Une nuit par jeux,
ma fiancée a voulu m habillé en femme durant nos rapports
sexuels. Petit à petit, ce jeu c est accentué car après
la tenue, ce fut la perruque puis le maquillage. Sa façon
de m habiller changea aussi petit à petit, elle passa de
vêtements plutôt BCBG, avec des tailleurs sexy mais de coupes
classiques, à des tenues plus provocantes par la matière
ou la couleur, c est à dire beaucoup plus putes. J avais
honte d apparaître ainsi devant elle, mais cela m excitait
d être ainsi vêtu, et c était cela qui lui plaisait.
Après notre mariage, durant des mois, elle essaya de me
convaincre de sortir dans la rue ainsi travesti, que cela
serait très excitant pour nous deux. Mais comme je suis
de nature timide, j ai longtemps refusé, mais un jour que
j étais très excité, j ai accepté et depuis, de temps à
autre, nous sortons dans la rue tous les deux. Cela n a
lieu que le soir afin qu il y est peu de rencontre, car
elle a peur que dans le cas contraire je ne veuille plus
jouer. A chaque fois que je croise quelqu un j ai peur que
l on découvre que je suis un travesti. J ai honte mais c
est ce qui l amuse beaucoup.
Je dois d abord être habillé. A partir de cet instant, je
ne dois pas parler afin que l on ne découvre pas que je
suis un homme, et ainsi risquer de rompre le charme. Je
ne dois répondre qu au prénom de Virginie que j aime et
que je me suis choisi. Ma compagne se plait à me décrire
toutes les étapes de ma transformation en se moquant de
moi ou en me félicitant, par exemple que ce soir je serai
une belle salope bien bandante ou une chienne à enculer
très profondément.
Pour commencer, pour me rappeler que je ne dois me comporter
qu en la bonne chienne que j aime devenir, je dois me déshabiller
et me mettre à quatre pattes. C est elle qui a eu l idée
de me mettre dans cette position très humiliante, pour que
je puisse écarter les jambes et lui offrir mon cul. Elle
adore y introduire un long plug bien souple, ainsi à chaque
minute et à chaque seconde, je sentirai cet objet qui m
encule me rappelant ainsi ma fonction. Je dois ensuite me
remettre debout et l aider à m enfiler une culotte en latex
très serrée qui doit aplatir mon sexe entre mes jambes pour
que l on ne puisse remarquer que je suis un homme avec cette
bosse malgré les vêtements moulants. Elle me met des bas
résilles noirs qu elle attache à un porte-jarretelles en
vinyle qu elle met autour de ma taille. Pour que cela soit
toujours joli, toutes les semaines elle surveille que je
m épile les jambes correctement. Après elle m aide à mettre
une robe noire en maille brillante extensible à la fois
très moulante, très brillante et surtout très courte, qui
s arrête à peine à mi-cuisse c est à dire au ras de mes
bas, on voit même les jarretières qui dépassent ce que ma
femme trouve très sensuel. Pour que je ne puisse avoir honte
de porter ma robe, elle y glisse de gros seins en silicone
pour améliorer ma silhouette. Ces seins sont tellement ressemblants
et aplati par ma robe, que j ai l impression que ce sont
vraiment les miens. Pour compléter la tenue, je dois m assoire
et étendre mes jambes le temps qu elle me mette de longues
cuissardes noires en latex à talons hauts. Je dois attendre
qu elle les astique de longues minutes afin de bien les
faire briller.
Une fois la partie vestimentaire terminée, viens la partie
maquillage. Je doit me mettre bien droit pour qu elle puisse
s occuper de moi, mais à aucun moment je ne me vois dans
une glace, c est la surprise. D abord beaucoup de fond de
teint pour cacher les imperfections de ma peau d homme,
du rouge à lèvres vermillon très vif, du fard à paupières
rouge ou bleu et du mascara. Pour finir, de faux ongles
vernis en rouge, une longue perruque blonde et un collier
autour de mon cou pour cacher ma pomme d Adam. Ce n est
qu à ce moment là qu elle m autorise à me regarder dans
une glace. Je me trouve très belle et j aimerai me baiser
jusqu au fond.
C est vers les minuits, ou une heure du matin, qu elle décide
de sortir pour faire le tour du quartier et éventuellement
allez plus loin. Bien sur vu la fraîcheur, elle m a dis
d enfiler un Trench en PVC noir métallisé qui arrive juste
au ras de ma robe, ce qui offre une vue magnifique sur mes
jambes ; impossible que les hommes ne me remarque pas. Ma
femme aussi s est habillé très sexy, mais pour bien me rappeler
ma position, c est elle qui porte le pantalon de cuir. Ainsi
pas d erreur possible, c est bien moi la pute.
A cette heure nous ne croisons, heureusement, personne dans
l ascenseur et la proxénète qui m accompagne peut en profiter
pour bien voir si sa marchandise est belle et sexy ce soir.
Par exemple remettre ma perruque comme il faut ou rajuster
un sein récalcitrant. La sortie de l immeuble ce fait sans
encombre.
Nous faisons d abord un tour de notre immeuble pour que
je puisse me re-familiariser avec les talons hauts. Parfois
nous ne croisons personne, alors elle décide que l on prolonge
notre marche vers le centre ville, car elle veut que l on
puisse m admirer sinon ce n est pas amusant. A l approche
des quartiers plus animés, nous commençons par croiser des
personnes, seules ou en couples. Vu ma tenue, je sais qu
ils ne peuvent que me regarder, mais je n ose les regarder
en face, surtout que le plug dans mon anus me rend bien
plus humble.
Longtemps j avais eu beau être habillé comme une prostituer,
jamais je n avais eu de client. Ma femme savait que ce serait
pour moi la pire des humiliations mais elle attendait avec
impatience l occasion ou elle verrait sa pute faire vraiment
le tapin.
Bien sur, un jour est arrivé la catastrophe. Nous avons
croisé dans la rue un homme seul d une quarantaine d année
qui a engagé la conversation avec ma femme sur un sujet
futile. Amusée, elle s est rapproche de lui, alors que moi,
prudent, j était resté en retrait afin de ne pas me faire
trop remarquer, difficile vu mes vêtements. L homme avait
l air d avoir des idées derrière la tête, et une fois qu
ils eurent tout les deux échanger quelques banalités, ma
proxénète lui a demandé s il voulais que je lui fasse une
petite gâterie moyennant finance. J ai commencé à paniquer,
mais je ne devais pas parler car il risquait de découvrir
que j étais un travesti, ce qui aurait été catastrophique.
Je l ai vu m examiner d un il expert de la tête aux pieds,
son regard s est particulièrement porté sur mes jambes bottées.
J appréhendais sa réponse. Il s est retourné vers ma femme
et lui a demandé : « Combien ? ». Et voilà, la nuit que
je redoutais tant était peut être arrivée, surtout, rester
calme et ne rien dire. Elle lui a répondu : « C est 100
francs la fellation par Virginie. Mais il y a des conditions
très strictes : Interdiction de la touchée, que ce soit
le visage ou ailleurs, et de lui parler, de toute façon
elle a interdiction formelle de parler aux clients. Cela
vous conviens ? ». Ma femme ne voulait pas qu il découvre
la supercherie et surtout elle avait donné un prix suffisamment
bas pour être sur qu il accepte. L homme répondis simplement
: « D accord » et fouilla dans ses poches pour en ressortir
deux billets froissé qu il tendis à ma femme qui le glissa
dans son soutien-gorge pourtant très serré. Elle lui demanda
ensuite s il connaissait un coin tranquille ou l on ne serait
pas déranger pour notre affaire. Malheureusement pour moi,
il en connaissait un et nous y conduisit tout en discutant
avec ma femme de chose et d autre. Bien entendu je les ai
suivis en me préparant mentalement pour ce qui allait suivre.
Nous sommes arrivé dans une petite impasse très faiblement
éclairée. Ma femme s est tourné vers moi et m a dis : «
A genoux et prépare toi. Tu as un client ! » Penaud, j ai
exécuté cet ordre. J ai vu ma femme s approchée de lui et
lui caressée le sexe à travers son pantalon pour le mettre
en condition. Pendant que sa main caressé l entrejambe du
gars, elle a tourné la tête afin de me regarder toujours
à genoux et attendant la suite. D après le sourire qu elle
m a lancé, j ai compris que l homme bandé et que, dans quelques
instants, j allai devoir mettre cette queue dans ma bouche.
Elle lui a dit de s approcher de moi puis lui a débouclé
lentement son pantalon qui est retombé sur ses chaussettes.
J ai vus par la forme dans son slip qu il était très excité.
Enfin elle a fait glissé ce dernier bout de tissu sur ces
jambes libérant son sexe énorme qui s est tendu d un seul
coup vers moi. Ma femme s est à nouveau tourner vers moi
et c est avec son regard brillant et amusé, qu elle m a
dis de bien être consciencieuse.
Pour bien mettre de l ambiance, elle est passé derrière
moi puis a écarté les pans de ma veste pour bien mettre
en valeur ma poitrine, mais pas plus car il risquait de
voir les poils de mes bras. Ainsi dans la pénombre le gars
était persuadé ainsi d avoir à faire à une vraie femme.
L instant fatidique était là. L homme s est approché de
moi, sa queue s est naturellement présentée devant ma bouche,
et tremblant je l ai ouverte. Son gland, puis sa queue,
a pénétré ma gorge qui jusqu à présent était vierge. Honteux,
j ai du entamé de lents mouvements de vas et viens avec
ma bouche et ma langue tout le long de son sexe. Pour m
aider ma main droite lui tenais le sexe bien droit alors
que ma main gauche lui caressée les bourses.
Ma femme, toujours derrière moi, admirait sa pute au travaille,
excitée, elle m a remonter la robe afin de me palper les
fesses, elle a glissé une main dans mon slip en latex pour
manipuler le plug qui me défoncé depuis un moment. Son autre
main s est glissée sous mon Trench pour palper mes seins.
Ce supplice était extraordinaire, mais cela excitait encore
plus le gars qui croyait avoir droit à une séance gratuite
de gouinage. Pour ajouter à ma honte, elle lui a annoncé
: « Vous allez voir, ma pute est tellement salope qu elle
va avaler tout votre jus jusqu à la dernière goutte. N es-ce
pas Valérie ? » Ma bouche étant pleine, je n ai pu refuser.
L homme avait l air d être très heureux, au point qu il
a joui sans me prévenir et a déversé son sperme en longue
giclé au fond de ma gorge. J étais au bord de l étouffement,
mais je ne pouvais faire autrement que de le sucer jusqu
à ce que sa queue soit nettoyée de sa semence. Je préférais
cela, que lui montrer que la pute qui le suçait était un
travesti. Je savais qu il se moquerez de moi et que je risquais
de le rencontrer le jour, alors que là, il m appréciait
comme étant une belle putain qu il ne recroiserait peut-être
plus.
Une fois terminé, il a remonté son slip et son pantalon.
Ma femme, qui avait remis ma robe comme il faut, lui a demande
s il avait apprécié le travaille de sa soumise. Il a répondu
que oui et qu il aimerait recommencer. Voyant là l occasion
de pouvoir me voir tapiner régulièrement, elle lui a demandé
son numéro de téléphone et lui a promis qu il resterait
un client privilégié.
Nous l avons quitté, moi honteux avec le goût du sperme
dans ma bouche, mais ma femme heureuse de m avoir enfin
transformer en vrai réservoir à foutre tout en y gagnant
de l argent. Elle m a dit : « Alors ma chienne, cela ta
fait du bien ? Tu as de la chance, c était un bon client,
il faudra que je t emmène de nouveau vers lui. Et ne me
dis pas non, sinon je serai obligé de te trouver des clients
sur les boulevards ou dans les bois. Comme tu as l air d
être plutôt doué cela ne sera pas difficile, et peut-être
que je trouverai un homme qui serait d accord pour défoncer
ton cul de petit pédé » Après de tel remarque, comment refuser
de revoir cet homme dans le noir qui ne pourrait me reconnaître.
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