Nancy, le lundi, 12 Mai 2003.
La réunion du lundi matin
s’était passée comme d’habitude. Engagement par rapport
aux ventes, chiffres de la semaine, bref un briefing comme
les autres. Après une heure de bourrage de crâne, nous apprenions
par notre supérieur, qui revenait d’un stage de management,
que nous avions un “problème de savoir être”. Ca y était,
il avait succombé au phénomène de mode qui consistait, à
clamer cette phrase dés q’un problème se présentait. Le
savoir faire on maîtrisait, mais le savoir être… Depuis
quelque temps le directeur régionale en avait fait sa phrase
favorite, qui la tenait de notre directeur commercial, qui
lui, l’avait empruntée au directeur général. Quand j’y pense
j’en ri encore !
J’allais me lever avec les
autres commerciaux quand notre directeur nous rappela que
nous avions chacun un stagiaire pour 4 jours. Je l’avais
complètement oublié celui-là ! Bonjour la semaine !
Oh, ce n’est pas que je n’aime
les stagiaires, mais ils nous ralentissent considérablement.
Il faut leur expliquer chaque
chose que l’on fait et à bien y réfléchir, c’est bien légitime.
Ma mauvaise humeur tomba
un peu quand le chef me précisa que “mon” stagiaire s’appelait
Monica et qu’elle m’attendait avec les autres à la machine
à café.
O.k, au moins c’est une fille
et avec un peu de chance elle serait un peu mignonne.
Bien sûr, quand nous arrivions
mes collègues et moi à la salle de pose, je ne m’attendais
pas à ça.
Ce jour la, il faisait plutôt
beau pour un mois de Mai en Lorraine. Depuis quelques jours
il faisait même chaud, voir lourd. Monica se tenait debout
avec ses collègues. Elle était à contre jour, si bien que
je ne distinguais pas son visage comme je l’aurais souhaité.
Elle était grande, élancée,
avec des jambes interminables. Un pantalon noir à pattes
d’éléphants moulait ses cuisses fuselées. Une chemise blanche
gonflée par une belle poitrine retombait à mi-cuisses. Juchée
sur des bottes à talons, elle dépassait tout le monde. Un
téléphone portable semblait greffé à sa main gauche et de
l’autre elle tenait un café avec une cigarette, coincée
entre deux doigts.
Je m’avançais un peu et,
je la découvrais plus en détails. De longs cheveux bruns
ondulés étaient maintenus en arrière par une paire de Ray
Ban. Quelques mèches rebelles encadraient un joli petit
minois bronzé. De grands sourcils bien dessinés mettaient
en valeur de magnifiques yeux verts superbement maquillés.
Le nez était fin et un petit diamant scintillait à sa narine
gauche. Sa bouche sensuelle et légèrement teintée s’ouvrait
par moments sur des dents blanches et bien rangées.
Une véritable bombe sexuelle
!
Un sourire aux lèvres, je
lui tendis la main en me présentant :
- Monica, bonjour je suis
Fred, c’est avec moi que tu vas faire ton stage. Au fait
tout le monde se tutoie chez nous, ça ne te dérange pas
?
Elle me détailla également,
le regard était franc et directe, me rendit mon sourire
et, s’avança pour me prendre la main.
Ses mains étaient fines et
longues, elles se terminaient par de grands ongles parfaitement
manucurés.
- Bonjour Fred, le tutoiement
ne me dérange pas, heureuse de te connaître !
Le contact de sa main et
le son de sa voix m’envoyèrent une décharge de 6000 volts.
Elle avait un joli petit accent,
qui lui faisait rouler les “r”, sensuellement.
Cette fille était belle à
couper le souffle.
Dans la voiture nous avons
fait plus ample connaissance. Elle avait 22 ans et elle
préparait un B.T.S action commercial en deuxième année.
Elle vivait chez ses parents dans une petite villa aux environ
de Nancy. Elle fréquentait un garçon depuis trois ans. Elle
se plaignait un peu de son manque d’attention envers elle,
mais bon, elle l’aimait quand même !
J’appris également que Monica
était d’origine italienne, ce qui expliquait sa peau mate
et ses formes pulpeuses. Parfois lorsqu’elle bougeait, j’apercevais
la corbeille de dentelle noire de son soutien gorge par
l’échancrure de son chemisier.
Devant son insistance, je
lui appris que j’avais 37 ans, marié, deux enfants et, que
cela faisait 7 ans que je travaillais dans cette société
agro-alimentaire en tant que conseiller commercial. Elle
me dit que je ne faisais pas du tout mon âge et, que je
devais bluffer pas mal de monde.
Nous nous sommes trouvés
pas mal de points communs, nous aimions les mêmes musiques
et, délirions sur les mêmes films comiques, ce qui la surpris
vu notre différence d’âge.
Nous échangions nos avis sur
certains modèles de voitures et, devant mon étonnement sur
sa connaissance, elle me précisa qu’elle fréquentait beaucoup
les rallyes automobiles.
En fait, Monica se passionnait
pour tout se qui touche à l’automobile, tunning et mécanique
compris. Une fille superbe qui parlait “voiture”, j’étais
aux anges !
Elle compris très vite les
ficelles du métier qui consistait à visiter les clients
déjà constitués dans un fichier. Ce jour là c’était une
clientèle de campagne que nous allions voir.
La matinée se passa très bien,
entre plaisanteries et fous rires nous travaillions quand
même un peu, du moins, moi, je m’efforçais car je n’avais
vraiment pas la tête à ça. Surtout quand elle se penchait
en avant, son décolleté révélait un profond sillon qui partageait
des seins superbes.
Il ne nous restait que 5
clients à voir, nous étions rentrés dans le jardin d’un
client pour sonner à sa porte, quand un chien apparut. Oh
pas un gros chien et pas du tout agressif.
Bref, pas de quoi en avoir
peur ! Pourtant Monica poussa un petit cri et, pris de panique,
se cramponna de ses deux mains à mon avant bras en se collant
à moi. Une masse souple et tiède s’écrasa contre mon torse,
son sein gauche pour être exact, se qui provoqua chez moi
la naissance d’un frissons, qui longea mon épine dorsale
pour finir dans mon bas ventre. Délectable !
L’incident clos, la cliente
rentra son chien et me donna sa commande. Monica me fixait
de ses grands yeux verts et, là je dus faire appel à tout
mon self-control pour ne pas la prendre dans mes bras et
l’embrasser avec fougue.
Cette fille avait une façon
de me regarder qui me rendait dingue et, je me fichais royalement
des clients, du chiffre d’affaire et tout le toutime. Plus
rien ne comptait que le fait de passer le plus de temps
avec elle.
Il était convenu que je la
ramène chez ses grands- parents pour déjeuner et, que je
la reprenne le soir pour voir les clients absents du matin.
Géographiquement parlant et,
pour toute la durée du stage, c’était plus pratique qu’elle
loge chez ses grands-parents.
Durant le trajet nous avions
parlé de tout et de rien mais sans cesser de se regarder
mutuellement, peut être un peu plus que nécessaire.
Quand elle descendit de la
voiture, sa chemise était remontée sur un coté et j’aperçu
enfin une partie de ses fesses.
Mon dieu quel cul ! Son pantalon
lui rentrait dans les fesses et, soit elle n’avait pas de
culotte soit elle portait un string ! A cette pensée mon
sexe se mit à prendre un peu plus de place dans mon pantalon.
Je suivi du regard son balancement de hanche provoquant.
Hypnotisé par cette croupe callipyge. Quand soudain elle
se retourna en me souriant et, me dit :
- Bon appétit Freddy ! Puis
elle ajouta. Tu me prends à quelle heure ce soir ?
- Mais je te prends quand
et ou tu veux ! Dis-je en souriant à mon tour.
- Non sérieusement, tu viens
à quelle heure ?
- O.K, 18h00 ça te va ?
- C’est cool…Ciao Freddy…
j’ai hâte d’être à ce soir. Tu me manques déjà ! Reprit
ma belle en me soufflant un baiser du bout des doigts.
Elle voulait jouer. Et au
jeu du chat et de la souris je n’étais pas mauvais.
Le soir venu, elle me confia
qu’elle avait bien mangé et, qu’elle avait eu envie de faire
l’amour. Comme son copain n’était pas là, elle avait été
obligée de se calmer sous la douche.
C’était la quatrième dimension
! Cette fille que je connaissais pas huit heures avant,
me faisait des confidences plutôt érotiques.C’était hallucinant
et terriblement excitant !
- Tu t’es calmée comment
Monica ? Demandais-je
- En me caressant ! Tu connais
un autre moyen toi ?
- Oui, tu m’appelles la prochaine
fois !
- Ecoutes Fred, j’y ai pensée
mais…
- Mais ? De plus en plus intéressé
par cette fille.
- Non rien ! Après tu te la
joueras ! Et elle partit d’un fou rire.
Que penser ? Elle s’est caressée
en pensant à moi ? Non je me fais des films. Je prends mes
désirs pour ses désirs ! Allez mec reprend toi. Elle aime
plaisanter, point.
Le reste de la soirée n’était
que allusions et sous entendus coquins, même devant les
clients, ce qui devenait gênant. Après s’être fait la bise
chastement et s’être souhaité une bonne nuit, je dois dire
qu’elle occupait toutes mes pensées, même les plus inavouables.
Le lendemain elle se présenta
devant moi, vêtue d’un pantalon beige, aussi moulant que
la veille. Elle avait troquée sa chemise contre un blouson
qui lui couvrait à peine les reins ce qui me permis de contempler
son cul à loisir.
Permettez-moi d’insister !
Elle possédait une des plus belles paires de fesses que
je n’ai jamais vu. Une chute de reins vertigineuse qui se
terminait par deux globes parfaitement identiques qui tendaient
le tissu prêt à le rompre.
Et à chaque fois qu’elle se
baissait, son string blanc en dentelle faisait son apparition.
C’était intenable !
Excitant, trop excitant !
N’en pouvant plus et avant de lui sauter dessus, je décidais
de lui donner la moitié de mon fichier et, dans la foulée
je la déposait dans un lotissement avec pour consignes de
faire des nouveaux clients. Monica le pris assez mal mais
c’était pour la bonne cause.
La journée se passa entre
chassé-croisé et mise au point du secteur. En fait ce mardi
là nous nous sommes très peu parlés.
Le mercredi matin, Monica
s’était habillée en jean. Un jean simple, mais sur elle
c’était un appel au viol. On aurait pu croire qu’il était
peint sur elle, tellement il lui collait au corps !
Je ne vais pas pouvoir tenir
le coup, elle est trop sexy et ce sourire…
- Salut Freddy, bien dormis,
tu n’as pas trop pensée à moi ? Fait-elle mutine.
- Salut ma belle, à chaque
minutes je pense à toi !
- Paroles, paroles, paroles…Chantonne
t’elle en mimant Dalida
- Je te jure, je t’en prie…Rétorquais-je
en prenant la voix de DELON.
Et nous partions tout deux
d’un fou rire qui en agassait plus d’un, envieux d’une si
bonne entente.
Plus érotomane que jamais,
je me lançais.
- Tu mets toujours des strings
ou seulement quand tu es en stage ?
- Toujours, c’est plus sexy
qu’une culotte non ? Fait-elle en se cambrant, ce qui mit
en valeur ses jolies fesses bien rondes.
Je dus reconnaître que oui.
Et elle ajouta que les matins, devant son miroir, elle prenait
des poses en sous-vêtements. Elle me confia également qu’elle
était dingue de belles lingeries et qu’elle en possédait
de toutes sortes, des strings, des boxers, des strings-
boxers ainsi que des tangas. Le tout en plusieurs coloris
et tissus différents ça allait de soit.
- Humm, arrêtes tu m’excites
!
- J’espère bien mon cochon
!
Ma belle latine passa la
journée à me frôler de ses fesses ou de ses hanches et,
s’arrangea pour me mettre sa poitrine sous le nez dés que
l’occasion se présentait.
Après la pose de l’après midi,
on se retrouva le soir comme d’habitude et là :
- Comment tu veux que je
m’habille demain, mon beau Freddy? Lança Monica plus aguichante
que jamais.
- Heu ! Je ne sais pas, tu
me …Heu…O.k, pull moulant décolleté, jupe et, string ! Et
je plongeais dans son regard vert.
Ma belle stagiaire me défigura
un instant puis me lança :
- Whahhh ! La jupe tu la
veux moulante, tu ne m’as pas dit, et le string, quelle
couleur ?
- Je te laisse le soin de
choisir, à mon avis je ne serais pas déçu. Dis-je en m’approchant
de sa bouche.
Monica approcha ses lèvres
des miennes, nous nous effleurons un bref instant.
- Bon, on verra ça demain.
Soufflais-je en me reculant doucement. On a du boulôt !
- Il va falloir que je me
rase les jambes et… le reste…Elle laissa ça phrase en suspend
puis ajouta. Si tu veux que je me mette en jupe !
Elle était comme beaucoup
de fille de son âge, une adepte du sexe rasé, ce qui n’était
pas mon cas et que je m’empressais de lui confier :
- Ne me dis pas que tu te
rases complètement ?
- Ben si …Je garde juste une
petite bande de poil au dessus du minou… C’est ce que mon
copain préfère. Puis en promenant un doigt sur ma cuisse
elle minauda. Pourquoi tu n’aimes pas ?
Alors je me lançais dans
un long monologue, sur le fait que je déplorais ce phénomène
de mode. Que mes goûts allaient plutôt vers les femmes qui
avaient des pubis bien taillés. Epilées juste le maillot.
Je plongeais en apnée dans
ses yeux verts un long moment, elle me souriait, alluma
une cigarette et en soufflant la fumée vers moi :
- Tu n’as jamais léché une
chatte rasée ? A mon avis tu loupes quelque chose. Et elle
reprit. La mienne est très douce et toute lisse quand elle
est rasée.
Elle avait dit ça le plus
naturellement du monde. Bien sûr cette conversation m’avait
un peu échauffé et j’étais en érection.
Entre deux clients, (Bah oui,
on bossait quand même un peu), nous jouions à un petit jeu
qui consistait à se poser des questions mutuellement et
à y répondre sincèrement.
Comme vous devez vous en douter,
les questions étaient plus qu’érotiques et parfois, franchement
hards : “ Quelle est ta position préférée ? Aime tu la sodomie
et si oui l’as-tu fait souvent ? As-tu déjà eu des relations
à plusieurs ? Après le stage veux-tu que l’on se revoie
?”
Cette dernière question,
c’était moi qui le lui avais posée. Qu’est ce qui m’arrive
? Cette fille m’avait envoûté ?
Une longue lutte entre le
bien et le mal se déclencha dans mon esprit: “Et ta femme,
tu y penses ? T’es marié mon vieux Fred ! Et son âge ? Elle
pourrait être ta fille !”
“N’écoutes pas ces conneries
! Vas’y, elle est trop belle ! Dis pas le contraire, tu
bandes pour elle !”
“STOP ! ASSEZ ! On verra bien
!
J’avais envoyé promener mentalement
ma conscience. Et je retrouvais le calme dans ma tête, enfin,
pour un moment.
Elle ne répondit pas tout
de suite. Elle prit une barre chocolatée de son sac et,
en me fixant droit dans les yeux, entreprit de mimer une
fellation. De voir Monica enroulée sa langue et faire monter
et descendre sa bouche avec des bruits de succion sur la
friandise, j’avais l’impression que tout mon sang convergeait
vers mon sexe.
- Arrête ça tout de suite
! Dis-je un peu gêné.
- Sinon quoi ? Fait-elle en
promenant sa langue sur la barre.
- Sinon je vais te violer
!
- Hummm… Ca ne serait pas
un viol à mon avis. Gémit-elle en se trémoussant sur son
siège. Oh oui… Prends moi !
- Mais tu es une vraie salope
!
- Tu en doutais ?
Je me contentais de sourire
et ne répondis pas. Monica me fixait d’un drôle d’air, termina
sa barre au chocolat et se passa la langue sur les lèvres.
Si elle avait eu l’intention de me rendre dingue, elle ne
s’y serait pas prise autrement.
Un peu de chocolat lui restait
aux commissures des lèvres, je le lui dis en me moquant
gentiment et avec un air de défit dans le regard, elle me
demanda de lui retirer.
J’approchais ma bouche de
la sienne et lui nettoyais avec ma langue le chocolat fondu.
Elle ferma les yeux, un léger frissons la parcouru et elle
me souria à son tour.
Enfin, elle m’avoua qu’elle
me trouvait super sympa, beau gars, et que oui, elle apprécierait
beaucoup que l’on se revoie. Mais qu’elle ne me connaissait
pas encore très bien et qu’elle comptait sur la journée
de demain pour approfondir le sujet. Bien sûr je me gardais
bien de lui demander ce qu’elle entendait par“approfondir”.
Et comme disaient les Romains : “Alea jacta est”.
Je me garais devant la maison
de ses grands-parents. Monica s’étira longuement comme un
chat. Bailla à s’en décrocher la mâchoire. Me fait la bise
et me souhaita une bonne nuit. Je la regardais descendre
de la voiture puis :
- Monica !
- Oui, Freddy ?
- Je veux un vrai baiser !
Dis-je en m’avançant.
- Pourquoi faire ?
Elle avait dit ça d’un ton
! J’hallucinais, cette fille m’avait littéralement allumé
toute la journée et je lui demande un baiser, elle me rejette
!
- O.k, laisse tomber, bonne
nuit !
Sur ce, je passe la marche
arrière, vexé. Monica se pencha vers moi et en étouffant
un bâillement :
- Excuses-moi, je suis crevée,
je n’ais qu’une envie, c’est de me retrouver dans mon lit.
Ma belle stagiaire posa ses
lèvres sur les miennes, me chuchota qu’elle avait hâte d’être
à demain, me re-souhaita une bonne nuit et se dirigea vers
la porte d’entrée.
Moi aussi j’avais hâte d’être
à demain ! J’allais enfin savoir si ce n’était qu’une petite
allumeuse ou si elle allait tenir ses “ engagements”.
- Fred…Chéri…Réveille toi
! Me lança une voix qui me secouait l’épaule.
- Qu’est ce que…Quel jour
somme nous ?
- Jeudi, mon chéri…Et il fait
très beau. Dépêches-toi ou tu vas être en retard. Me dit
ma femme en ouvrant les volets. Je t’ai préparé ton café.
Allez, courage !
Mon épouse me déposa un baiser
sur les lèvres et partit travailler sur un “à ce soir” habituelle.
Le jeudi matin commençait
assez mal, un long briefing suivi d’une longue réprimande.
Il faut croire que je n’étais pas le seul à ralentir la
cadence côté travail et que notre directeur allait prendre
des mesures disciplinaires.
En plus c’était une journée
de dingue avec en perspective une tonne de travail.
Les stagiaires étaient comme
à leur habitude à la machine à café et échangeaient leurs
opinions sur nous, les commerciaux. Steph, un de mes collègue,
en voyant Monica, lança à la cantonade que ça serait plus
enrichissant pour le stage que nous nous échangions les
stagiaires et que bien sûr Monica irait avec lui.
La réponse fusa :
- Ah non ! Moi je veux garder
mon Freddy ! Fait ma belle en se levant.
- TON Freddy ? Reprit mon
collègue estomaqué.
- Oui ! MON Freddy ! Fait-elle
en me prenant par le bras.
Je regardais le pauvre Steph
et levait mes deux bras comme pour lui dire : “ Qu’est ce
que tu veux ? Elle a fait son choix !”.
Il me lança un regard noir
et partit. En fait je le comprenais. Monica était super
sexy. Sexy ? Non, excitante, oui ! Elle portait un T-shirt
orange très décolleté qui mettait en valeur ses seins dont
les pointes se dessinaient sous le tissu. Une longue jupe
marron en mousseline semblait sculptée sur elle. Elle était
chaussée de mules à talons assortis au T-shirt.
Ses longs cheveux descendaient
en une tresse sur sa nuque, ce qui ajoutait à son charme.
Elle était éblouissante.
Le dernier café avalé, je
lui dis qu’il était temps de partir car une longue journée
nous attendait. Elle passa devant moi et je ne pus résister
à l’envie de reluquer ses fesses, (on est romantique ou
on ne l’est pas !), sa jupe lui moulait son beau postérieur
superbement mis en valeur par un string que l’on devinait.
J’en avais des picotis dans
la colonne vertébrale.
Je la rattrapais, la pris
par la taille, laissa ma main glisser entre ses fesses et
d’une légère pression des doigts, je lui touchais le sexe.
La réaction ne se fit pas
attendre, elle virevolta sur ses talons et me décocha une
mémorable paire de claques.
(Non je plaisante !!!! Ca
vous aurait plus ? Ce n’est pas gentil!)
Elle gloussa et, me dit que
ce n’était pas raisonnable, que quelqu’un pourrait nous
voir. Je lui répondis que je m’en moquais complètement et,
qu’elle était trop excitante. Pour toute réponse Monica
me gratifia d’un sourire qui en disait long sur ses intentions.
Le premier client de la journée
habitait au onzième étage de sa résidence. La cabine de
l’ascenseur était vraiment très étroite si bien que nous
étions collés l’un à l’autre. Ma belle italienne était devant
moi, ses fesses soudées à moi. Le tissu de sa jupe était
si fin que je sentais la chaleur de son corps. Elle ne pouvait
pas ignorer mon érection. Nous restions comme ça un moment.
Imbriquer contre moi, elle
commença un ballet frénétique de ses reins en se frottant
à moi. Je l’embrassais dans le coup, elle sentait bon et,
son parfum accentua mon excitation. Par jeu, je passait
une main sous son T-shirt et, posais mes mains en coupe
sous ses seins lourds effleurant du bout des doigts les
pointes dressées.
Je jouais depuis quelques
minutes avec ses mamelons, quand l’ascenseur s’immobilisa
et, que les portes s’ouvrirent sur Mr DURANT qui nous attendait
dans le couloir.
Heureusement, c’était un vieux
monsieur et, il ne voyait certainement plus très bien, mais
bon, quand même !
Sur sa proposition, nous
rentrions chez lui. Il était propriétaire d’un charmant
F4, meublé avec goût et, savamment décoré, mélangeant l’ancien
et l’exotique.
Je demandait à Monica de lui
présenter le catalogue pour qu’il puisse faire sa commande,
se qu’elle fit avec un sourire engageant.
Mr DURAND nous proposa un
petit coin de table dans sa salle à manger. La table visiblement
faisait office de bureau et, était pas mal encombrée par
toute sorte de choses. Le client ne nous convia pas de nous
asseoir et, nous en étions réduit à rester debout.
J’étais en retrait, laissant
à ma stagiaire le contrôle des opérations. Elle se tenait
devant moi. Penchée sur le catalogue face à mon client.
Client qui devenait de plus en plus cramoisi et, je compris
la cause quand, me déplaçant de deux pas de côté, je vis
ce vieux monsieur, les yeux plongeant dans le décolleté
de Monica. Il devait avoir une sacrée vu le coquin !
Il nous manquait un document.
Je retournais à la voiture et, revenais un instant plus
tard. La belle se tenait dans la même position et, en m’approchant
derrière elle, je pouvais nettement voir un mini string
léopard qui sortait de sa jupe. En fait le string en question
tenait par un cordon sur les hanches et, était réduit en
un petit triangle qui s’incrustait dans le sillon fessier.
Je découvrais également un petit papillon, tatoué sur ses
reins. (Tiens ma belle tu m’avais caché ça ! Et que me caches
tu encore ?)
Cette vision m’envoya dans
les artères, une bonne décharge d’adrénaline !
Je pris place à coté de Monica
et, lui remis le document. Sa hanche se colla à moi. Envahi
par une irrésistible pulsion sexuelle, je passais une main
sur ses fesses. D’un rapide coup d’œil je vis le client,
toujours absorbé par la commande ou par le décolleté de
ma belle… Ma main glissa le long de la jupe puis s’insinua
en dessous.
L’escalade commença. La
chaleur et la douceur de sa peau m’envoyèrent une décharge
électrique. Enfin j’arrivais à l’objet de ma convoitise.
Je restais un moment, en haut de sa cuisse, la main dans
la fourche de ses jambes. Je n’osais plus bouger. Je ne
respirais plus. J’attendais. Je profitais du moment le cœur
cognant dans ma poitrine. J’attendais une réaction, un geste,
un regard qui m’aurais remis à ma place.
On ne savait jamais avec ma
belle, la réaction qu’elle pouvait avoir. Elle était capable
d’attiser le feu qui brûle en vous en devenant une vraie
femelle en chaleur, comme d’un seul regard à geler une banquise
vous remettre à votre place. Lunatique, c’est le mot qui
lui convient.
Pas la moindre réaction,
Monica continuait de négocier avec le client comme si rien
ne se passait sous sa jupe.
Profitant d’un moment d’inattention
du vieux monsieur, elle me déposa un baiser sur les lèvres.
Un baiser si léger et, si rapide que je cru l’avoir rêver
!
Nouveau coup d’œil sur le
client qui n’avait rien vu. Je repris mes investigations
là ou je les avais laissées. Je caressais sa petite chatte
à travers le tissus arachnéen, si fin que je pouvais suivre
avec mon doigt le relief de son sexe. Ce touché envoya à
mon cerveau une image très précise des trésors pas encore
dévoilés de ma belle stagiaire.
Mon doigt passait maintenant
sous le string. C’était chaud, humide et, lisse comme un
galet. Climat tropical ! Je glisse sur ce sexe glabre. Douce
sensation ! Je suis du bout du doigt ses lèvres, écarte
un peu les chairs, poursuit mon chemin, trouve le clitoris,
dis bonjour, m’amuse un peu, le titille, le pince légèrement,
le fais rouler.
Gémissement de la belle :
“ mmmhh !”(On est sensible hein ?)
- Vous ne vous sentez pas
bien mademoiselle ? S’enquit Mr DURAND.
- Je pense qu’elle a dû prendre
froid ! Dis-je en volant au secours de Monica.
Aussitôt, je retirais ma
veste et couvris les épaules de ma stagiaire. Ce geste galant
n’échappa pas à mon client qui approuva d’un signe de tête.
- Evidemment, elle n’a pas
grand chose sur le dos la petite ! Dis le vieux monsieur,
un peu hypocrite.
- Qu’est-ce que vous voulez,
c’est les jeunes de maintenant ! Dis-je en replaçant ma
main, atteignant un sexe inondé.
Imperceptiblement, pour ne
pas éveiller les soupsons, elle donnait à ses reins un mouvement
de balancier, d’avant en arrière. Elle envoya une de ses
mains à la recherche de mon sexe, le trouva, tout comprimé
dans mon pantalon et, entrepris un long massage du plat
de la main.
Une situation hautement érotique,
comme je les aime. Au nez et, à la barbe du vieux monsieur.
Je laissais un moment son
bouton d’amour pour enfoncer un majeur tout entier dans
sa chatte. Elle écarta ses jambes pour me faciliter le travail.
Je restais à nouveau comme ça, immobile, aux aguets.
La veste sur les épaules
de Monica ne cachait en rien sa poitrine et, à force de
reluquer ses seins, mon client avait de plus en plus de
mal à avaler sa salive ! Et, avec de drôles de gargouillis,
suivis d’une belle quinte de toux, il s’excusa et, fila
dans la salle de bain.
Le champ étant libre, plus
rien ne nous retenait ! Mais il fallait faire vite, il n’en
avait certainement pas pour bien longtemps !
Déchaînés, nos bouches se
cherchèrent, nos langues s’entremêlèrent. Je lui glissais
un deuxième doigt puis un troisième dans sa vulve trempée.
Nouveaux mouvements du bassin mais plus violents. Elle venait
au devant de mes doigts qui la fouillaient maintenant sans
ménagement. De mon pouce je lui titillais l’anus puis d’un
coup lui enfonçais dans le rectum.
Par jeu, je lui mis ma langue
dans l’oreille, ce qui sembla l’exciter davantage !
- Ohhh ! Continue, surtout
ne t’arrêtes pas ! Chuchota Monica d’une petite voix déformée
par l’excitation.
- Tu aimes ça, ma belle ?
- Ohhh, Oui ! Que ta main
me…Hummm…Déchire de plaisir !
- T’es une belle cochonne
! Dis-je en reprenant mon ballet de la pointe de ma langue
dans son oreille.
Sa cyprine coulait sur ma
main. Mes doigts glissaient en elle. Elle venait s’empaler
régulièrement, sodomisé par mon pouce. Je passait mon autre
main sous son t-shirt, lui pris un sein et, lui pinça le
mamelon devenu sensible. Elle se tenait à la table de ses
deux mains. Monica rejeta sa tête en arrière.
- Je…Je vais jouir !
- Viens, jouis ma salope !
- Oh oui, je suis ta salope…
Ta chienne… Mhhhh… C’est… boooon …Je jouiiiiis.
Une langue aventureuse venait
à la rencontre de la mienne, puis son corps se raidit, sa
respiration s’accéléra et, elle du se mordre le poing pour
ne pas crier.
Ma belle stagiaire cuva un
instant son orgasme, les yeux fermés. Elle me sourit.
- Merci, c’était extra !
- Je suis content que tu aies
apprécié !
- Oui mais…Et toi dans tout
ça ?
- Je me rattraperais plus
tard. Lui dis-je en l’embrassant
Ca n’avait pris que quelques
minutes tellement elle était excitée. Elle me confia que
l’intermède de l’ascenseur l’avait mise en appétit mais
que c’est surtout la situation devant le client qui l’avait
fait mouillée son string !
J’étais dans un état ! Mon
pénis me faisait mal ! Trop serré dans mon pantalon !
Mr DURAND est revenu, il
se replaça face à Monica. Il replongea immédiatement dans
le décolleté de ma stagiaire. Un détail ne lui échappa pas,
on pouvait nettement voir les pointes de ses seins saillir
encore plus sous le t-shirt.
Je ne pense pas qu’il ai
été dupe et, j’en eu la confirmation quand nous lui avons
dis au revoir. La commande en main, nous l’avons salué chacun
notre tour. Il m’adressa un clin d’œil complice et, m’assena
une claque dans le dos.
- Sacré Fred va ! Fait-il
goguenard.
A peine les portes de l’ascenseur
refermées, nous nous sommes collés l’un à l’autre. Je me
suis jeté sur sa bouche et, nos langues entrèrent en communion.
Mes mains caressaient ses seins, les palpaient, jouaient
avec les mamelons qui durcissaient à vu d’œil. Monica s’attaqua
à ma braguette pour en extraire mon sexe et je stoppais
son geste :
- Attends, pas ici !
J’appuyais sur le bouton
du sous-sol, au moins on serait plus tranquille. Je savais
que personne ne viendrait.
Nous nous sommes retrouvés
dans les caves. Je pris ma belle par la main et l’emmenais
dans un enclos discret. Je la positionnais dos au mur. Je
mis un genou à terre. Je lui ai soulevé sa jupe jusqu’à
la taille, écarté son string et, je lui ai fourré ma langue
dans sa chatte“ manu militari” !
Bon sang que c’était bon
! Ma langue allait et venait dans sa chatte. Je la buvais.
Du miel ! Un nectar ! Un pur délice ! J’en avais envie depuis
la première fois que je l’ai vu.
Je ne voulais pas la prendre
là, maintenant. Je voulais faire durer l’attente, le moment
ou je m’introduirais en elle. L’instant ultime où je m’abandonnerais
dans l’un de ses orifices. Mais pour l’instant je souhaitais
par-dessus tout qu’elle jouisse dans ma bouche ce qui ne
tarda pas :
- Oh Freddy, tu me fais…Mourir,
je…Mhhh, c’est bon ! Oui là ! Ohhhhh !
Les mains crochetées dans
ses fesses rebondies, j’aspirais, je tirais, je mordillais
son clitoris, ce qui déclencha le bouquet final.
- Wahhh… Arrêtes…Non, continues…Oui,
comme ça….Ouiiii ! Ahhhhhh !
Elle planta ses griffes d’abord
dans mon coup, puis pour finir, du bout des ongles me caressa
la nuque.
Ses jambes ne la portaient
plus et, nous nous sommes retrouvés tout les deux sur le
sol. Je la pris dans mes bras tendrement. Elle était plus
que belle, elle irradiait de bonheur !
Nous étions enlacés depuis
un moment.
- O.k, mais toi, tu restes
sur ta faim ! Puis, me saisissant la queue à travers le
tissu.
- Une grosse faim même, attend,
je vais arranger ça ! Dit-elle en tirant sur la braguette
de mon pantalon.
Monica sortit ma virilité
de mon boxer, puis plongea dessus la bouche en avant. C’était
trop bon ! Sur le coup je crus que j’allais exploser. Elle
s’appliquait, creusait les joues, me pompait comme si sa
vie en dépendait. Motivée ? Elle l’était sans conteste !
Super excité comme je l’étais,
à la cadence là, je n’allais pas tenir longtemps. Je sentais
venir les picotements annonciateurs du plaisir. Ne voulant
pas éjaculer dans sa bouche, je la repoussais gentiment.
Elle ne l’entendait pas de cette oreille et, soudée à moi
comme une sangsue, elle m’aspirait de plus belle. Elle reçu
ma semence bien profond dans la gorge. Je me retirais de
cette bouche accueillante. Monica me lécha jusqu’à la dernière
goûte avec une mine de chatte gourmande. Exquis ! Bon sang,
ça fait du bien !
- Tu suces comme une reine
ma belle !
- Je sais, c’est ce que mon
copain me dit tout le temps !
- Non, mais je veux dire vraiment
très bien !
- Merci du compliment, mais
non seulement je peux, mais je veux faire mieux !
On avait pris du retard et
il fallait le rattraper. Sur cette belle promesse nous nous
sommes remis au travail, soulagés ! Heureux ! Amoureux ?
L’heure du déjeuné approchant,
je reçu un appel d’un collègue qui nous proposait de rejoindre
les autres pour manger un kebab. Aussitôt raccroché, j’en
fais part à Monica qui de ce fait téléphone à son copain
pour le décommander. Il le prend mal, le ton monte, il est
question de jalousie, de manque de confiance. Ne reniant
pas ses origines, ma belle italienne parlait fort et faisait
de grands moulinets avec ses mains pour finir par lui raccrocher
au nez.
Elle s’excusa et me demanda
de l’emmener chez lui. Devant ma déception, elle me dit
qu’elle voulait calmer le jeu et, éviter les complications
avec son petit ami. Elle ajouta que ce soir elle saurait
se faire pardonner si j’avais la patience d’attendre jusque
là.
Ah les femmes ! Je ne les
comprendrais jamais tout à fait !
Bien sûr que j’attendrais
! J’avais entamé les hors d’œuvres et je voulais poursuivre
le menu !
Il était convenue que j’aille
la chercher le soir chez ses grands-parents, ce que j’ai
fais. Ma belle stagiaire m’attendait en fumant une cigarette,
nerveusement.
J’ai vu tout de suite que
l’humeur n’était pas au beau fixe. Elle m’apprit qu’ils
s’étaient disputés terriblement et, qu’elle me donnait raison
quand j’affirmais que son copain ne la méritait pas. Et,
que comme je le pensais, son petit ami restait avec elle
uniquement pour le sexe.
Je ne prenais pas ses paroles
pour argent comptant car manifestement elle était sous l’effet
de la colère. Je savais qu’elle l’aimait quand même, mais
bon, pour moi il resterait un blaireau !
Il ne savait pas la chance
qu’il avait. Quand on a une femme comme ça, on s’en occupe
!
Quand je pense que pour la
Saint-Valentin il ne lui avait rien offert… Mais par contre
il s’était acheté un accessoire hors de prix pour sa moto
!
Bref, ma stagiaire ne parlait
que pour des choses professionnelles et, n’a pas desserrée
les dents de toute la soirée. L’humeur n’était plus à la
bagatelle !
De retour à l’établissement,
Monica semblait de meilleure composition. Elle s’inquiéta
de savoir si je pouvais la raccompagner une fois de plus
chez ses grands-parents. Je lui ai répondu que ça ne posait
pas de problème mais que je n’avais pas fini mon rapport.
Elle avait tout le temps, elle attendrait, c’est du moins
ce qu’elle laissait entendre.
Ah oui ? Tant mieux, j’ai
tout mon temps moi aussi !
(Tu ne perds rien pour attendre.)
C’était la première fois
qu’elle montait dans ma voiture perso. Monica me demanda
si on pouvait mettre de la musique et devant mon autorisation,
commença à fouiller dans la boîte à gants. Elle trouva ce
qu’elle cherchait, mit le C.D en place et aussitôt la voix
de Mylène FARMER s’éleva dans l’habitacle.
Ma belle frissonna et, me
fit comprendre qu’elle avait un peu froid. J’appuyais sur
un bouton et, presque immédiatement une douce chaleur nous
envahie dans le dos et les reins.
Je roulais depuis un moment,
les yeux rivés à la route, Monica ne parlait pas, regardant
devant elle, l’autoroute qui défilait. Quand en s’étirant
elle susurra :
- Humm…Je suis bien, la musique,
les sièges chauffants…Je n’ai pas envie de rentrer. Allez
viens, on continue notre route. Oh… Freddy… soyons fous
!
- Ne me tente pas tu sais,
j’en serait capable !
- Et ta femme, tu lui dirais
quoi à ta femme ?
A un concourt de garces,
elle aurait finie première.
- Ecoutes, j’irais ou tu
veux avec toi, mais tu as raison ça ne serait pas raisonnable
!
Un vrai supplice de tantale.
C’est vrai qu’à un moment j’ai failli ne pas mettre mon
clignotant et volontairement rater la sortie. On était bien
et, il y a des moments où on n’a pas envie de rentrer, juste
rouler, rouler pour le plaisir, rouler, ne plus s’arrêter,
retarder l’instant ou l’on se quitterait.
Mais bon, comme je le disais,
ça ne serait pas raisonnable. Et c’est presque à contre
cœur que j’ai pris la bretelle de sortie. Nous arrivions
prés de la route qui menait à la maison des grands-parents.
Je la connaissais bien cette route pour l’avoir de nombreuses
fois empruntée. J’allais négocier un virage quand :
- Arrêtes-toi là s’il te
plait, je connais un coin très sympa ou la vue est magnifique
! Me dit ma belle italienne en sursautant et, en me montrant
l’endroit désigné, du doigt.
J’obéis stoïque, et coupais
le moteur sur une placette qui, il est vrai, possédait une
vue superbe. Monica actionna l’ouverture du toit ouvrant
et, le panneau s’ouvrit avec un bruit sourd, laissant voir
le ciel étoilé. Ma belle retira ses tennis et, se mit debout
sur son siège. Prenant appuie sur ses coudes, de la tête
au buste elle était dehors, contemplant les étoiles, le
menton relevé.
Profitant de la situation,
qu’elle avait si bien orchestrée, je lui caressais les jambes,
d’abord timidement, puis de plus en plus franchement. Elle
ne se déroba pas à mes caresses, bien au contraire et, se
mit à onduler du bassin. M’enhardissant je baissais la fermeture
de sa jupe et, Monica, d’un mouvement de hanche, l’aida
à descendre. D’un coup de pied, elle l’envoya sur le tapis.
Je me reculais un peu, comme
un artiste devant son œuvre. Je me régalais de ses hanches
en amphore. Mes yeux n’en finissaient plus de se gaver de
ces courbes chaudes et sensuelles, révélées par la clarté
de la lune. D’une lenteur calculée, je faisais glisser son
string le long de ses jambes.
J’avais devant moi ce cul
magnifique que je voyais nu pour la première fois. Je pris
ses fesses à pleines mains et, entrepris de déposer pleins
de baisers. Automatiquement Monica se cambra un peu pour
m’inciter à être plus entreprenant. Je passais ma langue
dans sa raie cullière et, la léchais tout le long jusqu’à
son sexe inondé. Un coup de langue sur son bouton d’amour
encapuchonné puis, je revenais sur son œillet.
- Humm, gémit elle. C’est
bon…Ohhh !
- T’aimes ça que l’on te léche
le cul ma cochonne ? Demandais-je.
- Humm, oui. J’adore ça mon
salaud ! Répondit-elle.
J’écartais ses belles fesses
et lui administrais “une feuille de rose” dans les règles
de l’art. Son anneau d’abord récalcitrant, s’ouvrit un peu
à mes caresses et, du bout de ma langue je le sentais palpiter.
Bien sûr je n’oubliais pas son minou et, je lui introduis
deux doigts inquisiteurs pour lui donner à lécher. Elle
avala goulûment sa propre liqueur avec des petits bruits
de succion.
Ma belle stagiaire se servait
de ma langue comme objet de son fantasme. Elle me présentait,
tour à tour, un coup son sexe, un coup son petit trou, dans
un ballet frénétique de ses reins. A un moment je sentis
un de ses doigts venir à ma rencontre. Ma belle ne restait
pas inactive et, malmenait son clitoris furieusement.
L’estocade finale fût pour
Monica, l’apothéose, l’allée simple pour le nirvana ou l’on
ne revient jamais plus comme avant. Son corps fût prit d’une
sorte d’épilepsie et, hurla sa jouissance comme un animal.
Elle resta un moment inerte, toujours à moitié dehors puis,
elle se laissa tomber à côté de moi. Elle me souriait et,
me prit la main.
- C’était bon. Dit-elle simplement.
Attends, ferme les yeux et ne triche pas !
Un moment nous étions pris
dans le faisceau des phares d’une voiture. Nous n’osions
plus bouger, peur q’un opportun vienne troubler nos ébats.
La voiture descendait la route et disparue, avalée par la
nuit. Qu’avait-il vu ? Un couple enlacé qui, romantique,
profite du beau panorama, c’est tout !
J’obéis à cette superbe femelle
pourvue d’imagination et, après l’avoir embrassée, je fermais
les yeux. Comme dans un rêve, je sentis une main audacieuse,
tirer sur ma braguette et, extirper mon pénis bandé comme
un arc. Une sensation étrange ou plutôt inconnue m’envahie,
une douceur légère comme la soie. Voulant connaître à tout
pris de quoi venait cette caresse, j’ouvris les yeux et,
vis ma belle italienne, enrouler une longue mèche de ses
cheveux autour de mon sexe. Elle faisait aller et venir
mon vît dans ce fourreau soyeux tandis que sa langue s’activait
sur mon gland. C’était…Unique ! Ma belle déroula sa mèche
en tirant dessus et, maintenant sa bouche montait et descendait
à toute vitesse le long de ma hampe pour revenir à un rythme
plus calme. De temps en temps sa langue venait lécher mes
testicules pour s’aventurer timidement sur mon anus. Ne
voulant pas jouir comme ça, je la repoussais gentiment et
proposais que l’on occupe la banquette arrière. Il y aurait
plus de place.
Elle prit un préservatif,
déchira l’emballage avec les dents et, le mit encore enroulé
dans sa bouche pour me le placer sans l’aide de ses mains.
Elle voulait finir sa prestation jusqu’au bout !
Ma belle salope savait faire
des choses à 22 ans que beaucoup ne connaissait pas à 40.
Nous nous retrouvions à l’arrière
de la voiture. J’étais assis et, Monica, de face, me saisissant
le sexe, s’empala dessus avec un petit grognement. Elle
montait et descendait avec la cadence d’un métronome, très
attentive à ses propres sensations. Je palpais ses fesses
bien fermes et, lui introduis un majeur dans l’anus. Elle
dodelinait de la tête et, parfois, ses cheveux couvraient
en partie ma poitrine.
Les chiffres ! Le briefing
! N’importe quoi ! Pour me déconcentrer un instant, je ne
voulais pas partir maintenant. Penser à autre chose ! Oui
! o.k ! Va pour la vieille comptable. Ouf, ça marchait,
mon excitation descendait de deux crans. Je voulais profiter
de ma belle latine le plus longtemps possible et, je savais
par expérience que si j’arrivais à me retenir une fois,
après il n’y aurait plus de problèmes.
Je me suis retiré pour la
prendre autrement sous l’œil réprobateur de la belle qui
s’inquiétait. D’un sourire je la rassurais et, la plaçais
à quatre pattes. Je pris position derrière elle et me suis
introduis dans ce sexe, Ô combien accueillant. Je m’appliquais
à la prendre lentement, m’enfonçant chaque fois le plus
loin possible. Monica haletait, ses ongles crissaient contre
le cuir de la banquette.
A d’infimes contractions de
mon sexe fiché dans le sien, elle devina que je n’allais
pas tenir très longtemps.
- Attends, gémit-elle, prends
mes fesses !
Elle envoya une main en arrière,
saisit mon pénis et, d’un geste précis, l’amena au contact
de l’ouverture de ses reins. Geste audacieux qui me combla
de joie.
Enfin je forçais son œillet
qui m’affolait. J’allais et venais dans les reins de cette
superbe salope.
Je me retirais et l’emmanchais
avec encore plus de violence. Mes mains crochetées dans
ses hanches, je la sodomisais avec véhémence en une chevauchée
frénétique. Je possédais cette croupe qui m’affolait. Nous
étions en sueur, ma chemise collait à mon dos comme une
seconde peau. Dans le silence de la nuit on entendait que
mes cuisses qui claquaient contre ses fesses. Son cul allait
à ma rencontre, elle en redemandait et, moi je lui en donnais.
De voir mon sexe entrer et sortir de son anus, chauffé à
blanc, je sentais la sève monter de mes reins et, sans pouvoir
me retenir j’hurlai comme un animal sauvage. Le cri rauque
de Monica me fit écho, elle avait joui en même temps que
moi.
Nous restions immobiles, extasiés,
tremblant encore de plaisir. La tête de ma belle reposait
sur mon torse et, distraitement je caressais ses cheveux.
Monica s’endormait dans mes bras. Elle était belle ! J’étais
bien ! J’aurais voulu que cet instant ne finisse jamais.
Epuisé par le corps à corps torride, je tombais à mon tour
dans les bras de morphé.
- Freddy…Chéri…Réveil toi
! Lança une voix en me secouant l’épaule.
- Mmmmhh, Monica ! Marmonnais-je.
- Qui est cette…Monica ?
J’ouvrais les yeux en grands
et, j’avais le visage fermé de ma femme, au dessus de moi,
qui me dévisageait, plein de suspicions.
- Hein…Quoi…Quel jour somme
nous ?
- Jeudi, mon chérie…Et, il
fait très beau…Dépêches-toi ou tu vas être en retard. Me
dit ma femme en ouvrant les volets. C‘est qui cette fille
?
L’horreur ! (La situation
! Pas ma femme ! Ma femme est très jolie !) Je me lance
dans une explication ou il s’agit d’un rêve somme toute
érotique et, ma femme, voyant l’état de mon caleçon taché
:
- En tout cas, elle te fait
de l’effet, mon pauvre chéri ! Me dit elle en pouffant.
Ne trouvant rien à rétorquer,
je me réfugiais dans la salle de bain en haussant les épaules.
Un rêve, tout ça n’était qu’un
rêve ! Ma tête me faisait mal.
Je réfléchissais devant le
miroir, qui lui en faisant autant me renvoyant une image
d’un homme le visage plein de mousse à raser, se posant
plein de questions.
Et si c’était un rêve prémonitoire
? Un avant goût de la journée. Une mise en appétit, quoi
!
Je jetais un œil à ma montre,
8h00 du matin. Dans une heure j’en aurais le cœur net. Rêve
prémonitoire ou chimère ? Les mains nerveuses j’essayais
en vain de faire mon nœud de cravate quand ma femme est
venue à mon secours et, vérifiant une dernière fois mon
col de chemise :
- Ne me dis pas que c’est
ce rêve qui te met dans cet état. Je te sens nerveux…Me
cacherais tu quelque chose mon amour…Et tu ne m’as pas dis
qui est cette …Comment déjà…Ah, oui…Monica !
- Je ne sais pas… Je ne me
sens pas bien… Sûrement quelque chose qui ne passe pas.
Monica est une pure invention de mon subconscient. Je n’en
connais pas ! Mentais-je à la femme de ma vie.
Elle me cru, ou du moins
avait la délicatesse de ne pas pousser plus loin le débat.
Avalant mon café, je pris l’ascenseur pour me rendre à mon
garage et, je revis les images de la scène de l’ascenseur
avec ma belle stagiaire comme si je les avais réellement
vécues. Dans la voiture mon regard se posa sur le toit ouvrant
et, le film se projeta devant moi ou ma belle avait le premier
rôle. J’arrivais à l’établissement dans un crissement de
pneus.
N’en pouvant plus, je traversais
le parking en courant, le cœur battant la chamade. Plus
que quelques minutes ! Je longeais le couloir menant à la
salle de pose. Plus que quelques secondes ! Enfin, j’allais
savoir si ma belle allait tenir ses promesses. Je poussais
la porte, le petit groupe était au complet, elle était là,
assise, vêtue du même jean que la veille et, des mêmes baskets.
Elle me vit et me souriait
- Salut mon beau Freddy,
bien dormis ? fit ma belle latine avec une œillade assassine.
Je ne répondis pas et, partis
d’un fou rire nerveux. Bah, c’est peut être mieux ainsi
!
Superbe allumeuse, superbe
salope !
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