TITRE : Mon dépucelage
Catégorie : 
Histoire Trans et Travesti

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Je suis une travestie de 31 ans plutôt bien fichue, grande mince un corps androgyne avec une peau de fille naturellement sans poils ou presque. Je ne vis pas constamment en fille mais le plus souvent possible et j'adore les situations insolites, les jeux vicieux, les interdits. L'envie de me travestir m'est venue très tôt vers l'age de 14 ans plus par fétichisme des vêtements féminins et de transformer mon apparence que par désir sexuel. J'avais pris l'habitude quand j'étais seule à la maison de porter des vêtements de ma mère. Un jour où je m'étais habillée avec une petite nuisette, des bas et un porte jarretelle, un peintre qui travaillait au ravalement de l'immeuble en face m'a aperçue par la fenêtre qui était ouverte Mon premier réflexe a été de me cacher mais lui me faisait des signes pour m'inviter à me montrer et finalement je suis rentrée dans le jeu. Par geste, il ma incitée à me dévoiler et j'ai commencé à l'aguicher en prenant des poses et en baissant ma culotte pour lui montrer mes fesses, ce qui semblait beaucoup lui plaire. Puis je l'ai vu descendre de l'échafaudage et traverser la rue pour entrer dans mon immeuble. quelques instants plus tard on sonnait à la porte. J'ai regardé le cœur battant par le judas sans oser ouvrir, mais lui insistait de plus en plus. C'était un arabe et il me parlait sans discrétion : "Ouvre moi petite fille, je sais que tu es là et que tu as envie de mon gros zob dans tes fesses" J'ai vu le moment où il allait ameuter tous les voisins et j'ai fini par ouvrir, le cœur battant la chamade! Il est entré sans me demander mon avis et a refermé la porte derrière lui. Quand il m'a attire contre lui en me caressant les fesses et plaqué sa bouche contre la mienne, je me suis sentie terrorisée. j'avais fait ça par jeu sans penser à une relation sexuelle et je sentais cet homme qui me déshabillait et me désirait comme une fille. Il a enlevé sa combinaison de travail sous laquelle il était complètement nu et je voyais fascinée, son gros sexe circoncis raide de désir. Il a murmuré tout en me baissant la culotte: "Alors ma petite blonde, il te plait mon gros chibre. Tu vas voir je vais bien te remplir le cul" Il m'a allongée à plat ventre sur un canapé et il m'a écarté les fesses et enduit l'anus de salive; Je l'entendais murmurer: "Laisse toi faire petite putain, cambre toi, ouvre toi bien" Moi je tremblais de tout mon corps; Je lui ai dit : "C'est la première fois" De me savoir vierge, l'a encore plus excité Il m'a attrapé par les hanches et introduit son sexe sans ménagements. J'ai eu l'impression qu'il me déchirait en s'enfonçant dans ma chair intime et à chaque coup de reins qui l'enfonçait encore plus profond en moi J'étais comme tétanisée, moite de transpiration tant la sensation de douleur était vive mais en même temps je voulais ce sexe au plus profond de mon ventre. Il était tellement excité qu'il a joui très vite. Je l'ai senti se crisper et répandre en moi a longs jets puissant sa semence chaude. Puis il s'est retiré et m'a laissée après m'avoir dit : "A demain chérie" J'ai mis un moment à réaliser ce qui venait de m'arriver. En me regardant dans le miroir de la salle de bain, j'ai regardé longuement mon petit oeillet dilaté et poisseux de sperme qui me rappelait si besoin que j'avais fait jouir un homme en moi. J'ai a peine dormi de la nuit en pensant aux dernières paroles de Rachid, mon violeur. Le lendemain j'ai regardé avec précaution derrière les rideaux Il était sur son échafaudage à regarder constamment vers les fenêtres de l'appartement. Ma mère qui ne se doutait bien sur de rien se préparait à partir à son travail. A un moment, elle a traversé le séjour en petite tenue, juste en soutien gorge et string et elle l'a vu en train d'observer et ça l'a amusée. "Qu'est ce qu'ils peuvent être vicieux ces arabes! Dès qu'ils voient une paire de fesses ça les rend fous!" Après qu'elle soit partie, je me suis demandée ce que je devais faire. J'avais encore mal de la veille et j'avais honte de ce que j'avais subi mais il y avait en moi une pulsion tellement forte que je savais que j'allais recommencer. Je suis allée me faire belle en me maquillant outrageusement et en mettant les sous vêtements les plus sexy de la garde robe de ma mère. Dès que j'ai ouvert les rideaux Rachid m'a aperçu et fait des signes. Moi j'ai recommencé à l'aguicher, à lui envoyer des baisers ...Mais mon cœur s'est arrêté de battre quand j'ai vu qu'il faisait signe à un autre ouvrier! Dix minutes plus tard je me suis retrouvée les fesses à l'air entre deux maghrébins! Le second, Farid était vraiment monté comme un âne! Pendant tout le temps du chantier, ils se sont servie de moi comme d'une putain et j'ai connu en un mois une douzaine d'hommes différents.

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