TITRE : Ma première pipe
Catégorie : 
Histoire dans des lieux insolites

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Jusqu’à quarante ans passé, je n’avais jamais vraiment eu de relations sexuelles avec un homme. En tout cas, jamais un vrai homme. Et je me considérais comme hétéro, avec quelques fantasmes bi pour les travestis. J’étais souvent aller voir des travelos, quand je ne pouvais pas pratiquer la sodomie avec ma partenaire du moment. Les premières fois, je ne touchais même pas leur sexe, à peine leurs fesses et leurs seins, je me contentais de jouir dans leur cul. Et puis un jour, l’un d’eux s’est mis en position de 69 et je l’ai sucé, sans y penser. J’ai trouvé ça intéressant et délicieux, et cet intérêt m’a pour le moins surpris venant de ma part. J’ai renouvelé l’expérience plusieurs fois jusqu’au jour où l’un d’eux, sans me demander mon avis, m’a retourné et m’a enculé sans que je n’ose protester. J’ai eu un peu mal, suffisamment en tout cas pour ne ressentir que de l’excitation mais pas vraiment de plaisir. Là encore, j’ai renouvelé l’expérience plusieurs fois, mais toujours sans plaisir et avec un peu de douleur. J’aimais le côté pervers de la situation plus que l’acte. Je trouvais excitant de m’imaginer quelques instants à leur place, mais jamais, à l’époque, il ne me serait venu à l’idée de vouloir pratiquer les mêmes rapports avec un vrai homme.

     Et puis un jour, alors que je cherchais tout à fait autre chose sur le net, je suis tombé sur une série d’histoires où des hommes, a priori hétéros, se faisaient séduire par d’autres hommes dans des cinémas pornos. Plus je lisais et plus je bandais, et je finis par me branler en m’imaginant à poil au milieu d’un ciné porno, entouré d’hommes de tous ages, de toutes races et de toute corpulence, qui m’éjaculaient dessus, en m’insultant. Je n’y avait jamais vraiment pensé, mais l’idée d’être l’objet de la convoitise sexuelle d’un autre homme et de le laisser me faire tout ce dont il avait envie, commença à me faire fantasmer sérieusement. Je décidais donc un jour d’aller faire un tour dans un de ces sex-shops-cinémas pornos des quartiers chauds. Je ne savais pas trop quoi attendre, mais j’avais très envie de sucer une bite, et pourquoi pas plusieurs, mais surtout de goûter au sperme d’un autre et de me conduire en salope docile.

     Après avoir hésité entre plusieurs cinés, je me dirigeai vers une salle où j’avais vu rentrer plusieurs hommes, alors que les autres ne semblaient pas attirer grand monde. Sitôt entré, je me rendis compte qu’il ne s’agissait pas d’une salle de cinéma à proprement parler, mais de cabines « individuelles » réparties sur plusieurs étages. Après m’être promené plusieurs fois à tous les niveaux en jetant quelquefois un regard dans l’une des cabines occupées dont la porte était ouverte, je commençais à me faire une petite idée de la situation.

     Je repérai dans une cabine en bout de couloir, un homme d’une cinquantaine d’années, plutôt petit et un peu chauve avec des lunettes, un look de père de famille pas sexy du tout, mais qui se masturbait en jetant de temps en temps un regard derrière lui par la porte qu’il avait laissée entrouverte. Je m’approchai de sa cabine et fis mine de m’intéresser à ce qui se passait sur son écran. À mon approche, il se retourna vers moi. Lorsqu’il me vit, il regarda à nouveau vers l’écran et continua à se masturber, tranquillement. Mon cœur cognait dans ma poitrine

     Je restais là, près de lui, appuyé au chambranle de la porte, le cœur battant à cent à l’heure. Je n’étais pas sûr du tout de ce qu’il attendait de moi. Voulait-il que je m’en aille ? Voulait-il que je reste simplement là à le regarder faire ? Voulait-il que je prenne « les choses en main » ? Je ne savais pas trop quoi faire et mon cœur battait toujours aussi fort. Il se retourna plusieurs fois vers moi sans montrer d’hostilité. Je m’approchai alors un peu plus. Il se déplaça à son tour pour être un peu plus près et surtout en se tournant vers moi pour que je puisse mieux voire.

     Après quelques instants d’hésitation, j’avançai la main vers son sexe tendu. Il arrêta aussitôt de se masturber pour me laisser faire en m’encourageant même d’un petit sourire. Je continuai de le branler pendant qu’il jetait de temps en temps des regards inquiets vers le couloir. Après plusieurs minutes, il se décida à fermer la porte et à la verrouiller en me murmurant « Comme ça, on sera plus tranquilles. »

     Sitôt la porte fermée, je m’accroupis face à lui tout en gardant son sexe dans ma main. Je regardais sa bite longuement avant de commencer à la mettre dans ma bouche. Je découvris alors toute la chaleur, la douceur, et le poids de ce sexe sur ma langue. Je découvris aussi ce petit goût si particulier de la liqueur séminale. J’étais excité comme je ne l’avais plus été depuis des années. J’étais enfermé dans une cabine de cinéma porno, accroupi, en train de sucer la bite d’un inconnu, même pas attirant, mais dont les gémissements de plaisir de donnaient envie de me comporter comme une chienne en chaleur.

     Je me délectait de ce sexe dont j’avais si souvent rêvé. Il n’était pas très long, pas plus que le mien, mais beaucoup plus épais. Je le suçais, le léchais, le reprenait dans ma main, le regardais, le serrais, le branlait, le passais sur mes lèvres et sur tout mon visage, puis le remettait dans ma bouche pour me gaver de son goût, de sa chaleur, de son odeur, et le sentir bander pour moi. Je le faisais entrer au plus profond de ma gorge, jusqu’à venir écraser mon nez dans ses poils et que les larmes me montent aux yeux. Je voulais qu’il jouisse, mais je voulais aussi continuer à le sucer comme ça pendant des heures.

     Lorsque j’essayai de glisser ma main libre par l’ouverture de sa braguette, il ouvrit sa ceinture pour me faciliter l’accès. Je découvris alors qu’il portait un cock-ring en latex autour de la bite et des couilles, mais aussi, à ma grande surprise, un slip de femme blanc en dentelle, qu’il avait écarté sur le côté pour sortir son sexe, et des bas blancs à élastique. Pendant quelques secondes, je me demandai si il n’était pas là dans l’intention de se faire prendre plutôt que de se faire sucer. Mais j’avais trop envie de le faire jouir et de le sentir éjaculer dans ma bouche.

     Je continuais donc à le sucer consciencieusement, sans chercher à comprendre plus loin, sortant de temps en temps son sexe de ma bouche, pour le lécher de haut en bas, faire glisser mes lèvres et ma langue sur toute la longueur du méat ou lui sucer les couilles. Ses gémissements devenaient de plus en plus forts et il posa sa main sur ma tête pour accompagner le mouvement. De son autre main, il remonta sa chemise jusqu’au-dessus de ses seins. Je pris cela pour une invitation et dirigeai ma main vers l’un de ses tétons que je commençai à pincer et à rouler entre mon pouce et mon index. Il soupira, moitié plaisir, moitié douleur. Je voulais qu’il jouisse vite et fort dans ma bouche. J’étais prêt à tout pour satisfaire son désir.

     De temps en temps, quelqu’un essayait d’ouvrir la porte. L’idées de me comporter de la sorte presque en public m’excitait comme un fou et je sentais de nombreuses gouttes de liqueur perler du bout de ma queue. Lâchant le bout de son sein, je me mis à lui caresser les fesses, doucement d’abord, puis, devant ses mouvements de bassin de plus en plus appuyés, je passai ma main sous le slip en dentelle et commençai à lui pétrir les fesses à pleine main, une d’abord puis les deux, ace qui semblait l’exciter au plus haut point. Je passai alors mon index dans la raie de ses fesses de haut en bas et chaque fois que mon doigt effleurait son orifice, il tendait les reins en arrière comme pour m’inviter à le pénétrer. Après plusieurs aller-retour, j’enfonçais brutalement mon doigt dans son cul. Devant l’absence de résistance, je compris qu’il s’était préparé en se mettant du lubrifiant à l’entrée et à l’intérieur de son petit trou. Je synchronisai alors les mouvements de ma bouche et de ma main, parfois dans le même sens, parfois en sens opposé, et je sentais son sexe grossir entre mes lèvres. Après quelques minutes, je sortis mon doigt pour élever ma main jusqu’à sa bouche. Je lui donnai mon index à sucer, ce qu’il fit avec plaisir, comme si il suçait lui-même un bite, et après quelques secondes de ce manège, j’ajoutai aussi mon majeur pour qu’il comprenne où je voulais en tenir. Non seulement il suça ces deux doigts goulûment, mais il en attrapa même un troisième avec le coin de sa bouche.

     Je lui fis alors enlever son slip et son pantalon, me relevai, le retournai et le fils se pencher en avant, en prenant appui sur le dossier de la chaise qui se trouvait là. Debout derrière lui, je lui écartais alors les fesses d’une main et je commençais à lui limer le cul avec un, puis deux, puis finalement les trois doigts qu’il avait sucés. Ses gémissements se transformèrent à alors en des râles plus intenses chaque fois que mes doigts entraient et sortaient de son cul. Ses jambes tremblaient. Je passais alors devant lui, m’accroupis à nouveau entre ses jambes écartées et lui enfonçai les trois doigts dans le cul en même temps que je prenais sa bite tout entière dans ma bouche. Je sentis à nouveau sur ma langue le petit goût salé et acide des quelques gouttes qui annonçaient une éjaculation imminente.

     De ma main libre je lui pinçai et lui tirait le bout d’un sein pendant que ma langue et mes lèvres s’activaient de plus en plus rapidement sur sa queue. Je sentis son sexe grossir et sursauter dans ma bouche. Il rejeta la tête en arrière et dans un souffle répéta plusieurs fois : « je vais jouir, je vais jouir ! ». Je n’attendais que cela. J’enfonçais alors mes trois doigts le plus loin possible dans son cul pour qu’il reste au fond de ma bouche et me mis à agiter la langue à toute vitesse sous son gland. Il ne bougeait plus, tout son corps était raide, son cul se resserrait autour de mes doigts et il répétait sans cesse : « oh oui, oh oui. ».

     Et puis il explosa. De longs jets tout chauds, que j’avais du mal à avaler tant ils étaient abondants et épais. J’ai cru que j’allai jouir alors que je ne bandais même pas. Quand il a fini de jouir, j’ai arrêté le mouvement de ma langue pour continuer à le sucer lentement en diminuant progressivement la pression de mes lèvres. Il eut encore quelques petits sursauts qui déposaient à chaque fois quelques gouttes de sperme supplémentaires sur ma langue.. J’étais aux anges. Je savais déjà que je ne pourrais plus jamais me passer de cette sensation là. Après avoir consciencieusement nettoyer son gland de ma bouche, je me relevais. J’étais trempé de sueur de la tête aux pieds. Ma tête tournait. Il remit son slip en dentelle puis son pantalon, et me dit : « c’était bon. » Il sortit de la cabine et referma à la porte.

     Je restais là dans le noir quelques minutes. J’étais moitié épanoui et moitié frustré. J’avais fait ma première pipe et tout avaler et j’étais fier, mais je n’avais pas vraiment été traité comme une salope et une chienne en chaleur. Mais je savais que j’en avais vraiment envie et que j’étais capable de le faire. Si cet homme, aux allures de père tranquille, pouvait venir ici en bas et en slip de dentelle, pour ce faire mettre trois doigts dans le cul, je pouvais sûrement le fer aussi. Je savais que je reviendrai. Souvent. Et que je voulais aller plus loin. Beaucoup plus loin.

 

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