TITRE : La madonne du bus 121
Catégorie : 
Histoire avec un e inconnu e

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C’était en septembre il y a un an. L’été indien s’éternisait sur Paris. L’utilisation des transports publics devenait un vrai calvaire. Des dizaines de personnes entassées dans des bus surchauffés par le soleil ardent…
     Ce jour là j’avais décidé de prendre le bus plutôt que le métro pour, de gare Montparnasse, rejoindre la Gare de Lyon en me disant bêtement que ce moyen de transports serait moins pris d’assaut. Je déchantais très vite en découvrant la cohue et la foule et m’apprêtais à descendre à l’arrêt suivant quand un mouvement de « foule » dans le véhicule amena à ma droite la femme la plus sexy que j’ai vu de ma vie.
     Pas à proprement parler un mannequin. Non. C’était ce que les imbéciles appellent une femme forte. Je considère personnellement que ce sont les plus belles.

     Elle était rousse avec des reflets blonds très doux. Des yeux bleus très profonds. Aucun maquillage ne venait souligner son visage. Plus petite que moi mais plus grande que la moyenne. Elle portait un sac et un appareil photos. Une touriste allemande ou hollandaise sans doute. De sa légère robe longue saillait une poitrine généreuse. Le coton avait du mal à retenir deux tétons arrogants paraissant taillé dans le marbre tant ils semblaient transpercer le vêtement. A l’évidence la poitrine sous la robe était libre de toute entrave… Continuant à la détailler sans vergogne je remarquai alors que cette robe épousait au plus près les courbes de son corps, moulant l’arrondi de son ventre de façon indécente.
     Mais le détail qui acheva de m’exciter fut ses hanches libres elles aussi de tout sous-vêtement. Des hanches larges pleines et rondes. Cette quasi-nudité en public, la chaleur et le mouvement régulier du bus me firent bouillir les sangs.
     Je n’avais plus qu’une idée en tête : Toucher cette femme offerte sous sa robe quels qu’en soient les risques. Cela m’était déjà arrivé de fantasmer mais c’est la première fois que j’allais concrétiser.
     Nous étions tous les deux collés contre la vitre latérale. D’un geste vif mais discret je posais ma main sur sa hanche droite, comme par accident… mais le laissais ainsi. Elle eut un léger sursaut, mais ne se tourna pas vers moi. Devant nous un vieux couple devisait du temps inconscient de mon trouble. Je ne pouvais pas m’arrêter en si bon chemin.

     Le souffle court, avec un mouvement lent et régulier je commence à caresser sa hanche. Elle n’a plus maintenant aucun doute sur les intentions de cette main sur son corps. Mais elle n’a toujours aucune réaction perceptible. Même sa respiration reste régulière. Cette absence de réaction me vexe et m’excite en même temps : « Quoi ? Tu m’ignores ma belle ? Attends.. tu vas voir »
     Délaissant sa hanche je dirige mes caresses vers ses fesses. Mais la manœuvre est difficile car celles-ci reposent sur l’appui de la vitre. Et là le miracle se produit au moment où je suis incapable d’aller plus loin : D’elle-même la madone s’écarte, libérant ainsi le passage à ma main.

     Cet encouragement silencieux achève de déclencher chez moi une érection douloureuse. Je prends en main ses fesses, les malaxe, les pince. Comme je l’avais deviné elle ne porte pas de culotte… Pendant tout ce temps, et comme elle, je tente avec plus ou moins de succès de garder un visage impassible et de regarder de l’autre coté. Pourtant en jetant un regard furtif vers son visage je constate que ses narines sont plus dilatées, que sa poitrine se soulève un peu plus vite. Peut être parce que ma main vient d’atteindre la raie de son cul… En descendant encore un peu je pourrais caresser son œillet. Une nouvelle fois elle vient à mon aide en se penchant assez pour écarter ses fesses et faciliter ma caresse. Je saute sur l’occasion et, toujours à travers le tissu, descends ma main, pose mon index sur son anus. Là, au lieu d’une résistance de l’anneau je sens sous mon doigt comme un relâchement… La belle est non seulement excitée mais elle a un désir coupable… Cette découverte et la situation manquent de me faire éjaculer.

     Après quelques secondes censées laisser passer l’orage, je préfère faire l’impasse sur son fondement ; A l’époque j’étais puceau (à ce niveau en tout cas) ; et je continue mon exploration. Je veux maintenant toucher sa chatte à travers la robe. Un nouvel arrêt du bus, trois passagers de plus et nous sommes collés l’un à l’autre. En pliant les genoux je suis placé pour terminer ma visite. Ma main atteint sa chatte et pour la troisième fois elle me vient en aide en écartant ses jambes. Heureusement qu’elle se retient à une poignée … A travers le coton je palpe la fleur de l’inconnue ; Elle est gonflée ; et humide je le sens sous mes doigts. Je sens aussi que ses hanches bougent au rythme de mes caresses sur son minou. J’entame, en effet, un mouvement de la main de bas en haut pour éprouver et agacer ses lèvres. Ses paupières sont mi-closes ; elle se mord les lèvres. A coté de moi deux jeunes lycéennes discutent de leurs nouveaux profs. Elles ne peuvent deviner que je viens d’écarter les lèvres de ma voisine à la recherche de son bouton. Il est là, gonflé, légèrement palpitant sous mes caresses. Je le fais rouler sous mes doigts ; le pince. J’ai mon index sur son clito et mon pouce posé sur l’entrée de son cul. Mes mouvements sur son clitoris s’accélèrent et pour la deuxième fois je dois me maîtriser car la belle vient de jouir. Je le sens aux contractions des muscles de ses cuisses plus rapprochées et au fait que le bout de mes doigts sont eux aussi humides.

     Après quelques secondes et pour la première fois elle me regarde avec un sourire vague mais une expression sauvage dans le regard… Sans que je m’en rende compte sa main se lève. J’éprouve comme une décharge électrique. Elle est sur mon pantalon, tendu à craquer par l’excitation. Ses doigts se posent sur ma bite elle semble évaluer le morceau. Ses yeux sont rivés dans les miens. Ils semblent vouloir me dire quelque chose. Les doigts sur mon sexe se font plus caressants, entament une masturbation démoniaque. Je décide alors de prendre les choses en mains..
     Tant pis je vais sûrement rater le 18h07 pour Melun mais je ne vivrais plus si je laisse passer l’occasion de posséder cette femelle autrement qu’à travers sa robe.
     A l’arrêt suivant je la prends par le bras et la fais sortir du bus. Elle me suit sans résistance. Où allons nous bien pouvoir baiser tranquilles ??
     La rue, à l’arrêt du bus, est étrangement calme. Nous sommes descendus pas loin de Bastille. La séance dans le bus m’a mis les sens en feu. Je suis dans un état qui pourrait me faire arrêter pour outrage aux bonnes mœurs. Ma partenaire, elle, est tremblante encore de son orgasme en public. J’ai réveillé chez elles des démons bien sympathiques.
     Il s’agit maintenant de concrétiser toutes ces belles intentions. Mais Où ? ? ?
     La chaleur étouffante augmente encore notre tension. Mon cerveau tourne à cent à l’heure pour trouver un lieu propice à nos ébats.
     J’avise alors un vieil immeuble avec une porte cochère sans digicode. Tenant toujours la belle par la main, je m’engouffre dans la porte et la referme derrière nous.

     Nous nous retrouvons alors dans un porche frais sombre et désert. Une poubelle et ce qui semble être un tas de tissus Je la regarde quelques secondes, afin d’être sur de ses intentions. Elle est légèrement essoufflée par notre courte course. Quelques gouttes de sueur perlent sur son front et ses bras nus. Mais ses yeux brillants trahissent une excitation intacte. Je me rapproche. Elle fait de même. Nous échangeons un baiser torride. Nos dents se choquent puis nos langues se mêlent. Mes mains repartent à la découverte de son corps. Ses tétons sont durs et sensibles sous mes doigts. A chacune de mes caresses sur ses seins elle émet un soupir qui me bouleverse. Son ventre collé au mien semble vivre une existence propre ; elle se frotte avec ardeur à mon sexe.
     Je veux de nouveau caresser son sexe mais elle me repousse et s’accroupit en relevant avec indécence sa jupe longue. Ses cuisses blanches et pleines sont comme un appel au viol. Elle frotte son visage puis sa bouche contre ma braguette. Puis avec rapidité dégrafe les boutons de mon jean. Elle caresse, à travers le fin tissu du caleçon, mon sexe qui n’en a plus besoin depuis longtemps. Elle a décidé de faire durer le plaisir mais je libère d’autorité mon sexe car un habitant de l’immeuble risque à chaque instant de nous découvrir. Elle enfourne ma bite dans sa bouche avec un naturel déroutant. Il y a 20 minutes cette femme m’était totalement inconnue. Et maintenant elle m’administre une fellation digne d’une geisha. Elle m’avale jusqu’au bout. Son nez touche la peau de mon ventre et mon gland est au fond de sa gorge ; puis entame un lent va et vient. Je me mords les lèvres pour ne pas crier de bonheur. Ses joues se creusent sous l’effort. Je sens les petits mouvements de sa langue pointue sur le bout de ma queue.

     Je suis au bord de l’irréparable. Mais je préfère la faire se relever car j’ai d’autres projets en tête. Elle paraît surprise par mon attitude mais docilement se retourne sans un mot. Elle a compris. En prenant appui des deux mains sur le mur du porche elle me tend ses fesses. Je relève sa jupe jusqu’a la taille. Son cul est large ; ses fesses rondes et fermes ; l’œillet violacé et légèrement entrouvert de son anus me considère avec curiosité. Et, pour la première fois, je vois son sexe. Une épaisse toison rousse attire le regard. Des poils drus mais doux au toucher. Ses lèvres gonflées et roses sont luisantes de son humidité. Le clitoris ressemble à une petite bite tant l’excitation en a décuplé le volume. Prestement je fouille les poches de ma chemisette et découvre un préservatif qui ne me quitte jamais. Fébrilement je déchire l’emballage et le déroule d’une main sur ma queue. Je place mon sexe à l’entrée de son ventre.
     Pour faire durer le plaisir et l’agacer un peu plus je le frotte sur ses lèvres et son clitoris. Puis, avec un « han » de bûcheron, je m’enfonce en elle d’une traite. Mon pubis cogne contre ses fesses dures. Elle pousse un soupir que j’espère d’extase. Mes mains sont crochés à ses hanches Son ventre chaud, semble contenir des milliers de petits doigts qui agace mon gland. Je me retire complètement. Ma queue ressort luisante de sa mouille. Une seconde fois je m’enfonce en elle. Et simultanément j’enfonce lentement mon index dans son cul. Il me semble alors que sa chatte est inondée tant elle mouille ; Je me retire une troisième fois. Mais avant que je puisse m’enfoncer en elle une troisième fois elle s’empale d’elle-même sur moi avec un râle animal. C’est elle qui va et vient comme sur un axe.
     Elle est, je le sais, au bord de l’orgasme sous l’effet de ma queue en elle, de mon index qui viole ses fesses et de la situation extrêmement érotique. De fait depuis les caresses du bus une vilaine idée me trotte dans la tête. Je retire ma queue de son ventre et avec douceur mais fermeté la fait glisser de quelques centimètres plus haut. Prendre sa chatte a été pour moi uniquement l’occasion de lubrifier mon sexe.

     Maintenant je n’ai plus qu’un but dans la vie : L’enculer.
     Penchée en avant elle me tend sa croupe de rêve. Elle a compris mes intentions et pour me faire comprendre qu’elle accepte, elle écarte sans un mot ses fesses, libérant un peu plus le passage.
     D’un mouvement de rein précis je commence à forcer la résistance de ses chairs.
     Ma verge s’enfonce centimètres par centimètres distendant les parois étroites. Elle se tord, rue, comme pour faciliter ma pénétration ; marmonne des mots sans suite.
     Une fois totalement englouti en elle je m’immobilise quelques secondes pour reprendre mon souffle et calmer un orgasme qui ne saurait tarder.
     Elle se cambre encore un peu plus avec un feulement rauque, emmanchée à fond. Et c’est le signal.
     Doucement mais fermement j’entame un va et vient.
     Chaque pénétration semble écarter un peu plus ses parois les plus intimes.
     Elle crie maintenant a chaque fois que je la possède et se caresse le clitoris.
     Ses fesses sont prises de frémissements puis se cambrent spasmodiquement, accompagnant mes coups de boutoir.
     Elle est soudain secouée d’un spasme si violent qu’elle manque de m’arracher d’elle. Elle vient de jouir
     Secoué par l’onde de choc je crispe mes doigts sur la chair ferme de ses fesses.
     Ne pouvant plus me retenir je glisse jusqu’a ses seins, les dénude et les saisis en tordant les pointes.
     J’explose alors dans ses reins avec un cri sauvage…… ébloui de plaisir.

     Quelques instants plus tard après nous être rajustés. Je veux lui parler. Mais elle me fait signe qu’elle ne veut pas. Puis sans crier gare elle saute sur la porte cochère et s’enfuie à toutes jambes dans la rue.
     Avant que j’aie atteint cette porte elle a déjà tourné à l’angle. Quand moi-même j’y arrive elle s’est perdue dans la foule.
     Pendant une heure je l’ai cherché ce soir là. En vain
     Les jours suivants j’ai repris le même bus espérant retrouver ma touriste. Sans aucun résultat.
     Je ne fus pas à proprement parler inconsolable. Mais plutôt frustré de ne pas pouvoir la revoir. De ne pouvoir une fois encore la caresser, lui souffler des mots tendres a l’oreille
     Mais plus que tout j’ai deux regrets :
     Ne pas avoir entendu sa voix. Et ne pas connaître son prénom. Elle est pour moi « Maria la madone du bus 121 »

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