Me voici mon chéri, c'est moi, ta femme depuis
maintenant 3 ans. A moi de laisser mon empreinte sur ce
site que tu apprécies tant.
Une nouvelle fois ton travail
à eu raison de nos vacances, à peine 4 jours ensemble et
te voila reparti me laissant avec ton ami Jean Pierre et
sa nouvelle amie Léa . Tu sais pourtant que j'apprécie moyennement
JP mais tu as insisté pour que je reste jusqu'à ton retour
le week-end prochain, pour le 15 Août. Je le trouve macho,
sur de lui et plutôt grossier, mais il est vrai que je m'entends
bien avec Léa et c'est ce qui a fait pencher la balance.
Elle est plus jeune que lui, 26 ans, belle jeune fille,
lui c'est un dragueur son regard se porte toujours sur les
femmes, même la tienne ! Mais cela te gêne t'il vraiment
? Sa maison est proche de la côte, au calme, avec une piscine,
enfin tout ce qu'il faut. Tu nous as quitté le dimanche
soir, le lendemain après une journée de plage, nous avons
dîné tous les trois et prétextant des maux de tête je suis
montée dans ma chambre, les laissant seuls tous les deux.
La nuit tombée et n'arrivant toujours pas à dormir dû à
la chaleur suffocante, je suis allé à la cuisine chercher
une bouteille d'eau. Une fois descendu j'ai entendu des
chuchotements qui provenaient de la terrasse et me faisant
la plus silencieuse possible je me suis approchée. Ils étaient
là tous les deux, assis en face de moi sur le petit canapé
de jardin et ils discutaient. Profitant de l'obscurité de
la maison je suis arrivée assez proche d'eux pour les entendre.
- Luc (toi donc) a un boulot
si prenant ?
- Oui, Léa, assez prenant.
- Pas marrant pour Carole.
- Elle se fait une raison.
- En parlant de Carole, je
trouve que tu la mattes pas mal.
Ils parlaient de moi et bien
sûr cela devenait intéressant.
- Peut-être, oui, je la connais
depuis longtemps.
- Elle te plait non ?
- Pourquoi cette question
jalouse ?
- Non tu me connais mais....
elle a de gros seins au contraire de moi.
- Et alors ?
- Et alors tu la sauterais
bien
Je me faisais toute petite,
derrière le rideau de la porte fenêtre, ils ne pouvaient
me voir.
- Mais quelle femme ne sauterais
tu pas ??
- Arrêtes Léa
- Et elle, tu crois qu'elle
pourrait craquer pour ce corps musclé ?
C'est vrai que JP a un corps
d'athlète, ce qu'il a été plus jeune et, pour tout arranger,
il est assez beau gosse, mais ce sont les seuls points positifs.
- Je sais pas Léa, c'est
la femme de mon ami.
Quel menteur plusieurs fois
j'ai du refuser ses avances, tu le sais mon chéri je t'en
ai parlé, mais cela t'a à peine effleuré.
- Tu les aimes mes seins,
même s'ils sont petits ?
Joignant le geste à la parole
Léa lui prit la main et la posa sur sa poitrine.
- Tu le sais bien j'en suis
fou.
- Alors occupes toi d'eux.
Elle n'avait pas froid aux
yeux. JP passa sa main sous le petit caraco et lui caressait
les seins. De suite j'ai entendu Léa lâché de grands soupirs
et sa main se poser sur le short de ton ami.
- Dis moi c'est le fait de
parler de Carole qui te met dans cet état ?
Il ne lui a pas répondu et
l'a embrassée avec fougue. Pendant un moment j'ai voulu
remonter dans ma chambre, honteuse de les épier, mais la
curiosité et la peur de faire du bruit m'ont dissuadés.
- Non c'est toi qui me fait
bander.
- Et bien bander même.
- Suces moi, ça va me calmer.
Je tiens à te rappeler que
j'emploie les mots qu'ils ont utilisés.
Etant assise elle se mit sur
le côté et remontant ses jambes sur le canapé, approcha
son visage du bas ventre de son homme. Ses doigts ont descendu
la braguette et sa main a disparu dans le short. Lui relevant
une jambe, JP a de suite placé sa main entre les cuisses
de Léa et la caressait avec vigueur.
- Oui, JP, juste la oui...
Il a levé ses fesses et Léa
a fait glisser son short, puis son slip. C'est un sexe de
belle taille qui a jailli devant son visage. J'etais stupéfaite
de la grosseur de sa queue, de sa longueur aussi. Je n'aurais
jamais imaginé JP avec un si gros pénis.
- Prends la dans ta bouche
suces moi
Il l'encourageait, les yeux
de Léa trahissaient son état. C'est vrai qu'un sexe de cette
taille ce n'est pas courant et sortant sa langue elle a
commencé à lui lécher le gland comme une glace. Sa main
branlait sa tige et ses lèvres, sa langue se posait sur
son gland. Elle le léchait, l'embrassait.
- Hummm j'adore ta queue
Jean
- Je sais que tu l'aimes vicieuse,
pompes moi bien.
Je retrouvais là ce JP qui
me révulsait, macho, vulgaire, mais il est vrai que dans
cette situation cocasse, les mots avaient peu d'importance.
Léa avait le membre dans la bouche, je pouvais entendre
les bruits de succion. Ses joues se creusaient, d'une main
elle le branlait de l'autre lui caressait les bourses.
- Humm oui continues vide
moi... tu aimes que je te branle ta petite chatte ?
- Oui hummm continues lui
répondit elle en laissant quelques secondes cette colonne
de chair.
JP continuait à la caresser,
il écartait son bas de maillot et je voyais ses doigts pénétrer
le sexe de Léa. Sexe qu'elle avait complètement épilé, alors
que moi je laisse toujours une petite touffe sur le pubis.
Tu aimes n'est ce pas ? Tu me l'as demandé combien de fois
pour que mes lèvres soient lisses ?
D'ailleurs en parlant de moi
je ne te cache pas que de les voir m'exciter terriblement,
ne portant qu'un long tee-shirt et une culotte, je sentais
mon minou s'humidifier de minute en minute.
- Oui Léa hummm vide moi
les couilles, tu suces comme une reine.
Il est vrai qu'elle mettait
du cœur à l'ouvrage et elle y prenait un réel plaisir.
- Hummm oui hummm
Elle gémissait sous les caresses
de son homme et les mots orduriers qu'il lui adressait l'excitaient
- Allez ma belle avale la
en entier
Vu la grosseur de l'engin
il était impossible de l'avaler en entier, mais Léa faisait
tout pour y arriver.
- Voila oui ma salope suce
la, oui
- Hummm oui
- Tu aimes mes doigts dans
ta chatte dis le moi.
- Oui continue branle moi
la chatte.
De l'entendre employer ce
genre de mot ne m'a même pas surprise. Encore moins lui.
- Je vais m'occuper de ton
cul, tu veux ?
Lâchant la queue.
- Oui ouvres mon cul.
Elle m'étonnait quand même
et encore plus surprise quand elle se mit a quatre pattes
sur le canapé.
- Lèche mon doigt ma belle
Il lui mit ses doigts dans
la bouche, Léa les suçait comme des petites bites.
- Demandes le moi, comme
une salope que tu es.
Je trouvais qu'il abusait
mais cela n'offusquait pas Léa.
- Oui JP mets les moi dans
le cul, encules moi avec.
Elle me surprenait de plus
en plus et elle n'a pas bronché quand JP lui a mis son majeur
en entier dans les fesses.
- Voila il est là où tu aimes.
- humm oui
Léa le suçait de plus belle.
- Oui plus vite je viens
suces, suces
Il lui pilonnait les fesses
avec son doigt, j'entendais Léa Gémir et se trémousser comme
une folle. JP se crispa.
- Avale oui avales tout.
Je baise ta bouche
Elle ne se fit pas prier
et malgré les mouvements de bassin de JP elle garda sa queue
dans la bouche quand JP se vida.
- Oui hummm tu suces divinement
Elle était trop occupée à
lui nettoyer la queue, puis se lécher les doigts pour lui
répondre.
J'ai profité de ce moment
pour reculer discrètement et monter sans bruit dans ma chambre.
Une fois allongée je me suis aperçu de mon état. Ma culotte
était trempée, je l'ai retirée et mes mains ont parcouru
mon corps, mes seins, mon sexe, ma....chatte. Les images
de ce sexe dans ma tête si long, si gros, si bon.......?.
Je me suis réveillée tôt,
Léa prenait son petit déjeuner avant de partir au travail.
- Bonjour Carole, tu as passé
une bonne nuit.
- Oui pas trop mal malgré
la chaleur.
- Je me dépêche je suis en
retard, JP est déjà parti et il m'a dit de te dire qu'il
rentrerait avec moi, vers 20h à peu près
- Ok Léa, vous voulez manger
quoi ce soir ?
- Je sais pas aucune idée
JP m'a dit aussi que tu fasses comme chez toi et que la
piscine est à 28
- Ok Léa
Je la regardais et je pensais
à la veille, je la voyais sucer JP et employer ses mots
si excitants à ce moment mais si grossiers dans sa bouche.
Il était tôt, j'ai pris mon
temps et ce n'est que vers 11h que j'ai voulu prendre un
petit bain. Etant seule je n'ai mis que mon bas de maillot
string, celui que je n'ose mettre sur la plage à ton grand
désespoir. Ne faisant que rarement du sein nu, j'avais les
marques de bronzage sur ma poitrine mais aussi sur mes fesses.
Pendant une petite heure j'ai alterné entre piscine et bain
de soleil. Le soleil sur mes seins faisait pointer mes tétons
que, tu le sais, j'ai très sensible. Les yeux clos les images
de la nuit dernière me revenaient et je sentais l'excitation
monter… quand derrière moi.
- Désolé Caro c'est moi.
Ouvrant les yeux, devant
moi c'était JP qui me détaillait des pieds à la tête.
- Mon rendez-vous a été annulé
Je ne savais quoi faire et
ne voulant pas passer pour stupide , la situation l'était
déjà, j'ai fait comme si de rien n'était.
- Oui ? Tu aurais du appeler
Tout en lui parlant je me
suis relevée et me suis assise. Je voyais ses yeux se poser
sur mes pointes de seins dressés. J'ai du rougir...
- J'ai pensé à t'appeler
mais j'étais déjà presque arrivé.
Bien sûr oui je te crois
gros malin
J'ai relevé mes jambes et
j'ai vu de suite son regard se poser sur mes fesses. Là
ou il était il devait avoir une vue imprenable sur mon sexe
que cachait à peine le bout de tissu. J'ai descendu de suite
mes jambes.
- Tu a profité de la piscine
?
- Oui c'est vraiment bien.
- Je sais oui.
Tout en me parlant, une sourire
au coin des lèvres, ses yeux ne quittaient pas mes seins,
mon ventre, mes cuisses. Mon maillot était vraiment tout
petit et l'on pouvait voir mes lèvres se dessiner à travers
le fin tissu.
- Tu as froid ?
Le salaud, il voyait que
mes seins pointaient.
- Non ça va
Il sortit sa chemise de son
pantalon et l'enleva.
- On est mieux ainsi
Son torse était muscle, bronzé,
imberbe. Son ventre était plat, ses abdos parfaitement dessinés.
- On rentre ? J'ai faim.
Sans attendre ma réponse
il me tendit la main pour m'aider à me lever. Puis me laissa
passer devant lui.
- Je te suis Caro
Je sentais son regard se
poser sur mes fesses.
- Tu es vraiment très belle
Caro.
- Merci jean Pierre.
Sur la terrasse il passa
devant pour ouvrir la porte fenêtre donnant sur la cuisine
et s'arrêta.
- Viens passe par là.
Il m'a tendu la main et ne
bougeant pas m'a fait passer devant lui. Nos corps se sont
frôlés, sa main n'a pas lâché la mienne et m'a attiré à
lui.
- Que fais tu JP ?
- Rien Caro.
- Alors lâches moi.
Sa main me lâcha mais m'entourant
se posa sur mon dos et colla son corps au mien, mes seins
écrasés sur sa poitrine.
- Tu es vraiment séduisante
Caro, tu me plais.
- Stop JP, arrêtes.
Sa main me pressa sur son
bassin, je sentais sur mon ventre son sexe déjà dur.
- Tu sais que tu me plais
n'est ce pas ?
- Non, oui, enfin j'en sais
rien JP.
- Menteuse
Approchant son visage il
a essayé de m'embrasser mais j'ai détourné la tête. Mon
visage était tout près de sa poitrine, je sentais son parfum.
- Allez JP arrêtes
- Hier soir tu ne m'as pas
demandé d'arrêter !
Ainsi il m'avait vu les regarder.
Je n'ai pas su quoi lui répondre. J'ai senti sa main se
poser sur mes fesses.
- Caro tu ne dis rien ?
- Si laisses moi.
- Ca t'a plu de voir Léa me
sucer ?
- Tu es fou je n'ai rien vu
de tel.
- Vraiment ??
Je sentais sa main caresser
doucement la peau des mes fesses. Mes seins, les tétons
durs, écrasés sur son torse.
- Non, vraiment, alors à
quoi pensais tu quand je suis arrivé
- A rien je me détendais.
- Tu te détendais ?
- OUI
Sa main remontait sur mon
dos, il prit mes cheveux attachés en queue de cheval et
les a libérés.
- Je te trouve mieux les
cheveux détachés
- Allez JP lâches moi.
Je sentais toujours son sexe
dur sur mon ventre et surtout les picotements à l'intérieur
de mon ventre.
Il a approché ses lèvres de
mon oreille et m'a murmuré.
- Tu en meures d'envie tu
sens comme moi aussi j'en ai envie.
Puis j'ai senti sa langue
me lécher le lobe redescendre sur mon cou pour finir sur
mes épaules.
- JP arrêtes je t'ai déjà
dit que....
- Que quoi
Sa main redescendit sur mes
fesses mais sous le maillot.
- Non s'il te plait arrêtes
Son autre main est montée
de ma hanche sur mes seins, laissant un espace entre nos
deux corps. De suite il a pris mon téton entre ses doigts
et a commencé a le pincer doucement.
- Non JP Il ne faut pas....
Sa main dans mon maillot
est descendue et j'ai senti ses doigts passer dans ma raie.
Je me suis trémoussée ce qui
a eu pour effet de laisser sa main libre entre nous. Il
malaxait mon sein, reprenant entre ses doigts mon téton
dur, il le faisait rouler, le tirait. Je n’ai pu retenir
un soupir.
- HUmmmmm non JP
Sa main sur mes fesses a
attrapé le petit triangle et a remonté doucement. De suite
j'ai senti le tissu s'immiscer entre mes lèvres.
- HUMM non stop JP
- Ca te plait, dis le.
- Non Jp hummm
Sa main sur mon sein martyrisait
mon téton, le tirait, le pinçait puis il l'a fait descendre
sur mon entre pour venir se poser sur le fin tissu. De suite
ses doigts ont cherché mes lèvres en écartant le fin tissu
entré dans mes chairs.
- Tu est trempée ma belle
!
Je savais qu'il ne mentait
pas
- Il ne faut pas hummm non
haaaa
Son doigt venait de trouver
mon clitoris et le décapuchonnant il jouait avec.
- hummm JP no......
Je ne résistais plus ses
doigts fouillaient mon entrecuisse.
- Ta chatte est toute lisse,
j'adore.
Ses lèvres se sont posés
sur les miennes, je sentais sa langue essayé d'ouvrir mes
lèvres. Je résistais encore un peu, mais j'ai senti son
doigt écarter mes chairs et s'introduire dans mon minou.
Reculant son visage.
- Voila tu vois, laisses
toi aller.
Puis reposant ses lèvres
sur les miennes j'ai senti sa langue fouiller ma bouche,
tourner autour de la mienne. Son baiser était fougueux.
Ses doigts curieux sur mon
sexe.
- Tu aimes mes doigts dans
ta chatte, dis le.
Je ne répondais pas. Il m'a
mis un deuxième doigt.
- Dis le Carole
- Oui JP
- Dis le.
Je murmurais à son oreille.
- Oui continues
- Dis le
- Oui caresses ma....chatte.
- Voila
Mes mains autour de son cou
se sont séparés l'un sur son torse l'autre descendant à
sa taille puis s'est posé sur une bosse énorme.
- Voila ma belle tu l'as
vue hier, elle te plait,
- Oui.
Le déboutonnant j'ai rentré
ma main à l'intérieur je la sentais du bout des doigts très
dure.
- Attends ma belle
Il a déboutonné le bouton
et a descendu son pantalon.
- Suces moi tu aimes vas
y
Comme hypnotisé je me suis
accroupi le visage a hauteur de cette queue si grosse. le
slip était déformé par la grosseur de sa queue, le gland
dépassait a la taille. Je sortis ma langue et la posai sur
son gland décalotté.
- Oui suce la, regarde comme
elle est grosse pour toi.
J'ai descendu son slip et
sa queue m'a jailli au visage. Je l'ai prise dans ma main
et l'ai apporté de suite à mes lèvres. je mouillais comme
une folle de voir cette queue si épaisse.
- Allez avale la, lèche la.
Je l'ai léchée jouant avec
son méat puis son frein, puis j'ai pris son gland dans ma
bouche. Son odeur était épicée, forte, excitante.
- Voila prends la oui ma
belle
Tout en le branlant je l'ai
pompé avec gourmandise, je creusais mes joues pour qu'il
jouisse rapidement.
- Oui tu suces comme une
reine, continue.
Je le branlais rapidement,
mon autre main lui caressait les bourses. Son gland était
tout baveux, il bougeait son bassin en va et vient
- Oui je baise ta bouche
oui
J'ai senti des soubresauts,
son corps se tendre j'ai voulu me retirer mais ses mains
ont pris ma tête et l'ont collée a son ventre
- Tu vas tout avaler.
Je n'ai pas résisté et je
l'ai laissé jouir dans ma bouche, j'ai failli m'étrangler
du sperme s'échappait du coin de mes lèvres enduisant mes
doigts.
- Oui continues nettoies
moi tout ça.
Je l'ai fait, oui tu lis
bien, j'ai avalé toute sa semence, je me suis même léché
les doigts devant lui. Puis il m'a relevée et m'a embrassée
avec fougue, mélangeant sa salive et la mienne a son sperme
fraîchement répandu dans ma bouche, sur mon menton.
- Je savais qu'un jour tu
me sucerais.
Je n'ai pas répondu, j'avais
toujours sa queue, molle, dans la main.
- Elle te plait ma bite hein
!
- Oui
- Allez dis le moi soit garce
Caro.
- Ta queue me plait oui
- Alors maintenant tu vas
l'avoir, viens.
Ne sois pas si pressé mon
chéri tu auras droit à la suite mais demain.......
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