Ayant passé l’après midi à la plage à me faire
dorer, coté pile et coté face devant tous les plaisanciers,
nous voilà de retour à l’hôtel. Bien sur Pierre, allumer
comme un fou me prend dans toutes les positions que la morale
réprouve pour mon plus grand plaisir.
Puis nous nous préparons pour
une petite balade en soirée sur le port de plaisance. Pierre,
me dit :
- Habilles toi simple, mais
tu mets un petit string blanc.
- Pas celui de bain que j’ai
porté toute la journée sur la plage ?
- Non un petit string fin
avec un peu de dentelle si tu veux. Mets tes escarpins blancs
s’il te plait.
Je suis un peu étonnée, connaissant
mon mari, qui aime toujours me faire porter des tenues pas
possibles le soir en vacance. Me voilà avec une robe ample
longue, malgré tout, décolletée, avec juste mon string ficelle
entre les fesses, rien de plus normal pendant les vacances,
pour déambuler sur le bord de mer de Marbella.
Nous grignotons au passage,
quelques bricoles dans les fast food et buvons une sangria.
Mine de rien, Pierre, nous
ramène vers la boutique où nous avions acheté mon string
ficelle de bain si minimaliste. Les petits commerces restent
ouvert très tard l’été sur la station balnéaire.
- Dis moi chérie, qu’en penses-
tu si tu essayais une petite robe sympa pour ce soir ?
Ha, voilà où il voulait en
venir ce diable de Pierre. Je le regarde dans les yeux.
Il me fait un clin d’œil. Je lui renvoie ce clin d’œil complice.
Nous entrons dans cette boutique. Le vendeur me reconnaît.
- Laquelle tu veux que j’essaie
?
- Celle la, la mini blanche
moulante. Je l’avais remarquée quand nous sommes venus.
- Tu es sur que c’est une
minirobe, on dirait presque un tee shirt, tellement elle
est courte ?
- Tu as vu que les filles
ici portent les mini très courtes
- En effet, mais ce sont des
minettes, des gamines qui portent cela, et ta femme a plus
de 35 ans.
- J’ai envie d’être avec une
gamine ce soir !!! Bronzée comme tu es, le blanc de la minirobe
va très bien aller.
- Il y a ma taille ?
- C’est extensible comme tissu.
Le vendeur, me tend le modèle.
Pour l’essayage, il faut que j’aille derrière son comptoir.
Un peu spartiate comme cabine. Mais je ne vais pas faire
ma mijaurée, j’ai passé l’après midi à montrer mes fesses
et mes seins sur la plage.
Hoo, mais elle me moule comme
une peau cette mini. Tu parles d’un tissu extensible, la
taille c’est du 36. La coupe est très simple, c’est un tube,
tenu par deux fines bretelles en haut. Ma poitrine déborde
de partout. On voit mes auréoles au travers du tissu blanc
en limite du décolleté qui plonge bien entre mes seins.
Je la tire vers le bas. Hooo très très courte. J’insiste
un peu elle descend encore en tendant le tissu, mais il
faut que je fasse attention en haut sinon mes seins sortent.
Je me redresse et sors de derrière le comptoir. Je vois
aux yeux illuminés de mon Pierre que cette tenue lui plait
; pas de miroir pour me voir ? Elle me semble bien courte
; il va falloir que je surveille le niveau de ma mini en
permanence à partir de maintenant.
- Tu crois que je peux la
porter ?
- Bien sur, elle te va super
; avec ta peau dorée, c’est parfait.
- Ma poitrine n'est pas trop
dehors ? Regardes, elle dépasse sur les cotés. Je ne parle
pas de dessus on voit tout.
- Tu ne vas pas faire la pudique,
tu as passé toute la journée à les faire voir sur la plage.
- Oui mais là, nous sommes
en ville ?
- Chérie, tu as maintenant
une superbe poitrine, si tu ne la montre pas un peu.
- Canaille
Le vendeur espagnol qui ne
dit rien écoute comme si rien était notre conversation.
Sans rien dire, ces yeux passent
de mes seins, au haut d e mes cuisses, découverts. Le spectacle
doit lui plaire, il me semble qu’il bande un peu. Son pantalon
fait une bosse significative. Je comprends mieux les escarpins
blancs à talons hauts, en effet mes jambes doivent être
assez sympas comme cela.
Pierre paie, j’ai bien compris
que je dois garder cette minirobe sur moi pour le reste
de la soirée. Ce qui me gène un peu c’est que je ne me suis
pas vue dans un miroir. Je crains toujours un peu.
Nous sortons de la boutique.
Je commence à marcher
Hooo mais c’est vrai qu’elle
est courte, et dès que je marche, je sens le tissu qui remonte.
Je m’y attendais un peu, mais pas tant que cela. Il va falloir
que je tire dessus tous les 10 mètres sinon mes fesses vont
vite être visibles. Mon string ficelle ne cachant rien de
derrière.
Nous continuons de déambuler
sur le port, il y a pas mal de touriste comme nous. Je sens
les regardes qui se posent sur moi. Mes seins ballottent
un peu, en marchant, j’entends quelques réflexions en espagnole
du style t’as vu comme elle montre ses seins cette garce,
c’est sûrement une pute en vacance ( traduction approximative).
Pierre est aux anges. Il me propose d’aller prendre un verre
dans une de ces bodégas . Il y a de l’ambiance avec de la
musique. Je me sens très gênée avec tous ces gens qui me
regardent. Il y a une petite cour intérieure, avec de la
vigne vierge qui grimpe le long des murs. L’endroit est
très sympa, bien qu’il y ait beaucoup de monde, qui boit
et qui danse en même temps. Pierre me prend une sangria
au bar. Il me faut cela car je me sens de plus en plus dévisagée
par les hommes dans ce lieu si surpeuplé.
Nous dansons un peu avec tout
le monde. Je suis en permanence en train de tirer sur le
bas de ma mini. Je ne lève pas les bras, de peur de laisser
sortir toute ma poitrine. Mon diable de mari me sert encore
une sangria. Il exagère, je vais être pompette. Il m’entoure
dans ces bras en dansant. Il me dit à l’oreille :
- Tu sais ta robe te va hyper
bien, mais ton string fait des marques. La dentelle est
très belle, mais je trouve qu’on la voit trop sous le tissu
de ta robe un peu moulante.
( Tu parles le moindre motif
de dentelle sur le triangle devant d e mon string apparaît.
Ce doit être pareille derrière avec le petit triangle sur
mes reins.
- Et ? ??? ( je me doute de
ce qu’il va me demander, il adore que je sorte sans culotte
)
- Chérie, fais-moi plaisir,
vas aux toilettes, tu veux que je t’accompagne.
- Oui, viens avec moi, je
ne veux pas y aller seule. ( Il sait en lui disant cela,
que j’accepte d’être presque comme nue au milieu de cette
foule. Je suis folle …)
- Passes devant, les toilettes
sont au premier.
Je commence à passer entre
les gens, me dirigeant vers l’étroit escalier. Je sens au
passage des mains qui profitent de la situation. Comme si
j’étais dans le métro aux heures de pointes.
Pierre me voit faire comme
si je ne me rendais compte de rien. Je sens qu’il est excité
derrière moi. Je commence à monter ces marches, deux hommes
descendent en même temps. Ils sont les yeux plongés entre
mes seins. Un petit sourire !! hooo je sens Pierre, qui
me pelote les fesses sous ma mini ; Je ne peux pas l’en
empêcher. Que vont penser ces deux types que je croise ?
Le croisement est difficile avec ces deux messieurs. Ils
en profitent pour frotter leurs torses sur mes seins sans
que je puisse me défiler. Arriver en haut, nous suivons
un couloir qui nous mène aux toilettes.
- J’entre avec toi chérie,
j’ai trop envie.
- Je me doute à force de me
caresser les fesses.
Nous entrons dans ces toilettes.
Heureusement c’est propre, mais nous restons debout.
- Enlèves ta culotte petite
salope
Humm quand il me parle comme
cela c’est qu’il est excité et qu’il ne demande qu’à me
prendre sans le moindre préambule. Le pire c’est que j’ai
envie dans ces moments là qu’il me pénètre sans préavis.
Je suis déjà tellement excitée par la situation. J’ôte mon
string, et le mets dans sa poche.
Il a ouvert son pantalon et
bande comme un âne,
- ouiiii viens,
Il me soulève un peu et me
prend d’un coup. Ha quel bonheur, ce sexe qui me remplit.
- haaa ouiiii
C’est moi qui me masturbe
sur sa colonne de chaire si dure. Je ne le laisse pas respirer
. Il ne peut pas se retenir . haaa il explose en moi. Je
retiens mon cri, je jouis aussi.
- C’était trop fort, trop
rapide.
- Excuses moi ma chérie, je
n’ai pas pu me retenir. ( Mon Pierre est tout piteux d’avoir
succombé si vite, cela m’amuse de le faire maronner un peu
)
- Alors comme cela Monsieur,
me baise comme une catin ?
- Excuse-moi encore, mais
cette minirobe blanche te rend si sexy, et de savoir que
tu allais ôter ton string m’a excité encore plus.
- Si je comprends bien je
n’aurai plus le droit de mettre une culotte sous cette robe
?
- Interdit jusqu ‘à la fin
des vacances
- Chiche !
- Chiche ! ( je suis folle
c’est sur )
IL me caresse encore avec
ces doigts, haa je suis encore ouverte trempée, il me caresse
le clito, ha je vais encore jouir, ouii, ne t’arrêtes pas.
ouiiiiiiii
La je n’arrive pas à retenir
un cri. C’était trop bon.
S’il y a du monde derrière
la porte ???
Je redescends ma minirobe
sur mes fesses et mon minou nu. Je me suis essuyée, mais
je sens ma chatte en feu, encore ouverte.
Je replace mes seins. Nous
sortons des toilettes, je suis rouge de honte il y a trois
hommes qui attendent ; ils ont un sourire narquois en me
dévisageant.
Ce sont des espagnols, ils
ont du remarquer que nous sommes des français. Ils pensent
que nous ne comprenons pas. Et là les commentaires vont
bon train :
- Tu as entendu cette putain
française, avec ces gros seins de salope comme elle aime
se faire baiser.
- Regarde, en plus elle n'a
même pas pris la peine de remettre sa culotte cette garce.
Je ne sais plus comment me
tenir, je continue de faire celle qui ne comprend pas, et
me dirige dans le couloir, vers l’escalier qui redescende
dans la salle. Pierre aussi, ne sourcille pas, en entendant
ces commentaires. Il joue le touriste à fond. Je redescends
l’escalier en tenant ma minijupe devant. Je ne peux tout
de même pas montrer mon minou à tout le monde.
Arrivez dans la salle où tout
le monde danse et boit, je sens que les regards sont encore
plus perçant que tout à l’heure. Ils ont tous devinés que
je suis nue maintenant sous cette robe. Le tissu étant si
fin et si moulant, mon string tout à l’heure se voyait parfaitement.
Le patron de la bodéga, nous
offre une sangria. Nous continuons de jouer les touristes
qui ne parle pas la langue espagnole. Heureusement que nous
restons debout, je suis en permanence en train de contrôler
la hauteur de ma mini qui ne cesse de remonter. Les discussions
vont bon train autour de nous. Pierre parle en Français
avec deux trois hommes qui lui fond des compliments sur
ma personne. Mais le discours en espagnole est tout autre.
Ils me prennent tous pour une vraie putain. L’un d’eux pense
que je suis une actrice de porno.
Pierre me murmure à l’oreille
:
- Chérie, tu as un véritable
succès ce soir.
- Tu as entendu et compris
ce qu’ils disent de moi ?
- J’adore
- Salaud. Il faut que nous
rentrions, la température devient trop forte ici. Ils n’arrêtent
pas de me caresser les fesses au passage.
- OK on s’en va.
Je dois dire que dans ces
cas là. Pierre n’insiste pas et me protège. C’est sûrement
pour cela que j’ai confiance et que je vais si loin dans
ce genre de circonstance. Nos amis d’un soir sont bien sur
très malheureux de nous voir partir, et en sortant je leur
laisse le dernier plaisir de me caresser les fesses. ( Hum
comme je me sens garce dans ce rôle d’allumeuse)
Nous rejoignons notre hôtel
en marchant sur le bord de la jetée. Il n’y a pas trop de
monde il doit être 2 heures du matin. Pierre a sa main sur
ma taille. Il y a des touristes sur des bateaux ancrés dans
le port. Ma mini remonte. Je n’ai plus trop envie de la
contrôler. ( La sangria sûrement ?)Les bonsoirs qui nous
viennent des bateaux ne sont pas innocents. Hum Mon diable
de mari, leur expose ma fesse droite. Hum le diable .
Arrivée à l’hôtel, le gardien
de nuit me dévisage. Le pauvre garçon, lui qui va devoir
passer la nuit tout seul. Nous poussons la porte de la chambre,
hummmm Pierre m’a déjà remonté la robe sur les hanches.
Je m’attends à ce qu’il me l’enlève complètement, mais non.
- Gardes ta robe, elle me
fait trop d’effet.
Nous sommes allongés sur
le lit. Pierre en me caressant me parle à l’oreille.
- Il nous reste trois jours
de vacances, j’ai envie de te voir tous les jours avec cette
robe pour aller à la plage.
- Si tu veux mon chéri. Tu
veux que je porte mon string de plage dessous ?
- Oui, mais juste pour aller
à la plage. Pas pour en revenir.
- Comment cela ?
Et là Pierre commence à m’expliquer
le scénario infernal qu’il compte me faire exécuter. Je
vois que cela le fait bander rien que de me raconter, et
moi je suis de plus en plus tremper de m’imaginer.
- Cette minirobe est superbe,
avec tes tétons qui marquent le tissu, et tes globes qui
dépassent de façon indécente. Tu arrives à la plage, on
voit ton string minimaliste au travers. Tu ôtes ta robe
par le dessus, en restant un instant la tête couverte, les
fesses exposées, les seins dehors. Puis tu l’ôte définitivement
( Pierre me caresse les seins en même temps qu’il me raconte
) tu passes un moment à te baigner à bronzer comme tu l’as
fait jusqu'à présent en te penchant et t’exposant ( voir
précédente histoire ).
- Et ? ???
- Au moment de repartir, tu
vas remettre ta minirobe, mais tu vas enlever ton string
de plage qui est mouillé. C’est simple tu te mets debout,
tu passe le haut de ta robe. Tu la descends jusqu'à ta taille.
Tu mets une serviette autour de tes hanches, pour faire
semblant d’être pudique. Tu ôtes ton string en défaisant
les nœuds sur le coté. Et tu descends ta mini sur tes fesses
et ton minou nu.
- Tu sais que tous les types
sont allongés au sol alors que je serai debout avec cette
mini qui m’arrive au raz des fesses, et ne me cachera de
rien ?
- Je sais, regarde
Et la Pierre se met au sol,
et me demande de me mettre debout pour simuler la scène.
- Hummm ta chatte épilée
est superbe vue d’ici. hummm ton cul. Penches toi sans plier
les genoux pour ramasser ta serviette. Ranges tout sans
te presser dans ton sac de plage ; tu sens tous les types
derrière qui bandent comme des fous.
Je regarde Pierre du coin
de l’œil, il bande, le sexe tourner vers le ciel ; De me
raconter cela, il est excité, hummm et moi je m’imagine
le faisant. Je vais au-dessus de la tête de pierre ; j e
me penche, sans le toucher ; son sexe est de plus en plus
prêt de mon visage ; je ne peux résister, je le prends dans
ma bouche. Mes seins sont sortis de ma robe, je sens ma
robe sur mes fesses nues. Et Pierre qui commence à me traiter
de garce. Je sens ces deux mains qui remontent sur mes jambes,
mes fesses, il m’attire à sa tête.
- Imagines tous les types
sur la plage vont avoir envie de faire cela.( Et la je sens
ces doigts qui m’ouvrent encore plus les lèvres, haa il
caresse doucement mon clito qui est déjà tendu. Je suis
trempée. )
- Tu es fou de vouloir me
faire faire cela. ( Je suce doucement son gland, je ne veux
pas le prendre dans ma main, je veux que cela dur .)
- Tu aimes cela garce. Ecartes
toi un peu plus les jambes, oui. Cambres toi plus.( haaa
et moi je le fais. Je le sens la tête les yeux à quelques
centimètres sous ma chatte ouverte ; il me glisse les doigts
dans ma chatte et me branle.
- Tu sens ce que tous les
types vont avoir envie de faire.
- Ouiiiii , ( je me sens entrain
de jouir encore )
- Tu sais où ils veulent tous
te prendre , c’est la . ( Et je sens son doigt avec son
autre main qui pousse et entre dans mon anus ; il me mouille,
m’ouvre. haaa )
- Oiiiiii encules moi j’ai
trop envie
- Viens sur moi. ( Son sexe
est énorme, mais je suis tellement excitée que je sais qu’il
va entrer malgré tout. Je descends sur lui, son gland me
force l’entrée du sphincter ; haaa il passe ouiii je me
laisse tomber en m’empalant en criant.
Je suis en feu, ma chatte
qui n’arrête pas de jouir, mon anus qui me décuple les sensations.
Pierre me défonce comme jamais. haaaaa Il gicle au fond
ouiii que c’est bon Ces spasmes qui me dilatent encore plus.
Je retombe, nous sommes éreintés.
Il est encore en moi.
- Tu sens comme tu vas les
exciter demain à la plage.
- Tu veux vraiment que je
le fasse ?
- Oui, tu as promis
- Ok, heureusement que personne
me connaît ici.
Et les trois derniers jours
de vacances, j’ai suivi les instructions à la lettre pour
revenir de la plage. A chaque fois la température est remontée
en bord de mer dans les têtes de ces messieurs qui faisant
semblant de faire la sieste sur le sable.
Comme quoi, une petite robe
de rien du tout peut enflammer les esprits.
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