TITRE : En Forêt
Catégorie : 
Histoire Exhibition et voyeur

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Nous sommes en week-end, c'est le matin et nous partons faire notre promenade en forêt avec Dick, notre chien, un jeune labrador sable que nous promenons ensemble chaque Samedi et chaque Dimanche.
     C'est la belle saison, disons au début de l'été ou bien une belle journée de fin de printemps, en Juin par exemple; il fait déjà chaud mais pas encore suffisamment pour nous empêcher d'aller faire une bonne marche.

     Nous sommes donc habillés légèrement, j'ai juste enfilé un jean par dessus mon caleçon, avec un tee-shirt en haut, et toi tu es croquignolette, en short large et en débardeur sans rien en dessous en haut, en tennis et socquettes blanches aux pieds.
     Tu me plais bien comme ça, je te trouve sexy, surtout parce que contrairement à tes habitudes tu es sans soutien-gorge et que je peux ainsi distinguer la forme de tes seins qui se dessinent de manière naturelle sous le mince tissu, qui permet d'en deviner les bouts, surtout s'ils se fripent. Personnellement, je trouve que les seins libres sous un vêtement sont encore plus excitants que complètement nus, c'est le meilleur compromis entre la vue et l'imagination, entre la vision directe des formes, de la peau, de la couleur de la tétine, et l'image qu'on s'en fait dans sa tête, de ce qu'on doit ressentir si on les prends dans ses mains, de leur consistance, de leur douceur...
     C'est vrai aussi que les socquettes blanches sont érotiques, je ne sais pas pourquoi, je ne l'ai jamais su, du reste, et elles m'ont toujours fait le même effet. Il y a une contradiction entre l'aspect sage et sportif qu'elles propagent, voire celui du coté "petite fille", et "l'objet du désir", la femme-femme qui les porte. Je me souviens, quand nous étions plus jeunes, de photos de journaux érotiques où des nanas soi-disant sportives s'exhibaient sans culotte en socquettes blanches, qui m'excitaient au plus haut point, à un point tel que si madame n'était disponible, je dois confesser que je me ...débrouillais parfois tout seul pour me faire gicler en les regardant.
     Elles le sont d'autant plus, excitantes, les socquettes blanches, que les jambes sont bronzées, également par une sorte de contraste, ça fait gamberger, on imagine tout de suite en socquettes et sans rien au-dessus jusqu'à la ceinture, image que je trouve hyper érotique, plus encore qu'entièrement nue, vas savoir pourquoi, peut-être le coté exhibitionniste du mélange habillé-nu...

     Au départ, le chemin est étroit, je marche derrière toi, j'ai tout loisir de contempler tes jambes déjà bien bronzées, l'arrière de tes cuisses, dont j'imagine le contact doux et duveté de blond, mais aussi le balancement de tes fesses à l'intérieur du short, roulant à chaque pas, et dont j'imagine aussi le volume rond, la consistance souple, l'élasticité de la chair, le grain de la peau sous la main. Tout ceci commence évidemment à me donner quelques idées qui se précisent, et pas seulement dans ma tête...Puis nous montons par la route et continuons notre promenade par la forêt, nous marchons côte à côte, et je peux observer le léger mouvement de tes seins au rythme de ta marche. J'imagine tes jolis seins, libres sous le tissu de coton du débardeur, je pense à leur consistance, à leur poids dans mes mains quand je les prends et les soulève, à leur bout en pointe, jolie tétine que j'aime sentir se durcir sous mes doigts et sous ma bouche.
     Naturellement, tu ne sais rien de tout cela, nous continuons à discuter de je ne sais plus quel sujet, professionnel ou familial, tu ne te doutes pas de l'effet que tu produis.

     Nous arrivons à une croisée des chemins, tu appelles le chien pour qu'il ne s'éloigne pas trop, tu t'arrêtes, tu dis qu'il commence à faire chaud, tu lèves les bras pour arranger tes cheveux, j'adore ce mouvement naturel qui tend le tissu du débardeur sur tes seins qui remontent et qui pointent un peu plus, qui découvre tes aisselles, qui sont pour moi une zone très excitante du corps féminin, c'est un endroit finalement très intime, elles sont une sorte "d'antichambre" de ce qu'il y a dans la culotte, peut-être parce que si on y voit des poils, ils permettent d'imaginer comment sont les autres, encore plus intimes, ceux du sexe, des poils de femme, leur couleur, leur nuance, leur volume plus ou moins importants, la forme de la toison, en triangle net ou bien arrondie ou dégradée ... Par extension de ce désir de l'aisselle, celles-ci m'excitent même si elles sont rasées, j'y ressens toujours un désir à les regarder, je trouve une charmante impudeur à un mouvement des bras qu'une femme fait en découvrant ses aisselles, je préfère même les apercevoir à la dérobée, par exemple sous une manche courte, quand un bras se lève... Là, je contemple les tiennes, que pourtant je connais bien, à la peau plus claire, rasées mais laissant deviner la forme de la mignonne toison blonde qui serait là si tu les avais laissées naturelles. J'imagine leur légère moiteur, le parfum de ton déodorant, ça me donne de plus en plus d'idées, ça commence à coincer dans mon caleçon, et sans que tu t'en rendes compte, je trifouille la braguette de mon jean pour me donner de l'aise, pour que ça puisse commencer à se dresser carrément, sans entraves...

     Je passe mon bras autour de tes épaules quand nous repartons, je te fais un tendre bisou sur ta joue douce et duveteuse, j'ai envie de ta bouche que j'aperçois là tout près, un peu humide, de tes lèvres roses. J'ai très envie de toi, je bande maintenant complètement, tu te laisses faire des bisous sur la joue, je te fais pivoter progressivement vers moi et te prends dans mes bras, ma bouche se colle à la tienne, et à ma grande surprise, car en général tu n'es pas très... participative pendant la promenade, tu me laisses docilement te rouler un gros patin, à pleine bouche, ma langue s'enroule autour de la tienne, je perçois bien le goût de ta salive, je plaque mon ventre contre le tien pour que tu sentes mon désir, mes mains descendent de ton dos vers tes fesses..."Arrrrrrêtes...! Pas ici, on pourrait nous voir, on est en plein sur le chemin".

     Hop. Message reçu. Je te prends la main et je t'entraîne hors du chemin, vers une zone plus touffue. "Attention, arrrrrrêtes, je vais me griffer les jambes, je n'ai pas de pantalon, moi...." J'insiste, j'en ai trop envie, il faut à tout prix que je t'amène jusqu'à une zone que j'ai repérée plus loin, entre deux taillis épais, où nous pourrons faire ... ce que nous avons à faire, plus discrètement que là au milieu du chemin. "Allez viens chérie, là-bas ça sera bien". Je te tracte par la main, et nous finissons par y arriver, le chien sur nos talons. Là, il ne faut pas laisser refroidir, je ne m'occupe plus de lui, je t'enlace et te roule à nouveau à pleine langue un gros patin, je glisse mes mains sous tes aisselles moites qui me faisaient tant envie tout à l'heure, puis je les passe sous le débardeur au bas du dos, je les ramène en avant pour remonter sur tes seins libres que je peux maintenant saisir à pleines mains, soupeser, pétrir, caresser. Tout ça a l'air de te faire de l'effet, tu es assez docile; je t'encourage, tu vois, on est bien à l'abri ici, personne ne peut nous voir du chemin.

     Je m'accroupis devant toi, mes mains saisissent tes cuisses par derrière, là aussi j'avais envie d'en toucher le velouté tout à l'heure, remontent sous le short, mes doigts se glissent sous la culotte, attrapent tes fesses...J'ai mon visage à hauteur de tes cuisses douces, je commence à les lécher à petits coups de langue, en partant du genou et en remontant vers le haut. Mes mains quittent tes fesses, reviennent devant et commencent à dégrafer la ceinture du short, j'attrape à la fois le short et la culotte et je commence à tout baisser. Tu t'y raccroche en disant "Non, pas ici, non attends, on va rentrer à la maison". Mais moi, c'est ici que j'ai envie de faire, j'insiste, je tire vers le bas très fort, je te descends le short et la culotte jusqu'aux genoux, mettant à l'air ta jolie chatte, toison intime châtain clair de vraie blonde, dans laquelle j'enfouis mon visage, je le remonte, j'embrasse ton ventre lisse, je le lèche, je fais la petite bête qui redescend, je lèche maintenant tes poils de femme, j'ouvre la bouche, je les broute, je les suce, je continue à descendre, j'arrive sur les lèvres de ton minou, j'y fais des petits bisous légers comme je sais que tu aimes, puis ma bouche les titille de plus en plus, avec le bout de la langue maintenant, à petits coups, pendant que mon nez perçoit ton odeur intime, ce qui m'excite encore plus, si c'est possible...
     Pendant ce temps, mes mains descendent le short et la culotte sur tes chevilles, j'attrape une des tes jambes et la soulève, retire le pied du short et de la culotte pour le soulever et le poser sur un arbre mort par terre. Ainsi je t'écarte la cuisse, ce qui me donne mieux accès à ton intimité, ma langue te fouille, tu t'ouvres, tu commences à couler, mes mains te pétrissent les fesses, mes doigts se glissent dans ta raie pour accéder à ton anus, ma langue te pénètre maintenant profondément dans ton vagin maintenant tout coulant de désir. Tu gémis " Oh, oui, c'est bon, oui, comme ça". J'en profite pour te forcer à lever l'autre pied, en soulevant ta jambe, pour retirer complètement le short et la culotte et les jeter à un mètre de là. Je te veux vraiment indécente, nue jusqu'à la ceinture, avec tes socquettes blanches et tes tennis, la chatte et les fesses à l'air, dénudée dans la forêt, exhibée...

     Je me redresse, j'ai envie de faire pareil, de me mettre moi aussi nu de manière indécente, de t'exhiber mon sexe, je dégrafe mon jean, je baisse ensemble jean et caleçon, je mets à l'air ma bite complètement dressée, déjà toute coulante au bout, je viens m'appuyer contre toi, la frottant dans tes poils, me faisant couler sur ton ventre. Pendant que ma main va directement à ton entrejambe humide, l'autre prend la tienne pour la poser sur mon sexe rigide, pour guider tes doigts sur le bout sensible, oui, là comme ça, c'est bon, aussi sous les couilles, entre mes cuisses, oui... Ca m'excite trop, je m'arrache à tes caresses, et m'accroupis de nouveau entre tes jambes pour recommencer à te faire jouir avec ma langue, tantôt en léchant ta vulve à petits coups comme je sais que tu aimes, tantôt en m'en servant comme d'un petit sexe en faisant le va et vient dans ton vagin, tu coules de plus en plus, ça me trempe la figure, je baigne dedans, j'en aspire, j'en avale, je veux te boire, toute... Maintenant, j'ai envie d'autre chose, je retire mon visage de ton minou, je passe derrière toi, je passe une de mes mains entre tes jambes, mes doigts prennent la place de ma langue pour continuer à te donner ton plaisir, l'index et le majeur te pénètrent et te ramonent avec un bruit de mouillé caractéristique. Avec l'autre main, j'appuie sur ton dos pour te faire pencher en avant, encore, encore, je lèche et mordille tes fesses, ma langue commence à fouiller ta raie des fesses. Pendant que je te masturbe par devant, mon autre main écarte tes fesses; tu te raidis "Non, ce n'est pas propre, non pas là maintenant", mais en même temps j'augmente la fréquence de mes doigts dans ton minou pour que le plaisir fasse taire tes scrupules, ça y est j'écarte suffisamment tes fesses et j'accède à ce que je veux, ton mignon petit anus plissé. D'abord je le regarde, j'ai envie de le contempler, petite fleur brune au milieu de ta raie blanche, j'en respire l'odeur vraiment très intime, puis j'y plaque ma bouche, le lèche à pleine langue. Devant, ma main est trempée par tes sécrétions, je raffole que tu coules comme ça, j'aime ton désir de femme, j'aime que tu sois cochonne, que tu sois une belle salope, la mienne... Je retire mes doigts et ostensiblement, devant toi, je les suce goulûment en aspirant et en avalant.

     J'ai maintenant une envie indicible de te prendre, de te posséder. Je m'assois par terre, sur les feuilles mortes qui tapissent l'endroit, et je t'attire vers moi. A un autre moment tu aurais certainement fait la difficile, genre je ne vais pas m'asseoir là, c'est sale..., mais je reconnais que là, excitée comme tu l'es, tu ne fais absolument pas attention à ce détail et tu poses tes fesses nues par terre sans hésiter. Au moment où nous allons reprendre nos caresses avant de finaliser, le chien - tiens, je l'avais oublié celui-là - viens près de nous en agitant la queue. Tu l'interpelles : " Dick! Laisse nous ! Va-t-en " pour ne pas être dérangée...dans ce qu'il te reste à faire. Mais non, le chien a manifestement envie d'être avec nous, de jouer... Il s'approche de moi et me flaire entre les jambes, évidemment il y a des odeurs qui doivent l'attirer spécialement peut-être. Amusé, je me laisse faire, il me flaire le sexe, et puis il m'en lèche le bout, un premier petit coup de langue, que je trouve très agréable, puis il insiste, il me lèche maintenant carrément le gland, et en plus du plaisir physique que ça me donne, je trouve très excitant ce plan zoophile...
     Toi : " Mais ? il te lèche? "
     Moi (jouissant) : " Oui, c'est bon... tu sais, mmm c'est très bon. Tu veux qu'il te le fasse aussi ?"
     Toi, après un silence très évocateur, d'une voix sourde enrouée par le désir : " ...oui... ".

     Très excité par ce nouveau jeu, j'attrape le chien et l'amène entre tes cuisses, je lui approche le museau de ton entrejambe ouvert et coulant, ça y est, il commence à te lécher le minou. Tu te cambres en arrière de désir et de plaisir en gémissant doucement pendant que je me caresse le gland en regardant ce spectacle insolite.
     J'ai maintenant une autre idée, je te dis : " viens, tourne toi, mets toi à quatre pattes ". Docile, éperdue de plaisir et de désir, tu te laisses faire, tu te mets à genoux, la croupe en l'air, d'une main j'écarte tes fesses et de l'autre j'amène le chien. Il te flaire l'anus puis commence immédiatement à te le lécher avec gourmandise... A ce moment, je n'en peux plus, je ne peux plus attendre, j'ai envie de te prendre comme ça, comme une bête. J'écarte le chien et viens sur toi par derrière, ma main par devant guide mon sexe vers le tien, béant, et je t'empale d'un seul coup, ma bouche fouille ta nuque, la lèche, la mord, pendant que je te besogne à grands coups de reins comme un chien prendrait une chienne, une main par devant, dans tes poils, te caressant le clitoris, l'autre te pétrissant les seins sous ton débardeur à demi remonté. Tu gémis "Oui, ouii, ouiiii, vas-y, vas-y...".

     A ce moment, levant la tête parce que j'ai entendu un peu de bruit, j'aperçois des gens, un couple qui passe un peu plus loin sur le chemin. C'est assez loin, mais je vois bien qu'ils nous regardent, d'ailleurs ils ne peuvent pas ne pas entendre tes gémissements et tes halètements de jouissance. Si c'est possible je suis encore plus excité par cette exhibition, je sens que ça vient, je sens monter un énorme spasme de plaisir qui me secoue les reins, l'entrejambes, le ventre. Puis l'orgasme proprement dit me secoue la bite, je sens la chaleur, presque la brûlure du sperme qui monte et qui se déverse à grande giclées dans toi, encore, encore, là, là, que c'est bon de jouir sur toi, de te souiller de mon sperme, de t'inonder de ma semence, tu sens dis, que ça te coule chaud dedans...

 

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