C’était en septembre il y a un an. L’été indien
s’éternisait sur Paris. L’utilisation des transports publics
devenait un vrai calvaire. Des dizaines de personnes entassées
dans des bus surchauffés par le soleil ardent…
Ce jour là j’avais décidé
de prendre le bus plutôt que le métro pour, de gare Montparnasse,
rejoindre la Gare de Lyon en me disant bêtement que ce moyen
de transports serait moins pris d’assaut. Je déchantais
très vite en découvrant la cohue et la foule et m’apprêtais
à descendre à l’arrêt suivant quand un mouvement de « foule
» dans le véhicule amena à ma droite la femme la plus sexy
que j’ai vu de ma vie.
Pas à proprement parler un
mannequin. Non. C’était ce que les imbéciles appellent une
femme forte. Je considère personnellement que ce sont les
plus belles.
Elle était rousse avec des
reflets blonds très doux. Des yeux bleus très profonds.
Aucun maquillage ne venait souligner son visage. Plus petite
que moi mais plus grande que la moyenne. Elle portait un
sac et un appareil photos. Une touriste allemande ou hollandaise
sans doute. De sa légère robe longue saillait une poitrine
généreuse. Le coton avait du mal à retenir deux tétons arrogants
paraissant taillé dans le marbre tant ils semblaient transpercer
le vêtement. A l’évidence la poitrine sous la robe était
libre de toute entrave… Continuant à la détailler sans vergogne
je remarquai alors que cette robe épousait au plus près
les courbes de son corps, moulant l’arrondi de son ventre
de façon indécente.
Mais le détail qui acheva
de m’exciter fut ses hanches libres elles aussi de tout
sous-vêtement. Des hanches larges pleines et rondes. Cette
quasi-nudité en public, la chaleur et le mouvement régulier
du bus me firent bouillir les sangs.
Je n’avais plus qu’une idée
en tête : Toucher cette femme offerte sous sa robe quels
qu’en soient les risques. Cela m’était déjà arrivé de fantasmer
mais c’est la première fois que j’allais concrétiser.
Nous étions tous les deux
collés contre la vitre latérale. D’un geste vif mais discret
je posais ma main sur sa hanche droite, comme par accident…
mais le laissais ainsi. Elle eut un léger sursaut, mais
ne se tourna pas vers moi. Devant nous un vieux couple devisait
du temps inconscient de mon trouble. Je ne pouvais pas m’arrêter
en si bon chemin.
Le souffle court, avec un
mouvement lent et régulier je commence à caresser sa hanche.
Elle n’a plus maintenant aucun doute sur les intentions
de cette main sur son corps. Mais elle n’a toujours aucune
réaction perceptible. Même sa respiration reste régulière.
Cette absence de réaction me vexe et m’excite en même temps
: « Quoi ? Tu m’ignores ma belle ? Attends.. tu vas voir
»
Délaissant sa hanche je dirige
mes caresses vers ses fesses. Mais la manœuvre est difficile
car celles-ci reposent sur l’appui de la vitre. Et là le
miracle se produit au moment où je suis incapable d’aller
plus loin : D’elle-même la madone s’écarte, libérant ainsi
le passage à ma main.
Cet encouragement silencieux
achève de déclencher chez moi une érection douloureuse.
Je prends en main ses fesses, les malaxe, les pince. Comme
je l’avais deviné elle ne porte pas de culotte… Pendant
tout ce temps, et comme elle, je tente avec plus ou moins
de succès de garder un visage impassible et de regarder
de l’autre coté. Pourtant en jetant un regard furtif vers
son visage je constate que ses narines sont plus dilatées,
que sa poitrine se soulève un peu plus vite. Peut être parce
que ma main vient d’atteindre la raie de son cul… En descendant
encore un peu je pourrais caresser son œillet. Une nouvelle
fois elle vient à mon aide en se penchant assez pour écarter
ses fesses et faciliter ma caresse. Je saute sur l’occasion
et, toujours à travers le tissu, descends ma main, pose
mon index sur son anus. Là, au lieu d’une résistance de
l’anneau je sens sous mon doigt comme un relâchement… La
belle est non seulement excitée mais elle a un désir coupable…
Cette découverte et la situation manquent de me faire éjaculer.
Après quelques secondes censées
laisser passer l’orage, je préfère faire l’impasse sur son
fondement ; A l’époque j’étais puceau (à ce niveau en tout
cas) ; et je continue mon exploration. Je veux maintenant
toucher sa chatte à travers la robe. Un nouvel arrêt du
bus, trois passagers de plus et nous sommes collés l’un
à l’autre. En pliant les genoux je suis placé pour terminer
ma visite. Ma main atteint sa chatte et pour la troisième
fois elle me vient en aide en écartant ses jambes. Heureusement
qu’elle se retient à une poignée … A travers le coton je
palpe la fleur de l’inconnue ; Elle est gonflée ; et humide
je le sens sous mes doigts. Je sens aussi que ses hanches
bougent au rythme de mes caresses sur son minou. J’entame,
en effet, un mouvement de la main de bas en haut pour éprouver
et agacer ses lèvres. Ses paupières sont mi-closes ; elle
se mord les lèvres. A coté de moi deux jeunes lycéennes
discutent de leurs nouveaux profs. Elles ne peuvent deviner
que je viens d’écarter les lèvres de ma voisine à la recherche
de son bouton. Il est là, gonflé, légèrement palpitant sous
mes caresses. Je le fais rouler sous mes doigts ; le pince.
J’ai mon index sur son clito et mon pouce posé sur l’entrée
de son cul. Mes mouvements sur son clitoris s’accélèrent
et pour la deuxième fois je dois me maîtriser car la belle
vient de jouir. Je le sens aux contractions des muscles
de ses cuisses plus rapprochées et au fait que le bout de
mes doigts sont eux aussi humides.
Après quelques secondes et
pour la première fois elle me regarde avec un sourire vague
mais une expression sauvage dans le regard… Sans que je
m’en rende compte sa main se lève. J’éprouve comme une décharge
électrique. Elle est sur mon pantalon, tendu à craquer par
l’excitation. Ses doigts se posent sur ma bite elle semble
évaluer le morceau. Ses yeux sont rivés dans les miens.
Ils semblent vouloir me dire quelque chose. Les doigts sur
mon sexe se font plus caressants, entament une masturbation
démoniaque. Je décide alors de prendre les choses en mains..
Tant pis je vais sûrement
rater le 18h07 pour Melun mais je ne vivrais plus si je
laisse passer l’occasion de posséder cette femelle autrement
qu’à travers sa robe.
A l’arrêt suivant je la prends
par le bras et la fais sortir du bus. Elle me suit sans
résistance. Où allons nous bien pouvoir baiser tranquilles
??
La rue, à l’arrêt du bus,
est étrangement calme. Nous sommes descendus pas loin de
Bastille. La séance dans le bus m’a mis les sens en feu.
Je suis dans un état qui pourrait me faire arrêter pour
outrage aux bonnes mœurs. Ma partenaire, elle, est tremblante
encore de son orgasme en public. J’ai réveillé chez elles
des démons bien sympathiques.
Il s’agit maintenant de concrétiser
toutes ces belles intentions. Mais Où ? ? ?
La chaleur étouffante augmente
encore notre tension. Mon cerveau tourne à cent à l’heure
pour trouver un lieu propice à nos ébats.
J’avise alors un vieil immeuble
avec une porte cochère sans digicode. Tenant toujours la
belle par la main, je m’engouffre dans la porte et la referme
derrière nous.
Nous nous retrouvons alors
dans un porche frais sombre et désert. Une poubelle et ce
qui semble être un tas de tissus Je la regarde quelques
secondes, afin d’être sur de ses intentions. Elle est légèrement
essoufflée par notre courte course. Quelques gouttes de
sueur perlent sur son front et ses bras nus. Mais ses yeux
brillants trahissent une excitation intacte. Je me rapproche.
Elle fait de même. Nous échangeons un baiser torride. Nos
dents se choquent puis nos langues se mêlent. Mes mains
repartent à la découverte de son corps. Ses tétons sont
durs et sensibles sous mes doigts. A chacune de mes caresses
sur ses seins elle émet un soupir qui me bouleverse. Son
ventre collé au mien semble vivre une existence propre ;
elle se frotte avec ardeur à mon sexe.
Je veux de nouveau caresser
son sexe mais elle me repousse et s’accroupit en relevant
avec indécence sa jupe longue. Ses cuisses blanches et pleines
sont comme un appel au viol. Elle frotte son visage puis
sa bouche contre ma braguette. Puis avec rapidité dégrafe
les boutons de mon jean. Elle caresse, à travers le fin
tissu du caleçon, mon sexe qui n’en a plus besoin depuis
longtemps. Elle a décidé de faire durer le plaisir mais
je libère d’autorité mon sexe car un habitant de l’immeuble
risque à chaque instant de nous découvrir. Elle enfourne
ma bite dans sa bouche avec un naturel déroutant. Il y a
20 minutes cette femme m’était totalement inconnue. Et maintenant
elle m’administre une fellation digne d’une geisha. Elle
m’avale jusqu’au bout. Son nez touche la peau de mon ventre
et mon gland est au fond de sa gorge ; puis entame un lent
va et vient. Je me mords les lèvres pour ne pas crier de
bonheur. Ses joues se creusent sous l’effort. Je sens les
petits mouvements de sa langue pointue sur le bout de ma
queue.
Je suis au bord de l’irréparable.
Mais je préfère la faire se relever car j’ai d’autres projets
en tête. Elle paraît surprise par mon attitude mais docilement
se retourne sans un mot. Elle a compris. En prenant appui
des deux mains sur le mur du porche elle me tend ses fesses.
Je relève sa jupe jusqu’a la taille. Son cul est large ;
ses fesses rondes et fermes ; l’œillet violacé et légèrement
entrouvert de son anus me considère avec curiosité. Et,
pour la première fois, je vois son sexe. Une épaisse toison
rousse attire le regard. Des poils drus mais doux au toucher.
Ses lèvres gonflées et roses sont luisantes de son humidité.
Le clitoris ressemble à une petite bite tant l’excitation
en a décuplé le volume. Prestement je fouille les poches
de ma chemisette et découvre un préservatif qui ne me quitte
jamais. Fébrilement je déchire l’emballage et le déroule
d’une main sur ma queue. Je place mon sexe à l’entrée de
son ventre.
Pour faire durer le plaisir
et l’agacer un peu plus je le frotte sur ses lèvres et son
clitoris. Puis, avec un « han » de bûcheron, je m’enfonce
en elle d’une traite. Mon pubis cogne contre ses fesses
dures. Elle pousse un soupir que j’espère d’extase. Mes
mains sont crochés à ses hanches Son ventre chaud, semble
contenir des milliers de petits doigts qui agace mon gland.
Je me retire complètement. Ma queue ressort luisante de
sa mouille. Une seconde fois je m’enfonce en elle. Et simultanément
j’enfonce lentement mon index dans son cul. Il me semble
alors que sa chatte est inondée tant elle mouille ; Je me
retire une troisième fois. Mais avant que je puisse m’enfoncer
en elle une troisième fois elle s’empale d’elle-même sur
moi avec un râle animal. C’est elle qui va et vient comme
sur un axe.
Elle est, je le sais, au bord
de l’orgasme sous l’effet de ma queue en elle, de mon index
qui viole ses fesses et de la situation extrêmement érotique.
De fait depuis les caresses du bus une vilaine idée me trotte
dans la tête. Je retire ma queue de son ventre et avec douceur
mais fermeté la fait glisser de quelques centimètres plus
haut. Prendre sa chatte a été pour moi uniquement l’occasion
de lubrifier mon sexe.
Maintenant je n’ai plus qu’un
but dans la vie : L’enculer.
Penchée en avant elle me tend
sa croupe de rêve. Elle a compris mes intentions et pour
me faire comprendre qu’elle accepte, elle écarte sans un
mot ses fesses, libérant un peu plus le passage.
D’un mouvement de rein précis
je commence à forcer la résistance de ses chairs.
Ma verge s’enfonce centimètres
par centimètres distendant les parois étroites. Elle se
tord, rue, comme pour faciliter ma pénétration ; marmonne
des mots sans suite.
Une fois totalement englouti
en elle je m’immobilise quelques secondes pour reprendre
mon souffle et calmer un orgasme qui ne saurait tarder.
Elle se cambre encore un peu
plus avec un feulement rauque, emmanchée à fond. Et c’est
le signal.
Doucement mais fermement j’entame
un va et vient.
Chaque pénétration semble
écarter un peu plus ses parois les plus intimes.
Elle crie maintenant a chaque
fois que je la possède et se caresse le clitoris.
Ses fesses sont prises de
frémissements puis se cambrent spasmodiquement, accompagnant
mes coups de boutoir.
Elle est soudain secouée d’un
spasme si violent qu’elle manque de m’arracher d’elle. Elle
vient de jouir
Secoué par l’onde de choc
je crispe mes doigts sur la chair ferme de ses fesses.
Ne pouvant plus me retenir
je glisse jusqu’a ses seins, les dénude et les saisis en
tordant les pointes.
J’explose alors dans ses reins
avec un cri sauvage…… ébloui de plaisir.
Quelques instants plus tard
après nous être rajustés. Je veux lui parler. Mais elle
me fait signe qu’elle ne veut pas. Puis sans crier gare
elle saute sur la porte cochère et s’enfuie à toutes jambes
dans la rue.
Avant que j’aie atteint cette
porte elle a déjà tourné à l’angle. Quand moi-même j’y arrive
elle s’est perdue dans la foule.
Pendant une heure je l’ai
cherché ce soir là. En vain
Les jours suivants j’ai repris
le même bus espérant retrouver ma touriste. Sans aucun résultat.
Je ne fus pas à proprement
parler inconsolable. Mais plutôt frustré de ne pas pouvoir
la revoir. De ne pouvoir une fois encore la caresser, lui
souffler des mots tendres a l’oreille
Mais plus que tout j’ai deux
regrets :
Ne pas avoir entendu sa voix.
Et ne pas connaître son prénom. Elle est pour moi « Maria
la madone du bus 121 »
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