C'est encore moi, Sophie (et Benoît). L'histoire
que je vais vous raconter s'est aussi réellement passée.
Celle-ci s'est déroulée il
y a 2 jours.
Ce mercredi, je travaillais
jusqu'à 17h comme d'habitude. Lorsque je suis revenue chez
nous, je me sentais d'humeur coquine.
J'ai commencé à préparer le
repas et tant que ça cuisait, je me suis dis que j'allais
faire une surprise à Benoît quand il rentrerait de son travail.
Je suis alors montée me laver
et ensuite, je me suis habillée selon un fantasme de mon
Benoît : c'est à dire en étudiante.
Ca faisait longtemps qu'il
m'en parlait, mais je ne trouvais jamais le temps de le
faire.
J'ai donc mis un petit t-shirt
rouge transparent sans soutien-gorge, une micro jupe à carreaux
blancs et noirs, beaucoup trop courte puisqu'on arrive à
voir le bord de mes lèvres, une paire de bas noirs que je
ne pouvais dissimuler sous ma jupe et une paire d'escarpins
noirs aussi.
Je me sentais terriblement
sexy. Je me dis qu'il ne pourra pas faire autrement que
me sauter dessus quand il va rentrer à 20h30.
J'ai tout préparer dans la
maison, lumière tamisée, bougie à table pour un bon dîner
aux chandelles, c'était superbe et je me sentais déjà tout
excitée par ce que je commençais à m'imaginer.
Voilà, il était 20h30 et mon
cœur battait de plus en plus fort car je savais qu'il allait
arriver.
Je l'attendais derrière la
porte.
Il sonna, je regardais d'abord
si ce n'était pas un voisin (j'imaginais déjà leurs têtes
en me voyant ainsi) mais c'était bien lui.
J'ouvris la porte toute grande
et là, j'ai eu la plus grande honte de ma vie.
Il avait ramené un collègue
avec lui. Vous vous imaginez la scène, moi dans ma tenue
super sexy et provocante et eux, les yeux qui sortaient
presque de leurs orbites en me voyant.
Si j'avais pu, je serais rentrée
dans un trou de souris. Quelle honte!!
Ils rentrèrent tous les deux
et je voyais que tous les deux, ils ne pouvaient pas détacher
leurs regards de moi.
Je leur ai dit que j'allais
monter me changer mais, à mon grand étonnement, Benoît me
dit que ça ne le dérangeait pas de me voir comme ça; il
se tourna vers son collègue, Raphaël, et lui posa la question.
Evidemment, il répondit aussi que ça ne le dérangeait pas.
J'étais toute rouge, même
écarlate, mais je commençais à sentir une douce chaleur
gagner mon bas ventre et ça m'apaisait.
Je mis un couvert de plus,
augmentais la lumière (ce qui leur permettaient d'encore
mieux me mater) et servis le repas.
Tout se passa normalement
et il n'y eut aucune remarque sur ma tenue. J'expliquais
à Benoît qu'il aurait du me prévenir, que j'aurais préparé
un peu plus pour son collègue et il me répondit qu'il avait
essayé mais que mon gsm était coupé.
En effet, j'avais oublié de
le recharger.
Le repas était terminé et
je me levais pour faire la vaisselle mais, tous les deux,
ils me dirent qu'ils ne voulaient pas que je la fasse et
qu'ils allaient la faire.
Je leur ai dit qu'ils étaient
adorables.
Je restais donc près d'eux
debout et je remarquais que Raphaël ne pouvait détacher
ses yeux de moi et surtout de ce qu'il apercevait par moment
: Mes lèvres épilées et mes fesses.
Je me sentais vraiment très
désirable et je commençais à avoir vraiment besoin de sexe.
C'est bizarre à dire, mais
dans ces moments là, je deviens complètement incontrôlable,
je ferais tout pour en avoir.
Je me suis approchée de mon
fiancé et lui ai glissé à l'oreille que j'avais très envie
de le sucer tout en glissant ma main sur la braguette de
son pantalon.
Il ne me répondit pas, il
regarda son collègue et sortit son sexe.
Je me mis directement accroupie,
le dos appuyé contre l'armoire et je le suçais avec avidité
alors qu'il continuait la vaisselle.
Raphaël ne retirait plus
ses yeux de moi et il regardait ma bouche avaler le sexe
de mon mari.
Je mouillais terriblement
et je sentais même que des filets coulaient littéralement
de mes lèvres et se déposaient sur le carrelage. Je mis
ma main sur ma chatte et je constatais mon état.
Je me mis un doigt et à ce
moment, Benoît disait à Raphaël de se mettre à l'aise s'il
le voulait.
Il sortit son sexe de son
pantalon et là, je fus surprise car il était bien plus gros
que celui que j'avais en bouche.
Ca m'excitait doublement et
mon Benoît me fit un clin d'œil d'approbation.
Il commençait à se masturber
et s'approchait de moi, j'ai agrippé son sexe et je le branlais
vigoureusement.
J'étais comme en extase.
Benoît me fit lever et me
fit asseoir sur le meuble les jambes écartées.
Il montra à Raphaël mon état
en entrant directement trois doigts dans ma chatte et il
me masturbait. Je jouis quasi instantanément sous son emprise.
Il me dit qu'il était très
heureux et très content de ma tenue et surtout de mon état
actuel. Il dit à son collègue de venir sentir mon humidité
avec son sexe.
Il s'approcha de moi et commença
à frotter son gland sur mes lèvres. Celui-ci glissait dessus
tellement j'étais mouillée, il entra progressivement son
énorme sexe dans ma chatte tandis que Benoît m'embrassait
à pleine bouche et pelotait mes seins et mes tétons qui
pointaient terriblement.
Lorsqu'il fut en moi complètement,
il entama ses mouvements de va-et-vient et je me sentais
comme pilonnée par ce gros manche et je redoublais de plaisir.
Il me caressait mes cuisses
gainées de mes bas et ça reboublait encore plus mon excitation.
Il se retira d'un coup sec pour laisser la place à Benoît.
Evidement, il y avait une différence de taille mais aussi
au niveau vitesse des mouvements; Benoît était bien plus
rapide et ça, ça me plaisait beaucoup.
Benoît me dit de l'agripper
et m'emmena vers un fauteuil. Il me libéra juste devant,
il s'assit et me dit de venir m'asseoir sur lui. Je n'hésitais
pas une seconde et son collègue vint alors se mettre devant
moi et je commençais à sucer ce gros manche.
J'étais vraiment surexcitée.
Je m'empalais sur un sexe tandis que j'en gobais un autre,
j'avais 4 mains qui caressaient mon corps et qui me faisaient
frissonner de plaisir.
J'étais arrivée au summum
de mon excitation et je gémissais et jouissais constamment.
A un moment, Benoît me fit
lever et m'enlever de mon sexe pour que je vienne m'enfoncer
son sexe dans mon petit trou. Il n'a eu aucun mal à y entrer
car il était déjà dilaté et mouillé par ma chatte qui coulait
comme une fontaine.
Son collègue ne se fit pas
prier et vint directement s'installer dans ma chatte.
Je ne pouvais plus me retenir,
mes gémissements firent place à des cris que je ne contrôlais
pas, j'étais un objet sexuel, j'étais flattée que deux sexes
me prennent en même temps, je me sentais vraiment fière
d'être femme.
Je sentais que mes deux amants
allaient jouir et je ne voulais pour rien au monde en perdre
une goutte. Je me suis alors levée, pour me recoucher sur
la table basse du salon.
Ils sont venus s'installer
un de chaque côté de ma tête et je les branlais.
Ils se sont mis à juter comme
des chiens sur mon visage, j'avais la bouche grande ouverte
et la langue bien sortie, je ne voulais pas en rater une
seule goutte. Je me masturbais comme une folle tout en gémissant
de bonheur.
Quand ils eurent fini, mon
visage était rempli de sperme et je les ai sucés chacun
à leur tour pour recueillir les dernières gouttes de ce
délicieux breuvage.
Raphaël regarda Benoît et
lui dit : "T'as vraiment de la chance d'avoir une femme
comme ça, elle est vraiment très douée!"
Benoît ne répondit pas et
vint m'embrasser tendrement et me glissa à l'oreille et
doux : "Je t'aime ma belle".
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