Le dimanche matin, Mei et moi allions régulièrement
à la piscine pour nous entraîner. Nous sommes toutes les
deux excellentes nageuses et parcourons régulièrement en
crawl quatre à cinq kilomètres. Nous avions passés la nuit
du samedi au dimanche toutes les deux dans mon petit studio
en restant sage pour ne pas être fatiguées le lendemain.
Arrivées à la piscine très
tôt, nous avons rejoint les vestiaires communs pour les
garçons et les filles étant données le peu de monde présent.
Les cabines de cette piscine sont en panneaux de particules
plaqués par un revêtement lisse bleu ne touchant pas le
sol ni le plafond. Enfermées toutes les deux dans une grande
cabine familiale, nous venions juste de poser nos sacs sur
le banc du fond.
Je retirai mes boucles d’oreilles
quand l’une d’elle m’échappa et tomba sur le sol. Je me
baissais pour la ramasser et vis, sous la cloison séparant
notre cabine de la cabine mitoyenne, deux pieds masculins
tournés dans notre direction.
Je me redressais lentement
et mon regard parcourant la cloison tomba en arrêt sur une
série de trous artisanaux fait à des hauteurs différentes.
Par curiosité je plaquais un œil sur l’un d’eux. Dans mon
champ de vision restreint, apparût à mon grand amusement
une main tenant un sexe masculin en début d’érection. Cette
main inconnue caressait doucement ce pénis de haut en bas
augmentant progressivement la raideur de celui ci.
Je me redressais complètement
et dis, pour ne pas être compris par notre voisin, en chinois,
à Mei :
- Il y a des trous dans la
cloison qui nous sépare de la cabine voisine.
Elle me regarda incrédule
et me répondit dans sa langue maternelle :
- Oh ! Ce n’est pas vrai
!
- En plus, il y a un mec entrain
de nous regarder tout en se caressant le pénis. Dis-je en
souriant.
Elle marqua une pause puis
elle me dit toujours en chinois
- Un voyeur ! Et si on lui
donnait un petit spectacle ?
Après un instant d’hésitation
je lui répondis.
- Bonne idée allons-y ! Commence
par me déshabiller lentement en me caressant.
Je me positionnais de telle
sorte que Mei fut dans mon dos les trous dans la cabine
face à moi. La taille de celle-ci permettant un recul suffisant
pour que notre voyeur puisse nous voir complètement.
Mei dans mon dos, collée à
moi, commença à me dénuder lentement. Bouton après bouton,
elle ouvrit ma chemise et la fit glisser le long de mes
épaules telle une caresse.
La situation commençait à
m’exciter. Se faire mettre à nu devant un inconnu que l’on
ne peut voir tout en sachant qu’il vous regarde hummm qu’elle
délicieuse sensation.
Mei passait maintenant doucement
ses mains sur mon torse. Sa bouche experte me mordillait
la nuque faisant naître le long de mon échine des frissons
de plaisir. Elle commença à m’agacer, à travers mon soutien-gorge,
la pointe de mes seins. Je sentis mon sexe devenir soudainement
humide. Les yeux mis-clos, je savourais ses caresses tout
en imaginant la main de cet inconnu s’activant fébrilement
sur son pénis.
Elle me dégrafa et fit jaillir
mes seins dont les pointes en érection ne demandaient qu’à
être caressées.
Je commençais à onduler sous
ses caresses. Lentement, ses mains fiévreuses descendirent
le long de mon ventre pour venir se perdre dans mon pantalon.
Je rentrais l’abdomen pour lui faciliter le chemin.
Les mains sur les seins, je
me donnais du plaisir tandis que Mei activait les siennes
à l’abri du regard de notre voisin dans mon pantalon.
Baissant la tête je vis le
tissu de celui ci comme doué d’une vie propre bouger au
rythme de ses doigts.
Je sentais ma mouille couler
d’abondance dans ma culotte. Une onde de plaisir m’envahit
et je dus me mordre les lèvres pour ne pas crier.
Mei sentit que j’avais un
orgasme. Elle arrêta ses caresses et fit tomber mon pantalon
à mes pieds. Juste vêtue de ma petite culotte, qui était
le dernier rempart entre mon jardin secret et le regard
que je supposais avide de notre voisin, je me tournais vers
Mei et commençait à lui rendre la pareille.
Elle aussi était très excitée
car, quand mes mains atteignirent le centre de ses plaisirs,
elles rencontrèrent l'humidité typique des plaisirs féminins.
Nous étions maintenant toutes
les deux en petite culotte. Je m’assis sur le banc après
avoir poussée nos sacs, les jambes largement écartées et
invitais Mei à s’asseoir entre elles.
Mes mains et les siennes s’activèrent
sur son corps pendant que ma bouche s’attaquait à sa nuque.
Ma main gauche légère comme une plume, trempée par ses secrétions
féminines l’amena rapidement au plaisir. Je la sentis se
contracter, ses jambes se tendirent devant elle et elle
jouit dans mes mains se retenant avec difficultés de crier.
Elle retomba sur le banc les
fesses bien collées contre moi. Je lui dis dans un souffle
« ne bouge plus et regarde entre tes jambes ».
Je me concentrais une seconde
et me mis à faire pipi dans ma culotte comme une petite
fille pas sage, inondant le banc, ma culotte et celle de
Mei. Le flot de mon urine fût rapidement rejoint par celui
de Mei. Ma main toujours sur son sexe, se remplit de son
liquide brûlant, puis, ne pouvant plus contenir une telle
quantité, le laissa s’échapper en cascade vers le sol. Elle
n’avait pas encore fini, que nous entendîmes un grognement
assourdi venant de l’autre cabine.
Après un instant de silence,
le fou rire nous prit. Entre deux hoquets, je lui dis en
chinois
Je crois que notre voisin
à un peut perdu le contrôle de lui-même !
J’imagine sa gueule quand
il nous a vues pisser dans notre petite culotte après nous
êtres caressées comme deux petites salopes en chaleur dit-elle.
Quand on eut repris notre
souffle, on se leva, la culotte complètement mise en ruine
par nos sécrétions et notre urine.
Après nous être mises toutes
nues nous avons rapidement enfilé nos maillots de nage,
et nous sommes sorties de la cabine.
La porte de la cabine mitoyenne
s’ouvrit au même instant pour livrer le passage à un jeune
mec pas mal foutu.
Je ne pus résister
- Alors ! Le show était bon
lui dis-je.
Il rougit jusqu’à la racine
des cheveux et baissa les yeux en bafouillant.
- Ben mon grand dis Mei reprend
toi.
Nous avons ensuite parcouru
nos quatre kilomètres à la nage. Puis, ruisselante d’eau,
le tissu du maillot bien décalqué contre nos jeunes anatomies
nous avons rejoint les douches.
Devant notre cabine, une surprise
nous attendait
Le jeune voyeur sortant lui
aussi de la douche, faisait le gué.
Il nous sourit timidement
et nous dit d’un air gêné.
- Dites, pour tout à l’heure,
je m’excuse de vous avoir regarder dans votre cabine. Mais
c’est plus fort que moi j’aime voir des filles nues.
- Ecoute si nous n’avions
pas voulu que tu nous mates nous aurions changées de place
lui dit Mei
- Ah bon ! Vous saviez depuis
le début que je vous matais ?
- Hé oui ! Dis-je avec un
petit air coquin
- Si tu veux rajouta Mei au
lieu d’essayer de nous voir à travers un trou, vient directement
dans notre cabine, elle est assez grande.
- Mais attention lui dis-je,
tu regardes mais tu ne touches pas ! Tu es d’accord ?
Il eux un instant d’hésitation
puis dit
- D’accord !
Nous sommes donc rentrés
tous les trois dans la cabine. Je fermais soigneusement
la porte puis me retournant vers lui.
- D’abord avant que nous
nous déshabillions pour toi seul, il faut que toi tu fasses
quelque chose pour nous !
- Quoi ? Dit-il sur la défensive
impressionné par le fait qu’il était dans un endroit clos
avec deux filles.
- Je veux que tu t’habilles
complètement puis que tu pisses dans tes vêtements devant
nous, pour nous dis-je.
- Mais ! Dit-il, je ne pourrais
plus sortir de la piscine dans mes vêtements mouillés après.
- Ecoute c’est ton problème
à toi de voir !
Mei prenant la parole à son
tour lui dit
- Tu sais, il y a des séchoirs
il te suffira de te mettre en dessous pour sécher rapidement.
- Mais je n’ais jamais fait
ça moi dit-il d’une voix mal assurée.
- C’est à prendre ou à laisser
! Tu fais ou tu sors ! Dis-je fermement.
Il hésitait toujours. Mei
la mine aguicheuse lui dit
- Ecoute fait ce qu’elle
te demande et tu ne le regretteras pas !
Vaincu par notre insistance
et voyant que nous ne céderions pas, il finit par acquiescer.
Je m’assis avec Mei sur le
banc.
Debout devant nous, il retira
maladroitement son maillot mettant à jour le sexe que j’avais
vu tout à l’heure par le trou de la cabine.
- Essuies-toi lentement en
te caressant dis Mei.
Il s’exécuta malhabile dans
un premier temps puis prenant de l’assurance il se passa
la serviette sur tout le corps en prenant son temps.
Nos regards l’enveloppant
comme une caresse, le frottement de la serviette éponge
sur son corps commença à faire son effet.
Son pénis qui à la sortie
du maillot de bain était en berne commenta progressivement
à se raidir et à grossir.
En quelques minutes, il atteint
pour notre plus grand plaisir une taille respectable.
- Arrête maintenant dis-je
et habille-toi !
Il s’exécuta. Il enfila en
premier un slip noir moulant qui ne pût, à notre grande
joie, contenir complètement son sexe en érection.
Ensuite, il mit son jean et
le boutonna.
Enfin une chemise blanche
vint compléter sa tenue.
- Bien dis-je maintenant
tu sais ce qu’il te reste à faire.
Il se concentra un moment
mais à notre grande déception rien ne vint.
- Alors ! Tu fais ?
- Je ne peux pas dit-il j’ai
envie mais je n’y arrive pas.
- Laisse toi aller dit Mei.
Pense à autre chose.
Il ferma les yeux pour mieux
partir dans ses phantasmes.
Enfin, pour notre plus grande
excitation, apparut sur le devant de son jeans une tâche
qui alla rapidement en s’élargissant.
Instinctivement, ma main partit
à la rencontre de mon sexe, et je commençais à me frotter
le clitoris sur mon maillot mouillé.
Mei, elle, s’était mise à
genoux devant lui et avait posé ses mains sur le chemin
de la tache qui prenait maintenant des proportions inquiétantes.
Il poussa un soupir de plaisir
et dit :
- J’ai fini ! Humm ! C’est
chaud, c’est bon je n’aurais jamais pensé que ça pouvais
être comme ça de pisser dans ses fringues.
- Bien dis-je à Mei après
avoir arrêté de me caresser. A nous !
Je fis asseoir ma copine
sur le banc, puis, me mettant à genoux devant elle, je lui
dis
- Vas-y ma grande fais pipi
pour moi dans ton joli petit maillot.
Elle se concentra une seconde.
Le Lycra du maillot soudain se tendit et un jet d’urine
en sortit. Je me collais à elle pour recevoir ce flot sur
ma poitrine. Le chaud liquide emprunta dans un premier temps
le sillon de mes seins puis le flot augmentant, il déborda
et me recouvrit les seins d’une douce caresse. A peine elle
s’arrêta, que je lui repoussais le maillot sur le côté et
lui fit connaître les plaisirs que ma langue experte pouvait
procurer.
Avec difficulté elle retint
un grognement de plaisir quand la jouissance l’emporta.
Je me relevais et constatais
que notre nouveau copain n’était pas inactif. Il avait ouvert
largement son pantalon puis repoussant son slip vers le
bas, avait extrait son sexe roide de désir. Sa main s’activait
furieusement de bas en haut.
Je sentis derrière moi, entre
les cuisses, la main douce de Mei qui se plaquait en forme
de conque sur mon sexe moulé par le tissu de mon maillot
de bain. Son autre bras m’enserra la taille. Sa tête se
posa sur mes fesses.
Elle me dit
- Flo à toi maintenant de
nous montrer ton savoir-faire.
Debout devant un mec inconnu
qui se masturbait avec à mes pieds ma meilleure copine que
je venais de faire jouir et qui me demandais maintenant
de faire pipi dans sa main le tout dans une cabine de piscine
!
Ouah la situation était extraordinaire.
Regardant fixement la main
qui d’un mouvement saccadé de haut en bas, approchait insensiblement
le moment de non-retour pour ce sexe masculin, je me mis
à pisser comme une folle.
Le liquide jaillit de moi
en un flot puissant noyant tout sur son passage. Les doigts
agiles de Mei balayés dans le même temps mon clitoris en
cercle rapide.
Mon corps ne savait plus quoi
faire ! Pisser ou jouir ? Jouir ou pisser ?
Notre partenaire ne pouvait
maintenant résister plus longtemps à l’appel du plaisir.
Son visage se crispa, sa bouche se déforma en un cri inarticulé.
Sa main comme folle le força à cracher un jet de sperme
blanc tandis que ses jambes se pliaient sous lui, le faisant
tomber sur les genoux.
Dans le même instant, la jouissance
me fit trembler de tout mon corps en me foudroyant. Echappant
au bras de Mei, je tombais par terre moi aussi et je mis
un moment à récupérer.
Fin
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