chambre d’hôtel, et la Pierre, le sourire aux lèvres, me dit :

     - On m’a indiqué une boite sympa, dans une espèce de château. Il paraît que c’est à voir, il y à une déco moderne dans une construction médiévale. Tu ne veux pas que nous y allions pour prendre un dernier verre ?
     - Oui pourquoi pas, il n’est que minuit, mais nous ne rentrons pas trop tard, j’ai pas envie d’être trop fatiguée pour demain.
     - Juste prendre un verre, il paraît qu’il y a un point de vue superbe sur la ville du haut du donjon.
     - Ok, je me change, j’ai juste pris une petite robe classique.
     - Chérie, met plutôt ce que tu as acheté cet après midi. Cela fait déjà vacance.
     - Tu crois ? C’est peut être peu léger, comme tenue ? Pas très habillée ?
     - Non , non , ce sera parfait, au contraire, juste ce qu’il faut, tu verras
     - Si tu le dis.

     Me voilà donc à passer ce top, je ne vais pas garder mon soutien gorge, qui dépasse un peu sur les cotés, comme ma poitrine tient très bien depuis mon opération de chirurgie esthétique, j’en profite pour me débarrasser de cet accessoire superflu.
     Je passe la jupette Lambada, et une paire d’escarpins à talon haut que j’emmène toujours dans mes bagages.
     Un petit coup de maquillage avec un rouge à lèvre qui rappelle l’ensemble. Je remarque que mine de rien, Pierre me regarde du coin de l’œil avec intérêt. Juste avant de sortir de la chambre d’hôtel, il me serre dans ces bras, et me souffle à l’oreille, enlève ton string, j’ai envie que tu sois nue sous ta mini, ce soir.
     Je le regarde dans les yeux.

     - Canaille, tu crois que je peux sortir comme cela ?
     - Je t’assure, je t’ai regardé depuis un moment avec cette minijupe, on ne voit rien même quand tu bouges.
     - Ok, mais on ne reste pas longtemps dans la boite, et tu ne me fais pas danser.
     - D’accord, je serai sage. Mais cela va être dur.

     Je sens ses mains qui passent sous ma jupe et descendre mon string.
     Hummm cela me fait toujours de l’effet de savoir que je vais passer une soirée nue sous une minijupe. Pierre sait que dans ces cas là, il ne faut surtout pas qu’il me touche, sinon je me transforme en fontaine. Des picotements commencent entre mes cuisses. Nous sortons, cette jupette qui flotte, me fais vite prendre conscience que l’air passe librement sur mes fesses. Nous prenons un taxi, Pierre donne le nom de la boite au chauffeur, celui ci, nous explique que cela se trouve près du village touristique espagnole représentant les déférentes régions d’Espagne ( je donne ces explications pour les lecteurs qui connaissent Barcelone ou pour ceux qui souhaiteraient si rendre).
     Nous arrivons rapidement à ce petit château de style moyen age en grosse pierre de taille.
     Nous entrons, cela semble être une boite assez fréquentée, bien que dans l’entrée, il ne semble pas y avoir beaucoup de monde. La décoration est en effet résolument moderne avec de l’acier, et du verre partout. Y compris au sol où je vois que c’est une glace sombre. Les spots de lumière viennent du sol. Pour l’instant je ne comprends pas encore pourquoi, Pierre reste la à regarder les diverses pièces qui donnent sur cette entrée. (Je le comprendrais plus tard)

     De l’entrée, on voit qu’il y a plusieurs salles, qui donnent les une sur les autres. Nous avançons pour découvrir, ce lieu, si anachronique. Il y a plusieurs niveaux, nous descendons des escaliers en verre. Je commence à me demander si mon mari n’est pas au courant de cette architecture. En arrivant dans cette salle où les gens dansent et boivent, je sens les regards des hommes sur moi. Ils ont du avoir une vue sympa sur mes jambes, pour ne pas dire plus. La pression commence à monter en moi.

     - Dis moi chéri, tu savais que cette boite allait être comme cela ?
     - Je dois t’avouer que,oui. Et tu n’as pas tout vu.
     - C’est à dire ?
     - Tu vas voir, c’est pour cela que je t’ai fait acheter cette minijupe et ce top. Cette boite est connue pour que les femmes soient vues de dessous L’architecte devait être un voyeur.
     - C’est pour cela que tu m’as fait acheter cette tenue lambada ? Avec cette minijupe évasée, et ce top qui laisse voir le dessous de mes seins ?
     - Exactement, c’était très prémédité, et je dois dire que pour l’instant je ne suis pas déçu, ni par le lieu, ni par le mannequin.
     - Hum petit salaud, je suppose que je vais allée de surprises en surprises ?
     - Oui, et je pense que les Barcelonais qui sont ici seront ravis

     Il m’entoure dans ces bras et m’embrasse, je passe mes bras autour de son coup ; hoooo ce top laisse dépasser le dessous de mes seins. Tant pis … tant mieux …..

     - Offres moi un verre, je sens que je vais en avoir besoin
     - Bien sur, allons vers le bar.

     Pierre sait que lorsque je me trouve dans ces situations d’exhibe, une goutte d’alcool fait tomber mes premières inhibitions. Moi qui ne bois jamais, je n’abuse pas car je ne supporte pas.
     En me déplaçant vers le bar je commence à regarder cette discothèque sous un autre œil. Je vois des ronds en verres d’environ 80 cm de diamètre sur le plancher. Une lumière verte qui vient tous simplement de la salle au-dessous. Les gens qui se trouvent à l’étage inférieur n’ont qu’à lever la tête pour mater les IMPRUDENTES qui passeraient au-dessus de ces hublots.
     Pour l’instant je fais celle qui ne remarque rien et avance, toute fois en contournant mine de rien ces vitrines pour dessous féminins.
     Pierre, me suggère, de faire celle qui ne comprend pas l’Espagnole, lui va faire de même. C’est un jeu que nous aimons faire quand nous sommes à l’étranger dans un pays où nous maîtrisons la langue. ( Je vous le conseille les surprises sont parfois intéressantes.
     Au bar, Pierre me commande un whisky.

     - Si je comprends bien ce soir, je suis une touriste française qui ne comprend rien à ce qu’on dit, qui ne se rend pas compte du caractère impudique de sa tenue, et que tu vas faire passer sur des endroits spécialement étudiés pour des voyeurs.
     - Tu as tout compris.
     - Et tu as tout prévu depuis le début
     - J’avoue oui, cela te plait ?
     - Offres moi un autre whisky, je pense qu’il va me falloir cela.

     En disant cela il a compris que j’accepte de jouer ce rôle de nunuche.
     Nous restons quelques instants au bar, trois espagnoles commencent à parler avec nous dans un français approximatif. Dès que nous leur disons que nous ne comprenons rien à leur langue, ils se libèrent entre eux en espagnole et la je comprends que ma tenue est la tenue idéale pour faire du spectacle dans cette boite.
     Il s nous proposent d’aller en haut du donjon du château, c’est en plein air et paraît - il que la vue est superbe sur Barcelone de la haut. Je m’attends à faire une montée d’escalier des plus audacieuse ; et bien non, il y a un ascenseur. Mais quel ascenseur ! Tout en verre, la colonne, la cabine, et surtout le plancher de l’ascenseur !!!! ( pour les lecteurs, tout ceci est entièrement vrai, vous pouvez aller le vérifier sur place )
     Cette colonne d’ascenseur dans la tour est visible d’en bas jusqu’en haut, sur 3 niveaux.
     Nos guides d’un soir, nous laissent entrer dans la cabine d’ascenseur ( tu m’étonnes ???)
     Nous voilà à monter, je continues de faire comme si je ne m’apercevais de rien, mai s je sens tous ces regards sous moi, qui peuvent à loisir contempler mes fesses et le dessous de mes seins. La température me monte au visage, et ailleurs !!! Ce n’est pas uniquement le whisky.
     Je glisse dans l’oreille de Pierre :

     - Tu es content, toute la boite matte le cul de ta femme ?
     - Chérie, tu es super. Je me demandais si tu oserais le faire. Je t’aime comme un fou.
     Comment résister à un homme qui vous dit cela ????
     - Continues de me guider, je continue de faire celle qui ne se rend pas compte.

     Pierre doit être aussi rouge que moi, son pantalon cache mal son excitation. J’adore quand il est comme cela.
     Arrivé sur le haut du donjon, nos amis d’un soir nous rejoignent pour nous faire voir le paysage et nous expliquer la vue sur Barcelone. ( C’est vrai que c’est très beau ).
     Pierre mine de rien, me dit :

     - Appuis tes mains sur les créneaux, tu peux te pencher un peu pour mieux voir.

     ( hummm je le regarde, il a les yeux brillants ). Je m’exécute, en me penchant je sens mes seins qui écartent encore plus le top de mon torse. Ils doivent être visibles de derrière. Mais surtout je sens ma minijupe qui remonte derrière, haaaaaaa ils doivent tout voir. Et moi qui suis les jambes un peu écartées.

     - Ha oui la vue est superbe d’ici. ( je me sens garce en train de faire cela devant ces types que je ne connais pas)
     - Tu ne peux pas si bien dire, ma chérie.

     Derrière, nous entendons nos guides, de la soirée qui font des commentaires, bien différents en espagnole. Du style : tu as vu cette salope, elle porte même pas de culotte avec cette jupette si courte, et ces seins, on les voit entièrement de dessous. Regardes ce cul, et cette chatte épilée, elle me fait bander, je vais gicler dans mon pantalon si cela continue.
     Le troisième qui insiste en disant, elle semble se rendre compte de rien, on va lui faire visiter le reste de la boite, il faut que tout le monde en profite.
     Je regarde Pierre du coin de l’œil et lui fais un sourire complice. Je suis folle de faire cela, mais je suis excitée, Je me demande même s’ils ne le voient pas.

     Nous redescendons par le fameux ascenseur ; je vois les gens qui sont dans la salle et qui lèvent la tête. Je regarde ailleurs. Ma chatte est de plus en plus chaude. Nous repassons dans la salle ou ce trouvent les hublots qui éclairent du bas. Mine de rien, nos guides me font passer juste au-dessus. Et même a un moment sous prétexte de me faire voir une décoration dans la salle, me font rester dessus. La conversation continue, et je suis toujours au-dessus de ce hublot qui laisse les gens dans la salle du bas mater entre mes cuisses, ma chatte et mon anus inondée de lumière.
     Pierre, se penche, vers moi et me souffle à l’oreille :

     - Tu es encore plus garce que ce que je ne pensais
     - C’est pas ce que tu voulais ?

     Du coté des espagnoles, ils sont presque à la limite de l’infarctus
     Pensant que je ne les comprends pas, ils continuent entre eux :

     - Elle ne se rend pas compte la salope, toute la salle en bas va être en feu.
     - Essaie de la maintenir au-dessus de ce hublot, je vais aller voir ce que cela donne de dessous.
     - Vas-y, je continue de la baratiner ici, on ne bouge pas.

     Bien sur, ayant compris leur jeu, je fais toujours l’idiote qui s’intéresse à ce qu’ils essaient de me dire en français. Je suis les jambes écartées au-dessus de ce puits de lumière. Je vois le petit manège avec leur disparition a tour de rôle pour aller mater à étage inférieur. Pierre me dit, je vais aller aux toilettes, je crois que c’est en dessous, ne bouge pas. Hum le salaud, mais c’est le moins que je ne puisse faire de le laisser me regarder. Je continue, donc sans bouger de place, à discuter de tout et de rien avec mes guides d’un soir, qui sont visiblement de plus en plus excités.
     Pierre revient, un sourire lui barre le visage.

     - Je te propose de venir en bas pour voir la dernière salle
     - Ha oui, c’est intéressant ?
     - Tu as un fan club.,Qui a un torticolis à force de regarder vers le plafond.
     - Ok, mais je crois que nous n’allons pas rester beaucoup plus car je sens que les esprits vont trop s’échauffer ?
     - Tu as raison, tu es en train de me déclencher une émeute

     Pierre, me guide, pour descendre à nouveau quelques escaliers en verre, nos 3 guides, ne nous lâchent pas d’une semelle. En descendant dans cette salle, je vois tous les regards tournés vers moi. Les commentaires vont bon train : C’est la pute qui est restée sur le hublot ; elle est à poil sous sa mini, tu as vu sa chatte épilée est ouverte, bref, ils voudraient tous me baiser, et me faire subir les pires outrages.

     - Chéri, je crois que nous allons remonter, et partir. Il se fait tard ?
     - Tu as raison. Tiens avant de partir regarde le plafond la-bas, c’est juste le plancher en vitre sans teint de l’entrée.
     - Ho je comprends pourquoi les femmes ne stationnent pas là.
     - Nous allons dire un dernier au revoir à nos amis, car je pense que dans peu de temps, on ne les tiendra plus.
     - Tu as raison.

     Leurs discussions en espagnol continuent et j’apprends que mon exhibition est aussi réussie que la dernière fois qu’une actrice de film porno était passer ici, lors d’une soirée promotion.
     Pierre semble très fier de sa femme ce soir, et moi je commence à être trempée, cela va se voir quand je vais repasser sur la glace sans teint de l’entrée de la boite. Nos amis, espagnoles nous raccompagnent. Nous sommes au-dessus de ce plancher transparent. Nous commandons un taxi pour venir nous rechercher, il faut attendre 5 minutes. Je suis en train de m’imaginer tous les types sous moi qui sont en train de me mater. Je suis folle de faire cela. Heureusement que nous partons demain et que personne ne nous connaît ici.
     Nos 3 guides semblent tristes de nous voir partir, ils font tout pour nous retenir. Mais le taxi arrive. Je leur fais la bise, je sens des mains qui se baladent un peu, mais ils n’osent pas plus.
     Il nous accompagne sur le parking jusqu’au taxi, je rentre et ferme la porte, Pierre aussi. Le taxi va partir. Et à ce moment l’en espagnole, je leur dis au revoir, la soirée a été super, j’ai beaucoup aimé marché sur les planchers transparents, j’espère que le spectacle vous a plus.

     Je mens en rajoutant, que je ne porte jamais de culotte. Bisous les hommes.
     Ils sont tétanisés, je crois qu’il y en a un qui a du éjaculer dans son pantalon à ce moment l’; Le taxi démarre en trombe. Pierre m’embrasse, il me caresse par tout en même temps, j’ai trop envie de faire l’amour, je suis en feu.
     Le chauffeur qui a tout entendu, ne cesse de me regarder dans le retro. haaa Pierre me doigte, il va me faire jouir, devant ce chauffeur de taxi c’est sur. haaaaaaa ouiiiiiiii
     Je ne sais pas comment le taxi a fait pour revenir à l’hôtel sans accident. Il a du gicler dans son pantalon aussi. Arrivés à l’hôtel, il nous fait cadeau de la course. ( Pas très longue la course ) .
     Et là, le pauvre homme demande à mon mari, avec un air innocent :

     - Mais elle est toujours comme cela ?
     - Oui toujours, c’est pour cela que je la garde.

     Arrivée dans la chambre, comme Pierre n’avait pas encore assouvi ces envies. Je lui administre une fellation d’enfer, à laquelle il ne peut résister longtemps. Humm que j’aime le sentir éjaculer dans ma bouche et tout prendre.
     Le reste de la nuit a été, un carnaval de galipettes.
     Le lendemain, notre forme était très discutable.
     J’espère que ce petit récit vous a plus, si vous connaissez les lieux, vous les aurez reconnus, sinon, vous pouvez toujours aller voir.
     Merci pour les lecteurs qui m’encouragent à me raconter en écrivant ici et qui apprécient. Malgré les critiques du site, qui font tout pour décourager les bonnes volontés et qui voudraient du hard.

     Bisous à tous

Auteur

 

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